L'écurie

L’écurie est un des plus grand bâtiment situer dans la base militaire. Il peu héberge a lui seul près de 1000 chevaux. Il lui est réserver la plus grande superficie du terrain. Il est le plus près des bâtiments puisqu’il reçois quotidiennement des chariots de cargaisons pour remplir les greniers de foin.
L’écurie n’héberge aucun soldat mais chaque jour, tout les chevaliers vienne y pratiquer leur difficile discipline.
C’est pourquoi d’ailleurs les chevaux son diviser selon leurs propriétaires.
Les chevaux rapides et endurants son réservés aux archers de cavalerie.
Les chevaux robuste et endurants eux son réservés aux cavaliers.
Les chevaux femelle décendent de Cronos son réservé au haut officiers.
Et les chevaux mâle décendant de Cronos son réserver exclusivement au chevalier noir.

Chevaux présentement hébergé : 300/1000
Chevaux rapides : 70
Chevaux robuste : 159

Chevaux des hauts officier : 25
Étalons des chevalier noir : 30

Chevaux non dressé : 16

L'ensorceleuse se présentait enfin aux écuries, elle les admira d'un oeil attentif et à l'affut.

La dame se déplaçait maintenant avec un peu plus d'aisance et s'avança bientôt vers les portes de l'écurie. Elle tendit sans attendre le parchemin à la personne qui guettait les entrées en déclarant d'une voix fière et indiscutable, la tête haute.

- Je suis envoyé par Soubraxiu en personne, j'ai besoin d'une monture...Montrez moi vos destriés les plus performants...

Ordonna-t-elle, se plaisant bien à paraître importante! Elle s'efforça de garder une expression faciale neutre et impassible. La femme le toisa de son regard d'un mauve percutant et amplit d'autorité qui le fixait maintenant avec insistance, en attente...Son assurance montait avec tout cet équipement elle se sentait beaucoup plus puissante, elle comprenait l'assurance du Seigneur lorsqu'il portait son armure...En y pensant, l'homme put lire une ardente envie mais malheureusement, elle ne lui était point destinée...

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Les bêtes qui occupaient l’écurie étaient de grands et beaux chevaux descendant directement de Cronos, la terrible monture noire appartenant au seigneur Soubraxiu et de Mystosis une jument elfique blanche pure. Volé au roi de Palendhèl.
Les bêtes avaient des aspects pour la plus par, de grâce et prestance tout en invoquant une terrible puissance dans leur fait et geste.
L’écuellier qui était sur place était jeune et très laid, mais s’occupait de ces animaux comme de ses plus précieux amis. Et lorsque la belle arriva, il ne lui accorda pas une attention amicale.

Après tout! Elle venait elle aussi lui prendre une de c’est favorite jument! Il en était sur. Après avoir lu la déclaration écrite par l’homme de l’entrepôt, il poussa un soupir, grogna et grinça des dents en l’amenant vers l’enclos des jument ou des grises, tacheté, noir de jaie et une seule blanche pure se tenaient à vaquer à leur habitude de ruminant.

-… voila… choisissez la jument que vous croyez être digne de monté. Je vous l’amènerai… elles n’aiment pas les étrangers mâle autre que moi!

Fit-il ne prenant pas compte que cette fois, s’était une femme qui se présentait à l’écurie et non un homme.

La femme tenta de faire abstraction des commentaires rabajoies de l'homme d'écurie et posa son regard observateur sur les bêtes au pelage différent. son regard se posa tout d'abord sur la jument blanche puis dériva vers celle au pelage gris foncé tel le charbon, un sabot blanc clair et le reste de ses extrémités étaient noir comme son museau et son crin.

Lorsqu'il la considéra comme un homme, elle tourna vivement la tête vers lui en amenant ses mains à son casque afin de lui montrer son vrai visage.

- La réponse vous rendera-t-elle moins rabajoie?

Prononça t-elle assez durement en le considérent de manière insultée et autoritaire.

- Je veux celle au pelage gris comme le charbon...dépêchez vous...

Ordonna-t-elle de façon quelque peu hostile, il faut dire qu'ele ne se sentait pass très bien avec l'idée que cette lourde et inconfrtable armure joue sur son apparence et son charme féminin! Elle considéra son habit métalique avec un peu de déception soufflée et ne put même pas croisé ses bras, se sentant un peu trop mal habile avec ses plaques métalliques. Elle redoutait déjà le moment de la monter en selle, sachant probablement qu'elle se ridiculiserait d'avance!

Enfin, elle ferma les yeux quelques secondes en prenant une grand inspiration, essayant de cacher cette soudaine frustration d'avoir été considérer comme un homme! Désiré tenta aussi de s'encourager intérieurement face aux défis potentiels qui l'attendaient, juste d'y penser, une boule de nervosité obstruait sa gorge...

Le Phénix devait se rendre à l'entrepôt, mais avant il devait mener son cheval à l'écurie. Il n'avait pas l'intention de trainer sa monture avec lui inutilement.

Il se dirigea au hasard un moment essayant de trouver les écuries qu'il aperçut après quelques minutes. Assez dur à rater, il faut dire, surtout quelque chose de cette taille.

Lorsqu'il arriva à l'entrée, il s'approcha d'un des gardes

- J'ai une monture à faire héberger ici, dit-il simplement en désignant la magnifique jument noire qu'il tenait par la bride.

