Le Boulversement

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M.J : On les chercha de font en comble jusqu’à se que l‘on grimpe à la vigile , reprenant leur poste les gardes scrutèrent l’horizon quand il aperçurent des formes sinueuses comme des ombres à l’horizon… Cependant le garde qui les avait aperçu ne cria pas…et fit signe a son camarade d’en faire autant… Ils ne voulaient pas avoir affaire a ces meurtriers une nouvelle fois… Plus loin, il était mieux ils se porteraient eux…

Karia : Donc sur ce silence de Mève resta a ses côté malgré lui pour assurer sa sécurité temporaire… restant silencieux après l’affirmation positive de l’assassin, ste grande asperge blanche…

Samaël : Putin! Que le chevalier noir l’intimidait… il se sentait moins apte a continuer a faire mumuse avec Mève en présence de se sinistre spectateur… Il jetta des regards inquièts vers l’arrière voyant des ombres éclairer par des torches au vigile mais portant aucun signe de leur par hostile ne se présenta… qu’est-ce qui se passait… Il continua sa route se laissant perdre dans sa bulle et ses pensées… Silencieux pour une rare fois…

Mève : Après avoir fait un long soupir Mève demanda : - Part où faut-il passer pour aller à c’est suposé terres neutres ??? *le ton qu’elle avait prit n’était point enthousiasme mais directe évoquant aucune envie d’avoir voulu lui demander mais plutôt de l’avoir fait à contre cœur… Depuis qu’ils étaient partis, elle ne s’était pas retournée pour regarder derrière elle mais se forçait plutôt à continuer à se battre car regarder derrière signifiait pour Mève le retour vers le passer… Et cela elle détestait…

Karia : Le chevalier noir poussa un cours soupir, restant dans le silence, il se contenta malgré lui de lever la main dans la direction du Nord-est…
Encore ébranler par la férocité de sa temporaire protégé… intimider serai sûrement le mot juste pour qualifier la situation. Grognant en lui-même comme un volcan en furie éternel, il n’ajouta pas le moindre commentaire.

Samaël : Après quelque instant de réflexion et après que Karia est indiquer la voie a suivre, l’assassin ne pu contenir une question qui lui trottait dans la tête depuis l’invasion de ses deux la.
-…Eu, dites… comment…comment sa se fait que vous vous…… non mais comment Mève ! Ta pu te ramasser avec se type ! Y avait personne de mieux ou quoi? Je comprend pas comment vous avez pu finir allier ses pas possible !o0
Qu’est ce qui ses passé ?
*fini t-il par lâcher malgré lui

Mève : Elle observa la main qui pointa le nord-ouest puis un soupir sorti de sa bouche regardant maintenant Sami à côté d’elle qui lui posa la question fatal « Pourquoi ? » Elle n’était pas pour lui dire que ce tas de ferraille l’avait violenté, humilier, agresser… Bref, il y avait rien qu’il ne lui avait pas fait sauf la tuer… La survie avec lui était tout se qui restait a faire de sa peau… Souvent elle avait penser se tuer pour enfin aller rejoindre sa famille mais se n’était pas pour rien que la femme vivait encore , elle-même ne savait pas pourquoi mais il y avait une raison qu’il fallait trouver et qui était évidement introuvable… - Ça te servirait à quoi de savoir comment nous le sommes devenu de toute façon et en très grande franchise il aura se qu’il voudra a la fin et je le sens là tout au fond de moi… * Lui chuchota-elle, cela avait été dit en toute sincérité sans rien cacher de se qu’elle pensait et d’une mini peur qu’elle avait de dire la vérité en face, pour que seul L’assassin l’entende… - Et tu ne veux pas savoir comment on c’est rencontrer… De toute manière se serait trop long a raconter puis à expliquer… * Continua-t-elle a dire suivant ses pieds qui marchait d’un pas sans vie…

KARIA: Karia écouta sans tout comprendre la discussion...enfin la question de l'assassin sembla assez claire... mais la suite murmurer d'une telle façon laissa croire que la réponse était embarrassante pour mademoiselle... il tourna le regard en coin de l'œil se mettant à ricaner sinistrement sans raison...
Faisant comme s'il aurait compris ne serait-se qu'une bride de la conversation...
- Vas-y... raconte lui qu'il sache dans quoi, il s'embarque, peut-être changera t-il à nouveau d'avis et prendra un chemin appart ... ha haha… HAHAH...Haha héhéhé... Après tout... c'est dans sa nature de disparaitre quand tout va à son désavantage.... n'est-ce pas le sens même de ta question l'asperge..?
*grommela le tyran sous des ricanements sarcastique tournant le regard rougeoyant sur l'assassin un cours instant... Ayant pour son cas analysé un autre sens a la question de Samael...Voyant aussi une belle occasion de semer... la zizanie… hé…héhé…

Samaël: L'assassin resta perplexe a l'affirmation de Mève qui passa disons 10 pieds a coté de sa question... il se demandait sur tout comment ils avaient fini ensemble pour s'évader de la prison et pourquoi elle ne lavait pas laisser dans sa cellule comme le criminel qu'il était? Puis c'est alors que le chevalier s'adressa de façon assez vicieuse a eux... les yeux amande de Sami se froncissant de colère puis regardant ses pied honteusement car karia n'avait pas tout a fait tord mais sa n'avait rien avoir avec se qui s'était passé!
- Asperge... asperge… je vais t'en faire moi une Asperge...Espèce de ...*Il ferma durement les poings rougissant de colère le regard sombre… S’apprêtent à trouver l'insulte fatale...

