Le Terrain

C’est un immense terrain plat centrale ou se regroupe les légionnaires lors des entraînement de discipline et de regroupement durant les campagnes.
Il regroupe au tour de lui caserne, caserne des archers, les écuries, la forge privé de l’armée, un entrepôt et il rejoint les cuisines militaires situer a l’intérieur du château. Ce terrain est garder dans des conditions exposé au élément qui impose leur force impitoyable, en particulier le puissant soleil qui éclaire se lieu durant 10h de la journée. La terre y est sèche et craquelé recouverte de poussière.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Pendant se temps sur le terrain, l’ombre noir du seigneur Soubraxiu se portait sur le visage d’une dizaine de rangé, le soleil se levant derrière lui par dessus les crêtes géante de la cordillère de Born, attendant le rassemblement général.

Ce fut alors que deux gardes royales charger de la protection de l’entrer du château et du registre ainsi que du contrôle des portes de la salle du trône arrivèrent. Ils se présentèrent a Karia avec allégeance et semblèrent lui confier l’arriver d’une personne qui semblait être en urgence selon les dire du Registre de le rencontré.

Le seigneur, qui attendait impatiemment l’arriver de Désiré et du reste de sa légion, se déplaçait de gauche à droite soulevant un amas de poussière sous chacun de ses pas. Il s’occupait les mains à tenir le pommeau de sa longue épée qui bandouillait de sa ceinture d’épais cuir noir, à ses hanches. Son armure était propre et luisante, un signe pour ses hommes habitués qu’il allait quitter l’enceinte du château avec quelque malheureux élus en formation. Le silence semblait régner dans la discipline qu’il voyait des légions 70 et 66 ce qui lui déplus grandement de ne pouvoir réprimander un seul milicien. Se ne serait probablement pas le cas de la pauvre Désiré et de ses troupes! Qui était en retard! Bien que démontrant un énervement marqué dans ses faits et geste, le chevalier noir qui se vit aborder de deux de ses fidèles gardes royaux semblait garder un calme inquiétant comparé à son habituel mauvaise humeur. Si quelqu’un avait à le rencontrer s’était bien sa dernière chance avant qu’il ne parte en expédition!

Il se dirigea donc vers la cafétéria militaire qui donnait accès au château par une autre entré et se dirigea à la salle du trône.
Suite dans la salle du trône.

La capitaine de milice semblait peu à peu prendre plus d'assurance, son allure se faisant plus imposante et s'éfforça de garder une certaine froideur vis à vis les miliciens question de se faire respecter!

La dame prenait donc une posture un peu plus hautaine, elle pouvait bien se le permettre puisqu'elle dirigait enfin sa légion d'hommes obéissants et robustes. Elle était fière d'elle-même, lui donnant un petit sourire discret de confiance.

Pourtant, à la vue du terrain d'entraînement son être sembla se métamorphoser pour devenir de nature beaucoup plus inquiète et insécure que jamais! À l'idée de devenir la risée de tous par son retard, elle craignait le pire surtout venant du monarque.

La gorge serrée, elle guida sa troupe de miliciens jusqu'au terrain d'entraînement et ordonna de former des rangs ce qu'ils firent sans protestation. Ensuite, voulant un peu décompréssée, la hauteur de sa monture lui paraissait énorme et elle voulut en descendre c'est pourquoi elle ordonna au premier milicien qu'elle vit:

- Milicien, aide moi à descendre...

Demanda-t-elle d'une voix si glaciale qu'elle s'en surprit elle-même. L'homme hocha rapidement de la tête et s'installa afin de l'aider à descendre de sa bête.

Cela fait, la jeune femme siffla un merci sec et froid entre son haume après lui avoir dit de regagner les rangs avec les autres.

Désiré secoua un peu ses jambes pour enlever le mal que lui procurait l'armure de métal. Lentement, elle marcha à pas lourds observant les miliciens un à un, respirant de plus en plus vite.

Voulant garder un certain mystère sur sa personne, elle se ravisa alors qu'elle s'en allait enlever son haume. Elle s'efforçait donc de garder une attitude hautaine, imposante et inébranlable! L'ensorceleuse guettait l'arrivée du seigneur avec impatience, observant nerveusement les alentours.