N'importe qui pouvait aisément voir que la bête était en très bonne santé et assez robuste, mais rien de comparable à un cheval de bataille. Un connaisseur en chevaux, verrait que l'animal était entrainée pour la traque en terrain sinueux, forêt, terrains escarpés, etc. juste en le voyant bouger. Le cheval était agile et rapide... Il n'était pas fait pour un champ de bataille... mais excellent pour un éclaireur, un messager qui doit emprunter des routes difficiles, ou dans le cas présent, un assassin qui peu avoir à traquer sa cible rapidement sur tous terrains.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Lorsque Désiré dévoila son visage, le gardien des chevaux eux une expression de surprise puis de consternation. Il en avait même sursauté lorsqu’il entendu plus clairement sa voix qui était maintenant libéré de derrière ce heaume. Il s’avait bien que s’était une femme! Qu’est-ce qu’elle avait à le prendre si mal! En Bref, il s’employa à combler les désirs de l’officier, lui ramenant une jument à l’apparence plutôt calme mais à l’ossature carrément imposante. Il n’en faisait aucun doute, il s’agissait d’un animal puissant à qui on ne devait pas manquer de respect! Le gardien la caressa du cou aux fesses, la gratifiant de compliment et de louange comme si ce cheval faisait parti de la royauté même. Il la muni d’un licou puis tendit les reines à la dame. Il s’éloigna en lui faisant signe d’attendre sur place. Il revient un peu plus tard avec une scelle qu’il installa sur la bête. Puis présenta d’un signe du doigt à Désiré, un marche pied, près d’une poutre. Si Désiré avait peur du ridicule d’avoir à monter ses grands chevaux, elle pourra constater que d’autre avant elle n’ont pu faire meilleur figure non plus. Ce n’était pas tous les officiers qui avaient le talent d’un chevalier pour monter une bête en portant sur son dos un attirail si lourd.

Voila, je vous la laisse. Elle se nomme Faska. C’est le maître lui-même qui contrôle les naissances des chevaux et assiste à toutes leurs apparition dans cette dure vie pour les gratifiés d’un nom au quel tout les chevaux réponde précisément. Apparemment ce son des noms en langue noir… vous savez de quoi je parle? Pour ce que j’en sais, celle-ci porte son nom très bien! Faska à ce qu’il ma dit signifie Puissance. Elle imposait déjà toute jeune son autorité au près des autres juments haha!

Fit-il de tel façon que cela semblait une évidence sur et marqua sa voix d’une discrète mélancolie au départ de une de ces bêtes.
Sur ce, il abandonna Désiré à son gain et parti reprendre position voyant arriver un autre recrus qui venait héberger sa bête. Le gardien poussa un ricanement regardant sa bête fébrile. Les ordres était claire aucun mélange! On ne gardait que les meilleurs chevaux et pour Karia s’étaient ceux descendant des deux sien! Il accepta de la placer dans un boxe et bien entendu, il ne laissa aucun avertissement au près du possesseur de ce qui pourrai arriver à sa bête lorsque le seigneur passerai à l’écurie…

L'assassin entra dans le box avec sa monture et prit le temps d'enlever de lui retirer la selle et la bride qu'il plaça dans un coin, avant de prendre une brosse et venir brosser un peu la jument pour lui enlever la poussière qui c'était retrouvé dans son pelage après le long voyage. Il prit aussi le soin de regarder les sabots et les fer de la monture qui se laissa faire docilement.

Ce n'est qu'une bonne demi-heure plus tard qu'il quitta l'écurie avec ses maigres possession qu'il avait amené avec lui dans un sac.

Il se dirigea vers l'entrepôt... se demandant bien ce qu'il pourrait lui donner, alors qu'il avait absolument tout ce qu'il lui fallait...

L'homme d'écurie lui apporta enfin sa monture et lui présenta, l'habilla de ses hornements...Alors qu'il lui présenta du doigt un tabourret elle fronça des sourcils en observant le tabourret et lui par la suite. Non mais il la prenait pour une falluette?? De nature très orgueilleuse, Désiré acceptait mal la remarque!

Son regard se plissa alors que son visage avait une expression peu amicale à son égard, elle allait lui montrer de quel bois elle se chauffait!

La dame s'approcha donc de la jument, lui caressa calmement le museau en murmurant des paroles incompréhensibles alors qu'elle encra son regard dans celui des yeux sombres de sa bête...Murmurant un charme afin de prévenir les mauvaises réactions de l'animal, elle s'essayait tout de même si cela ne marchait pas tant pis elle ferait avec!

La jeune ensorceleuse se concentrait sur ses sombres iris à quérir son attention, sa voix était douce, un murmure d'oiseau...

Elle espérait au moins la calmer de ses paroles mais rien n'était gagné d'avance...Si cela ne marchait pas elle ferait son possible pour se dépêcher à monter en selle et aller rejoindre le seigneur...Elle avait déjà assez perdu de temps!

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

L’animal laissé à Désiré, était exactement comme décrit et avait été élevé à répondre au langage noir. Si les mots étaient incompréhensibles pour les autres à l’écoute, ils étaient également incompris de la jument. Le tout pouvait aussi bien lui faire penser à une chanson mais basiquement la créature était calme et d’apparence docile en la présence de la dame.
Le seul obstacle qui pourrait réellement contraindre la chef de milice serait de monter la créature qui avait un garrot impressionnant. Lever les jambes bien haut lorsque l’on à un surplus d’une 20aine de live n’est pas une chose si aisé, peut importe notre fierté.
Pendant se temps lorsque le gardien des chevaux s’était libéré, il s’était aussitôt mis à s’occuper d’un énorme étalon noir qui malgré ses habitudes à cette personne ne démontra pas autant de douceur que Faska.
Le gardien esquiva la mauvaise humeur de l’étalon et le vêtis d’un équipement lourd et cher. Il était de toute évidence le cheval du roi.
Ce qui pouvait signifier qu’une seule chose! Désiré allait être vraiment en retard!