Mève : La jeune femme lança un regard noir au chevalier qui marchait près d’eux… Elle sentie ses dents se refermer avec une tel pression que rien n’y aurait résisté… Le pire dans tout ça c’est que là il avait raison sur le point ou il disait que Sami disparaissait au moindre danger et aussitôt que sa vie était en danger même si un autre avait besoin de lui… Après cette penser les épaules de Mève s’affaissèrent vers le sol signe de son découragement ultime envers l’assassin qu’elle croyait mieux que les autres…- Écoute… je…tu…* cela semblait pourtant évidant pour elle qu’il sache qu’il était mieux qu’il se sauve avant que Karia le détruise mais aucun mots ne sortait de sa bouche qui se tue pour continuer sa route…Frustrer à avoir autant de découragement la rôdeuse préférait se taire pour pouvoir retrouver le courage de continuer sa route qui restait encore longue, pénible et ardue…

Karia: le tyran suivi la suite, laissant un sourire naître sur ses lèvres, accomplissant inévitablement sa tache chaotique de semer d'irrémédiable doute au gens qui devait l'accompagner sur les routes et surtout la chamaille... bientôt, il le savait il aurait défait ses deux jeunes gens par leur différent.
Et se prouverais à lui-même une mainte fois qu'il avait raison sur certaine vérité de la vie.

Samaël: Sami stoppa lorsque mève intervenu plus ou moins... voyant alors que se que disait Karia rejoignait finalement peut-être les pensées de sa douce ... D'un coup, il ressenti une lourde honte tombé comme une enclume sur ses épaules... puis il alla comme un éclaire au coté de mève lui prendre la hanche opposé a la sienne pour la tenir contre lui.
-quoi?? Mais non voyons écoute le pas se gros bêta!!! Je suis là ses la preuve que je me suis pas sauvé!!! Voilà!
*cru t-il sentirai a bon compte…

Mève : - Oui t’ais là en se moment près de moi mais le seras-tu lorsque nous serons dans le pétrin un autre moment donné…Parce que moi je me suis laisser prendre pour que tu puisses t’en aller mais tu vois je croyais que tu viendrais a ton tour me chercher…* elle soupir…-Mais se n’est pas arriver comme je l’avais prévu et t’as décidé de ne pas venir et c’ est là que j’ai été Obliger de sortir avec son aide a lui…* pointa elle du doigt le demie race…- Tu sais maintenant, pourquoi on était ensemble pour la sortie…* décida-t-elle de cacher le reste de l’histoire qui s’était passer avant la prison et même sa rencontre…*Bizarrement sa voie n’avait pas été d’un ton choquer mais simplement d’un ton véridique et appuyer sur ces mots… La rôdeuse se décolla ensuite tranquillement de l’étreinte de
Sami pour qu’il comprenne pourquoi elle était ainsi et à quel point qu’elle s’était fait trop d’idée a son égard… « Un assassin sera toujours un assassin peut importe les changements qu’on peut lui apporter… » Avait déjà dit son père dans son temps … ou plutôt « un tigre garde toujours les même rayures toutes sa vie… » Jamais Mève aurait put penser qu’il aurait eu raison de ce fait jusqu’ à peut-être aujourd’hui…

Sam: Samaël retenu meve lorsqu'elle chercha à s’éloigner.
-tu tutu... quoi je suis parti? Mais pourtant tu ma trouver a l'entré de ta sorti! Haha! Et ses que je n’avais pas encore eu assez de temps pour élaboré mon plan d'action... je n’est peut être pas les moyen de certain...pour réussir... a percé des défenses... d'une forteresse et je dois juste agir plus...en subtilité...^^... encore 1h et je t'aurai surement libéré! Haha!

KAria : gronda en soupirant farouchement aux vantardises de l'assassin trouvant alors hors chemin, un arbre solitaire et puissant en plein milieu de la plaine... s’était un endroit idéal pour se reposé... discrètement sans feu...et éviter des blessures occasionner par l'ambiance nocturne qui sévissait...
-aller, bouger vous, on va s'arrêter pour la nuit...
Une fois qu'il arriva a l'arbre il mit pied au sol... laissant son cheval aller bon lui semble. Tandis que lui, s'adossa a l'arbre y laissant quelque plainte douloureuse suite au combat occasionner dans la prison...ses blessures lui semblait superficiel mais bien présente et affaiblissante... il accota son heaume sur le ventre de l'arbre poussant un lourd soupir qui s'évapora dans une colonne de fumer vers la lune... se reposant laissant enfin un certain taux de stresse retombé...Il faisait froid... mais pour lui s'était une température supportable... pour les humain peut être serai-ce trop froid pour eux... sans feux... peut importe... se n'était pas son problème...