Son retour ne fut pas sans compagnie, à bon train, à l’aide d’une main, il ramena avec lui une dame vêtue de ailons et d’apparence frêle, puis de l’autre, il se cacha quelque instant les yeux du soleil. Il n’avait pas passé par la salle du trône pour se diriger sur le terrain militaire mais par le chemin plus familier de la cafétéria militaire.

Il la mena sur ce terrain aride et plombé maintenant par le soleil et ou trois légions devraient l’attendre. Karia poussa un grognement bien audible pour la plus par des gens. Il décida de relâcher enfin le bras de la dame, redressant toute son lourde échine hérissé de lame recouverte par une cape cramoisi qui lui donnais une apparence toujours aussi monstrueuse voir pire qu’il aurait pu le faire paraître pour la première fois aux yeux de la nouvelle venue. Il hémi un sifflement étrange qui servait à appeler son énorme étalon noir…
Son impatience était démonstrative qu’à l’entendre respirer puissamment entraver son heaume et à sa façon singulière de reposé ses mains sur le pommeau de son épée en la faisant claquer sur sa cuisse de fer.

-…En retard… siffla t-il pour Désiré qu’il venait de surprendre d’arrivé quelque instant avant lui! Il laissa l’inconnu à coter de la belle et s’avança devant les trois légions pour pousser sont commandement de sa puissante voix.
- Aujourd’hui est votre examen extérieur! Nous allons quittez l’enceinte de la cité pour nous diriger en territoire ennemi. Ceci dit malgré les récents événements et l’écrasante victoire qu’eux les demi-races sur les misérables humains qui nous servait de voisin, je vous mets en garde! Rien n’exclu d’attaque potentiel d’une résistance quelconque alors je veux un comportement EXEMPLAIRE! Ceux qui ne seront pas assez fort ou qui seront blessé devront être laissé derrière! Les morts nous sont inutiles! Alors arrangez vous pour ne pas devenir un encombrement au groupe. Me suis-je bien fait COMPRENDRE!!!!!!!!!!!!!

Karia patienta encore un moment attendent la réponse de ses légions. Lorsque son étalon arriva à ses coter, il prit le pommeau de son animal et hissa sa lourde charge de fer sur le dos de son coursier d’ébène puis interpella Désiré.

–Chef de milice Désiré! Aidez notre invité à monter me rejoindre!

Décida t-il de lui confier la besogne question de lui tester les nerfs.

Je m’écoulai sous mon propre poids lorsque mon Seigneur lâcha prise. C’est avec empressement que je recouvris mon dos assiégé de sillons avec ma légère chemise. À genou sur le sol, j’admire les soldats avec curiosité, embarras et hésitation. Je me relève de façon nonchalante et languissante. C’est avec frisson que j’entends la voix grave du seigneur prononcer les mots : « diriger en territoire ennemi ».

(Dans quel pétrin me suis-je empêtré ? Pourquoi allons-nous en territoire ennemi pour un simple examen de soldats ?)

À la suite duquel j’ouvre la bouche béante de surprise. N’ayant jamais quitté les pieds du sol, je me voyais en mauvaise posture. Les bêtes n’ont pas été conçues à la base pour être monté par de simples servants, il m’était donc naturel d’y voir un certain honneur, mais ressentir l’essence du seigneur pendant un voyage complet, d’aussi près, pourrais m’être gênante et inconfortable.

(De plus, j’ai sommeillé… où vais-je dormir ? Cette femme à la boucle érubescente doit m’aider à monter à cheval ? Je dois souhaiter qu’elle soit forte, je dois souhaiter qu’elle ait de l’expérience, car je crains qu’elle doive me supporter presque entièrement vu mon état et qu’elle me dise comment faire pour y parvenir…)

L'arrivée du seigneur ne se fit pas tardée mais son regard se posa inévitablement sur l'intrue qu'il portait à son bras...Qui était-elle? Qu'était-elle face au seigneur? Elle n'était certainement pas très importante vue l'attitude qu'il lui portait...

Ses yeux se plissèrent tout de même de jalousie en la voyant! Elle avait fait tout ce qu'il était possible de faire pour gagner un peu dans l'estime du seigneur et elle n'accepterait certainement pas qu'une simple femme vêtue de vieux aillons prenne sa place du jour au lendemain!

Alors qu'il passa près d'elle et qu'il siffla so retard honteux, elle baissa inévitablement la tête en signe de désolation et de soumission, si mal à l'aise qu'elle aurait eut envie de courrir à toute jambe!

