Cabinet Griffith et Associés & Missions du Phénix

Pour les besoins de la cause et pour rendre tout moins complexe et dure à lire, ici sera poster les poste qui ont rapport avec le travail "officiel" de Tony.

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La faune urbaine n’est pas animé que par les gangsters de rues, certes si les barrons de la drogue sont puissant dans New York il reste toujours une place pour des arnaques plus sophistiqué et souvent plus payante que les autres. Si les détournements de fonds ne sont pas rares il existe d’autre moyen pour entrer dans la guerre qui anime les bas quartiers de Manhattan car il n’est pas rare qu’on ordonne d’enlever la fille d’un riche gangster pour exiger une rançon ou voler des informations à propos d’un gros trafiquant d’herbe venant du Maroc ou de Jamaïque afin de le faire chanter.

Elle s’élève la tour de verre dans un beau quartier de Chelsea. Un immeuble anonyme parmi tant d’autre mais celui si remplis les escrocs les plus proches du pouvoir en place, ceux qui dirigent vraiment la constitution Américaine dans cet état de droit, les avocats. Diriger d’une main de fer par les 5 associés du cabinet Griffith&associés. C’est non seulement une grande machine criminelle mais aussi un lieu sur en matière du traitement en justice. Griffith&associés est un regroupement de brillant avocat qui font dans la défense de gangsta de leurs connaissances en échange de service qui pourrait leurs être utile dans l’avenir dans leurs combats pour le contrôle du crime dans les rues.

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Après un vingt minute dans le traffic urbain, le taxi déposa Tony devant l'immeuble qui habritait le Cabinet Griffith et Associés. L'italien paya le chauffeur avant de quitter le véhicule. Il marcha la distance qui le séparait du bâtiment en prenant son temps.

Il entra, dans l'hall de l'édifice qui avait de bonne proportion sans pour autant être extravagant et se retrouva devant un comptoir circulaire où une secrétaire et deux gardes de sécurité, qui surveillaient leurs écrans d'un oeil de lynx, se tenaient. Ils étaient le premier contact avec les clients. La secrétaire avait pour responsabilité de diriger et informer les clients sur l'établissement. Le hall d'entré de l'accueil grouillait toujours de gens allant et venant dans tous les sens leurs pas résonant sur le sol de marbre blanc

Tony se dirigea vers le poste d'accueil et salua la secrétaire.

- Bonjour Madame Jones, dit-il.

- Bonjour M. Di Castillo, répondit-elle. Alors, des nouvelles du département de Justice ?

- Effectivement, il vienne de m'octroyer les autorisations pour pratiquer le droit ici, je suis venu pour en avertir M. Griffith, s'il est libre bien sûr, et aussi pour prendre mes marques...

- Vous serez heureux, votre bureau a été rénové au courant de la semaine, selon vos exigences, informa la secrétaire qui lui tendit une clé. On m'a demandé de vous le remettre.

- Merci Wilma, dit Tony. Si vous pouviez faire passer le mot à la secrétaire de M. Griffith que j'aimerais le voir. Si ce n'est pas possible, faite lui seulement passer le mot que je suis active dès maintenant... Enfin, je vais déjà mettre la main sur quelques dossiers léger pour me remettre au parfum...

Il quitta Wilma et monta au 8ieme étage...

Tony avait prit l'ascenseur, qui était passablement bondé et monta au huitième étage, en faisant de nombreux arrête pour laisser sortir des occupants et en prendre d'autres. Il se rendit finalement au son étage. Il passa devant la secrétaire en lui disant un simple bonjour, alors qu'elle lui remit quelques papiers qu'il prit en la remerciant avant de se diriger vers son bureau.

Sur la porte il y avait une petite plaque avec son nom dessus. Il tourna la poigner de la porte après l'avoir déverrouillé et entra.