Mève : Resta sans parler, écoutant l’assassin la rassurer ou du moins essayant de le faire… Bref, ses pensées n’y étaient plus car il fallait maintenant penser à se qu’il pourrait arriver rendu au terres neutres… Elle trouvait bizarre que le chevalier sache tout de suite où aller et comment si rendre…Habituellement quand on connaît un endroit et comment s’y rendre, surtout pour un légionnaire de cette sorte, tout devait être calculé minutieusement à l’avance… Donc, si Mève décidait de se fier à son instinct, ils (elle et Sami) couraient droit vers un certain suicide à moins qu’il soit obligé de dévier sa route et c’est à se plan si que la jeune femme réfléchissait… Cachant tout ceci sous la fille qui était désespérer de savoir que son ami ne l’avait pas secourue et faisant croire au gros molosse qu’il avait eut raison sur toute la ligne depuis le départ des cachots …^^ C’est sur cette dernière penser, que Karia la fit sortir de son nuage leur disant qu’ils allaient s’arrêter pour la nuit au pied de cet arbre… Ce qu’elle n’approuvait pas, bien entendu, mais n’en fit rien restant sous son air triste allant s’accoter a son tour sur l’arbre tout près de lui se cachant au moins de l’air frais, qu’il lui bloquerait, s’ha brillant ensuite de sa cape…

SAM:
Samaël resta tout aussi vis-à-vis de la réponse de silence que lui laissa Mève. Ce qui pouvait également le laisser comprendre qu'elle devait y réfléchir...
Inévitablement l'assassin fit le même travail cérébrale pour tirer dans son esprit, sa par de vérité. Était-il un déserteur? À c'est souvenir non, malgré toute les occasions où il aurait pu se retourner et faire demi-tour, il était resté. N'était-ce pas lui qui avait fait face a Karia lorsqu'ils étaient confrontés a lui? Ce n'était pas parce que tout à coup il se retrouvait docile que Samaël oublierait les yeux jaunes qui l'avaient dévisagé de la fureur la plus terrifiante qu'il n'avait jamais croisé...
Non, il était lâche sur certain point mais pas un totale enfoiré de son espèce de personne. C’est alors que le cavalier pris l’initiative d’arrêter la marche et Mève même alla aussitôt le rejoindre et même s’asseoir a ses côtés. Il resta un instant abasourdi de la chose avant de s’approcher à son tour et se blottir près de la rôdeuse dans un silence religieux.

KAria :
Compte au chevalier noir, toujours reposé contre l’arbre, il n’afficha pas plus de commentaire que les deux autres mais réfléchissait tout aussi intensément. Karia n’était pas un personnage ordinaire du monde militaire, les terres de Magëa Dia étaient son monde, son univers et il lui était vital de toujours se rappeler les chemins qui le mèneraient en sécurité. De maintes fois il avait affronté les humains de maintes fois, il s’était délivré de leur prison, de maintes fois, on lui avait donné la chasse et toujours sa mémoire avait été sa défense la plus terrible. Sa connaissance des lieux avait également un lien avec le fait qu’il avait dessiné lui-même, certaines cartes de campagne lors de certaine guerre.
Karia était non seulement cruel et combatif mais aussi un fin tacticien qui savait réfléchir. De plus il voyageait régulièrement et ne cessait de s’étendre sur les frontières humaines rien avoir avec un Hermite qui ne cherche pas à connaître l’environnement qui l’entour tout au contraire.
Mais le sujet auquel il réfléchissait n’avait rien avoir avec son invasion et où il se dirigeait actuellement s’était bien au sujet de ses deux voyageurs temporaire. Que ferait-il d’eux? Évidemment, il ne pourrait pas jusqu'à la toucher à un moindre cheveu de la rôdeuse son sens du devoir trop accrus de fierté pour son grade pour ternir sa parole et sans elle son invasion aurait été un peu plus difficile. Mais Il s’agissait d’humain! Ce n’était que de misérable humain… Des ennemis. Il tourna légèrement la tête pour les regarder avant de retourner plonger son regard sur l’horizon à l’attente de quelque chose ou d’un adversaire. Le cavalier poussa un profond soupir qui étala sur une courte distance une colonne de vapeurs d’entre les dents de son heaume qui sifflait sinistrement comme un râle de gorge et un mélange d’échos. Il rapprocha davantage ses genoux contre lui y déposant ses coudes et se mettant a relaxé sans pour autant trouver le sommeil sa respiration puissante et bruyante alors devient de plus en plus silencieuse donnant l’illusion qu’il s’endormait. Une véritable illusion même car s’endormir à côté des humains était aussi inimaginable qu’aller se livrer lui-même aux autorités. Plus après, son cheval le rejoignit restant tout près se couchant lentement sur ses genoux restant immobile, comme s’il aurait compris que la route du lendemain serai bien longue.

Mève : Elle fixa le cheval puis le chevalier un instant avant de poser les yeux sur l’assassin qui venait de se mettre a ses côté. Son regard tourna voir ensuite l’horizon… Il était maintenant vide et sans vie comme si elle venait de mourir mais même si elle le paraissait son corps se reposait et son esprit cherchait sans jamais trouver ou découvrir ce qu’elle voulait savoir réellement… Cette femme qui avait vécu l’exil maintenant depuis quatre longue années se demandait si la vie qu’elle avait eut avant de rencontrer c’est deux là était mieux. Qu’aurait voulu son père pour elle une destiné de fugitive ou plutôt de combat ? La réponse était simple et évidente, mais l’expérience est un atout, qui s’apprend et non une chose acquise, essentiel a toute chose pour survivre et même avec les plus fort que soit. Ses pensées tournèrent subitement vers un autre sujet comme si tout se bousculait trop rapidement dans sa tête. Karia, pourquoi avait-il été aussi faible envers elle ? IL aurait pu la tuer en pleine forêt et se libérer tout simplement de ses chaines avec elle en la décapitant pourtant le problème aurait été bien simple à réglé pour lui. Mais il a plutôt décidé de l’amener à son château et de l’attacher à son lit d’une façon lamentable car juste en tirant sur celle-ci elles se sont défaites… Que désirais-t-il donc d’elle où voulais-t-il en venir au juste ? Grrr…la jeune femme pousse un soupir à peine perceptible et continue de réfléchir…Seule une dette pouvait tout simplement avoir eut une tel influence sur un homme de ce genre. Car si elle se rappelait bien elle l’avait « aidé » lorsque qu’il s’était libérer des deux arbres… « Une générosité peut en emporter une autre tout dépendant de qui elle vient et de qui elle est reçu ainsi que vu… » Disait son père qui lui-même avait suivi un certain code dans le temps qu’il vivait… IL n’y avait pas que la dette dans cette situation car Mève avait vu dans le regard de cet homme un défit à essayer de la sur monter elle qui lui représentais une certaines menaces à examiner ou observer… Tout pouvait être à venir avec lui…