Enfin, la jeune femme prit une grande respiration pour se calmer et l'observa du coin de l'oeil aller vers sa bête qu'il monta prestemment, ne remarquant point la présence de cette étrange femme à ses côtés...

Ce n'est qu'à la suite de son discours qu'elle se sentit visé en entendant son prénom! Elle devait escorter cette femme jusqu'à lui...

Non mais ça n'allait pas bien dans sa tête! Il était hors de question qu'elle s'exécute à avoir un contact avec cette personne qu'elle détestais déjà du simple regard! Il voulait assurément la punir pour son retard!

À nouveau, la capitaine tenta de se calmer et prit une autre grande respiration en tournant machinalement la tête vers l'être qu'elle devait escorté jusqu'à lui...Elle prononça d'un ton fort résigné:

- Bien Mon seigneur...

Plissant les yeux devant la faiblesse évidente de cette femme elle aurait eut envie de la bousculer volontairement mais elle se ravisa en lui tendant avec un certain dédain sa main gantée de métal...

Elle n'allait certainement pas chercher sa main! Elle patientait qu'elle s'exécute avant de commencer sa marche vers l'homme...

C’est avec délicatesse, tout en se relevant avec embarras, qu’une main un peu agitée vient rejoindre celle de la rouquine. C’est avec un regard perçant et interrogateur, que je regarde cette femme à l’armure masculine. Imposante, elle semblait être en contrôle d’elle-même. Effrayante, elle dégageait une certaine férocité.

- Merci, dit-elle d’un ton las et quelque peu mal à l’aise. Vous êtes bien aimable Mademoiselle.

Elle se redressa avec anxiété, étrangère à cette approche chevalière et courtoise. Suivant la cadence de ce flambeau enveloppé de fer avec difficulté, comme sur le point de perdre pas à chaque nouvelle enjambée, une à démarche sinueuse, mais continue, je fît l’aller vers le seigneur accompagné, quelque peu radieuse de se voir enfin apprécié à sa juste valeur, émotion qui provenait surtout de l’intérieur. La surface émanait l’indécision, la réserve et le mal-être.

Dès que la main frêle de la femme fut en contact avec la sienne, la rouquine reserra l'étreinte métalique et froide, sur celle qui venait de se faire piéger, comme on écrase un indésirable...

Le regard pourtant droit devant, fière, froide, inébranlable, impassible elle avançait jusqu'à ce qu'elle daigne abaisser la tête pour lui souffler d'une voix sèche et sans aucune intonation bienveillante:

- Capitaine Mademoiselle! Il ne faut surtout pas prendre un ordre pour de la gentillesse...

Rétorqua t-elle d'une voix faible mais assez autoritaire pour être bien entendue. Elle prit une inspiration sacadée et profonde avant de reprendre plus hargneusement encore:

- Je vous préviens...Cet homme est inatteignable...puisqu'il m'appartient...Tachez de bien vous en souvenir...

Lâcha-t-elle en insistant sur chacun de ses mots prononcés en serrant davantage la main frêle qu'elle tenait dans ses serres féroces...

Le regard persan et déterminé de l'ensorceleuse se fondit droit dans celui de cette misérable, la considérant comme une ennemie à éliminer au plus vite! Elle put percevoir une lueur malicieuse traverser son regard mauve foncé entre la lisière de son haume.

Sa frustration intérieure face à cette nouvelle venue devenait trop intense tant qu'elle aurait voulu lui broyer les os de la main...Mais elle lâcha rapidement lorsqu'elle fut à quelques pas de la monture du seigneur...

Levant maintanant son regard admiratif sur le monarque, elle avança la femme et mit un genou en terre en lui offrant ses mains comme palier à son ascension, elle ne l'aiderait certainement pas plus que ça! Déjà que s'agenouiller était une honte considérable pour elle...

Désiré se contenta de prendre son mal en patience et de respirer un peu plus normalement...

- Milles excuses Capitaine, fit une voix faible et défensive.

Une lueur de gêne et d'horreur vint recourir mon visage.

Étonnée, assiégé, je ne m'attendais guère, après tant de gentillesse, à ce regard hautain et froid. La main foudroyante de mépris, je n'étais point à bout de mes douleurs.

