L'embuscade

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Un jour, qui promettait soleil et calme pour une sortie en dehors des terres mortes, conduisait un escadron demi-race hors de leur territoire. En tête, Karia Soubraxiu en personne, suivie de près de sa récente recrût Désiré. Le territoire vers le quel ils se dirigeaient, appartenait jadis à des humains et des elfes, forcés de se retrancher loin de chez eux, charger afin de maintenir les derniers rempart face à l’invasion demi-race. Peut nombreux face à l’armée ennemi, ils appliquaient des stratégies plus vicieuses et délicates pour diviser les forces oposés.

Un espion de la résistance humaine s’était infiltré dans ce cadre, dans les rangs ennemi depuis peu. Il avait pour mission de découvrir des informations vitales sur les déplacements, les technologies, leurs plan d’attaque et ciblé les têtes dirigeante demi races pour finalement donner le signal du moment le plus adéquat pour attaquer leur seul cible, Karia et tous les hauts gradés demi race. Pour démanteler la force militaire de Xar’minos, pour eux, il n’y avait qu’une seule option. Éliminer le cerveau de qui les menaient tous.

Cet espion faisait partie du voyage et avait suffisamment été longtemps dans l’armée ennemie pour connaître le cicle des procédures qu’utilisait cette machine de guerre qui pour le moment était inébranlable.

Ils avaient tout prévu depuis des mois, hormis la présence du monarque à ce voyage et un aussi grand nombre de légion amener pour l’entrainement. Un heureux hasard qui leur apparaitra comme un signe tombé du ciel. La guerre pourrait prendre fin une fois pour toute, s’ils parvenaient à abattre ce monstre don la carcasse avait une valeur inestimable. Ils avaient déterminés l’endroit et le lieu le plus susceptible d’être l’objet d’entrainement des nouvelles recrût. Un village humain, encore épargné par les pillages et la misère que répandaient les demi-races.

Prévoyant, ils avaient fait évacuer les civils trois jours à l’avance et transformés ce petit lieu paisible, en véritable embuscade prévue bien entendu pour un nombre plus réduit d’ennemie. Une information qui leur était encore inconnue puisque l’espion n’avait eux aucun moyen de les avertir à temps pour leur permettre de se préparer à cet inattendu. Son seul espoir était d’obtenir le rôle d’éclaireur et mener ainsi les troupes la où ils devaient absolument se présenter tout en ayant pris soin d’avertir la résistance.

Le terrain en question était idéal pour la vie, des plaines et des champs à perte de vue et le sud du village était entouré d’un boisé plutôt vaste qui s’allongeait le long de la rivière que devrait traverser l’armé. Une rivière imprévisible et parfois sauvage qui pouvait à tout moment faucher des vies.

Cette sortie inattendue de Karia était due à la seule présence de Désiré. S’il devait nommer cette personne à la tête de la base de son armée, il voulait être sur de ses propres yeux, des aptitudes que possédait cette personne. Il la croyait incompétente depuis le début, mais suite à leur combat en arène, il avait pu constater quelques aptitudes d'exception, un potentiel qu’il chercherait à exploiter si elle en valait réellement la peine. Il voulait la voir en action face à des ordres très strictes et regarder comment elle réagirait face au chaos dans le quel, il allait la jeter. Comment réagirait-elle, s’il lui demandait d’écorcher vif un bambin humain, arracher des mains de sa mère ou de le jeter dans les flammes où calcinerait les dépouilles de tout un village? Supporterai telle l’odeur du souffre et de la mort, de voir le sang tacher sa peau? Car Karia le savait, il y avait une grande différence entre se défendre avec une arme et celle de s’en servir pour assassiner. Leur mission n’avait aucun autre objectif que l’extermination… C’était belle et bien un raid mortel.

Dans ce voyage, il voulait savoir combien d'horreur que l’âme de Désiré serait prête à endurer, tel que pouvait vouloir signifier le mot guerre. Il savait combien, de tels actes pouvaient changer à jamais le cœur d’un soldat. Alors, comment réagirait celui d’une femme qui se complaisait dans la tendresse et la séduction? Un sourire prit forme face aux pensées des expérimentations qu’il ferait sur son nouveau jouet, car pour elle, il ne réservait que les pires traitements qu’il aura fait subir à un officier. Il ferait tout pour refroidir cette flamme vivante! Il ferait tout oui! Pour qu’elle le craigne à sa juste valeur et que plus elle se ferait chaude à son égare, plus il tentera de vider se regard de toute joie et espoir. Pourquoi songeait-il à tout cela? Ce n’était que de la pure jalousie…

Pourquoi quelqu’un aurait le droit d’avoir des yeux comme ceux la? Alors que lui, il devait baisser les siens devant celle qu’il admirait et désirait le plus ardemment dans le profond de son être. La toucher? S’était impensable! Lui déplaire impardonnable. Lui démontrer la moindre émotion de ce genre, ne méritait que chatiment.

C'était sans se faire de tel lien avec ce qu’il ressentait réellement, qu'il désirait sans savoir pourquoi, voir Désiré s’effondrer. Il voulait assister à la destruction des fondements même des valeurs de cette femme et de son esprit, voir la fin de son humanité. Il jubilait à l’idée soudaine de la ramasser à la petite cuillère en jouant l’homme compréhensif, alors qu’il aura été l’auteur de toutes ses douleurs. Elle oublierait bien vite l’envie de se retrouver dans la même pièce que lui. Tout aussi lumineuse pouvait être son âme, plongé dans les ténèbres de la sienne, Désiré se ferai absorbé par la noirceur. Il l’avait pourtant averti, il avait été clément et généreux avec elle, mais elle subirait maintenant le courroux d’une haine corrompu et glaciale par son arrogance démesurer.
Elle le remercierait plus tard, de l’avoir initier à cette pratique reconstructive.
Sans quel ne le sache, il l’initiait à la violence et la dureté pour durcir son caractère et forgé son esprit. Puisque pour Karia, Désiré était remplis de sentiment contaminés et de signes de faiblesses qu'il devait à tout pris éliminer avant d'en être affecté gravement.

Durant l’Ascension de leurs sorties des murs de Xar’minos, le chevalier noir resta silencieux, gardant son animal aux rythmes des pas de son armée, pas question de les distancer. Il réfléchissait certes à Désiré, mais également sur la prédiction de son invité. S’il découvrait la une embuscade, il s’agissait surement d’un coup monté, car pour penser démanteler une armé telle que la sienne, il faillait un minimum de préparation. Il fallait connaître également l’endroit, le nombre et où ils se dirigeaient, et sa personne hormis quelques officiers le savaient…

Il ne s’avança pas cependant, à se laisser séduire par la paranoïa, puisqu’il était bien décider à ne pas croire à un seul mot de ce qu’avait prédit miss Beviro. Il fit alors un geste de la main vers un officier qui portait l’étendard de Xar’minos dans le vent en approchant sur sa fière monture.

- Vous m’avez appelé mon seigneur? Demanda ce dernier, devinant presque à coup sur de la mission qu’allait lui confier Karia.

- Oui, par devant voir si la voie est libre et trouve-nous un endroit adéquat pour le campement de cette nuit. Je ne veux aucune perte de temps inutile. Lui confia le roi, sans méfiance et conseillé par l’impatience.

Les instructions reçus, l’officier partie devant, laissant sa légion sans leader. Un fait que Karia pris plaisir à crée.

- Officier de la Légion 69! Grogna maintenant le chevalier en direction de Désiré en lui faisant signe d’approcher également d’un geste du bras. Il attendit qu’elle s’approche pour lui donner de nouvelle instruction.

- Je souhaite que vous remplaciez l’officier de la légion 70 que j’ai envoyé en mission d’éclaireur. Vous vous en sentez capable? Leur vie est maintenant votre responsabilité. Ils doivent traverser cette rivière, saint et sauf, autrement dit vous devrez abandonner ceux qui seront englouti par les eaux, ce qui me décevrait beaucoup. Cette rivière ne laisse pas de place à l’erreur, je vous conseil donc d’emboiter mon pas et celui des autres officiers. Termina t-il avec un ton qui sous entendait très bien là, un ricanement de lui posé sur les épaules la pression de 100 nouvelles vies à diriger.
Pendant ce temps, ils arrivaient à la rivière dans la quel le grand Cronos amorçait la décente avec prudence en ouvrant la voie. Karia connaissait bien cette rivière et tout ceux qui ne suivrait pas son pas et tenterait de passé par un autre chemin ce verrai emporter par le torrent que cachait le lit de la rivière particulièrement profonde en son centre. Il y avait un endroit en particulier qui avait été artificiellement élevé pour permettre la traversé d’une rive à l’autre. S’il n’y avait pas eux de pont construit, s’était simplement pour conserver le point stratégique de cet obstacle contre l’ennemi qui ignorait ce petit détail.