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

Après ce qui lui sembla un long moment de pure ennuis et d’endurance a se froid nocturne, l’assassin blotti contre Mève commença à s’endormir en frissonnant régulièrement. Bien sur, il s’attendait a être repoussé ou autre mais ce dans aucune intention de bougé ou se déplacer d’un centimètre plus loin de sa source de chaleur que son petit corps maigre et démuni de graisses avait peine et misère à fournir pour lui seul dans cette environnement.

Il restait hanté par les paroles de glace et de lame qu’avait dressé le chevalier noir contre lui… Un personnage si affreux pouvait-il réellement réussir à lui faire la leçon!? Comment Mève pouvait croire en ce personnage singulier plus qu’en lui? Alors qu’ils avaient vécue tellement de chose ensemble.

C’est vrai après tout! Elle pouvait bien dire se quelle voulait. Mais il avait tout risqué quasiment pour elle! Oui! Qui, qui s’était bagarré avec la vigile d’une ville entière, fini chaînes aux mains et poursuivie jusqu'à terminer dans l’humidité mordante d’une cave d’une vieille dame trop sourde pour avoir remarquer quoique sois et trop aveugle pour avoir assisté à sa sorti. Après tout ce malaxages d’idée, l’on pouvait lentement percevoir quelque soupir de sommeil s’évadé par le masque qui ombrait la bouche de l’assassin.

Les huhulements d’une chouette habitant la ou des gens avait assiégé son arbre se firent entendre un petit moment jusqu'à ce que cette dernière parte chassé contrainte de se nourrir malgré c’est angoisse.

En entend la chouette, le chevalier noir discrètement, amena ses serres vers les sac que portait son cheval en repos sortant une arbalète d’ébène qu’il chargea d’une flèche de fer. Il ne laissa voir aucun doute sur c’est intention puisqu’il pointa son arme dangereuse vers le ciel guettant assurément le volatile.

Il patienta, patienta, patienta et une fois ciblé sur la source de chaleur qu’il voyait brillé au dessus de sa tête comme un soleil miniature, il décocha.

La rodeuse finit par fermer les yeux malgré le défilement d’idées qui déboulaient dans sa tête… Ne réagissant pas aux approches de l’assassin, car de toute évidence elle avait froid et le fait que quelqu’un se colle sur son corps le réchauffait un peu plus…

Elle sentit les petits soupirs que dégageait Sami pendant qu’il dormait mais cela ne la dérangea point…Le son doux et calme de la petite chouette qui hululait lui faisait pensée à sa maison que « ce tas de muscles » avait détruit pour ses besoins personnel -_-…

Et tout à coup, un déclanchement se fit entendre fendant l’air et du coup la nuit redevint triste et sans bruit…

La rôdeuse fit un petit saut et découvrit qu’au fond c’était encore se foutu demi-race qui faisait des siennes…

-Est-ce que tu passes toujours ton temps à tuer tout ce qui bouge ? Sa devient lassant à la fin, non ?!* chuchota-t-elle d’un air frustré avec le ton des plus sarcastiques et décourager…

-…Et, il ne t’arrive pas de dormir ou sa ne sort pas de ton vocabulaire, je suis sur que cela t’aiderait grandement… Je te trouve grognon depuis que l’on se connaît…* lança-t-elle, ne pouvant s’empêcher de le baver un peu, juste assez pour le picosser et le faire réagir^^…

Le demi race resta muet à ces remarques. Il avait faim! Et il s’ennuyait! Donc il ne fit que poussé un soupir face a l’échec de toucher sa cible. Car même s’il l’eut bien visé, la chouette par chance pu continuer à vivre… Il émit un grognement de mécontentement et rangea son arme, comme s’il avait entendu ces commentaires comme des ordres auxquels ils devaient obéissance.
- Dormir est un privilège que je ne peu pas abusé comme les humains… en particulier en présence d’humain. Souffla t-il entre ses crocs, un commentaire qui l’amusa de la tournure de ses propres mots.

Puis, il dégaina son épée qu’il planta doucement devant lui en appuyant le pommeau contre son épaule droite. Il semblait malgré ces dirent prendre une position apte à un sommeil de guerrier. Il se voulait subtilement obéissant.

La jeune rôdeuse poussa un soupir de découragement, " ...dormir est un prévilège..." répéta-t-elle d'un ton moqueur dan sa tête.

" Après on se demande comment ça qu'il peut être aussi bête et soupe au lait?!" Pff!