La pièce était sublime et chaleureuse. Un tapis rouge sang et épais recouvrait le sol, les murs étaient couverts de tentures écarlates et au centre de la pièce, un massif bureau d'ébène et un confortable fauteuil qui était très rembourrée. Deux autres fauteuils étaient devant le bureau. Un ordinateur prenait place sur l'imposant poste de travail, tout comme un téléphone, alors qu'une imprimante était installée dans un sur un autre meuble non loin du bureau avec le fax. Une bibliothèque, vide pour l'instant, couvrait un mur.

Tony regarda son bureau satisfait, cela lui convenait parfaitement. Il alla s'asseoir dans son fauteuil et regarda les feuilles que lui avait remit la secrétaire. C'était de la paperasserie que le Département de Justice et de l'Immigration lui avaient fait parvenir pour finaliser son droit de pratique dans ce pays. Il lut les documents et les signa. Cela lui prit trois heures complet pour remplir cette paperasserie fastidieuse....

Tony récupéra sa cane dans la limousine et donna la destination au chauffeur. Lors du trajet, l'italien resta plonger dans ses pensées et n'en fut sortit que lorsqu'il arriva devant le cabinet. Il sortit du véhicule et entra dans l'édiffice. Il salua Mme Jones et monta rapidement au huitième étage. Il ne fit qu'un signe de tête comme salutation à la secrétaire et se dirigea vers la salle de réunion des associés et y entra.

- Enfin, voilà le petit nouveau... grogna un homme d'un certain age massif avec les cheveux blanc. Il n'aurait pas pu être à l'heure comme tout le monde et comme la bien séance le dicte.

Les paroles de l'homme furent approuvés par une seul des trois autres homme présent. Un de ceux qui n'avaient pas approuvé, se leva et fit taire les autres.

- Allons messieurs... Je l'ai seulement avertis il y a de cela trois heures et demi alors qu'il était en plein entraînement physique, dit un jeune homme au cheveux roux. Prend place Tony.

- Merci Jérémi, répondit le sicilien, en prenant place.

- Maintenant que nous sommes tous présents, faisont les présentations, dt Jérémi. Messieurs, voici notre cinquième et dernier associé. Tony Di Castillo qui a investi, enfin, qui représent la Famille De Mortès qui a investit 100 000 000 dans notre cabinet pour que nous perfectionnons notre réseau d'information, d'infiltration et de contrôle des rues et de la drogues, informa-t-il. Donc Tony, ici nous avons Robert Stern, dit Jérémi en montrant l'homme qui avait exprimé son mécontantement à l'arrivé tardive de Tony, à sa droite, il y a William Anderson, l'homme présenté devait avoir dans les 45... 48 ans... petit... maigre... rachitique. Il portait une moustache et une paire de lunette des vrais font de bouteille, il était aussi mécontant du retard de Tony. Et finalement le dernier, mais je pense que tu le connais déjà... Vincent Corleone, l'homme avait dans la cinquantaine, mais il paraissait encore bien jeune.

- Bonjour à tous... dit Tony avant de s'asseoir près de Vincent. Salut Vinnie...

Vincent lui serra la main.

- Ça faisait longtemps To... la dernière fois, c'était... enfin, à ton mariage, répondit Corleone

- Bien, maintenant nous pouvons commencer, intervient William.

- Nous devons rafermir notre présence et notre domination, depuis quelques mois, les cubains prennent de plus en plus de place dans le traffic de la drogue et nous ne savons pas comment, mais il semblerait que nous aillons un mouchard dans la banlieu, car nous perdons toute notre influence, informa Robert.

- Il faudrait intervenir. Frapper les cubains là où ça fera mal... mais rien de dévastateur. Juste un coup de sommonce pour les prévenir qu'ils sont aller trop loin et que notre patience est à bout, continua William.

- Exat, mais ce que nous avons comme ressource pour se genre de travail ne convient pas, répliqua Jérémi. Je ne veux pas que nous déclarions la guerre maintenant aux cubains... parce que nous allons nous retrouver avec les colombiens et les mexicains sur les dos.

- J'ai ici une liste de personne que nous pourrions utilisé, tendit William aux autres.

Ils paroururent la liste. Tony regarda les noms, mais aucun ne lui dit grand chose pour l'instant.