Sa voie forte et enténébrée me fait discrètement soubresauter.
Mon cœur tressaillit, frappé par la réalité. C'est avec une braise
au ventre que mes yeux se froissent de douleur. La geôle
émotionnelle s'est resserrée, verrouillée. Je ne pensais jamais
m’abaisser aux services d’un être qui excède la cruauté que je
connaisse. Toutes mes gouvernes abattues avant même qu’ils
prennent leurs envols. Toujours assise, maladroite, j’admire le
paysage puisque les bras de Morphée sont inatteignables.

Ma réflexion me mène à savoir de ce qu’il adviendra de la bataille.
Je devrais me consacrer à la prévention. Pris sur la monture du
Seigneur, je reçois tous projectiles. Les barbares n’hésitent pas à attaquer…

Et voilà que sa voix glaciale interpellait la jeune ensorceleuse. Cela eu tôt fait de lui redressir la colonne, frissonnant un peu sous la puissance qu'émanait du grand roi et pourtant sa fascination ne cessait pas pour autant! Au contraire, elle ferait tout pour atteindre son but et il se trouvait que c'était lui, cet homme à l'allure si dure mais qui devant une femme frémit de peur! Elle avait bien remarquée ce caractère particulier chez lui qui le rendait alors encore plus convoité!

Les ordres étaient donnés, elle devait prendre le contrôle de la légion 70 comportant une centaine d'hommes de plus à diriger. Son visage la trahit en affichant le temps de quelques minuscules secondes, un regard incertain. Il n'était pas question qu'elle abandonne! Non! Elle reprit alors son sang froid et inspira grandement en hochant la tête vers le Seigneur en affirmant:

- Bien Mon Seigneur...

Sa voix était remplie soudainement d'assurance, il n'était pas question de lui faire croire qu'elle était quelque peu angoissée par la tâche qu'il lui donnait. Elle mena alors son destrier à la suite de sa Majesté et se tourna vers ses troupes et celle de la légion 70 et prit une grand inspiration avant de déclarer à voix haute:

- Légion 69, suivez le rang pour traverser la rivière, un à la suite de l'autre et tâcher de garder le rang bien droit! Légion 70, vous êtes sous ma gouverne le temps que votre officier reprenne son poste alors à la suite de mes soldats, faites vous aussi la file, je ne veux pas de désorganisation alors rester immobile le temps que le Roi et ses troupes traversent la rivière! Que ce soit bien clair!

Les montures se suivaient un à la suite de l'autre comme prévu, elle pensait alors que tout se déroulerait bien enfin pour le moment c'était le cas. La capitaine de milice haussa un peu le menton, fière de cet accomplissement, croyant bien avoir la situation bien en main, elle fit avancer son destrier à la suite des autres et attendit son tour pour passer la rivière.

Les flots étaient agités et commençaient un peu à l'inquiéter, il faut dire qu'elle n'avait jamais traverser de rivière aussi large que celle-ci et encore moins sur un cheval! La femme à la chevelure de feu tentait en vain de cacher son anxiété palpable par les simples gestes qu'elle exécutait pour diriger sa monture car bien entendu la monture elle même s'agitait un peu, étant de mèche avec le sentiment de sa cavalière.

L'ensorceleuse leva son regard vers le ciel comme pour l'implorer de lui donner le courage nécessaire, il est vrai qu'elle s'embarquait dans quelque chose de gros et qu'elle commençait tout juste à voir à quel point c'était sérieux mais d'un côté elle reprenait peu à peu confiance en elle et en son potentiel et étant de nature très orgueilleuse, il n'était surtout pas question de se faire rabaisser par des propos racistes ou des propos désobligeants venant du roi ou des autres offiers oeuvrant en son sein.

C'est pourquoi elle se gonfla à bloc d'un sentiment de confiance et de détermination qui lui donna une assurance bien voyante, du fait sa monture calma ses mouvements nerveux et la cavalière elle-même semblait en parfait contrôle de la situation ce qui était tout à son honneur.

Désiré observait souvent derrière pour savoir si ses troupes suivaient bien les ordres et dès qu'un cavalier s'écartait de la ligne, elle le ramenait à l'ordre pour se remettre à sa place.

Le reste du temps elle le passait à observer les lieux inconnus qui l'entourait, il faut dire que faire passer un si grand nombre de guerriers par cette rivière causait bien de la stagnation dans les rangs et l'impatience se faisait ressentir, la femme commença à songer qu'elle pourrait bien faire en créant un autre rang pour faciliter le passage de la rivière et qui économiserait en temps cette traversée périllieuse et du même fait elle pourrait peut-être avoir droit à un compliment de la part du Roi et d'un sens ça lui plairait bien...Mais il y avait un mais et ce mais était que Karia lui-même l'avertissait de le suivre et elle était persuadée que ce n'était pas pour rien alors elle resta à son poste malgré cette envie.

L'impatience de ses troupes commençait à la rendre nerveuse, elle passait son temps à leur dire de se taire et d'obéir...Mais plus elle le faisait plus elle avait envie de tasser son cheval afin de créer un nouveau rang. Elle observa le Roi devant et attendait de le voir de l'autre côté de la rivière, c'est à ce moment qu'elle prendra une décision entre rester dans les traces de son supérieur ou tenter de faire un autre passage pour débloquer la congestion qui c'était créé.

À bien y penser, il vallait bien mieux lui demander. C'est alors que Désiré s'éleva un peu sur sa monture et cria.

- Sir, ne serait-il pas plus aisé et rapide si je créais un autre corridor pour traverser cette rivière?

Dit-elle d'une voix suffisament forte pour que le Seigneur puisse bien entendre ses propos mais elle ne savait pas si le message se rendrait à destination...

Désiré resta donc dans l'attente d'une réponse du chevalier noir.

Cronos avançait lentement, exprimant régulièrement des plaintes angoissé lorsque le niveau de l'eau montait un peu trop haut, le menaçant a tout moment de le soulever pour le forcer a nager et du coup l'emporter dans son courant vicieux.

Karia quant a lui tenait les brides de son animal avec une fermeté rehaussée, ce qui encadra de façon serrer la voyante qu'il transportait, pas question de laisser les eaux lui arracher le plaisir de la tuer lui-même. Ca voix gronda dans une langue oublier des habitants de la surface et semblait destiner au cheval noir don les oreilles ne cessaient de bouger attentives a tous les bruits ambiants.

La traversé était un test de courage et de précision dans l'application des consignes, c'était une façon des plus cruel de sélectionner que les meilleurs des meilleurs. Le vent qui avait depuis sembler si calme, sur la surface de la rivière, devenait une furie bruyante et décoiffant.

Bientôtle chevalier allait atteindre le centre du chemin qui chaque jour était grugé petit a petit par les tonnes d'eau qui frottait sur le lit de la rivière...
Cronos tomba soudainement dans un creux au moment où Désiré essayait de dire quelque chose qui ne parvenu jamais aux oreilles de Karia qui essaya de toutes ses forces d'empêcher son cheval de paniquer et de s'enliser d'avantage.
L'eau froide monta soudainement par-dessus la scelle jusqu'au hanche de Karia dans un bruit bouillonnant et les firent dériver de presque d'un mètre le cavalier hors des rangs.
Le courant était d'une force insoupçonné et aurait surement réussi a emporter un cavalier plus léger, Cronos avait retrouver pied et avait réussi temps bien que mal a retourner a ça place...
Cependant Karia décida d'immobiliser la marche afin de sécuriser ce petit passage mortel ce qui ne faisait qu'accroitre le temps que l'armée passa dans l'eau,mais les circonstances était ainsi.
Il détermina rapidement un chemin déviant avec l'officier qui le précédait et repris aussitôt la marche pour rejoindre l'autre rive.

Il va s'en dire que la démonstration avait de quoi couper toutes envies de raccourcis a ceux qui aurait pu s'impatienter, mais ce ne fut pas s'en d'autre incident. Tandis que Karia avait rejoins la rive, un soldat qui était a pied et qui était trop léger commença a ce faire emporter par les eaux et essaya de s'accrocher aux autres qui le suivait en hurlant de l'aider. L'officier en charge avait eux beau hurler de le laisser ce faire aller, ceux qui essayèrent de lui porter secours ce firent emporter avec lui par la violence du courant.