Je dus esquisser un léger faux sourire pour essayer de vaincre cette faiblesse. Quelques larmes ont suffi à trahir ma souffrance. Sachant qu'il était préférable de ne point répondre, je me tusse. Chaque mot que je pourrais prononcer gonflerait avidement l'infortune de la présente situation.

Je conclus donc que c'est à contrecœur que cet ignoble individu feignait la courtoisie. J'eus alors un moment d'hésitation pour escalader la boîte de conserve flamboyante, de peur de m'y blesser.

N'ayant peu de choix, je m'accrochai à tout ce qui me parut solide pour supporter mon poids. C'est de manière piteuse dont je parvins à cette aride tâche. La tête basse, l'inconfort dans les yeux, je m'assis sur le cheval du Seigneur comme assigner.

- Milles merci, Capitaine.

Karia ne pris pas attention particulière sur le comportement de Désiré envers son invité spécial puisque pour sa propre par de conscience, il la conduisait à une mort certaine.

Il n’était pas enclin à croire au voyante du futur et même, s’il advenait qu’elle est prédit la vérité, il ne s’aurait l’accepté. C’était impossible! Pourquoi craindre de perdre un pari tel que celui-ci puisqu’il était persuadé de le gagniez au la main!

Il s’en réjouissait déjà de quelque ricanement lorsque miss Beviro commença à escalader l’escalier de Désiré puis la scelle. De ses serres, il lui prit la taille en se penchant et l’aida également à s’installer devant lui. Le bassin collé l’un contre l’autre se mire à s’entre choquer lorsqu’il fit déplacer sa bête légèrement qui elle ne fit pas attention à bousculer Désiré au passage.

-Remonté donc en scelle Capitaine! Nous partons de se pas! Je vous laisse amorcer la marche de votre milice. Ha haha.

Ricana t-il méchamment comme si la tâche qui lui confiait pouvait d’un moment à l’autre dégénérer et la tourner au ridicule!
Pour se qui était de miss Beviro, il se conduisit de façon prudente envers elle. S’assurant avec sa prise des reines qu’il ne la blesserait pas de ses avant bras couvert de lames renversés et ne lui abandonnerai aucun précipice où tomber de sa monture en cas de problème. Cronos était un étalon fougueux et parfois imprévisible, il fallait imaginer toute les éventualités qui pourrait énerver cette puissance de la nature.

Plus en s’éloignant vers le sud de la citée et passant les grandes portes qui bloque accès à la section nord, il se mit à vouloir en savoir un peu plus sur cette personne. Question de bien analyser pour lui-même la façon la plus cruelle possible de la détruire le temps voulu où s’en protéger de la meilleur façon possible. Car avec ses sorcières, il n’était jamais assez prudent et la dernière fois qu’il en sous estima une, elle avait réussi a entrer par infraction dans sa chambre par un moyen qui l’angoissait encore profondément.
Il tenta donc mal à droitement d'introduire une conversation.
-Dite moi miss Beviro, craigniez-vous les chevaux? Voyager sans leur support me semble bien dérisoire. Je crois bien avoir compris que vous veniez de loin, parlez moi de cette endroit.

Mal à l'aise de la situation :

- Milles merci, Seigneur.

Maintenant quelque peu troublé par cette question, mais rassurer par cette dimension plutôt humaine qu'elle évoque, il était le moment de peut-être faire changer le Seigneur d'avis sur son voyage de plaisance.

- Sous votre respect, Monseigneur, je n'ai pas l'habitude du voyage à cheval. De plus, vous me voyez ravis que vous vous intéressiez sur ma provenance, mon Seigneur, mais si vous me permettez, il serait beaucoup plus important de parler d'avenir, d'avenir proche Monseigneur.

Je fis une trêve brève de paroles pour esquisser un léger sourire peu convaincant, démontrant quelque peu de préoccupation sur ce voyage. C'est avec un léger regard sur son épaule, rotation du cou lent, espérant qu'il aperçoive mes bonnes intentions dans mon regard sincèrement faux, un masque sur un mal-être fatigué. De retour à ma position originale, le sourire disparaît pour laisser place à un peu plus de sérieux. Je me devais tout de même à ne pas le décevoir, mais il fallais tout de même que je le persuade de ne pas entreprendre un voyage aussi dangereux. Il m'était possible d'insister auparavant, mais beaucoup plus facile présentement pour la discussion.