L'ensorceuleuse constata que son comportement se fut plus calme et moins nerveux ce qui la fit sourire mais il ne fallait pas baisser la garde pour autant, alors la jeune femme continua de caresser doucement la jument en chantonnant, passa sur son cou eut de la misère a atteindre le pomeau ce qui la fit soupirer d'exaspération...

Désiré posa un oeil peu convaincu au tabouret qui semblait lui dire que c'était la meilleure chose à faire...

Ruminant un peu sa frustration, elle remit son haume d'une manière très déterminée, prit une grande inspiration, marcha à grands pas lourds, ferma les yeux tout en se concentrant sur sa tâche.

Elle prit l'initiative de lever son pied gauche afin de le mener à l'étrillé mais il se trouva démesurément haut, assez haut pour interrompre son geste...

Il fallait admettre que cet homme d'écurie avait raison, elle devait se résigner à prendre le tabourret et elle le ferait avec le plus de grace que cet attiraille métallique pourrait lui donner!

Décidée et un peu plus pressée dans ses actions, sachant que le temps lui manquait elle alla saisir le tabourret le posa près de son destrier, le calma en chantonnant doucement, monta non pas sans quelques difficultés d'équilibre à cause de tout ce métal, il aurait pu penser à lui donner au moins une armure de cuir!!

Enfin, la jeune femme un peu exaspérée prit une grande respiration plus confiante et décidée et s'essaya une première fois...

Cette première fois fut plus que catastrophique puisqu'elle tomba littéralement à la renverse, quelle honte! Son corps endoloris par le choc soudain lui fit pousser un gémissement, la résonnance interminable ne semblait plus vouloir quitter ses tympans tellement le métal lui avait proccurer une mauvaise surprise...

Les yeux clos, quelques secondes, la tête lui tournant un peu malgré elle, la jeune demie-elfe se releva difficilement et soupira de nouveau maintenant clairement tannée de tout ceci!

- Vous là bas! Venez donc m'aider, je n'ai pas plus d'une minute à perdre! Je suis attendue de la plus haute importance alors si vous ne voulez avoir d'ennuis je me presserais à votre place!

Déclara-t-elle d'une voix assez imposante qui s'échappait des fentes de son haumes, une voix autoritaire et impatiente!

Les paumes serrées, la voix halletante, essayant de se remettre de sa misérable chute, essayant de passer par dessus ce regard probablement moqueur de cet homme qui croyait encore une fois que les femmes étaient faibles et bien elle lui montrerait à lui qu'une femme peut bien devenir très méchante et autoritaire quand elle le veut!

Plus que considérablement nerveuse, Désiré avait le regard fuyant, les pensées tournées vers cet imposant seigneur, cet homme dont l'autorité serait sans pitié si elle arrivait en retard...Son regard vient alors se poser sur cet étalon richement décoré ce qui lui fit écarquillé le regard, elle était assurément très en retard!

- DÉPÊCHEZ-VOUS!!

Cria-t-elle, maintenant plus nerveuse que jamais. Pourtant, il lui fallait se calmer et vite, c'est pourquoi l'ensorceleuse se calma en respirant plus calmement, oui il le fallait...Du fait, la femme continua de caresser la jument en l'apaisant de doux murmures...

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

La bête demeura calme vis-à-vis Désiré tout le long de ces chantonnements et caresses jusqu'à ce qu’elle tombe à la renverse. Ce ne fut pas le rire moqueur du maître des chevaux qui se fut entendre, mais surtout celui presque trop bien audible de la jument!
Après tout se tintamarre avant même que Désiré ne hurle contre lui, il s’était empressé de bien serrer la scelle de Cronos et approcha de la belle lui portant main forte. Jusqu'à ce quelle puisse enfin monter Faska et partir rejoindre les autres sur le terrain d’entrainement.

La jeune femme se laissa aider mais ronchonnait intérieurement, l'ayant clairement entendu rire! Enfin en selle, Désiré tenta de prendre une position confortable, caressa le cou de la jument pour la rassurer, demanda les indications claires pour se rendre à la caserne pour recruter ses hommes.

Cela fait, la cavalière sortit en trompe et galopa jusqu'au lieu de destination...Il lui fallu un certain temps d'adaptation à cause de cette armure trop lourde mais elle était prette a endurer le mal qu'elle lui causait au lieu de subir les foudres et sermons de son supérieur! Juste d'y penser, elle avait la gorge serrée de stress.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Poste Antérieur dans Vos Aventures: L'embuscade.
==> Le retour au bercail

Dorgan hurla de plus belle en voyant au début, les demi-races les chargées. Ravi de pouvoir sois le tuer de ses main ou mourir par la lame de son ennemi. Submergé par la rancœur et la haine, il voulait que son enfer prenne fin!