On les virent, tout les cinq, s'éloigner de plus en plus vite et bruyamment en frappant l'eau de leur bras puis soudainement être engouffré dans un tourbillons souterrain. Karia n'avait pas le moins du monde manquer de regarder cette scène sans pour autant avoir essayer de leur lancé une corde.
Pour lui ce qui venait d'arriver ne pouvait être éviter.
Ceux toujours remplis de compassions avait démontrer fatalement leur faiblesse et lui apportait un nouvel exemple que les hommes n'était qu'une race de faiblesse. Cette incident le ravis intérieurement tout en le faisant bouillir d'une rage mystérieuse...
Après tout, nous sommes tous prisonnier de notre propre identité et ça même si le demi race ne voulait l'admettre; Une demi par d'humain sera toujours qu'une faiblesse peut importe qui en héritait, même lui.

Cronos ce secoua vigoureusement en poussant un gémissement, rassurer de retrouver la terre ferme, l'animal s'agita doucement.

Désiré observait à l'horizon et vit le Seigneur plongé dans l'eau, elle eut le souffle coupé l'instant où il arriva à reprendre le chemin, la rivière semblait agitée et cela l'inquiétait de plus en plus.

Suite à l'arrivée de Karia sur l'autre rive, un homme à pied se fit emporter par le courant et emmena avec lui d'autres soldats, la femme observa la scène avec un noeud dans la gorge, elle avait peur qu'il lui arrive le même sort à elle et ses deux légions.

Elle soupira un bon coup sachant qu'il était trop risqué d'emprunter un autre chemin que celui du Seigneur c'est alors qu'elle ordonna.

- Garder le rang! Sinon c'est ce qui vous attend! Soyez prudents!

La femme observait ses guerriers l'air plus décidée qu'avant. Il n'était pas question de perdre des hommes!

La file avançait lentement mais surement, ce fut bientôt à son tour d'atteindre l'eau froide de la rivière.

Lentement elle fit stopper sa monture sur le chemin déjà emprunté, les mains serrant les reines avec une force inébranlable, s'accrochant à tout ce qui était important de s'accrocher, elle eut une idée en trouvant une corde dans l'attirail du cheval. Elle demanda au soldat devant lui d'attaper la corde, de soin côté elle fit un noeud autour de ses hanches. Si elle avait à tomber l'homme aurait le moyen de la retenir, la corde était passée du côté du courant.

- Faites comme moi si vous ne voulez pas finir engloutit par cette rivière! Attachez-vous à celui qui est en face de votre cheval, deux soldats seulement, il ne faut pas créer de chaîne humaine...Peut-être serrez-vous épargner du sort de ceux qui viennent de périr noyé...

Cria-t-elle en se tournant vers ses troupes.

Cela fait, elle fixa la rivière et avança son cheval dans l'eau lentement mais surement, suivant la ligne de l'autre cavalier, tout se passait bien pour l'instant.

Le cheval hénissait nerveusement et il était lui aussi très attentif à son entourage, ses jarets étaient déjà cachés par l'eau tumultueuse. Désiré tenait les guides très fort, angoissée de tomber dans cette eau glaciale et cruelle.

Elle était bien concentrée et guidait son cheval lorsqu'il tentait d'aller ailleurs que sur le chemin. La femme porta un regard sur le Seigneur, elle était inquiète mais elle savait qu'il lui fallait avoir courage car ce qu'elle affronterait sur le champs de bataille serait mille fois plus effrayant et horrible qu'une simple rivière dangereuse.

L'ensorceleuse se concentra sur sa mission qui était de se conduire saine et sauve jusqu'à l'autre rive ainsi que les 2 légions qui la suivait...

Ce n'est que lorsque les eaux glaciales atteignirent mes cuisses que je
réalisais ce qui se produisait. C'est avec effroi que je constatais que le
destrier avait perdu son sang-froid. Par réflexe, je m'agrippais à la monture et
fermais les yeux... Je ne pouvais m'abstenir d'être crispée, froide et
angoissée avec le niveau de l'eau qui s’élevait.

Je ne me sentais pas en dangée, mais l'incertitude faisait lentement son
chemin. Précédemment perdu dans mes réflexions, je n’avais même pas remarquée
que nous nous étions déjà enfoncé dans les déferlements inattendus des
flots.

Je ne voulais pas voir ni entendre ce qui se produisait. Tant bien que mal,
je supportais le froid, et me concentrais à cette seule tâche...

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

(a partir d'ici on avance l'histoire en accélérer)

Les eaux déchainées avaient emporté les faibles, tandis que les plus fort rejoint le monarque. Leur voyage pouvait alors reprendre son cours.

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Pendant que la journée avança, l'éclaireur envoyer par Karia, autrement dit l'espion de la résistance, arrivait a bon port. Il connaissait les raccourcis par-cœur et avait pris une avance convenable par rapport à la horde. Ce qui le fit arriver en avance au village qui serai le théâtre d'une terrible bataille.
Il avança vers l’hôtel de ville ou une réunion était entrain de ce clore sur les derniers préparatifs a mettre en place. L'arrivé de l'homme laissa un silence plané dans ce champ de visage qui s'était lever vers lui et qui lui lançais des regard questionneur.

- Alors!? ils arrivent!? quand ? c'est pour quand? * S’élança un homme vieillis de bataille et de cicatrice de guerre vers l'éclaireur.
L'envoyer du chevalier noir retira son foulard de devant son visage avec un sourire victorieux et un regard brillant.

-oui.. ils seront la avant la tombé de la nuit, je m'en assurerai personnellement.
-Beau travail encore une fois.. toutes ces années d'attente pour enfin porté un coup a ces bâtards *Lança le vieux guerrier qui jeta sur l'éclaireur, un regard de fierté tel que celui que réserve un père envers son fils.
-Ce n'est pas tout... Dorgan. *rajouta l'éclaireur en portant sa main sur l'épaule du guerrier en lui lançant un regard intense.
- Il est là!
Des exclamations soudaine s’élevèrent dans la salle, les braves ce levant de leur siège saisi par cette information troublante.
- Que dit tu?... *Souffla Dorgan ces yeux tremblant de terreur et d’excitation a l'idée même de pouvoir peut être écrasé le mal a ça source même.
- LE ROI EST VENU EN PERSONNE! *Cria l'éclaireur excité autant qu'eux de leur annoncé cette bonne nouvelle.
- oui! le roi des bâtard arrive avant l'aube! mais ...il sera accompagné de nombreux officier et de plus d'homme que prévu. Est ce que vous pourrez tenir Dorgan?
Le silence reprit soudainement place, le vieux guerrier ce tournant vers le reste de ses camarades. La réponse absente laissais sous entendre que non...
Dorgan, sembla réfléchir, ce mettant a marché et a explorer le fond des yeux des hommes qui attendais tellement de ça réponse. Le vieux redressa sa tête et du fond de son cœur, même s'il allait les amenés a leur perte, il dit.
-oui... OH QUE OUI Que je sois tuer sur le champs si nous nous enfuyons alors que nous n'aurons surement jamais plus une aussi bel occasion de détruire ce démon et rétablir la paix DANS NOTRE PAYS!
La foule fut enflammé de ce discours et la résistance quitta l'hotel de ville pour terminer les derniers préparatif. Cette fois les humains allait lui faire payer...
Dorgan retourna près de son espion et lui fit un accolade aimante.
-Repart vite mon fils et sache trouver la sécurité des bois si jamais tout ne ce passe pas comme prévue. *confessa son inquiétude le père qui ne savait pas si a l'aube du nouveau jour il pourrait a nouveau tenir son enfant dans ses bras.
Le fils lui rendit une dernière accolade, le regard inquiet et fier du rôle qu'il tenait dans cette mission visant a rétablir la suprématie de Thoamas. Il quitta son père, sortant du bâtiment et rejoignant sa monture.
Il pointa l'horizon, une colline au nord et dit alors.
- C'est la-bas qu'il arrivera au coucher du soleil, il sera en tête... vous n'aurez qu'une seule chance...après cela je ne serai plus d'aucun secours. Termina l'espion avant de s'élancé en dehors du village.
*Son père le regard plein de fierté, saluant pour une dernière fois son enfant le regardant quitté le village au grand galop. Les yeux du guerrier brulèrent d'ambition et de haine tendit qu'il ce dirigeais vers la maison le plus près du chemin d'on une fenêtre s'ouvrait vers ce lieu qu'avait pointé son enfant. Il y entra retirant la toile qui recouvrait une Baliste armé .
- Cette fois... tu ne t'en tirera pas enfoiré *dit-il en regardant la pointe géante du projectile qui attendait depuis 3 jours ça cible pointé vers cette fenêtre sombre. S'était une sorte d'arbalète géante don la flèche faisais la taille d'une lance et qui était relier a une corde. Elle avait pour but de percé cette légendaire armure et d'y rester bien encré afin de capturer mort ou vif le monarque des demi-races.

