La cité Blanche

La cité apparaissait devant leurs regards. Cinq hommes se dirigeaient vers la ville. L'un des hommes étaient svelte, les cheveux grisonnants, presque blancs conduisait une charette tiré par deux cheveaux de bonne qualité. Les quatres autres hommes étaient plus robustes et plus jeunes. Ils marchaient à côté de la charette, bavardant entre eux. Ils portaient tous une épée à leur flanc qui n'était pas dissimulé.

Les hommes continuèrent leur chemin jusqu'aux portes de la cité.

Le visage impassibles des gardes ne changea pas à la venue de ce qui semblait une troupe de marchand...

Toujours en position de garde, ils levèrent leurs lances pour barrer la route aux marchands. L'un des deux gardes demanda d'une voix dure:

- Quels sont vos motifs d'intrusion dans la sainte cité Blanche? Soyez francs messieurs...Veuillez vous identifié...

Insista sa voix plus accueillante que plus tôt alors que ses compagnons observaient la scène du haut de leurs tours.

L'homme à la chevelure grisonnante salua les gardes avant de prendre la parole.

- Bonjour messires, nous ne sommes que des marchands itinérants qui parcourt le monde pour acheter et revendre des bijoux d'un peu partout du monde.

L'homme avait parlé d'une voix claire et vibrante qui faisait voyage une puissance de caractère et de vécue dans sa voix.

- Nous demandons le doit d'entrer dans la cité pour n'y passer que la nuit. Seulement le temps de vendre quelques articles et surement en acheter de se royaume pour les revendre ailleurs et augmenter la réputation de votre cité pour leur magnifiques bijoux, dit-il avant la même voix avant d'ajouter. Jetez un oeil sur la marchandise si vous le voulez.

L'homme se retourna pour prendre un petit coffre et le poser sur ses genoux avant de l'ouvrit pour le montrer aux gardes. À l'intérieur, il y avait un collier fait d'or blanc et d'une centaines de petits rubis brillant de mille feux.

- Ceci est un des plus beaux bijoux de l'occident... nous l'avons acquis il y a peu... dit-il avant de refermer le coffre. Enfin, nous en avons de tous les genres et pour tous les bourses.

Lorsque l'un des gardes s'approcha pour vérifier la charette, l'un d'es hommes s'approcha et monta à l'intérieur avant de sortir un trousseau de clé et déverrouiller quatre des six coffres dévoilant aux regards du garde une multitude de bijoux de toutes sortes et pour tous les goûts avant de les refermer et d'ouvrir les deux derniers qui n'étaient pas verrouiller et contenait les vêtements pour les cinq hommes et de la nourriture dans des sacs rien d'autre d'apparant.

Pendant ce temps, le conducteur de la charettre sourit au garde qui était ébahit par le collier.

- Et bien, merci de l'information messire... dit-il avant de fouiller dans ses poches et d'y sortir une bague très simple en argent et sur laquelle il y avait un magnifique travail de ciselage d'arabesque et il la lança au garde. Pour le renseignement qui vaut amplement cette bague en comparaison à ce que nous pouvons avoir pour cette pièce magnifique.

Les marchands saluèrent les gardes et entrèrent dans la cité vivant. Ils firent un bout avant de pouvoir s'installer sur une place de marcher après avoir payer un certain montant à un intendant et sa garde.

Ils montèrent leur étalage pour présenter leurs pièces misent en vente, mais ils n'exposèrent pas leur plus beaux bijoux et ne les sortaient que sur demande.

Trois des jeunes hommes s'occupèrent du stand pour vendre et ils sont au aboit pour le moindre petit voleur qui voudrait s'essayer.

Le vieil homme prit un sac sous son banc de la charette et quitta le stand avec le dernier jeune homme en disant autres qu'ils allaient chercher quelques oeuvres de la place. Ils firent un peu le tour, se promenant partout, mais si on avait porté attention... très attention... on aurait put remarquer que le jeune homme se promenait maintenant seul et que son compagnon avait disparut.

Un jeune demi-drow, armé de deux épées usées et d une armure de cuir, faisait sont chemin vers la citée blanches depuis maintenant deux semaines. Les vêtements rendu sales par le trajets, celui-ci commencait a avoir platement hâte d'arriver aux portes...

Le demi-drow, du nom de Aegnor, avait decidé de répondre a l'appel de renfort envoyé par la citée...plus par interêt de se mêler a la guerre que pour un dieu quelqu onque en lequel il ne se cassait pas la tête a croire ou non. Le plus important pour lui etait de trouver une solution pour empêcher son âme torturée de réfléchir, et la guerre était une solution facile; quand l adrénaline et l'instinc de survie se manifestait, son âme n'avait plus qu'a se consacrer a un seul but simple: survivre un moment de plus...

La vue de sa peau noire ébène lui rappelait qu'entrer en ville ne risquait pas d'être aussi facile.Avec sa chevelure blanche en plus, Aegnor pourrait facilement passer un un drow pur, ce qui ne risquerait pas de donner a quiquonque la moindre envie de se montrer acceuillant a son égard.