- Je vous aie signalé un danger dans votre futur voyage mon Seigneur. Bien que voulez preuve de mes dons, serait-ce plus sage d'éviter ce genre de situation ? Car le danger vous concernais, vous, mon Seigneur. Il serait alors beaucoup plus prudent de prendre des précautions ou d'envisager un nouveau départ plus tardif ?

Je devais maintenant m'attendre à un comportement aléatoire. Préparés aux coups et aux pires, mes yeux témoignent un peu de terreur à la suite de ces mots. Le corps lent, endormie, je me recroqueville légèrement.
(Je réalise ce que je dis qu'après avoir fait.. Miséricorde ! Va-t-il me frapper ? Va-t-il me jeter du cheval ? Que va-t-il faire ?)

Alors qu'elle avait exécuté l'ordre du monarque sans le moindre ronchonement audibles, la capitaine releva la tête vers le seigneur, ne s'attendant clairement pas à ce qu'il ne la remerci point pour son action! Mais non, au lieu de ce geste de politesse, il fit avancer sa bête sans aucun soumis de ne pas l'écraser!

L'ensorceleuse était bleue de rage intérieurement, accoutrée comme elle était, l'enjambée monstre de sa monture réussit à la déstabiliser, elle évita de justesse de tomber au sol en se rattrappant de ses serres métalliques...

Son regard de vengeance se posa sur l'homme alors qu'elle halletait de rage, elle souffla à voix basse et résignée mais les dents serrées par le feu bouillant qu'il avait éveillé en elle:

- À vos ordres... Monseigneur!

Avec efforts, la jeune femme se releva et marcha vers sa monture en criant à un milicien de s'approcher pour l'aider à son tour à monter son destrier.

Maintenant confortablement assise sur son cheval, la hauteur de celui-ci lui procura une certaine confiance mais surtout une fierté et une autorité qu'elle n'avait surtout pas lorsqu'elle se trouvait à proximité de Soubraxiu!

Sachant qu'elle devait alors démarée la marche avec sa milice, elle prit une grande respiration et aec haine au coeur et rage au ventre elle command dune voix dure et rauque:

- LÉGION 69, EN AVANT MARCHE ET QUE CA SAUTE BANDE DE FÉNÉANTS DE MES DEUX!!!

Insulta-t-elle ses miliciens en tentant de prouver qu'elle avait plus de caractère que ce monarque ou en tout cas qu'elle en possédait vraiment! Si on ne peut pas appeller ça un caractère explosif être ainsi jalouse à la moindre nouvelle femme s'approchant de son homme...c'est plutôt dire qu'elle était possésive maladive et surtout mais surtout un peu dérrangée!

Mais, ça elle ne se l'avouerait jamais!

C'est ainsi que ses miliciens emboîtèrent le pas en guidant les autres légions avec en tête, la flamboyante Capitaine de milice qui lança un regard provocateur au monarque lorsque ses miliciens lui obéirent au doigt et à l'oeil...

Elle était même fière d'elle! La tête droite devant, le buste fierement relevé, se laissant balancé par les enjambées de sa monture géante, elle se faisait de plus en plu confiance!

Bien des fois, elle faiblit à l'envie de tourner un subtil regard vers le légendaire et sa nouvelle invitée...les guettant malgré elle...profondément insécure sur ce qui pourrait bien se passer entre ses deux là!

Le souffle de Cronos se mettait maintenant a gronder régulièrement depuis que le bataillons de légions avait pris route. Karia avait pris quelque seconde pour regarder le déroulement des choses avec la légion 69 et apparemment les légionnaires se comportaient de façon impeccable sûrement du a sa présence! Lorsque le seigneur de guerre donnait des instructions généralement, il n’y avait aucun problème.
Lorsque Désiré arriva à porter de voix, le monarque repris son trot et déclara d’un rire remplis d’orgueil envers la belle.

- Heureusement, que c’est légionnaire on eux un bon professeur avant ton arriver quel gâchis cela aurai pu être! J’espère que la capitaine à songer à un entraînement une fois que nous serons arrivés. Après tout c'est le travail que j’attends d’une personne occupant se poste! Hé hé hé.

Il écouta plus après la réponse que lui confia Beviro, qui ne su le satisfaire de toute évidence. Il le fit bien comprendre aussitôt, s’il y avait quelque chose que Karia avait en horreur était de se répéter pour obtenir ce qu’il désirait.