Elle avait été amener ici exactement au cas ou une situation, une véritable aubaine ce présentait. Dorgan brulait d'impatience, lui qui ne vivait plus que dans l'espoir d’assouvir une vengeance personnel, lui qui avait vue ses terres bruler et tout l'héritage de ses ancêtre avant lui. Le souvenir de sa famille ravager et tuer comme des animaux... Quel homme survivrait a de tel vision sans vouloir vendre son âme au diable afin que par tout les moyens un jour, il puisse ce venger? C'était son histoire, une parmi d'autre qui faisais maintenant partie des classiques partout la où les demi-race avait poser leur domination.

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Le jour commençais a descendre a l'horizon quand l'éclaireur de Karia revient vers lui avec l'emplacement idéal pour le campement tel que l'avait demander de trouver le roi. Il explica la situation intéressante au Monarque et attendait sa réponse pour ensuite leur ouvrir le chemin et les faire passé par un raccourcis vers le village entraver les plaines verdoyante.

L'épreuve de la rivière terminer avec quelque perte, Karia reparti devant menant la marche sans ce retourner pour ceux qui venait d'être dévorer par la fureur de la rivière.
Il abandonna l'idée pour le moment d'harceler la voyante et Désiré, éloignant de ses pensée la menace annoncé par miss Beviro. Il avait en tête d'attaquer un village et préparait un plan d'action où il mettrait au devant des responsabilité Désiré. C'était une bonne occasion de pratiquer les archers en tire de grande distance.

La journée sembla s'écouler calmement, il n'accorda pratiquement aucune pause ou de répit a sa milice ne prenant que quelque instant pour les faire manger et pissé avant de reprendre la route.
Quand la noirceur ce profila a l'horizon, Karia commençait a s’inquiéter de ne pas voir revenir son éclaireur et c'est a cette instant que ce dernier arriva. Il écouta les bonnes nouvelles que son soldat lui rapporta et lui ordonna de lui montré le chemin.

Karia trouva le timming un peu juste en regardant le soleil qui ce couchait et fit forcé la marche pour s'assurer d'arrivé a destination avant la nuit pleine.
Arriver sur place quel fut ça surprise en découvrant un village qui semblait abandonner. Il jeta un regard vif a son éclaireur et celui-ci le rassura en lui assurant que le village avait été déserter il y a un bon moment.

Ignorant ce qui ce tramait et n'ayant jamais eu de mauvaise surprise de ce soldat qui était a son service depuis quelque année, le monarque ne ce méfia pas et dirigea ces troupes dans le piège camouflé. La vue du demi-race ce voyait obstruer entre la lumière et les ténèbres et ne pu s’apercevoir du danger imminent qui le guettais.
- Capitaine Désiré! * Appela alors Karia, son nouvel officier, d'une voix puissante. Il l'attendit quelle approche restant sur place, au niveau de la colline a une 30 aine de mètre du village tendit que toutes les troupes commençais a envahir la place ''abandonner'', les laissant seul.

L'eau glaciale eut pour effet de couvrir ma chair de frissons, mais l'adrénaline était trop forte à travers tout mon corps, battant comme ce flot tumultueux qui menaçait de m'emporter à tout moment. Je ne ressentais pas le froid, je ressentais un nœud à mon ventre, la peur, la peur d'échouer et de perdre un de mes soldats, la peur d'être engloutit par les flots glacés, la peur de décevoir ce Seigneur si craint de tous. Quelles seraient donc les conséquences alors? Il valait mieux ne pas y songer, je reviens à mes esprits et je me concentrais à bien guider ma monture qui s'énervait parfois à cause du tumulte de l'eau, j'observais souvent derrière mon épaule pour voir si l'opération se déroulait bien, tout semblait dans l'ordre...Par plus d'une fois, ma taille subit de violents coups vers l'arrière à m'en couper le souffle, lorsque la file ralentissait ou s'agitait, je continuais néanmoins de m'accrocher à mon destrier avec ce fervent désir de réussir. J’encourageais les soldats à continuer.

La rive se rapprochait toujours un peu plus, elle devenait pour moi le rivage tant attendu, la terre ferme qui va m'octroyer cette victoire, celle d'avoir affronter cette rivière, d'en être sortie indemne et d'avoir guider mes hommes saints et saufs. Les sabots de mon cheval atteignirent les rochers du rivage et s'éleva d'un rude bond sur le rivage ce qui m'assena un autre coup violent aux hanches, par chance que je portais une armure. La douleur m'importait peu à présent, j'étais sauve et mes hommes aussi, un sourire victorieux illumina mon visage alors que je contemplais avec fierté mes hommes qui se sortaient un à un des flots. Je continuais de faire avancer ma monture pour permettre à tous d'accéder à la terre.

C'était déjà pour moi un défi qui me nouait la gorge, je savais que j'allais connaître encore bien pire, mais je me laissais remplir d'un courage palpable, je le devais, je devais garder confiance en moi, en mon pouvoir, en ma force intérieure et ma force mentale. Tout devait être concentré sur cette mission, je le devais...incontestablement si je veux l'atteindre lui...dans sa sauvagerie et son être si méfiant.

Une fois, les légions sorties du périple, je détachais le nœud autour de ma taille et demandait à tous d'en faire autant et de me remettre la corde. Je me pencha un peu pour donner une bonne tape d'encouragement à mon destrier, puis je le fis avancer vers le Seigneur en posant mon regard fier sur lui, espérant d'un sens un petit signe de reconnaissance, un simple hochement de tête aurait suffit et m'aurait signifier que je montais un peu plus...Pourtant, je savais que je ne devais pas m'attendre à une bonne tape sur l'épaule ou à des louages avec lui, je devais me féliciter moi-même de cet exploit, j'en étais assurément très fière, cela pouvait clairement se sentir si on portait bien attention à ma posture bien droite au buste bien bombé. Je suivi tranquillement la horde, laissant la peur et la nervosité dans les flots de cette rivière dangereuse, je pris ma cape de velours noire afin de réchauffer un peu mon corps et ma monture. C'était de nouveau le calme dans ma tête, je me laissais porter par les foulées machinales de mon cheval, paisible tout en restant aux aguets, observant les alentours souvent. Je gardais un œil sur mes hommes, la journée avançait, la faim me tenaillait et lorsque le Seigneur offrit une pause, je me dépêcha de manger quelques provisions, la fatigue commençait tranquillement à m'affecter, il faut dire j'avais l'habitude de voyager à pied, à cheval le voyage était différent, de plus le port de l'armure créait des frottements assez inconfortables au niveau des genoux et des articulations. Je devais prendre mon mal en patience avant de me débarrasser de cette lourde armure, je rêvais d'un bon bain chaud lorsque Karia ordonna de reprendre la route, je fronça les sourcils légèrement outragée puisqu'on venait à peine de mettre pieds à terre de notre monture qu'il fallait déjà remonter. Je rangea donc mes effets et soupira avant de monter de nouveau en selle pour poursuivre la route.

L'horizon devenait de plus en plus sombre lorsque l'éclaireur vint avertir le Seigneur qu'il avait trouver un bon endroit pour établir un campement, je n'ai pas pu les entendre discuter, ce fut les ordres de le suivre qui me furent parvenus, j'étais impatiente d'arriver à ce dit campement où enfin je pourrais peut-être me reposer convenablement...