- Non, non et non... dit durement Jérémi. Aucun d'eux n'a le profil pour le travail, ils vont seulement jeter de l'huile sur le feu. LA guerre doit être évité pour le moment.

-Je crois que j'ai la personne qu'il faut pour se travail... dit Vinnie qui était resté silencieux jusqu'à maintenant. Je crois savoir que notre nouvel associé à l'homme parfait pour nos besoins.

- Effectivement... j'ai les services de l'assassin personnel de Don De Mortès... le Phénix... répondit Tony.

- Ha ! dit William. J'ai déjà entendu se nom lors d'un de mes voyages il y a huit ans en Suisse. Le Phénix... est un synonyme de mort en Europe. De nombreuses rumeurs raconte qu'il est immortel et qu'il ne connait pas la douleur... raconta-t-il. Je sais que cela semble fantaisiste, mais croyez moi, je l'ai vu en action à Genève.

Tony souria, il se souvenait de Genève... Un client d'un confère qui devait témoigner contre un membre de la Famille Julian. Durant sa mission, il avait été touché par un quinzaine de balles avant d'avoir terminé sa mission et à la vue de nombreuses personnes, c'était de là que toutes les rumeurs sur son compte ont débuté.

- Effectivement, je peux le contacté pour faire cette mission... juste à me donner les informations, je lui transmetterai, répondit Tony avec un grand sourire.

Ils furent interrompu par des coups frappés à la porte... Jérémi alla ouvrit et la secrétaire entre.

- Monsieur Griffith, vous avec un appel, dit-elle avant de quitter.

- Excusez moi, je reviens dans un instant... répondit Jérémi avant de quitter,

Alors que Jérémi venait de quitter, la sonnerie d'un cellulaire se fit entendre, Tony prit rapidement son téléphone et regarda l'afficheur... Son contact.

- Excusez moi messieurs, mais c'est une urgence personnelle, dit Tony avant de quitter et de se rendre à son bureau.

Alors qu'il ferma la porte de son bureau, il répondit.

- Et puis ? demanda-t-il directement à son informteur comme formule de salutation.

- Oki... savais-tu que la Perle Noire est la pute préféré de Marek, dit la Terreur qui est à la tête d'un gang qui se fait appeler les Corbeaux Noire. Comme activités du gang, nous avons, extorsions, vente de drogues, prostitution... et traffic humain... Enfin... tu vois le portrait... Pour le contract dont tu m'as demandé des informations, le contract est avec The Cat... un partenaire de Marek... reconnu pour produire des vidéos xxx qui ne sont pas piqués des vers et du gros hardcore. Il est aussi à la tête d'un groupe de motard qui est craint par plusieurs autres groupes de la rues. Le contract aura lieu à minuit pile se soir et chez The Cat... Je ne suis pas sur, mais je pense que tu pourrais bien t'entendre avec se gars là... surtout avec ta position au sein d'un puissant cabinet d'avocat... Ensuite... petite info bonus... Aucun des deux groupes ne fait affaire directement avec nous... ni avec des concurrant dans la drogue... mais avec des "partenaires" que nous tolèrons. Aussi, j'ai entendu parlé d'une descente de police chez les Corbeaux Noire pour démenteler le traffic humain et la prostitution juvénile... et ce n'est pas une petite opération policière... c'est de taille.

- Merci des infos, dit Tony qui avait tout prit en note les infos que lui avait données l'informateur. Je te recontact si j'ai besoin... et ton argent est déjà sur ton compte...

Tony coupa la communication et fit le virement de 10 000 $ sur le compte de son informateur par internet.

Il resta encore dans son bureau et fit quelques recherches dans les archives, piratant la base de données de la police, il récupéra un max d'information sur Marek... les Corbeaux Noire et The Cat... et les informations qu'il trouva ne lui plus absolument pas... Il soupira et retourna à sa réunion, qui dura encore et encore... Elle fut interrompu par le cellulaire de Tony qui quitta une autre fois la salle pour répondre à la Perle et lui dire qu'il devrait être la ves 19h30 et retourna à la réunion ou il en sortit à 19h15 avec un dossier pour le Phénix et un dossier sur Les Corbeaux Noire et The Cat sur une carte à puce informatique crypté.