- Viens ! oui viens !!! hurlait-il frénétiquement et lorsqu'il les vue faire demi-tour il poussa un crie de désespoir en tombant sur ses genoux. Ce qui fait lentement abandonné la poursuite des autres quand il le virent ainsi dévasté. Les hommes restants le relevèrent et ensemble il ressentir l'échec et la honte.
Le poids d'un projet mis en branle depuis des années tombé en morceau comme l'église qui terminait de ce consumé. Son cloché tombant bruyamment dans les reste démolis du bâtiment.
Le roi allait être furieux...

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Son animal, en entendant ses mots, soudainement redressa ses oreilles en poussant un grondement puissant, son cou forma un arc avant de ce secouer vigoureusement en reprenant comme un souffle et ses sabots commencèrent à accélérer.
Cronos poursuivi sa route a bon galop, portant son maitre et cette femme loin dans la plaine jusqu'à la périlleuse rivière, laissant derrière eux les flammes et la violence.

La nuit n'était plus aussi noir, a l'horizon un bleu claire apparaissait a la cime des montagne laissant apercevoir Xar'minos don les drapeau voletais dans le vent.

Les ténèbres des eaux était cependant terrifiante et dangereuse, ne laissant plus entrevoir la route qu'elle dissimulait. Sans a avoir à le manier, l'étalon amorçait la descente dans l'eau comme s'il savait exactement où il amenait son maître. Il grondait affreusement, écumait de plus belle et son corps était trempe avant même d'être entré dans les flots.
L'eau était glacé mais tranquille et sembla laissé passé l'animal sans encombre.

Il rejoignait l'autre coté de la berge et reparti de plus belle... A partir d'ici, il n'avait plus rien a craindre des humains. Cronos les avait ramener au bercail.

Après de longue heure le soleil commençait a percé la cime des montagne et le cheval arriva devant les portes ouverte de la cité. Il fit écarté par sa présence et ses cries énervé les paysans qui partait au champ et passa entraver des gardes qui lancèrent des regards perturbé vers les cavalier en leur cédant le passage malgré eux.
Ceux-ci ce saisir de leur cor et annoncèrent le retour de '' l'armée'' et en l'occurrence celui du roi.

L'animal avança avec plus d'entrain, sachant qu'il arriverai bientôt, rejoignant les rues de la grande cité qu'il dévala avec assurance. Il n'y avait pratiquement personne dans les rues a ce moment la, que quelque artisan vaillant qui commençait les fournées de pains et a réchauffé les fourneau de leur forge. Les cavaliers noirs passaient sous leur yeux ébahis , ne les reconnaissant pas sur le moment, ne faisant que les apercevoir un cours instant alors que Cronos rejoignait au loin le campement militaire.

L'étalon ne consentie a arrêter sa course qu'une fois arrivé au écurie de Xar'minos, haleinant de plus belle et mouillé de sueur. L'animal était exténué lorsqu'il entra dans le bâtiment ouvert et rejoignant son boxe. Le palefrenier qui nettoyait le planché arrivant vers eux avec panique allant agripper les brides du puissant cheval.

-.. Qu'est ce que??... votre majesté?! Il ne termina pas sa phrase en apercevant brièvement l'état du demi-race et de son officier. Ne sachant pas trop ou ce mettre, il ouvrait la bouche pour parler sans rien dire et fini par lâché abruptement.
-Je vais chercher de l'aide!!

** Suite au poste de Karia...**

En entendant son rire franc, je souris d'avantage en ricanant, je suis contente et fière de moi, gonflée à bloc de confiance et le rire du Monarque me fait honneur, je sais qu'au fond c'est grâce à moi qu'on s'en ai sorti, alors Karia est fière de moi pour l'avoir sorti de ce pétrin. Il m'étonne lorsqu'il rit, car je savais que ça venait de son cœur et qu'à l'habitude il ne laissait rarement voir ses émotions pour conserver une froideur ce qui lui vaut sa terreur aussi, son attitude froide et sauvage contribua à son image du guerrier invincible et sanguinaire. Je le regarde du coin de l’œil en souriant doucement, satisfaite, mon regard est redevenu doux, la rage m'a quittée comme elle est venue me prendre, furtivement et sournoisement...

L'euphorie lentement dissipé j'obéis à son ordre et je m'étire pour attacher le bouclier derrière le Roi, puis je me concentre sur la route qui défile devant nous. Le bras lourd du Monarque passa furtivement sur mes cuisses pour ensuite enserrer ma taille, je l'observa un moment, stupéfaite de son geste d'enlacement, cela me troubla, mais je me doutais bien qu'il s'accrochait à moi pour ne pas tomber de son destrier et aussi à cause de l'épuisement de tout ce qui c'était passé...Lentement, je sentis son corps se détendre, puis sa tête se poser sur mon épaule droite, je pose un simple regard en coin en souriant subtilement, puis ramène mon attention vers l'avant pour ne pas qu'il me remarque.

Après quelques minutes, il prononce mon nom, mon corps est alors parcouru d'un terrible frisson et se tend nerveusement, ne sachant trop si ses paroles allaient être douces ou poignantes, c'est là qu'il me dit que je ne dois rien dire de cette aventure, que je dois demeurer muette face à tout ça, face à ce que j'avais accomplie valeureusement pour lui sauver la vie...Je comprenais sa honte et son impuissance qui l'avait alors traversé, mais j'étais sidérée de devoir garder toute cette aventure sous le silence pour protéger son honneur de mâle! Je plisse les yeux en grondant un peu, serrant la mâchoire sous l'émotion vive qui me traversait...