Il etait maintenant près de l'entrée de la citée...
Resterais a voir si les gardes allaient se vouloir un problème de taille ou non...

Aegnor se rappela que l espoir faisait vivre mais n'apportai rien en soi. Devant l atitude rendue comune a son egard du garde, il aplaudissa sans expression...

-C est donc votre intention de chasser un des guerrier d ont votre citée a elle-même demander l aide?... De plus, vous croyez vraiment qu un drow pur se promènerait ainsi sous le soleil en plein jour devant vous,seul??

Le guerrier pris un air plus agressif...

-Dites-moi donc ou je puis aller me joindre au guerrier, plûtot que d avoir a parler a de simples gardes...je suis pressé

Le guerrier entra donc en ville, déja furieux contre lui-même pour son comportement récent. Perdre son calme devant une cité emplie de gardes n'étais pas la chose la plus sage a faire. Enfin, au moins il etais entrer sain et saufs, pour le moment...

Entre les murs, le demi-race chercha sourtout a voir si il y avait moyen de se mellé a la foule ; mais considérant le fait que la majoritée de la peuplade etais humaine, cela s'avérait plutot impossible pour lui. Aegnor se forca donc a ignorer les regards mauvais que les gens lui lancait...

Il se perdit dans la ville un bout de temps, sourtout que demander son chemin étais hors de question( autant par orgueil, autant le guerrier se disait que certains prendrait plaisir a le perdre plus). Tentant de se calmer un brin, il relaxa quelques instants en regardant une danse executée par un femme semblant venir d'Orient. Il reparti de nouveau quand il fut ecoeurer de se sentir plus regarder qu'elle par quelque gens autour. Comme il damnait sa nature de demi-drow, qui n'avait su que lui amener problèmes après problèmes...

Enfin, il arriva la ou il devait se rendre, question de se joindre a cette fameuse guerre. Aegnor se presenta au scribe en se demandant ce qui l'attendrait ensuite...

Les prêtres de la cité étaient méfiants face au demi-drow et disaient sans cesse en le croisant:

- Hors de ma vue créature du démon!!

Un stand était particulièrement visible par la grande bannière des Mortis. Un homme d'une stature de géant était debout au côté de scribe, les bras croisés sur son buste il commandait aux nouveaux guerriers de se joindre avec les autres, un jeune homme encore incertain du choix qu'il venait de faire se plaça dans la foule de miliciens à qui ont remetaient leurs armures. Elles étaient de couleur sombre et très résistantes, toutes identiques pour celles des miliciens, elles comportaient des épaulières, un plastron solide, des jambières, des brassards, un casque avec une visière rétractable incrustré de gravures fines...

Les futurs miliciens semblaient nerveux et se plaçaient en silence devant l'homme qui remettait les pièces d'armures et ordonnait ensuite d'une voix dure et ferme de rallier la troupe de combattants déjà armurés et anciens dans la milice.

Le général à la stature impressionnante fixa un regard dur et froid sur le demi-drow qui s'approchait pour apparament rejoindre les rangs...Il était septique face à ces individus de race sombre c'est pourquoi il lui rendait ce regard perplexe. Le général de la milice d'Artémise était un guerrier fort et bien battit qui n'avait pas peur d'affronter les pires bêtes de combat! Il avait un visage et une expression endurcit par le mal de tuer, un visage carré portant une cicatrice au sourcil gauche, lui encochant celui-ci. Il avait des yeux durs et gris, un nez prédominant, de hautes pommettes, un large front, un cou de taureau et arborait une chevelure et une barbe brune foncé aux reflets roux...Il était vétut d'une armure de cuir noir et portait une tunique bourgogne en dessous, des brassards en cuir bien travaillés, des bottes du même matériaux lui montant jusqu'au genoux...Drak avait fière allure et il le savait, c'est pourquoi il avait l'air légèrement hautain et supérieur.

Lorsque le demi-drow s'avança vers la table de recrutement, il resta interdit, ce demi-race semblait vouloir se joindre à sa milice, il apporta une main à sa barbe en le reluquant avec détails, il semblait avoir parccourut une bonne distance pour venir jusqu'ici et il trouva cela bien courageux d'entrer dans cette cité où il serait inévitablement percécuter! C'est pourquoi il décida de savoir ces buts...

- Bienvenue au recrutement milicien....Puis-je savoir vos motifs d'inscription à la milice d'Artémise? Si vous osez vous présenter ici c'est que vous êtes assurément pour les humains et contre ses demi-races n'est-ce pas? Inutile de nous mentir mon cher j'ai ici une cinquantaine d'hommes qui n'hésiteront pas à mettre fin à votre vie si vous montrez la moindre formes d'hostilités envers notre Seigneur et nous par le même fait...