Il quitta enfin le cabinet et retourna à l'appartement, il était 19h25...

Ceci ne se passe pas à la firme... et est une mission du Phénix

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Le Phénix se dirigea rapidement vers la première destination… les cubains… Il lui fallut près de trente minutes pour se rendre près de leur repaire. Tapis dans l’ombre, il vérifia qu’il avait tout ce qui lui était nécessaire et observa un instant la présence d’activité…

Quatre voitures luxueuses s’engagèrent dans l’entrée du repaire… Le Phénix sortit une petite paire de longue vue et regarda sortir quatre hommes suivit de leurs escortes…

« C’est mon jour de chance… pensa-t-il en identifiant les quatre hommes comme c’est futur cible. Voyons voir… Est-ce que je fais le travail se soir…? Bah… pourquoi pas… Ça va m’éviter de devoir quitter Désiré à un autre moment… »

Le Phénix laissa les hommes entrer et attendit échafaudant un plan…

Il patienta une heure avant de se mettre à l’action, il prit une épipen de Sang de Phénix qu’il s’injecta. Il se rendit aux véhicules qui étaient gardé par deux hommes. Silencieusement, il se rapprocha d’eux, un couteau dans chaque main… alors qu’il fut assez près, il logea une lame dans la nuque de chacun des deux gardes les tuants sur le coup. Il lâcha les couteaux et attrapa les corps par leurs vêtements pour qu’ils ne chutent pas en faisant trop de bruit. Par la suite, il traîna les corps dans les voitures, déchira leurs vêtements en lanières avant d’ouvrir les réservoirs d’essence de trois des quatre véhicules et d’y faire entrer les lanières de tissus. Tony sortit parla suite une bouteille de vodka et aspergea les tissus…

Une fois fait, il prit une gorgée de la bouteille de vodka qui était aux deux tiers et alluma les quatre bouts de tissus avant de se placer prêt de la porte, la bouteille à la main.

Lorsque le feu atteignit les réservoirs, les voitures explosèrent. Le Phénix entendit les hommes à l’intérieur accourir… Six hommes sortirent… Tony fut heureux qu’ils ne le virent pas et qu’aucun d’entre eux ne soit une de ses cibles.

La gorgée de Vodka qu’il avait dans la bouche, il la cracha sur les hommes tout en tenant son briquet devant sa bouche, cachant du feu sur les six hommes qui commencèrent à enflammer… leurs vêtements et leurs cheveux, Tony reprit une seconde gorgée et souffla à nouveau avant de glisser le dernier bout de tissus dans la bouteille la brassant pour bien imbiber le tissus qu’il alluma et jeta sur les six hommes toujours occupés avec leurs vêtements et chevelures en flammes.

Le bruit de bouteille brisée… les cris des six hommes, qui sortirent leurs armes et commencèrent à tirer à l’aveuglette, blessant et tuant leurs compères, attirèrent les quatre derniers gardes du corps. Deux d’entre eux reçurent un projectile d’un des six hommes, l’un reçu le coup dans la jambe l’autre directement dans un poumon.

Le Phénix sortit de la cachette dans laquelle il s’était mit après avec lancé la bouteille et fit feu sur les quatre hommes, il visa les deux qui n’étaient pas blessés, il en toucha un à la tête alors que l’autre reçut la balle dans l’épaule.

L’homme qui avait seulement été touché à la jambe tira sur le Phénix et l’atteint deux fois dans le bras et l’épaule gauche avant qu’il ne lui loge une balle en plein cœur. Tony prit une seconde arme de sa main gauche et tira au hasard son vraiment viser trois des six hommes encore debout, il en atteint un au tibia, un autre à la cuisse et le troisième entre les deux jambes, ce qui le fit hurler et attira l’attention de ses collègues sur lui et laissa le temps au Phénix pour tuer deux des quatre hommes restant encore en vie… Il se prit encore deux autres balles… une dans le ventre et deux dans la jambe droite…

Il grogna et vida totalement ses chargeurs sur les deux hommes restants.

