Les Dunes de Sang
Par de là, la Cordillère de Born, cette énorme et longue chaîne de montagnes portant le nom d’un grand dragon jadis, qui aurait gouverné entant que le maître l’ordre et la justice sur terre.
Représentant sa colonne vertébrale, cette chaîne s'étendait sur des milles et des milles, des mois entiers de route a cheval!
Fières et hautes ses montagnes qui perçaient les nuages de leurs sommets affûtés par le vent et le froid grugé par l’érosion lentement mais surment…vieillissait comme le relief même de la terre mère.
A leurs immenses pieds, s’étendant de grande végétation ou vers le milieu de leur chaîne, brûlait sous le soleil de plomb de toute une saison entière, un vieux vestige oublier, un royaume de terre morte et sec ou jahissant des poussières, des ruines de pierre, d’un temps jadis, ayant appartenu à un chef d’œuvre prestigieux de création…
Il s’agissait d’une cité construite de la main unie des hommes et des elfes… vraiment une cité comme on ne les avait jamais vues… sa population se contait par million…
Sa force militaire était si redoutable que les ennemies qui attaquaient été repoussé à chaque fois… mais la chance ne fut pas au rendez-vous, lorsque leur règne de gloire courra à sa perte dans une guerre sanglante qui dura un mois de siège et remporté par les gens qui venait du Nord qui imposèrent leur supériorité en nombre et en technologie…
Les murs fortifier aussi solide qu’ils avaient puent être à cette époque d’âge noir, tombèrent sous le jou du feu d’un nouvel ennemi… qui passa la population sous sa lame, maudissant c'est terre à la ruine, par le sang des innocents qui donnèrent nom à c’est lieux de désolation.
Pourtant son règne achevé, la cité perdu dans l’oubli eu sa seconde vie bien que passé dans l’inaperçus… elle hébergea un seigneur qui allait changer la face du monde… un être impur comme la tendance des voix portait à les nommés.
Ces étranges et différentes personnes que l’on châtiait! Par racisme, répugnance et discrimination.
Ils étaient différents donc des monstres, des esclaves… des être sans droit traiter comme des bêtes sauvages que l’on mettait en cage ou tuait délibérément…
Pourtant… tous étaient des enfants nés comme tout les autres, leur seule différence était qu’il avait été crée par deux êtres bien différents et qui sans s’en rendre contre fabriquèrent une nouvelle race… demi de l’un… et moitié de l’autre, impossible de déterminer ce qu’est, c'est résulta d’un amour qui n’avait pas été réfléchi, involontaire ou tout le contraire… Le résulta, leur étaient abominable.
La ou tout débuta, dans les conditions de vie les plus dures des terres Margaë dia. Là où nul seigneur ou tirant viendrai le châtier, la... ou ils auraient leur chez soi...
Le soleil régnait le jour sous des feux torride et sec a l’année longue, mais une fois par 4 mois, les moissons saisonnière venait rafraîchir la terre qui ne finissait plus de boire ,pour remplir ses rides craquées par la sécheresse, assoiffé, ces averses plus que bienvenue.
Un chemin, très loin de la cité morte, formait l’alibi unique des régions aux commerces ou souvent les marchant traversais près d’une forêt aux terres moins à rude ,une colline , qui avait dans d’autre temps été une rivière , faisant la force des ressources du coin.
Celle-ci maintenant asséché laissait un cayon miniature sinueux et déformé par des altitudes différentes de terre entraver le royaume.
Une fois à la plus haute des altitudes du cayon atteinte, un second chemin venait le croisé menant dans les profondeurs sèche du désert des dunes de sang…
Des panneaux laissé sur place ,avait de nouvelle écriture blanche , des avertissements aux voyageurs imprudents de ne pas s’y aventurer.
Tout l’abas ou se dessinait la silhouette nagèrent d’un tas de pierre, soufflait des bourrasques chaudes d’air décharger de toute humidité…
C’est plaine vaste comme une mer! Frapper par la chaleur , formait de douteux mirage brûlant.
L’air à l’horizon avec des vapeurs étouffantes qui remontait en serpentait vers les cieux n’inspirait qu’un voyage vers la mort certaine…
Mais pour ceux qui n’avait aucune destination… et rien derrière eux qui les retenaient dans le doute et l’hésitation , ce chemin faisait parti de leur voyage… S’était l’abas ditons, que tous ceux sans identité … sans vie devant eux, ceux pour qui on avait condamné leur présence à l’exile sous peine de mort…
Existait un salut qui pour l’instant ne vivait que par la bouche des commérages qui racontait d’étrange histoire sur des commerçants qui aurait disparus.
ET bien sur! Quelle fut l’imagination!Lorsqu’elle s’enflamma! Emportant dans sa folie, toutes vérités de ces récits, déformant toute sorte de version divaguées de la réalité , pour se jeter dans la fixions pure! Pour garder captif, les auditeurs accrochés aux lèvres des racontars, d’on il buvait chaque mot sans jamais avoir soulager leur soif!
Les oreilles des concernés, purent avoir eu vent, plus d’une fois durant leur route, toujours cette histoire qui changeait de forme a chaque ville visitée , mais restait basé sur les dunes de sang ou une supposé ruine habiter par des spectres en colère qui menait leur règne vengeur… tuant tous ceux qui s'en était approché , puisque nous ne les revirent plus jamais.
Les courageux qui venait emprunter cette route peu recommandable, reconnaissant cette ambiance que troubadours et conteurs bohémiens racontaient si souvent…
La route prenait presque une journée entière de marche avant de se rendre à cette cité, qui fur et a mesure nous faisait réellement croirent au revenant…du moins l’énergie ancien était toujours actif comme si les mort y habitait toujours…
La nuit tombe et le froid crue apparaît soudainement, maintenant que le soleil était parti ce coucher sur le dos de la rivière dans l'horizon…la nuit refroidissait sur-le-champ tout le désert sans sable.
Bien vite cette chaleur frigorifiant venait se saisir de nous, pour mordre la chair de frisson et de grelottement, rendant en vapeur chaude notre souffle comme celui des cracheurs de feu…
Le chemin qui menait à l’intérieur était embûché de grosse pierre ayant appartenu aux murailles déchues, des squelettes de cheminer des villas qui résistait encore au temps rude dressé dans les airs a moitié démolie…tout ce qui avait pu être de bois avait disparue dans les cendres de la guerre.
Un autre vestige qui avait été emporté dans la violence… mais durant leur chemin les visiteurs curieux, feront une étrange découverte… celle d’une auberge surment restaurer vue son déplorable apparence extérieure… à c’est vitre couverte de moisissure et de poussière mais par contre laissant c’est surface, d’un jaune de feu, qui laissait sous-entendre que surment, elle était habiter et qu’il s'agissait la, de lueur de chandelle! …
Mais est-il sage de continuer et chercher à s'avoir ce qui si trouve?
Bandit, criminel, bannis ou exilé et encore des demi-races n’aurait pas froid aux yeux pour relever se défis qui pourrait être celui que vous mènera à la plus folle des aventures…
Accueil 