Lorsqu'on atteignit l'endroit désigné, il faisait presque nuit et c'était aux premiers regards un village désert, je fronça les sourcils en observant les alentours avec une certaine suspicion, je fut tiré de ma contemplation des lieux par la voix rude du Seigneur qui m'appelait. Un frisson me parcouru l'échine et la nervosité se fraya de nouveau un chemin à travers tout mon corps, mais cette fois je ne la laissa pas aller bien loin et je l'éloigna d'un mouvement de tête vers l'arrière, je fis avancer rapidement ma monture vers le Roi et rendue aux côtés de sa monture je tira les reines, mon cheval recula la tête en signe de protestation puis se calma. Je posa mon regard mauve sur cet homme et de mes mains je retira le casque qui me couvrait la tête pour lui montrer mon visage et aussi pour laisser un peu respirer ma chevelure et ma tête, je voulais surtout bien entendre ce qu'il allait me dire. Ma posture était droite et fière, en aucun cas je semblais hésitante ou apeurée. Ma voix s'éleva claire et confiante tout en gardant cette subtilité sensuelle.

- Mon Seigneur...

Mon regard se plongea dans les fentes du casque démoniaque de ce démon dont les yeux me semblait inexistants, je fixais les crevasses noires et profondes dans l'espoir d'y déceler une parcelle d'humanité. Malgré la noirceur totale qui habitait cet homme, il me semblait d'autant plus mystérieux et oh combien intriguant, le connaître plus en profondeur me brûlait l'âme, un désir que je savais ardu vu sa passable répugnance pour la gente féminine, mais il ne me connait pas encore, je suis déterminée et il est rare que je n'obtiens pas ce que je veux! Ainsi, bien armuré, certes il me semblait inatteignable, mais je me souviens alors de cet épisode dans sa chambre, où je l'avais prit aux pièges quelques instants et où j'ai vu la terreur qui habitait ses yeux et la rage d'être prit au piège. Je souris instinctivement à cette pensée, soudainement son armure terrifiante n'était devenue qu'un artifice, une parure...Il ne m'effrayait pas, puisque je le voyais dans cette chambre, vulnérable...craintif...

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Les troupes rebelle restèrent planquer dans les maisons sans faire un bruit tendit que la milice ennemi arpentais bruyamment les rues, leur ombre géante par le coucher de soleil envahissant les mur. Tout leur espoir reposais sur leur seul allier qui encouragea les demi race a entrer dans l'église pour établir un campement.
-Aller dépêchez-vous ! préparer un campement viable a l'intérieur de l'église!
les encouragea l'officier espion qui attendit le plus longtemps possible les derniers retardataire pour finalement refermer les portes du bâtiment et enchainé les poignées de l'entré afin de les piéger a l'intérieur. Il ce dirigea vers son cheval et pris une torche qu'il s'empressa d'allumé et de jeter au pied de l'église ou on avait déversé il y a peu de l'huile...
Le bâtiment s'embrasa et bientôt des cries résonnèrent de l'intérieur, les portes étant poussé désespérément sans s'ouvrir.

Les quelques autre haut gradé qui restait derrière avec leur troupe approchèrent sans trop comprendre ce qui ce passait, quand l'éclaireur dégaina son épée et souffla dans son cors qui résonna dans l'écho du crépuscule. Ce fut le signal que tous attendaient! Des cries guerrier fusèrent de tout coté tendit qu'une armée sortais des maisons autour des demi-races en pleine confusion, les encerclant et les frappants de leur épées, haches et massues.

Pendant ce temps, Dorgan avait veillé a la venu des demi-races toute la journée, attendant comme un chasseur sa proie. Lorsque le cavalier noir apparue enfin, le vieil homme enduisit la lance de sa baliste, d'un tranquillisant virulent qui aurai assommé un cheval et mis Karia dans sa ligne de mirent. Avant que ce dernier est le temps de réagir pour sauvé ses hommes, le vieux guerrier fit feu en priant tout les dieux quel atteigne sa cible.

Le chevalier demeura sombre a l'approche de son nouvel officier à la chevelure de feu, respirant profondément.
-Aucune mort.. Bravo *gronda sa voix remplit d'une certaine ironie.
- Et tu aurai fait quoi? si le courant vous auraient tous emporter? *Fit-il allusion au fait quelle les avait fait attacher les uns au autres.
-Les officiers doivent survivre, il son le cœur d'une armée et font partager et appliquer les ordres du chef, si la rivière t'aurai avaler, j'aurai perdu 100 têtes! en plus d'un officier.
Lui fit comprendre Karia de ca déception.
-Parfois, afin de protéger les autres, il faut savoir abandonner ceux qui tire le groupe vers le fond...Désiré *Dit-il avec un sérieux plutôt calme a présent, comme s'il avait compris que son officier avait pris a cœur le fait de tous les protégés.
-Ne met plus jamais ta vie en danger... tu m'as compris?

Pris une pause Karia sans attendre d'explication de la par de la belle voulant alors commencer a expliquer ce qu'il attendait d'elle, quand soudain le bruit du cors de Xar'minos retentit dans l’écho des plaines. Il porta son regard vers le village et vue la masse ennemi surgir de partout entourant ses hommes et le bâtiment sacré prendre feu...
-Qu'est ce que?... *Dans l'instant de quelque seconde le chevalier fit exactement l'inverse de se qu'il avait dit a Désiré de ne pas faire.
Il coucha Miss Beviron face contre la scelle et dégaina son épée et son bouclier en claquant les reines de Cronos énergiquement, se ruant vers le danger pour les sauvés. Mais il n’eut pas le temps de faire 5 mètres, qu'une sorte de lance siffla dans l'air et vint ce figer droit dans son épaule gauche juste au dessus de son cœur, sous l'os de la clavicule. L'impact l'ébranla violemment lui faisant lâché son bouclier et un rugissement de douleur, tendis que sa monture prenait son élan au galop .

Karia fut obliger de ranger son épée et alla porté sa main droite sur la lance alors qu'il ce redressait droit sur sa scelle. C'est alors qu'il remarqua une corde soudainement ce tendre a son extrémité. Il fut propulser du dos de Cronos qui filait au loin toujours avec Beviro à son bords.
La masse d'acier s'effondra sur le sol dans un bruit sourd, son dos ce piquant dans la terre, le retenant immobile. Sa respiration s'affola allant porté sa main droite sur la lance qui venait de le terrasser et sans plus attendre, il referma sa poigne contre le bâton et le tordit pour le brisé en deux, lançant le reste loin de lui . La blessure empoissonner le fit souffrir a lui arracher quelque rugissement furieux, tendis qu'il essaya de ce relever avec empressement.
Il commençait a ce sentir engourdit et surtout étourdit, ne distinguant plus la terre du ciel tendit qu'il reprenait pied en vacillant, retenant son bras gauche contre lui avec douleur. Karia porta a nouveau sa main valide sur le morceau de lance qui était rester figer dans sa poitrine incapable de se l'arracher. Sa vue ce troubla et s'affaiblissait peu a peu, il se sentit étouffé dans la panique. Il posa un genou au sol, puis ensuite une main avec une affreuse envie de vomir. Comment cela avait pu ce produire? La voyante avait telle réellement vue ce qui venait de ce produire dans une vision? Tout s'était passé si vite, il gronda comme un animal furieux pris au piège cherchant la silhouette de Désiré ou d'un improbable ennemi don la présence lui avait été caché.
Désiré...! * lâcha t-il un crie qui s’évanouit sous une plainte douloureuse alors qu'il essaya a nouveau de ce relever et finir par s'écraser comme si son corps devenait trop lourd a porté pour ses jambes. -

Des reproches…c’est tout ce qu’il avait à dire de son exploit à cette rivière, j’étais bouillonnante de l’intérieur, mais je gardais tout de même une expression neutre en écoutant ses dernières paroles qui me firent sourire légèrement, il me faisait maintenant pensé à un paternel qui avertit sa fille de ne pas jouer dans les bois pour éviter d’être happée par une bête sauvage…

Je ne devais surtout pas me laisser affectée par son discours, j’étais fière de moi un point c’est tout, je comprenais par contre son avis du fait qu’il avait eu peur de perdre un officier et à vrai dire je me plaisais bien à croire qu’il n’aurait pas apprécié se débarrasser de moi aussi vite…

J’allais ouvrir la bouche afin de m’exprimer alors que j’entendis soudainement le cor provenant du village, puis le chaos s’en suivi, le Seigneur se dirigea en trompe vers le village, la panique me glaçait le sang, il passa près de 30 secondes avant que je remette mon casque en vitesse et que je talonne mon destrier pour suivre Karia, mais c’est à cet instant que je vis un énorme projectile percuter de plein fouet l’homme de fer, celui-ci semblait relié par une corde qui soudainement en se raidissant attira le Seigneur vers la terre en laissant filer son cheval…