Je réalise que c'est un monde où les femmes ont peut de place à l'honneur, le courage, la force de celles-ci étaient rarement bien reconnues à leur juste valeur, je trouvais tout cela injuste, tout ça pour protéger un orgueil masculin, pourquoi les hommes avaient-ils dans de difficulté à reconnaître les guerrières en ce monde? Pour eux, c'est une activité masculine, une femme portant une armure et un bouclier c'est mal vu, je pense alors à la réplique cinglante de Klain juste avant qu'il m'ouvre une porte de sortie, ce n'était pas la première fois qu'on essayait de me manquer de respect de la sorte, mais c'était le genre de chose qui me rendait noire, pour eux, souvent j'étais simplement la belle qui les fait rêver le temps d'une nuit et par la suite, incapable de se retenir, il en parle à son ami qui en parle à une connaissance et ainsi de suite, tout se dévale et les bobards finissent par se rendre à mes oreilles...Même si je n'avais pas à m'en faire...après tout je fais bien ce qui me plaît où que j'aille...Mais, je sentais que je devais me méfier à l'avenir...Je me rappelle alors que c'est pour cette raison que j'étais nomade, je préférais n'être que de passage dans les villes et villages que je visitais, je préférais n'être qu'un rêve, le rêve d'une nuit, entretenir leur esprit par mon départ subit, qui était cette femme aux cheveux couleur feu? Qui est-elle?

À son aveu, je ne réponds rien, je reste là à errer dans mes pensées alors que Cronos arrive à la rivière, la traversant sans encombre, ayant peur que les choses tournent mal j'avais saisi l'avant bras de Karia au cas ou, plus le destrier court, plus la fatigue me gagne, je commence à avoir mal partout et malgré les coups constants lié au galop, mes paupières s'alourdissent et ma tête devient de plus en plus dure à porter, le vent se rafraîchit et je remet mon capuchon doucement, en tentant de ne pas trop déranger le repos du colosse qui est derrière moi.

Bientôt j'aperçois à l'horizon une lueur bleutée, l'aube se lève déjà, me faisant réaliser à quel point je suis fatiguée d'être secouée par cette course effrénée vers Xar'minos, en voyant les drapeaux de la ville demi-race, je souris, enfin tellement soulagée, c'était d'ailleurs la première fois que j'avais si hâte d'arriver à un endroit! Xar'minos m'inspirait le calme, la sérénité et surtout le repos, juste à cette idée je souris franchement en fermant les yeux quelques secondes...

Le soleil se pointait le bout du nez quand Cronos arriva aux portes de la ville, les cors qui annonçaient notre retour réussirent à me paraître tout à fait agressant, je rabaisse mon capuchon pour libérer ma chevelure feu et au passage je regardais les passants d'un air lasse et épuisé, je ne souhaitais qu'une chose et c'était de me reposer convenablement et lorsque Cronos arrêta enfin sa course à l'écurie, le palefrenier vient me retirer les reines de Cronos, c'est là que je me rend compte à quel point je les tenais fermement, mes doigts sont légèrement engourdis. Il interpelle le Seigneur de Xar'minos, mais le sachant très faible je savais qu'il ne prononcerait pas grand chose. Il dit qu'il allait chercher de l'aide, j'approuve ses dires de manière un peu rude et autoritaire.

- Oui et VITE!!!

Le voyant quitter les lieux à la course, je tourne la tête vers Karia pour l'interpréter d'une manière beaucoup plus douce pour ne pas le brusquer.

- Mon Seigneur.....nous sommes enfin arriver....

Ma voix est faible, un petit murmure accompagné d'une forte expiration, mon corps se fait de plus en plus lourd, mes mains retombent mollement sur le pommeau de la scelle et mon corps devient soudainement très lourd à supporter, il vacille porté par l'épuisement total de cette course folle, il se dirige dangereusement vers la droite, j'ouvre et ferme les yeux rapidement, étant presque entre l'éveil et le sommeil, mes jambes bouillonnent d'une drôle de sensation, une sensation de fourmis dans les jambes et le bassin, mes genoux me font souffrir à cause de cette posture écartée, c'est comme si d'un coup je ressentais toute la fatigue, que je ressentais toutes les secousses répétées de cet arpentage...Mon corps était si lourd...

Son silence sur le moment ne l'étonna pas et ses pensées libérer de cette charge qu'il lui confia lui sembla alléger qu'un moment les multitudes d'ennuis qui ce profilait a l'horizon pour lui.
Son tourment ne faisait que commencer.

Pour l'immédiat, quand le calme les entoura, le chevalier avait succombé a l'épuisement, confiant a nouveau sa vie a Désiré en fermant les yeux et s'autorisant malgré tout un peu de repos aussi bénin pouvait-il être. Tout son corps était meurtrie par les efforts forcé qu'avait demander la torture et l'avait vidé. Son sang coulant sur eux lentement malgré les bandages qui ralentissait l'hémorragie de ses mains, n'aida guère plus a le renforcé. Il ressentait le froid sur son corps, les courant d'air allant faire séché le sang qui coulait de son dos et qui s'était faufilé sur ses fesses et ses cuisses, marquant son armure noir d'un liquide cramoisie.

Lorsqu'ils arrivèrent à la rivière, le froid de l'eau ne parvient que très peu à le sortir des vapes, ce laissant secouer par Cronos et les flots qui parfois montait sur ses cuisses. Ce qui le fit surtout frissonner, ce fut la façon que Désiré lui agrippa le bras, lui faisant sans effort serrer les dents par sensibilité fronçant des sourcils légèrement et restant silencieux.