La femme se recroquevilla un peu plus sur elle-même, puis lorsque la chaleur vaint un peu plus... Elle le relança ^^...

-Est-ce que t'a peur des humains au point à n'en pas dormir, par Hasard?

* Dit-elle d'un ton très sérieux mais, avec un sourire aux lèvres à peine perceptible...

Il était vrai que ce n'était peut-être pas bon de le faire rager mais, c'était son petit plaisir personnel... ^^

Karia commençait tout juste à reprend un certain calme, à demi près pour un sommeil surveillé quand Mève le « réveilla ». Il arrêta durant un bref instant sa bruyante respiration qui avait pris un rythme régulier comme s’il réfléchissait à la question.

-Bien que tu ais remarqué ma férocité, je crois que tu as pu constater… dans quel environnement je progresse. Souffla t-il sans rage

Intelligente comme tu es, la flatta t-il étrangement comme du sarcasme, tu as pu certainement déduire que la peur était le moteur de tout mon univers… n’est ce pas? La peur, n’est qu’une fatalité au quel personne n’échappe. Sans la peur, il n’existerait pas de courage, il n’existerait pas de guerre et il n’existerait pas d’injustice… Termina t-il en resserrant, à la fin de sa phrase, ses mains qui formèrent un poing d’où le cuir se mit à craquer sous la plaque. Sa voix s’était remplie de haine, de déception et d’une mystérieuse mélancolie. Puis son bref moment de lucidité fit place à une contre-attaque.

N’est ce pas la peur elle-même qui ta poussé à faire ce pacte avec moi? La peur de perdre la vie ne ta telle jamais pousser à te protéger et craindre ceux qui t’entoure? Quelle leçon essayes-tu de m’apprendre? Dit moi, a quoi pourrait bien t’avancer de constater plus concrètement que cette peur n’a rien de bien étonnant. Essaya t-il de lui faire remarque a quel point finalement, il trouvait cette question stupide. Elle cherchait quoi en posant cette question?

La rôdeuse le regardait avec un air vide et sans réactions quelconques à ces remarques…

-Oui, je sais que je suis intelligente…Tu n’as pas besoin de me le faire remarquer… Et non… je n’ai rien a t’apprendre à se que je sache tu es bien capable tout seul…

* Poursuivit t-elle avec un sourire moqueur pour ensuite revenir à la conversation.

- Car tu répond toi-même à t’a question…^^ Pourquoi devrais-je y répondre alors ?

- La peur est toujours celle qui nous fige lorsqu’elle apparaît, c’est elle qui nous pousses à commettre les pires actes et moi je n’appelle pas sa du courage… *Puisa-t-elle d’un peu de ses souvenirs…

- De plus, c’est souvent elle qui nous fait fuir ce que l’on devrait affronter…Alors ne vient pas me dire en plus que c’est-elle qui dirige ton monde, car je vais rire de toi…

*Affirma-t-elle d’un ton sérieux et très étonné de la façon d’on il voyait la chose…

- Et non je n’ai pas fait « ce pacte », comme tu l’appel si bien, parce que m’a vie était en danger et que j’avais peur pour elle…

* Il y avait bien des raisons de rester en vie mais ça c’était une autre histoire pour la rôdeuse…Comme seul réaction facial se fut un petit sourcil relevé que ce demi eut droit de sa part…

Il s’était préparer mentalement maintenant à ce type de réponse de la par de sa nouvelle protéger… Il ricana doucement d’une telle ignorance et risqua une opinion un peu plus pointue et finale au sujet de la peur.

-Décris comme tu l’as connue surement, la peur est une faiblesse…

Mais j’ai connu tellement d’expression chez l’humain que j’ai pus malgré moi expérimenter bien d’autres aspects dans les quel la peur pouvait s’avérer être le déclanchement d’un moteur terrifiant, celui du chaos. J’ai vue des hommes pleurer, hurler et frapper ceux qu’ils aiment de peur. J’ai vue la folie de la peur et du désespoir remplir les yeux de personnes qui avaient croisé mon chemin en connaissant déjà l’aboutissement de cet affrontement. Le courage ne symbolise rien d’autre que la force qui nous permet de surmonter cette peur. J’ai connu alors à se nom, d’innombrable humain. Mon monde est entièrement basé sur la peur et sa puissance. Avec elle, j’ai soulevé d’abords ce qui apparu être une rébellion et ensuite une armé pour devenir finalement un empire. La peur vie en moi comme un feu sacré et par elle j’aurai accompli le meilleur comme le pire et pour la signification de ces actes il n’y aura alors que la perception de chacun pour juger du bien ou du mal qui s’y trouve. Vivre sa peur nous appartient individuellement, si toi elle te fige, moi elle aura été mon arme principale.

Alors si tu me dis que ce n’est pas la peur qui a été le juge déterminant de tes choix, c’est moi qui vais rire de toi. Tu craignais que cet assassin t’abandonne à ton sort celui de la condamnation à mort pour complicité avec un meurtrier. Ta seul option s’était moi que tu crains aussi et ce pacte n’est au final qu’une barrière temporaire. C’est également la peur qui a lié nos chemins. De crainte que je ne tue ce bambin, tu as intervenue et tu ma fuis. Qu’est ce que tu pouvais bien croire pauvre sotte? La peur ne peu n’être ce que tu as décris si simplement. Quelle autre motivation aurait bien pu te pousser alors à faire ce choix?