J’arrêta subitement l’élan de mon cheval en écarquillant les yeux, je n’en croyais pas mes yeux…tout se passait si vite et si lentement en même temps j’observais le guerrier tenter de se relever puis brisé la lance qui lui transperçait le corps pour ensuite s’effondrer en semblant de plus en plus mal en point…

J’étais complètement figée par la peur, c’est comme si mon cerveau n’assimilait pas l’information qui se produisait devant mes yeux, des rafales de bouffées de chaleur m’étouffait, je sentais la sueur froide couler le long de mon dos, le stress et l’adrénaline se dissiper dans mon corps à une vitesse inouïe… Mon regard fixé et emplit de terreur sur le guerrier si lourdement armé et qui pourtant venait de se faire happer par une énorme flèche. Je ne comprenais pas, ça n’était pas possible…mon regard le quitta quelques secondes le temps de regarder d’où provenait le projectile, je plissais les yeux en rageant intérieurement, serrant les dents pour m’empêcher de gueuler à plein poumon le sentiment d’impuissance totale qui m’habitait présentement…personne autour…des cris de détresse provenant d’une église en flammes, la milice s’y trouve… Je réalise que mes options sont de plus en plus limitées, que je dois pourtant mouvoir mon corps et faire une action, une première qui en engendrerait d’autres…Je le devais, pour le sauver lui qui était souffrant.
J’aurais voulu me débarrasser de cette armure inconfortable et si étouffante, je suffoquais puis j’entendis mon nom provenant de la bouche même du Seigneur, son échos résonna dans ma tête plusieurs fois avant de comprendre qu’il m’appelait, je ne devais plus laisser place à la peur qui m’envahissait littéralement, durant un instant je ferma les yeux et prit deux longues inspirations pour me calmer puis j’ouvris de nouveau les yeux, non ce n’était pas une illusion Karia était cloué au sol à cause d’une énorme lance à moitié brisée et logée dans son torse.

J’étais trop haute, voilà mon cheval était trop haut, je devais descendre et me mouvoir, marcher vers lui, quitter le peu de sécurité que m’apportais ma monture, m’exposer au danger, devenir vulnérable…

J’observe en un éclair ce qui se trouvait sur moi, mon épée et mon arc…Je descends rapidement de mon cheval tout en le calmant pour ne pas qu’Il prenne la fuite, puis je me précipite vers Karia en courant, me jetant à genoux auprès de lui en criant :

- Mon Seigneur…. Je… que…

Les mots me manquent, je suis complètement paniquée même si j’essaie de me contrôler, je vois la blessure béante et le sang qui s’écoule de la plaie et ce bout de bois enfoncé dans l’acier… Je sens mes membres et tout mon corps vibrer à cause de l’adrénaline qui court dans mes veines. * Non…je ne dois pas m’emporter, calme toi…tout de suite c’est CERTAINEMENT pas le moment de prendre peur…* Je le fixe rapidement, focusant sur son visage, j’avance vivement mes mains pour lui retirer son casque, question de le laisser respirer…

- Vous avez été atteint par un énorme projectile qui était relié par une corde…c’est un coup monté, on nous a entrainé dans un piège…la milice est entrain de périr dans l’église…

Les derniers mots qui me martelait l’esprit c’était * MAIS QUE DOIS-JE FAIRE? * Mais, je voyais qu’il se trouvait très mal en point, il souffrait de cette affreuse plaie…

- Comment vous sentez-vous…m’entendez-vous? Karia!

Ma voix était tremblante, mais prenait un peu plus d’assurance au fur et à mesure que je me concentrais sur ma tâche, je ne devais pas fixer le sang…fixer cette plaie…ce morceau de bois… Le sang me rappelait des choses horribles que mon esprit torturé avait repoussées par précaution dans le fin fond de mon esprit, un petit racoin qui ne devait jamais revenir…jamais…sans quoi il se passerait peut-être bien des choses que je ne pourrais m’expliquer… où je perdrais le contrôle…la ligne me semblait si mince à présent…Je ferme les yeux en inspirant un bon coup, expirant ensuite bruyamment. Je ne devais pas voir ce sang… ce liquide chaud et vital qui s’échappait de cette plaie…Je le sentais, aussi furtif qu’un serpent, couler près de mes genoux…

Le corps de ma mère immaculée de sang, éventrée au niveau du cœur…ses yeux vitreux qui me fixent comme s’il s me demandaient « pourquoi ? » … Mes dents et mes poings se serrent de manière démesurée, je n dois pas flancher…pas maintenant dans ce moment critique…

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

De la maison ou était caché le tireur, le prédateur observa les choses ce dérouler comme prévu avec une adrénaline débordante. Il quitta son poste hurlant vers la cave de la petite masure.
- Récupérateur! on y va! s'empressa le vétéran de sortir avec une dizaine d'hommes responsable de la suite des opérations visant a récupérer la dépouille de Karia mort ou vif. Ils courraient en dehors de la maison, d'autre récupéraient des chevaux abandonné des officier demi-race qui jonchait le sol, afin de rapidement intervenir.

Karia qui commençait a perdre connaissance, une occasion inespéré songea le guerrier, avec pour seul hic qui le dérangea pour le moment, la présence d'un allier a ses coté, il n'était pas question que celui-ci ce mettre entraver de ça route.
La troupe armé d'arme à distance foncèrent vers eux, alors que la bataille a l'intérieur du village commençait a ce calmé en la défaveur des demi-race.
Leur cris guerrier raisonnant dans la nuit qui tombait maintenant sous le voile d'une lumière terrifiante du feu de l'église d’où on entendais toujours des hurlements d'agonie furieux, alors qu'il approchait a grande vitesse de Désiré et de Karia.
-Plus un geste! tu bouge et tu es un homme mort! * Firent t-il empressé de protéger leur capture et d'arrêter l'officier au près du monarque qu'il n'avait pas encore identifier comme une femme.

Karia ne tenais plus...
Toute ca puissance sembla l'abandonner lorsque la voix de Désiré parvient a ses oreilles comme un échos éteint. Alors qu'elle s'approcha de lui et qu'elle tenta de lui retirer son heaume solidement rattacher dans le mécanisme étrange de son armure, il essaya de la repoussé d'un geste de la main pour l'arrêter.
-Qu'est ce que je t'ai dit... ne met pas ta vie en danger! par d'ici... Essaya t-il de la repoussé a nouveau.
- ... ne me protège pas! Ils doivent .. être. les chev..aliers n..
Son dialogue sembla alors confus et déboussoler alors qu'il essayait de lui dire de fuir au plus vite et d'aller prévenir l'élite de l'armée de Xar'minos de ce qui ce passait ici...
Mais son corps fut entrainer sur le coté ne pouvant plus tenir une seconde de plus sa masse excessivement lourde. Il n'entendit plus que des bruit sourd de voix, le grondement du sol suite a une arrivé de cavalier.
Il ne pouvait plus rien... ni pour elle, ni pour eux qui brulait et rien pour lui-même. Qu'allait-il ce produire? Sont esprit s'endormit a contre cœur sous de terrible angoisse et une impuissance indescriptible. Il ne pouvait plus compté que sur Désiré.

Il me dit que je devais partir, ne pas rester auprès de lui, mais il n'était pas question que je le laisse seul, je ferais tout en mon possible pour le garder hors de danger...Je le fixais en espérant qu'il soit conscient, ses paroles décousues me prouvaient le contraire et ça me serrait la gorge de nervosité. C'est alors que j'entendis des cavaliers venir vers nous, instinctivement je protégea ton corps en mettant mon torse au dessus du tien et de mes mains protégeant l'armure...

Ils nous encerclèrent et toi qui s'éteignait vers l'inconscience, je me senti alors prise aux pièges comme un animal qui tente de protéger ses petits et qui est encerclé d'ennemis. Je regarde furtivement autour de moi pour voir le visage des hommes, inquiète. À leurs ordres, je reste en position de protection sur le corps de Karia et je ne bouge plus, je n'ose plus, ils croient surement que je suis une femme, je ne dois pas trahir mon identité, pas maintenant ce serait dangereux...

Je me sens si impuissante, Karia qui vient de basculer dans un autre monde sans savoir si c'est celui de la mort...ou les limbes...J'aurais voulu lui venir en aide, mais face à une dizaines d'hommes en armure ce n'était pas évident, je n'avais pas les moyens d'agir et j'étais beaucoup trop nerveuse intérieurement pour tenter un quelconque que sort.