Il ressenti quelle le protégeais, lui... être protégé?
Ce qui lui fit un très étrange ressentiment, un bien être indescriptible qu'il ne parvenait pas a s'expliquer ou a comprendre et également l'amertume qu'il ne le méritais pas. Il devait être descendu bien bas pour être réduit a donner envie a une femme de le protégé. C'étais un concept qu'il n'arrivait pas a saisir. Il ignora s'il se senti en colère ou désemparer a l'idée de paraitre faible pour toujours devant les yeux de Désiré, car il fini par interprété son geste comme de la pitié. Il devrait ce montré exemplaire une fois remis sur pied, c'était inacceptable.

Lorsque la lumière du jour caressa son visage, un pincement intense lui brula les yeux qui eux avait de la difficulté a s'habituer a cette lumière vive. Le cor de Xar'minos tinta lourdement dans son esprit endormis d'épuisement et commença a immergé de sa torpeur, en ressentant la faim et la soif intensément en passant devant les kiosques de pain.

Son dos lui faisait prendre conscience d'affreuse courbature, ses muscles tout crispé et tordu brulant de plus belle maintenant que l'adrénaline avait entièrement disparu de son corps et que Cronos malmenait depuis des heures.

Il ne bougea pourtant pas d'un poil, frottant son visage ensanglanté sur l'épaule de Désiré en retournant la tête vers un artisan qui les avaient aperçus. Un stresse viens lui ranimé le cœur et le sang, repensant a ce qui était arrivé, repensant a ce qu'il avait demander a Désiré de gardé pour elle. Il ne se rappela pas l'avoir entendu confirmé qu'elle garderai silence a ce sujet.
Il craignait réellement un peu pour son image, mais vue les circonstances, il ne ressentait pas réellement de honte de la façon que les choses s'était dérouler. Ce qu'il craignait le plus, s'était que la nouvelle ce repende aux oreilles de personne très mal intentionnés et que la situation dégénère hors de tout contrôle.

Il resta immobile lorsqu'ils arrivèrent enfin a l'écurie et il n'eut pas le force de redressé son corps lorsque le palefrenier les découvrir. Il resta la, calme, son esprit ce vidant alors qu'il revoyait la démence de Dorgan, la rancœur qui lui avait réservé en lui prenant le visage. Sa peau ce souvenait des tremblement de colère de ces mains et bizarrement beaucoup moins des coup qui l'avait blessé. Des émotions qui lui semblait si réel dans sa réalité et un humain ressentant les même douleur que lui. Qu'elle atroce remise à la réalité en se faisant rappeler qu'en lui-même vivait caché et renier, cette humanité impossible a éradiquer.

Doucement, la voix de Désiré lui chatouilla les oreilles, lui faisant ouvrir les yeux un peu plus grand et tournée son regard vers son visage alors qu'elle grognait contre le gardien des chevaux. Ce n'ai qu'en s'adressant a lui qu'elle le fit réagir. Il ressenti son épuisement, lorsque son corps ramolissa vidé de toute endurance.
L'épaule droite commença a glissé de sur son visage et allait ce diriger vers le sol... Karia ne la laissa pas aller ainsi, redressant son corps dans un dernier effort, relevant son bras juste en dessous de sa poitrine de façon a coller Désiré contre son torse dans une étreinte protectrice. Il retient son souffle et du coup le bruit d'une plainte douloureuse, ressentant la blessure de sa main lui remonté dans tout le bras. Puis, il souffla a Cronos de ce coucher en drowique .
L'animal s'exécuta en grondant doucement, ravi de ce reposé les jambes. Il attendit ainsi sans bouger jusqu’à l'arrivé des secours.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Qu'elle que temps après, des pas de courses résonnèrent en échos, 4 gardes arrivèrent accompagner du palefrenier qui leur indiquait l'emplacement de façon paniquer.

Les gardes n'attendirent pas d'être prié, laissant leur arme au gardien des chevaux pour aller posé leur mains sur le roi et Désiré, les séparant. Leur état était tellement déplorable qu'il ne fallu pas un dessin a ces dernier pour réagir immédiatement.
-Palefrenier, va d'urgence faire appeler le médecin du roi! Fit un garde qui pris les devants de la situation.
Ce dernier laissa les armes que l'on lui avait donner contre un mur, paniquant toujours en dévisageant le roi et l'officier, puis partie plus loin ce prendre un cheval et déguerpis remplir sa mission.

Le premier duo de garde agrippa le roi d'un coté en soulevant son bras droit avec prudence et un autre garde fit de même pour le soulever son bras gauche, le retirant ainsi lentement de ca monture. Les deux autres commencèrent a faire la même chose avec Désiré, voulant assurément la conduire a sa chambre pour lui permettent de ce reposé.
-Qu'est ce qui s'est passé!?? ou son les autres!? Ne cessait-il de ce demander a l'un l'autre inquiet alors qu'il conduisait la belle en sécurité.

Le chevalier noir fut escorté jusqu’à ses appartement qui avait été réaménagé depuis son départ, ses servants personnel ayant fait changé son lit qui avait été abimé par la brutalité de leur maître. Pour évité un nouvelle épisode de ce genre, il avait fait forgé une base de fer.