- Je crois surtout que l’on ne s’est pas bien compris mademoiselle. Celui qui décide et qui peut juger de l’importance d’une discutions c’est moi… et moi seul! Et je vous ai déjà dit! Je crois que je ne croyais pas en ses balivernes. Et je ne veux pas être prié d’éviter les dangers mais de pouvoir les affrontés! Je n’ai pas bravé la colère des hommes pour courir me cacher dernière les murs de ma citée pour la seule et unique raison que madame entreverrait un futur assombri pour moi. Sachez-le déjà, sur c’est terre, il n’y a rien de pire ou plus féroce et dangereux que moi! Je ne recule devant rien!
Admit-il sans trop tenir compte qu’il reculait bien devant la douceur d’une femme! Puis après une certaines attente pour le simple plaisir de lui couper la parole si l’idée de s’excusé venait se présenter, il reprit aussitôt.

- Je veux savoir tout ce que vous me cacher sur votre provenance miss Beviro ne me forcé pas à vous tordre un bras, mes menaces ne son jamais lancé sans la promesse de les tenir! Alors parler!
Rugit-il en final bien assez fort pour parvenir à des oreilles d’indiscret.

Le Phénix avait suivit sa légion assigné... il c'était débarrassé discrètement et rapidement de l'équipement qu'on lui avait donné juste avant son départ de la caserne.

Lorsqu'il se retrouva sur le terrain, il resta impassible regardant attentivement devant lui, écoutant attentivement le moindre petit son qu'il pouvait capté... Son esprit enregistra tout... reflex... Il ne se préoccupait pas des miliciens qui l'entourait... il était très alaise au centre de cette armée qui si elle apprenait la vraie raison de sa présence ce jeterait sur lui pour mettre fin à ses jours... Ce n'était pas stressant pour le Phénix... Sa vie était remplit de moment de se genre et avec le temps, il ne stressait plus avec ça... Il n'avait pas peur de la mort et l'accueillerait avec plaisir même... c'était son coté un peu suicidaire qui faisait de lui l'un des meilleurs assassins...

Son regard se posa sur sa cible... Le Phénix soupira intérieurement en voyant l'homme... Il avait entendu parlé de sa cible alors qu'il était en route pour ici... mais ce n'était pas semblable lorsque l'on posait son regard sur lui...

L'assassin ne peut s'empêcher de sourire... C'était une cible de choix... Très difficile et il allait même y laisser la vie... ce qui lui importait peu... mais il allait adorer arriver à mettre la main sur cette proie qu'il venait totalement de faire sienne... Karia semblait dégager à ses yeux une aura de puissance qui excitait ses sens.. Il n'avait que ressentit rarement cette sensation et presque seulement qu'avec les Grands Maîtres de la Guilde.

Instinctivement ses mains se rapprochèrent de ses armes... Il aimerait tellement passer à l'action maintenant... Dégaignez et s'élancé dans une valse mortelle... semant la mort de ses lames en tranchant les gorges... poignardant vicieusement pour tuer... Mais ce n'était pas le moment... loin de là... Il pourrait facilement tuer de très nombreux miliciens avant de se faire avoir... mais il ne pourrait jamais atteindre sa cible... Les miliciens n'étaient pas encore assez entrainé pour être une réel menace... Il a commencé à apprendre à se défendre en se battant à une dizaine contre lui... Il a souvent été laissé pour mort après s'être fait battre longuement... mais avec le temps... lorsqu'il se fit prendre sous l'aile de Drake dans la guilde d'assassion, il a pefectionné ses techniques et peut aisément faire face à un très grand nombre d'adversaire... Il était l'un des meilleur, sinon le meilleur assassin de la guilde en excluant les Grands Maîtres... Sa seule faiblesse réelle était si on utilisait la magie contre lui... Il n'avait aucune défense contre ca...

Le phénix effaça rapidement le petit sourire qu'il avait sur les lèvres et observa à nouveau son capitaine... Jusqu'à maintenant, il ne pouvait rien dire sur elle... Il ne sentait pas cette aura de puissance autour d'elle... Il allait devoir attendre de voir ce qu'elle avait dans le ventre... Mais il restera sur ses gardes... si elle est capitaine ce n'est probablement pas pour ses beaux yeux... ou autres attributs...