Finalisa t-il ce qu’il trouvait inconcevable. Rien ne pouvait justifier autrement pour lui a première vue le choix qui avait motivé la rodeuse. L’orgueil pourrait lui faire dire ce qu’elle voudrait, pour lui la peur n’avait plus le moindre secret. Il ne concevait en rien la possibilité qu’il est pu y avoir une autre motivation quelconque.

]Mève : - Ce choix ne te regarde pas! Monsieur le chevalier sans peur…et qui n’aime
que le chaos et la discorde …et pour qui te prends-tu pour commencer à faire la
morale? Toi qui semble ci fier de ta personne….moi …moi… moi!* fit-elle
en balançant la tête de façon a le faire réagir un peu…- Avec Ton monde et Ton chaos! Et de toute façon amener la peur et faire le
chaos finit par détruire la personne qui le tient en laisse… Le pouvoir peut s’acquérir
d’une tout autre manière et toi tu ne l’as pas du tout …*ricane-t-elle derrière
sa cape …- je te trouve même pathétique …hi hi…hé hé… *Elle le fixa droit dans les yeux essayant de déchiffré les vraies intentions
de se personnage fourbe et sans aucun
tact… Pourquoi ne vouloir que ténèbres alors qu’il y a beaucoup mieux que cela …peut-être
n’a-t-il jamais vécu autre chose et c’est de cette peur du changement même a qui tente-t-il d’échappé…

Qu'elle buté celle-la! Ouverte a aucun point de vue.
Il pouffa sèchement une colonne de vapeur entre c'est dent de fer, son regard lueur de braise ce pausant un cours instant sur elle lorsqu'elle termina son discours pompeux.

- Comme si tu savais de quoi tu parle!! toi qui n'est personne! Tu as trop peu vécu pour te permettre de juger ce qui peu échapper a ta compréhension.

Tout ce que tu sais faire, c'est de te contenter de survivre et de regarder, mais en aucun cas t'investir en quelque chose de plus grand.
Tu compare des visions de vie,alors que tu n'en pratique aucune, tu ne fais que te ranger sur celle qui t'arrange le mieux.

Ce qui est pathétique c'est ton manque de discernement même pas foutu de faire la différence entre.. un humain et un demi race.

S'enflamma d'abords Karia en levant le ton furieusement puis s'avançant sur des suppositions sur elle, puisqu'elle jouais sur ce sujet alors que l'un comme l'autre ne ce connaissais pas plus que ca, pour finalement finir beaucoup plus calme sur une phrase qu'il avait du mal a croire d'avoir dis.
C'était une chose rare pour lui d'arriver a décrire si bien soudainement ca penser profonde sur les choses surtout en ayant une monté de rage comme il avait subitement eux.
Il ce dit qu'il était surement surmener et repris une position adosser entièrement contre l'arbre ou s'enfonçait les lames verticales de son dos dans l'écorce. Comme s'il désirait maintenant mettre terme a cette discussion qui au final ne mènerai nul part.

-_- ... non mais c'est quoi son problème a cette bébête d'acier de toujours essayer de trouver une excuse pour ne pas changer sa vision du monde autour de lui! Pauvre garçon chéri persécuté par tout les gens qui l'entour...bouhouu(sarcasme) Se n 'est pas parce que je ne suis pas une supposée demi-race que je ne comprend pas le sens de la vie... grrr, je déteste cet homme mal bourré et sans aucun sens de l'humour... Twisted Evil

- Écoute l'ancêtre! parce qu'a t'entendre parler c'est ça que tu es! (mouhaa *sur un petit ton moqueur question de l’écœuré encore)on ai pas obliger d'être rendu aussi vieux que toi pour comprendre et juger! M'investir dans quelque chose de plus grand... (laisse t-elle en silence quelques instants pour lui faire penser qu'il la faisait réfléchir alors que son idée était faite depuis longtemps)

-...pas intéressé des plans que je me retrouve a ne jamais être satisfaite.. un peu comme toi finalement. ^^Et se qui est de savoir ce que tu es ... c'est gentil de me le dire mais si je n'ai pas voulu savoir c'est que sa ne m’intéressait pas! Et c'est sur des demi-races dans mon coins de pays il en passe au moins... environ...jamais! Alors lâche moi le foutu, comme tu le dis très bien, discernement! *Elle le regardait avec ses petits yeux noires de provocation!

-_- pauvre cloche se dit-elle il ne me connait même pas et il croit tout savoir de ma personne! Il rêve en couleur ou quoi!

Il ne pu s'empêché de pouffé un rire en entendant sa réplique insignifiante, l'écoutant malgré lui avec attention pour essayer de saisir le moindre petit détail tranchant à lui retourner à la tête.
Mais elle réussi tout de même a l'énervé sur ça façon de dire des choses sans le connaitre encore qui n'était pas entièrement fausse..mais tout de même injustement nommé.

Comme l'insatisfaction..

Il garda le silence, puisqu'elle lui ordonna de ''changé de sujet'' grognant doucement dans un soupir décourager. Ça ne valait pas la peine de répliquer a ca.
Karia demeura donc silencieux a sa provocation, son attention ce portant d'avantage sur ses propres épaules et à sa jambe qui avait été plutôt dans la journée blessé afin de protégé Mève sans la moindre hésitation.

Plus que deux.. fois et il en aurai fini d'elle.