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Suite, chambre du roi (pour Karia)

Alors que je sentais le poids de mon corps m'attirer dangereusement vers le sol, je sens le bras de Karia retenir mon corps de sa chute, je regarde son bras à la main meurtrie qui m'enlace de plus bel pour m'empêcher de tomber, je sors subitement de ma torpeur, remarquant son geste protecteur, je le savoure doucement, mon corps coller contre sa poitrine métallique, ah ce que j'aurais donné cher pour que ce soit sa poitrine à la peau chaude qui soit contre mon dos, je ferme les yeux un instant expirant doucement, mon corps était de nouveau un peu raide au contact nouvellement initié du Monarque, je reprend peu à peu mes esprits, mais ma vision se fait presque floue par moment...

C'est là que Cronos se couche à l'ordre de Karia, un peu ballottée vers l'avant je m'agrippe vivement au pommeau par pur réflexe, sachant que la poigne du Roi était forte malgré tout. De plus en plus mon corps devient moins contracté et s'abandonne, c'est le retour des gardes qui arrivent en trombe qui m'éveille un peu l'esprit, mais je reste partiellement consciente, totalement épuisée.

Ils se jettent sur nous afin de nous séparer, je reprend conscience de tout ce qui se passe lorsque je sens les mains des garde m'agripper pour m'éloigner de lui, vivement je réagis un peu contractant mes muscles sous le choc de la séparation, c'est comme si je ne voulais pas quitter son étreinte, comme si je voulais rester près de lui pour le garder en sécurité encore, enfin c'était peut-être tout le stress des événements précédents qui me tenait encore dans un état défensif. Je tend tous mes membres vers lui alors qu'on m'en sépare, je le regarde se faire prendre par les autres garde et je cris.

- Soyez prudents il est gravement blessé à l'épaule gauche, au dos et aux mains! Dépêchez vous de lui administrer des soins convenables! Moi je suis indemne, occupez-vous de lui!

C'était avec rudesse que je dis ces mots, incertaine ou plutôt très méfiante par rapport à l'état de Karia, j'avais peur qu'il aille perdu trop de sang avec tout ça et que cela amène de grandes complications...À l'instant je me maudissais de ne pas avoir prit de leçons de guérisseurs, j'aurais peut-être pu l'aider d'une quelconque façon, enfin au moins stabiliser son hémorragie et son état général pour éviter que ça empire. J'entends raisonner cette question incessante provenant de la bouche des gardes, mais qu'est-ce qui s'est passé?Où sont les autres? À cela, je décide de rester muette, je suis trop affaiblie pour dire quoi que ce soit de sensé et surtout à penser à un mensonge à leur sortir, mon esprit était trop affaiblit pour rendre quelque chose de cohérent. Je sens un des gardes qui me retire l'arme extrêmement lourde de Karia, par instinct je tente de la retenir et me débat un peu dans leurs bras, puis j'abandonne tout après quelques secondes prise au dépourvue par mes sentiments contradictoires et si instinctifs, c'est comme si je me sentais irrémédiablement encore en danger, comme si ma survie et celle de Roi était encore mise à l'épreuve et pourtant ici à Xar'minos je pouvais baisser la garde, je tente alors de calmer mon souffle affolé. Puisque je sens mon corps se laisser traîner par les gardes pour m'éloigner de lui, je tente une seconde fois de le retrouver, mais j'abandonne rapidement si épuisée et je souffle, mais en rien doux :

- Promettez moi qu'il sera en sûreté! Promettez le moi! Je veux une garde accrue dans ses appartements...

Inquiète, oui, c'était ça, une inquiétude qui me traversait sans trop crier gare, même si je savais qu'ici il ne craignait plus grand chose on dirait qu'une peur persistait. Il n'est plus dans mon champs de vision, je fronce les sourcils traversée par une rage soudaine, mon corps se raidit de nouveau, mon regard fuit dans tout les sens, ma vision est devenue très claire, mes réflexes alertés par le stress de cette séparation brusque, je me rendais compte que sa présence me rassurait dans tout ce chaos, il était en quelque sorte mon amarrage, il me sécurisait, car en sa présence je savais que j'avais tout fait pour lui sauver la vie, je repense à l'image sanglante de Klain et des deux gardes écorchés, un cri s'échappe de mes poumons, incontrôlé et brutal presque qu'effrayant, c'est comme si je réalise sur le coup ce que j'ai fait comme gestes, comme crime, je regarde mes habits souillés de sang, tout mon être se met à trembler, des sanglots me secoue violemment incontrôlables, je commence à me débattre avec rudesse et une force surprenante, mes poings se referment brutalement. Je veux juste une chose qu'ils me lâchent, qu'ils cessent cette pression à mes bras!!!

- LÂCHEZ MOI!!!!!

Que je cris à plein poumons, rugissante, je gronde comme une lionne prise au piège. La fatigue de mon être est subitement sublimée par cette détresse, ce désir de rester auprès de lui, ce n'était pas qu'il était devenu ma raison de vivre, mais sa présence m'avait réconfortée et maintenant il n'était plus là, je ne le voyais plus, je me sentais soudainement extrêmement vulnérable et dans une sorte d'état second, je ne contrôlais plus rien, mes sanglots m’étouffaient presque tellement ils étaient puissant et rageurs, mes jambes se ramollissent voulant simplement m’affaler de tout mon long au sol, rester là sans bouger, qu'ils me lâchent non de Dieu! Je me sentais seulement agressée par leur présence et leur poigne sur mes bras, je voulais simplement qu'il me lâche une bonne fois pour toute, j'en devenais très agressive, je rugissais sauvagement comme un animal qui défend ses petits...