Je n'avais pas le choix de baisser la garde et de voir ce qui allait ensuite se passer. Qu'allaient-ils faire de nous? De moi lorsqu'ils découvriront que je suis une femme? La peur m'envahissait et bousculait mon esprit vers des scénarios horribles...

J'entendais au loin les cris d'agonie de ma légion, j'avais moi-aussi envie de crier de rage, la rage de la défaite et de l'impuissance, de la surprise...du piège...Ils nous ont bien eu...

Restant immobile, mais aux aguets, j'observe tout, le moindre geste venant d'eux...

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Lorsque le vacarme devient silence, lorsque les hurlement de l'église ce turent et que la nuit avait fini par recouvrir le ciel, les humains avait pris captif 3 survivant au village, alors que l'équipe de Dorgan récupérèrent Karia et son complice...
Deux hommes avança pour retiré le soldat de sur son chef qui le protégeai de son corps de façons assez étrange, en lui pointant leur arbalète vers le visage. Un autre d'entre eu passa derrière lui et lui saisi un bras pour le dégager et le forcé a ce lever lui mettant la pointe de son épée dans le dos pour le dissuader de faire quoi que ce soit de stupide. Un 4iem approcha lui retirant ses armes qui ne lui serai plus d'aucune utilité.
- Avance! Lui hurla l'humain dessus, ne s'étant toujours pas aperçus que ce soldat était une femme.

Compte à Karia, ils lui attachèrent les pieds à l'aide d'une corde, a un cheval qui le traina jusqu’à l'écurie du village éclairer encore par le feu intense de l'église, le groupe l'escortant de près. Ils arrivèrent lentement au village, traversant la masse de curieux qui attendait au centre de la rue après avoir dégager les nombreuses dépouilles demi-race de sur le chemin maintenant taché de sang.
Il s'écartèrent regardant la masse du roi exhibé comme un trophée à tous, trainé dans la poussière, ils le ruèrent de coup de pied, lui crachèrent dessus et on lui arracha sa cape cramoisie des épaules qui ce défis en lambeau contre les épines dorsale redoutable de son armure... Désiré fut également hué, escorté par deux garde don l'un avait toujours son épée pointé dans son dos, certain osèrent également lui cracher sur le plastron et au visage en lui proférant des menaces de mort.
(la foule):

-On va vous saignez comme des porc!
-J'utiliserai ta peau comme descente de lit!
-Vos tête seront fiché sur les murs de Thoamas! bouffé par les corbeaux!

Une fois sur place, il fallu une dizaine d'homme pour arrivé à le faire entré sous le chapiteau à chevaux où l'on avait organiser provisoirement un endroit pour les maintenir captif. Les autre prisonnier furent installer tout près de la droite de leur roi, a genou contre un boxe a cheval, ligoter poignet dans le dos rattacher a leur cheville. Tous mal en point hormis Désiré qui n'avait pas encore été toucher par la bataille de façon directe. Les 3 autres captif près d'elle était également des officiers tenant de peine et de misère leur corps en lambeau et tremblant.
On fit appeler les forgerons, le maître et l'aprentie, qui était des villageois volontaires pour resté durant l'assaut.
Leur aide fut plus que nécessaire pour retirer les protections de sur le corps de Karia. C'est derniers parvenaient tant bien que mal a retirer les pièces d'armures des bras, des épaule, de la tête et ca ceinture où ce trouvait son épée. Ils ce coupèrent a plusieurs reprise les mains, mais ne trouvèrent pas comment lui retirer son terrible plastron. Ils laissèrent les jambière et les bottes, n'y voyant aucun besoin de ce donner le mal de le dévêtir entièrement pour l'heure, puis rassemblèrent ces affaires dans un coin près du mur derrière lui.

-Bon pour le moment c'est l'essentiel, dépêchons-nous de l'attacher avant qu'il ce réveil. Fit le maitre forgerons décourager par l'ouvrage que représentait cette pièce de résistance métallique et presser de maintenir sous contrôle cet homme imprévisible.

Toujours aussi nombreux autour de leurs prisonniers, on ramena des chaines des forges, qui elle ce trouvait être le bâtiment voisin de l'écurie, et on les passa autour des poignets et du cou de Karia. Ils ce divisèrent en 3 équipes, une de 5 sur chaque chaines relier aux mains et les forgerons a celle du cou. Ils le tirèrent en même temps pour soulever la masse énorme qui était face contre terre, jusqu'a ce qu'il soit agenouillé. On relia les chaines de ses mains autour des madriers de soutient du bâtiment et de celui d'un boxe a cheval entre lesquels on l'avait placé, de sorte que le dos de ses mains soit plaquer contre le bois et on fit passé celle du cou au dessus, sur le madrier qui supportait le toit.
-N'y allez pas de main morte, n'oubliez pas qu'il à la réputation de s'être évader de tout ceux qui était parvenu à le retenir captif. Dit alors Dorgan d'une voix sombre et haineuse, le reste des troupes rebelles arrivant pour constater la capture de leur propre yeux. Il passa derrière le prisonnier tirant sur la chaine du cou pour lui obliger a gardé la tête bien haute avant de la faire attacher solidement dans cette position.
Les forgerons verrouilla les chaines à l'aide de cadenas, s'assurant par 3 fois qu'il serai impossible au monarque de se libérer de ses liens.

-Pourquoi on ne le tue pas directement Dorgan?!
Fit un résistant, arme à la main qui fixais la gorge exposé du Demi-Race. Dorgan qui rejoignait le plotons et qui fit maintenant face a Karia, le repoussa d'un geste du bras, l'air assassin.
-Le Roi le veut mort ou vif, c'est vrai, mais ... on la eu vivant.
son visage s'assombrissant de ténèbres. Dans une haine sourde, il alla prendre des pinces servant a retirer les cloues des fers des chevaux et il l'enfonça dans l'épaule gauche du détenu où était resté le projectile qui l'avait terrasser.

-Il n'est simplement pas question que je le laisse s'en sortir si facilement...

continua t-il toujours sombre en posant un pied sur le plastron et tirant sur la lance qui commença a sortir dans un bruit de succion et de grincement métalliques. Lorsque le projectile fini par sortir, la plait saigna abondamment et Dorgan ordonna de la faire immédiatement cautérisé. Le maître forgerons s'exécuta, ramenant un tison de fer ardent qu'il enfonça dans l'épaule du demi-race durant quelque seconde avant d'aller le rapporter à la forge.
Dorgan, les bras croisé devant son prisonnier l'observa, son cœur meurtrie entre le désire de lui trancher la tête et le désir intense de ce venger longuement une journée à la fois, avant que l'armée royal vienne le récupérer.

Il regarda son visage au trait découper et rude, cette peau qui rappelait les elfes noirs, satiné et presque l'air soyeuse si ce n'avait pas été de la présence d'une cicatrice mal soigner qui lui défigurait le visage mystérieusement alors que d'un autre coté, il y avait ces formes humaines, une ossature de colosse et une chevelure fauve qui n'avait rien avoir avec les drows. Une force de la nature, un véritable monstre...

Le vétéran resta longuement ainsi à le contempler encore et encore, comme s'il venait d'abattre un magnifique, mais terrifiant dragon. D'ailleurs il s'agissait bien d'un dragon,
'' l'invincible'' dragon de Xar'minos dont personne n'avait put échanger de regard sans périr. Lui, il l'avait sous les yeux et ce tenais encore debout et en un seul morceau...
Quelle fierté! et tout ça rendu possible grâce à des années d'infiltration de son fils. Il tenait l'avenir des demi-race entre ses mains, la fin d'une guerre, la fin d'un génocide...
Le plus beau jour de sa vie depuis que ce roi avait décimer la nation humaine.

Bouillant d'impatience qu'il commence a sortir des vapes du tranquillisant qui l'avait rendu si docile, il claqua des doigts en direction de deux hommes fort.
- Apporter donc un sceau d'eau bien froide... ça devrait le réveiller!
Les deux hommes disparurent dans une maison, allant à la cave récupérer de l'eau dans un gros sceau, où un enfant aurai pu prendre un bain et vinrent lui vidé sur la tête lentement ne pouvant s'empêcher de le fixé intensément.
Dorgan s'approcha pressé de croisé son regard et défier une nouvelle légende qui courrait sur ce dit Dragon.