Rapidement il reprit sa marche comme toute la légion lorsque le capitaine l'ordonna... Il avait maintenant hate de commencer et de se battre... L'excitation à l'idée de tuer sa proie lui donnait une puissante envie de se battre...

Vivement qu'il puisse dégainer et enfin pouvoir danser avec la mort...

- Mes ex.....

Sa voix gronda, réclamant le silence.

(Je crois que je commence à me répétailler. Je perds de ma crédibilité, il devance mes excuses. Je me dois d'agir rapidement. Je ne suis pas chaude à l'idée de gerber mon passé à un total inconnu. De plus, il me faillait lui dire quelque chose au risque qu'il me fasse mal physiquement. Quel monstre ignoble, ne voit-il pas les démons qu'il appelle à renaître de leurs cendres ? Je ne suis pas prête à revivre cette expérience à nouveau. Je dois tout de même rendre sa curiosité à satiété.)

Froide et anxieuse :

- Bien, Monseigneur, je proviens de la région de Val-Des-Graminées, dans un domaine reculé des villes et villages d'où le nom m'échappe, mais j'ai passé la majeure partie de ma vie au service du Baron Du Vreil à son lieu de résidence, le patrimoine Lasalle, un complexe constitué de trois résidences et d'une bicoque pour les employées. Un heureux héritage je suppose. J'espère avoir satisfait votre curiosité, Monseigneur, puisqu’'il s'agit là, du peu que je puisse partager.

Je regrettais quelque peu ce ton, qui frôlait l'impolitesse, mais mon hôte ne s'en couvrait point. L'absence de tout ce dont j'avais rêvé en lui commençait à m'inspirer colère et affrontement. La cause en étais probablement la fatigue que j'éprouvais qui se faisais sentir physiquement. Mes paupières étaient lourdes et je me surpris un relâchement à être droite. Lentement, je m'étais légèrement vautré sur le Seigneur. C'est avec hâte que je me remis à une posture exemplaire, des plus gauches.

De nouveau à l’écoute des confidences qu’il parvenait enfin à lui arracher, Karia se plu de cet impatience qu’il avait fait preuve envers elle, Car il le savait très bien que se n’était pas le moment idéal pour le faire, mais ces renseignements lui seront vitaux, il en était sur un jour ou l’autre. Il se contenta de ricaner silencieusement, faisant résonner sa carcasse de fer s’entent à peine la petite personne qui se trouvait épuisé contre lui durant un moment.

- Voila mieux en effet. Vous verrez que l’obéissance et la soumission sont de sage conseillères en ma présence miss Beviro… Souffla t-il d’un ton supérieur a tout et d’une noirceur pesante.
Ils se dirigèrent maintenant tous, vers l’extérieur de la cité, faisant écarter de devant leur chemin tout les citoyens qui leur cédèrent le passage par terreur et à la fois par admiration. La plus par ignorant même la couleur du visage de leur monarque ou encore le son de sa voix d’outre tombe. La majorité de la population réfugier dans le ventre de Xar’minos ne connaissait de leur seigneur que des commérages, des affiches de recherche et de la terreur des hommes.
Tous ils se rendirent en terre ennemie…

(Rendez vous dans la section aventure: L'embuscade, pour la suite de l’histoire. Tous ceux en cœur de faire leur role play du moment gêner vous pas! )

C'est la frustration qui emplissait mon regard à ces paroles désinvoltes. La façon qu'il agissait, parlait, respirait... le monarque, il allait à l'encontre même de tous mes principes. Si seulement il y avait moyen de parler sans risquer sa tête... Je me dois d'attendre qu'on m'octroie un status ou un droit à la parole.

L'atmosphère qui régnait étais étrange, lors de notre passage au travers la cité. Les regards étaient mêlés de frayeur et de respect, c'est le sentiment auquel je vivais présentement. Je ne pus m'empêcher de raviver le souvenir ravissant, la boîte de fer flamboyante traitée comme un vulgaire insecte. L'on récolte ce que l'on sème... Du moins, pour cette jeune femme. Parmis mes plusieurs réflexions, voyant le paysage défiler, je m'assoupis discrètement sur le destrier. La situation étant ce qu'elle est, la froideur de l'armure, ses plaques, n'était pas d'un confort inégalé, mais je pus prendre des forces.