Le chevalier poussa quelque rugissement lorsque l'on le força a ce lever et a avancer vers le château, mais il n'avait pas l'énergie de lutter contre eux... Il avait laché Désiré avec une certaine résistance a la laissé partir et lentement son corps suivie le mouvement ce relâchant.
Il avait les yeux lourd, entrevoyant les bras de Désiré ce tendre dans sa direction et sa voix grondé sans qu'il comprenne réellement les sens de ses paroles.
Il ce laissa lourdement trainé, un certain moment quittant l'écurie.
Quand alors, le rugissement de Désiré << LÂCHEZ MOI!!!!!>> le fit soudainement réagir avec brutalité. Toujours en tête qu'il devait aussi la protégé, il ce braqua mettant un pied devant pour arrêter les gardes. Il poussa un grognement hostile commençant a vouloir faire demi-tour. Mais le garde qui le retenait par le bras gauche le découragea très vite par sa poigne de songé a ce rebellé. Il ferma les yeux réalisant qu'il réagissait avec excès, poussant un soupir résigné avant de retrouver une certaine docilité a ce laissé mener a ses appartement. Il était a Xar'minos, elle était en sécurité... compte a lui, il devait ce dépêché a caché sa carcasse des regards en évitent de compliquer la vie a ses gardes.

Suite dans la chambre royale.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Les gardes furent très surpris de la réaction de l'officier envers leur roi, n'arrivant pas a imaginé de quel enfer ses deux la revenait. Les deux qui la maintenait en la sous estimant au début furent très vite obligé de la maintenir avec leur deux mains et resserrer leur poigne en la voyant ce débattre comme un diable dans l'eau bénite et hurler comme une tigresse a qui on retirait son petit.

-T'inquiète pas, il l'amène a ses appartements, on a fait venir le médecin tout va bien aller! qu'est ce qui c'est passé bon sens? Il est en sécurité arrête de paniqué!

Essaya par tout les moyen le garde qui ce trouvait a retenir sa droite de la rassurer. Il la sentait tremblé comme une feuille et la vit éclaté en sanglot. Il était évident que quelque chose d'horrible était arrivé là-bas... mais pas moyen de lui arraché la moindre information dans cette état.

- Allez viens, tu te sentira mieux dans tes appartements Fit le garde de ça gauche la voyant toute crasseuse et empestant le sang comme un boucher. Puis lorsqu'elle hurla de la lâché avec une tel intensité que les gardes lui obéir.

Elle n'était pas leur prisonnière après tout.
- ... Est ce que l'on peu faire quelque chose?.. Fit le garde de droite en la regardant paniqué, maintenant atteint par ce comportement hors du commun. On aurai dit un soldat revenant de la guerre.

La pression disparaît comme un enchantement, brusquement les bras des hommes me lâchent enfin, je laisse mon corps tomber vers le sol, tombant rapidement à genoux sans ménagement, je penche ma tête vers l'avant, mon visage crispé de douleur et de panique, ma vision est brouillée par les larmes qui s'agglutinent dans mes yeux, mon visage est caché sous un rideau de feu.

Je regarde mes mains tâchées par endroit de sang séché, elles tremblent de manière incontrôlée, puis je constate mes vêtements souillés de sang et l'odeur qui s'en dégage me monte au nez et me donne soudainement la nausée, je me met à vomir sans avertissement, de la bile, des spasmes traversent mon corps alors que je le penche d'avantage vers l'avant appuyant mes mains au sol poussiéreux, dégageant ainsi un petit nuage de poussière autour de moi.

Mes oreilles cillent de manière étrange et les paroles des gardes ne deviennent que des bourdonnements indistincts que je n'essaie pas de déchiffrer pour le moment, mon souffle est haletant et saccadé de secousses, comme si par moment je cherchais soudainement mon air. Je comprend seulement la dernière phrase du garde qui se trouve à ma droite, je m'essuie lamentablement la bouche du revers de ma main gauche, redressant un peu mon corps vers l'arrière, encore cachée derrière ma chevelure emmêlée, je ressens à nouveau la lourdeur de tout mon corps, la fatigue qui reprend du terrain sournoisement, accablée je garde mon regard sur mes cuisses pleines de sang. La seule chose qui me vient alors en tête était de me laver...

- Conduisez moi à un bain chaud....je veux des vêtements propres....et manger.....

Que je souffle faiblement, sentant mes larmes s'assécher lentement sur mes joues sous une petite brise qui écarta quelques mèches rousses de mon visage. Tremblante, je me relève titubante en poussant une plainte douloureuse, mes lèvres tremblent comme mon corps tout entier, mes muscles me font affreusement souffrir, c'est comme si ce n'est qu'après la tempête que je ressentais l'effort et l'épuisement total de ceux-ci...

Désespérément je m'accroche au garde qui se trouvait à ma droite et je me saisi de son bras pour me supporter, je garde la tête basse, n'ayant même pas la force de la lever convenablement. Je me résigne à laisser aller Karia aux soins des médecins, je commence à saisir qu'il n'y a plus de danger pour lui, enfin pas de dangers majeurs...Mon souffle lentement revient presque à la normale, je me laisse guider à l'intérieur du château sans regarder vers l'avant, mon regard fixe lacement mes pieds qui s'efforcent d'exécuter la marche avec difficulté...