Il rechargea ses armes et entre dans le repaire… il trouva les quatre hommes seuls… qui furent très surprit de le voir… Deux d’entre eux furent assez stupide pour se lever et sortirent leurs armes, Tony les tira avant qu’ils n’aient pu pleinement sortir leurs pistolets.

- Je vous conseil de vous défaire de vos armes… dit le Phénix en tenant enjoue les deux hommes.

Les hommes suivirent les instructions de Tony qui leur fit un sourire, lorsqu’ils poussèrent leurs armes dans sa direction.

- Bien… maintenant, nous pouvons discuter… dit le Phénix en s’assoyant à une distance raisonnable des deux hommes. Je représente quelques personnes mécontentes de vous voir venir s’installer sur leurs territoires et mon charger de vous éliminez… Mais je pense qui vous avez compris le message… Alors, je vais vous laisser la vie sauf…enfin… si vous dégagez ET que vous me rendiez un petit service…

- Qu’est-ce que vous voulez…? Et pour quoi travaillez-vous exactement ? demanda l’un des deux hommes.

- Nous ne sommes pas les têtes dirigeantes… poursuivit le second.

- Je le sais…que vous n’êtes que des deux de pique… mais votre mort sera un bon avertissement… alors… je vous laisse le choix… vous effectuez un petit travail… vous restez en vie et vous vous poussez… ou vous mourrez simplement…

- Qu’est-ce que sera ce… petit travail…? demanda le premier homme.

Le Phénix sourit aux deux hommes et leur donna une adresse et leur expliqua ce qu’il devait faire. Les deux hommes devinrent vert… mais acceptèrent tout de même… et se mirent réellement à craindre cet homme qui était devant eux, ils apprirent se soir là que le Phénix peut être magnanime, mais il ne vaut mieux pas s’attirer sa colère et les foudres de sa vengeance.

Tony se leva et se dirigea vers la sortit laissant les deux hommes paralysés par les paroles du Phénix qui se tourna vers eux avant de sortir.

- N’oubliez pas… c’est se soir qu’il faut que vous fassiez ce petit travail… dit-il avant de quitter le repaire.

Tony regarda sa montre… 2h du matin… il se dirigea vers le repaire The Cat… il allait attendre que Désiré termine. Il se rendit à pied… pour ne pas attirer trop l’attention avec ses blessures… au bout de quarante minutes, le Phénix sortit une seconde épipen et s’injecta une seconde dose de Sang du Phénix, encore dix minutes plus tard, il arriva enfin près du repaire The Cat. Il alla dans un coin à l’écart, loin des regards, mais tout en ayant une bonne vue sur le repaire.

En attendant que la Perle ne finisse, il sortit une petite trousse et sa deuxième bouteille de vodka. Il se débarrassa de son manteau, prit une paire de pince et alla extirper les balles qu’on lui avait tiré, en buvant un peu de vodka, désinfectant et pansant ses plaies. La seule balle qu’il ne put sortir fut la balle qu’il avait dans le ventre… il devra attendre les services du Doc…


Après un moment, il prit son cellulaire et logea un appel.

- Inspecteur Lindsay, s'il vous plait, demanda-t-il avant de poursuive une fois que l'inspecteur répondit. C'est Tony, je veux que tu envois des hommes de confiance à l'adresse que je vais te donner... il y aura trois hommes et l'un d'entre eux sera la victime d'un crime... je veux qu'il reste en vie... mais que les deux autres qui seront armés meurt... par juste blessés... je les veux mort... je vais te les décrire, le premier est petit et trapu, dans la trentaine, crane rasé, il est habilé chiquement de cuir noir, alors que l'autre a dans la vingtaine, coup longueil cheveux teint vert... habillé de manière débraillé... expliqua Tony. Tu as comprit, je les veux mort avant qu'ils ne parlent...

Il racrocha un sourire sadique se dessinant sur son visage...
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Suite au repaire des Corbeaux Noirs... après le contract de Désiré