Demanda-t-il afin d'être sûr que ses intentions étaient pures, il resta là à l'observer alors que le scribe avait relever sa tête pour le regarder d'une manière étrange et dédaigneuse...Drak commença à réfléchir à la situation et pensa que si des demi-races joinaient ainsi les rangs, ils pourraient aisément infiltrer la milice de Xar'minos mais seraient sans conteste pour Artémise...Il eut un sourire malicieux et décida d'aller voir son seigneur après qu'il ai été sur que ses intentions pour entrer dans sa milice étaient honnêtes et dignes d'être prit en considération, il songea qu'un demi-race devait avoir une forte haine inétrieure vut qu'ils sont percécuter et insulter, il se dit qu'il avait surement le potentiel d'une machine de guerre lorsqu'il était en colère! Il se dit que ça serait une bonne affaire de présenter son plan au roi...

La haine pris forme sur le visage du guerrier, tel un démon sortant des enfers apres des millénaires d'attente

-Mes motifs? Faire couler le sang! Prouver que ma peau sombre ne fait pas de moi quelqu'un comme eux. Me venger de toute cette...

Aegnor s'arrêta, conscient d'être en train de le laisser emporter; déja sa vision se teintait du rouge caractéristique qui lui signifait qu'il perdait controle de lui-même. Il se forca a garder son plus grand calme, et sourtout, il se concentra pour éviter que sa voix tremble tellement son sang bouillait. Il se mit a réfléchir rapidement, si il voulait s'en sortir, il avait intêret a miser plus sur son sens de la loyauté que sur sa haine immense. Le demi-race pris une profonde inspiration, puis regarda le colosse nommé Drak droit dans les yeux.

-Peu importe! Je suis venu me présenter de ma pleine volontée avec l'intention de prendre le coté humain dans cette future guerre. Je puis comprendre que vous doutiez de ma loyautée ainsi que de ma volontée a vous aider, puisque vous ne me connaissez pas. Mais soyez sur d'une chose, Mon Sieur, c'est que je n'ai qu'une parole, et que je combattrai jusqu'en enfer pour qu'elle reste intacte.

Aegnor fit une révérence

-Il n'en tiens qu'a vous de savoir se que vous en faites...

En son fort inérieur, Aegnor soupirait plaintivement. Il devait passer bon un espèce d'imbecile en ce moment.Devant le regard dur de Drak, Il se sentait maintenant intimidé un brin. Enfin, reculer n'aura jamais été la facon de faire du guerrier, et il n'allait pas commencer maintenant. Le demi-race prit la plume et se pencha, histoire de signer...

-Ainsi soit-il...

Le colosse avait fait allusion au fait que le seigneur deciderait de son sort; Aegnor se demandait en son fort intérieurdans quoi il s'embarquait. Il pris la résolution de ne pas baisser sa garde pour les prochains jours, juste au cas ou le 'seigneur' deciderait qu'il ne voullait pas de demi-race dans son armée humaine. Une fois le contrat signé, il pris les pièces d'armure et se mit en ligne comme les autres...

Le jeune Demi-drow fut surpris de se faire arreter ainsi dans son action...et encore plus de savoir qu'il allait voir directement le seigneur. La théorie d'une execution en règle commencait naître dans l'esprit du jeune Aegnor. Tant qu'a ca il aurait préféré combattre au portes de la citée. Il chassa vite ces mauvaise pensées devant la vision de la monture qu'on lui prêtait pour l'occasion. La bête n'avait pas l'apparence noble du cheval de Drak, mais c'est justement ce qui fit que le demi-race la trouvait au fond magnifique.

Le guerrier n'avait pas chevaucher depuis un sacré bout de temps, et une fois ou deux seulement. Enfin, il sauta en selle comme il pus, et tenta de suivre le vétéran. Un malin sourire se dessina sur ses lèvres alors qu'une sensation de libertée s'empara de lui, bien que ce ne fut que pour un instant. Aegnor ne put s'empêcher d'envier le fait que la populasse se poussait de la route de Drak; comme il devait se sentir puissant et respecter comme il est...

-Un jour, moi aussi...

Le guerrier cessa ces pensée, ils arrivaient maintenant a destination...

Le vieil homme était retourné à la cité blanche sans aucun problème et il alla retrouver ses quatre autres compagnons qui avaient vendu déjà plus de la moitié de tous les bijoux qu'ils avaient amené avec eux.

Ils restèrent le temps de finir de liquider tout leur stock. Lorsque se fut fait, l'un des plus jeune alla vendre la charette et revint avec trois autres chevaux sellés.

Le soleil était entrains de se coucher lorsqu'ils montèrent en selle. Capuche rabattut ils se dirigèrent vers les portes de la ville à grande vitesse le claquement des sabots de leur monture sur la route avertissait les passants de se dégager. Certains purent voir que les hommes portaient tous un masque blanc, sauf le premier qui était noir.

Ils profitèrent que les portes était ouverte pour laissé entrer des voyageurs pour quitter la cité. Lorsqu'ils passèrent les portes, ils se débarrassèrent de leur survêtement dévoilant l'habillement typiques des ANBU.

Une fois les portes passées, ils accélèrent leur cadence, ils devaient arrivé le plus tôt possible pour livrer la nouvelle sans se préoccuper de plus de discrètion maintenant.