Il défit ses poings qu'il avait serrer dans la contrariété de leurs discutions sans intérêt et alla ce tenir la cuisse droite un moment, écrasant l'acier froid de son armure sur la plait dissimulé, puis roula l'épaule opposé comme dérangé par ses sensations de brulure et d'enflamment.

Puis, il s'arrêta ce tournant vers Cronos, qui sommeillait au près de lui. Sortant de ses sacs une gourde d'eau en peau. Il la posa sur son bassin pour aller porté maintenant ses mains sur son heaume terrifiant, le désaxant de sur ses épaules pour libérer sa tête. Ses cheveux fauve et fin tombant sur les épaulières de son armure, dégageant une certaine chaleur sur l'instant et laissant entrevoir a nouveau son visage froid et sévère.
Mève s'était placé a sa gauche, laissant entrevoir sa balafre profonde sur son visage, d'où le regard était aussi sombre que la nuit qui les entouraient. Il soupira a nouveau, mais cette fois ce fut plus silencieux que lorsqu'il était derrière son heaume, puis, il porta la gourde a ses lèvres prenant quelque gorgé.

*C'est ça rit toujours de toute façon ta beau te moquer mais je sais que derrière tout cela il y a autre chose... pensa-t-elle mais contente qu'il ne réplique pas d’avantage la rôdeuse se mit a regarder l'horizon tombant un peu dans ses pensées et se remémora toutes les péripéties qui s’était passé jusqu’à maintenant... *pff, se dit-elle * dans quoi encore est-ce que je m'embarque?...

Puis mève sentie le demi qui lâcha un soupir alors ses yeux se tournèrent et virent qu'il semblait se tenir la cuisse droite, avait-il été touché? Car lorsqu’ils ont été attaqués dans la forteresse le chevalier ne lui a pas dit qu'il avait été touché ou quoi que se soit...

La jeune femme se leva donc doucement pour ne pas réveiller l'assassin qui sommeillait sur elle et le déposi tranquillement au sol. Puis s'approcha face a karia pour regarder cette plaie qui semblait le faire souffrir même s'il dirait le contraire... - Laisse moi regarder ça.*dit -elle d'un ton très calme et gentil qui la surpris elle-même. Il ôta son heaume afin de s'abreuver et mève put voir cette cicatrice qui semblait descendre tout au long de son visage sur le côté gauche puis qui semblait aller sur son torse mais elle ne pouvait que voir sa figure jusqu’à son cou.

Karia qui était entrain de boire s'immobilisa en la regardant venir se placé devant lui comme figé dans son mouvement, il descendit très lentement la gourde de son visage en avalant avec difficulté le liquide qu'il venait de couler dans sa bouche. Il la dévisagea sans parler, l'air sauvage et interrogateur comme s'il n'était pas certain de ce qu'il venait d'entendre.

Il resta dans le dilemme de comprendre ça demande comme un ordre ou une suggestion, regardant ses yeux qui le toisait sans détour. Une chose qu'il n'avait pas habitude de subir des gens qui le craignait trop pour le regarder de si près.
-...Regarder quoi..? Fit-il incertain de comprendre le message qu'elle tentait de lui faire saisir surtout après leur dernière discussion et les mésaventures antérieur, il ne s'imagina pas un seul instant qu'elle pouvait ce soucier de son état de santé.

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

Samaël ne répliqua pas, dormant déjà assez bien pour ne pas s'apercevoir que sa source de chaleur s'éloignait de lui, vue la douceur avec la quelle elle le déposa au sol. Il ce contenta de ce recoquillé sur lui-même et resté endormis paisiblement.

- Laisse moi regarder ta blessure! Qu'est-ce que tu veux que j'observe d'autre sa semble te faire mal alors je vais regarder... * non...mais! il s'attendait a quoi là? je ne le toucherai certainement pas pour le plaisir quand même!

-Je ne vois pas de quoi tu parle... Ronchonnas t-il d'une voix douce et à la fois agacé, en détournant le regard comme a son habitude, pourtant allant posé une de ses mains sur son genou droit qui ce rapprocha soudainement plus près de lui. Il laissait comprendre par son non verbale qu'il n'avait pas songé avoir été aperçus entrain de tenté de ce soulager plutôt. Puis finalement, il ramena son regard froid et noir vers elle qu'il laissa retombé vers ses pied lentement par orgueil comme pris d'une certaine pudeur, sachant pertinemment que si elle insistait, il devrait lui obéir.

- ahhh tu me désespère montre moi ta blessure je te dis! Thumb down

Ma voir se que je peux faire je t'ai entendu te plaindre tout a l'heure... et tu cache très mal l'endroit où se trouve cette blessure...* elle s'approche d'avantage se mettant sur les genoux elle voulu délicatement tassé sa main sans le brusqué pour mieux voir se qui s'y trouvait en dessous...^^

Il resta muet un moment pendant qu'elle s'approcha comme perturbé par ce qu'il entendait, résistant un petit moment en s'accrochant a son genou alors qu'elle tentait de chassé sa main.

Il ce crispa naturellement devant cette bonne intention, ne s'y étant pas du tout attendu...
A son oreilles, son désir était claire et il du finalement ce montré docile vis-à-vis sa demande.
Le chevalier noir pris son temps, l'observant de façon méfiante et inquiet qu'il cacha aussitôt en baissant le regard vers sa jambe.

Lentement et visiblement a contre cœur, il lui obéis.
Il détacha sans presse sa jambière d'acier noir au niveau de son bassin, libérant sa jambe avec une certaine gêne. Il poussa la masse d'acier avec soin laissant voir son pantalon déchiré et ensanglanté au niveau de sa cuisse droite, blessé d'un grand trait de flèche qui l'avait suffisamment frôlé pour lui fendre la peau sur la longueur.

Karia poussa un soupir résigné, allant maintenant défaire ses épaulières, qui cachait ses épaules où certaines flèches s'était fiché la et où il avait laissé certaine tête d'acier dans le feu de l'action logué dans sa peau en tentant de se les arrachés. Son orgueil était palpable, mais il semblait devoir passé outre cette fois-ci, n'osant trop la regarder durant le moment qu'il ce déshabillait de sa précieuse armature de fer.

- oh lala... je suis contente de t'avoir obliger a me montré tout cela... tu as finalement passé un sale quart d'heure... * même s'y elle le détestait, son corps ressentait la douleur que cela pouvait lui occasionner. - sa te fera des petits trous en souvenir* dit-elle pour faire honneur au sarcasme qu'elle commençait a oublier!

La jeune femme enleva sa cape qui était doublé et y défaisit le côté a l'intérieur pour aller en faire des lanieres sur la longeur a partir du capuchon vers le bas tout en les découpant avec une tête de flèches de son arquois. Puis elle qui était une femme avertie et prévenante en fôret (et pour quelques mésaventures aussi) elle décousu patiement un endroit délicatement pour en récupéré le fils. Pour finir cacher a travers son corset mève sortie une petite aiguille pour l'occasion.
-As-tu dans tes sacoches de quoi desinfecter ces plaies? ou tu n'as que ta gourde d'eau?...

Son silence était accompagné d'un regard intense, lisant sur ses lèvres pour être sur de ce qu'il entendait sortir de sa bouche ... Elle s’inquiétait ou il était entrain d'halluciné?
Toute cette attention le perturba, alors qu'elle devrait le haïr de toute son âmes...

Pourquoi souhaitait-elle le soigné? visiblement il en conclus que c'était belle et bien son intension vue la façon qu'elle ce comporta par la suite. Sa férocité ne lui serai d'aucun secours, ni sa violence... Et lui faire savoir le malaise qu'elle lui faisais subir reviendrai a un déshonneur trop insupportable pour dire quoi que ce soit alors qu'elle démembrait son habit a fin de créé a première vue des bandages.
Lentement et silencieusement calme, Karia porta sa main gauche sur son visage reposant ainsi sa tête entre les griffes de son gan de fer, l'observant comme sans mot devant se changement de tempérament. Comme s'il s'avait pertinemment que quoi qu'il eut envie d'exprimé ne lui serai d'aucun secours.

Alors soudainement son regard ce figea sur un objet pointu, laissant poindre dans son œil découvert un intérêt tout particulier. Une aiguille...

Le cœur du chevalier noir s'emballa soudainement... ne répondant pas au question et au affirmation de sa '' maitresse''.
- Qu'est ce que tu crois avoir l'intension de faire?... trouva t-il a demander alors d'une façon particulièrement timide et angoissé a la vue de l'objet pointu qu'il tenait en profonde horreur.

]- Quoi! La ne vient pas me dire que tu as peur des très petites aiguilles en plus!* Le taquina-t-elle et ne pouvant retenir un petit sourire... - Quest-ce que tu penses que je vais faire a ton avis... Si je ne recous pas tes plaies elle seront 5 fois plus longues a refermées et oublie les grosses activitées... comme.. te battre par exemple... * vut qu'il n'avait pas répondu a sa question elle prit sa gourde d'eau et humecta un bout de lanière afin d'aller nettoyé la plaie le mieux possible au niveau de la cuisse puis et regarderais ensuite s'il n'y aurait pas d'autres blessures profondes sur son corps...

-les hommes toujours pret a se battre a coups d'épées et de masses pis même pas capable de toléré une aiguillette... je ne vous compend toujours pas ^^ * se reprit-elle de plus belle...

- ... Il resta sans mot une nouvelle fois, en fronçant des sourcils a son commentaire jusqu'a ce qu'elle exécute ses ''menaces''. Le simple fait qu'elle le touche lui fit fermer sa main contre son visage, lui faisant ramener contre son ventre son autre bras dont il ne savait quoi faire, ce retenant le flanc pour évité de réagir avec impulsivité contre elle.
Il ce mit a ce demander intensément ce qui pouvait la poussé a un tel acte envers lui et sans attendre plus longtemps, il essaya de la perturbé en lui demandant sans détour.
- Pourquoi te soucis tu de mon bien être tout a coup? Souffla t-il sombrement la toisant d'un regard sombre et acre, alors qu'elle sembla s'approcher de plus près de lui en cherchant les autres blessures qui couvrait son corps. Dans sa manière a lui, il essayait subtilement de la repoussé sans le laissé paraitre... enfin il le fit de façon plutôt mal a droite car lorsqu'elle s'approcha de trop près, il ce recula contre l'écorce de l'arbre redoutant toujours autant son approche de son corps. En particulier avec ce qu'elle tenait en main.
Il serra les dents en descendant son regard vers l'objet pointu et dégageant sa main de son visage en allant la posé au sol où il s'agrippa en enfonçant ses griffes acérer, le visage devenant perturbé malgré le calme qu'il tentait de laissé percevoir.