Le chevalier noir avait perdu le contrôle de ses sens et n'entendait plus, ne ressentait plus rien. Dans les instants qui suivirent sa capture, il n'eut que de bref instant de lucidité, voyant des images de ce qui lui arriva, entendant des voix, respirant la poussière, son corps était mou et ne répondait pas.
Il entendit l'échos du métal et des chaines, impuissant devant le sort qui l'attendait. Son cœur battent a tout rompre dans ses oreilles, il essaya de bouger les doigts et les senties à peine, alors qu'il ce senti soulever du sol et tout le poids de son corps lui écraser les épaules.

C'est alors qu'une douleur apparue dans son esprit distordue par le tranquillisant, lui faisant ouvrir faiblement les yeux qui n'aperçurent qu'une vision embrouillé de où il ce trouvait, une odeur de chair brulé lui montant au nez. Il échappa un souffle d'entre ses mâchoires qu'il eu peine a ouvrir alors qu'il revenait lentement a lui.

Il déglutis difficilement étrangler par la chaine qui lui retenait la tête par le cou juste en dessous de sa mâchoire et qui le forçait a gardé la tête incliner vers le haut. Il ferma ses poings en essayant de ramener ses bras contre lui et une souffrance stridente lui traversa l'épaule gauche, lui faisant mal jusqu'à la racine des dents, ce qui lui fit souffler une nouvelle plainte faible. Il ne pouvait pas s'assoir sur ses genoux et était retenu dans une position affreusement inconfortable. Puis le froid le saisi soudainement, ce sentent engloutit sous les flots que l'on lui vidait sur la tête toujours coincé vers le haut.
Il manqua de souffle et suffoqua envalant sur le coup la tasse, pris ainsi, il eut beaucoup de mal a évité l'étouffement. Son corps ce crispa enfin réanimé de sa torpeur en voulant ce défendre contre ce froid et cette contrainte insupportable qui le retenait cloué sur place. Malgré cet tentative de l'éveillé brutalement, il demeura confus et perdu, ca tête molle et ses yeux toujours clos, mais son corps bougeant mollement retenu en équilibre par les chaines.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Dorgan ne manqua rien du réveille de sa précieuse capture et s'approcha plus près encore, le regardant maintenant de haut, droit dans les yeux. Le voyant encore étourdit et désorienté, il alla lui porté un coup au visage.
- La douche fut agréable? Aller on ce réveille... votre majesté! *souffla Dorgan entre ses dents serrer de colère. D'une de ses grandes main, il alla lui prendre les cheveux au niveau de la tempe pour lui retenir la tête et le forcé à le regarder. Il voulait le voir... se regard si redouter de tous, il voulait y voir la peur et le désespoir gagné les yeux de ce monstre. Il lui asséna une claque de son autre main et resserra son étreinte au niveau des cheveux qu'il était sur le point d'arracher dans un excès de rage. -REGARDE MOI! SALE BÂTARD! *hurla l'humain d'impatience, allant lui saisir l'autre coté de la tête de la même façon.

Les yeux mis ouvert, il aperçut une silhouette se dressé au-dessus de lui, il n'eu pas même le temps de s'y concentrer qu'un violent coup au visage lui fit tourner la tête, lui faisant saigné les gencives légèrement qui lui laissa un gout amer dans la bouche. La voix du tortionnaire prenant place lentement dans son esprit, alors que ce dernier lui ramena la tête en lui tirant les cheveux. La douleur réapparu a présent à la seconde frappe, faisant apparaitre les dents affuté et serrer du demi-race lorsque l'humain cria plus fort dans son étreinte douloureuse.
Karia, fini par lentement ouvrir les yeux et faire face a celui qui l'interpelait. La nuit tombé lui avait transformé les yeux en ceux des elfes-noirs, lui donnant une apparence monstrueusement hostile. Il plongea son regard opaque d'obscurité qui brillait dans un feu de haine rougeoyante dans ceux de l'humain, commençant a émettre un grondement d'entre ses crocs. Le visage de l'homme commença a apparaitre proprement maintenant, un visage que Karia allait gardé gravé dans ca mémoire vengeresse.
Les lèvres du demi-race redescendirent lentement sur ses dents, fur et a mesure qu'il reprenait le contrôle de son esprit. Ses yeux se plissèrent dans la contrainte et ne laissèrent apparaitre rien d'autre que le vide. Il toisa l'humain intensément, montrant un visage sans peur et qui laissait comprendre qu'il ne craignait pas ce que l'on pourrait lui faire et sembla même dire.
<< Vas-y, Qu'est ce que tu attends? Je suis près.>>

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L'humain ce surpris a frissonner d'effroi en contemplant ce regard de violence incarnée qui reprenait vit entre ses mains.. C'étais encore plus terrifiant que tout ce qu'on avait pu lui décrire de ce monstre.
Il ne vue pas la mort, ni le feu des enfers et il ne fut pas tuer sur le coup, mais il y vue et ressentie ce qui lui semblait bien pire encore: Le froid, ce vide, une violence qu'il sentais le toisé comme une caresse invisible qui enveloppait tout entier, le traversait comme d’innombrable épées, une réalité qui était bien plus terrifiante que toute les histoires de fictions démente dicté par des hommes enhardie de témérité, c'était tout autre chose qui ce trouvait devant lui et bien vivant... Il ne manqua pas de dévier ses yeux sur cette mâchoire qui découvrir de véritable croc rendant la crédibilité d'un monstre encore plus empreinte dans son esprit qu'il ne le fut jamais.

Dorgan laissa un sourire en coin nerveux, en contemplant la combativité légendaire de Karia s'exécuté devant lui... Il ne fut pas déçus. Entre ses mâchoires tremblante, alors qu'il retenait toujours l'attention du seigneur de Xar'minos, il lui dit.
- Le jour où tu es apparue... j'ai été forcé de regardé les saccages que tu avais causé a mes frères, d'essuyer leur sang de mes mains, le sang des innocents que je devais enterrer après ton passage. Mes nuits hanté par ta violence qui brulait tout ce qui se trouvait sur ton chemin. Partout où ce posais mon regard, il ne restait plus qu'un paysage dévaster. Tout ce qui est rester de ma vie n'ai plus que poussière...et haine
poussa t-il un sanglot étouffer de douleur. Ses mains tremblantes de rage remontèrent dans les cheveux du chevalier noir pour lui en agripper d'avantage alors que ses yeux ce remplissait d'eau sous la douleur de préservé tout ce qui lui restait d'humanité, mais devant cet homme, il ne subsistait que la haine brulante et nocive, une rancœur sans borne.
- Un jour, tu es venu et... TU M'AS TOUT PRIS!
Le secoua sous l'émotion l'humain qui entrepris de le frapper a nouveau au visage.
Les autres gens qui assistait à la scène restèrent muet devant ce spectacle étrange qui ressemblait enfin a une certaine justice. Personne n'avait jamais vue Dorgan dans un tel état, lui qui représentait le calme incarné, ce déchaina!
Le vétéran arrêta de le marteler lorsque son souffle commença à lui manquer et que ses poings furent tremper du sang du demi-race...Il sortie une dague de sa ceinture et alla empoigner les cheveux du Tiran qu'il trancha de la nuque au front, il ce retourna vers la foule qui avait été témoins et leva le poing vers le ciel en hurlent. La foule ce mettant a l'imiter avec compassion ainsi que l'espion qui avait été la clé de la réussite de cet exploit.

Karia l'observa sourire, son regard devenant encore plus sombre quand alors l'humain pris la parole d'une voix tremblante.
Le chevalier noir ne pu que l'écouter avec attention, ressentant malgré lui cette rancœur qui lui était destiner. Ce souvenant de ce qu'il avait fait pour la gloire de son empire, la domination du territoire et au nom de la vengeance.

Il senti les mains et les doigts de l'homme remonter sur ses tempes, ressentant un affreux frisson d'impuissance quand ce dernier ce mit a lui hurler dessus. Il eu a peine le temps de voir venir le poing qu'il ferma durement les yeux et la mâchoire pour éviter de ce faire blesser gravement. Un bruit strident résonnait dans sa tête, celui des os de ses joue, sa mâchoire et son nez craquant sous les chocs violents, sa peau qui ce fendait au niveau a ces même endroit et qui mouillait son visage dans le sang.

Le dernier coup qui le relâcha de la poigne de l'homme lui fit tourner violemment la tête en lui faisant cracher un coulis de bave sanguinolente. Il ravala difficilement sa salive, le visage toujours dure et inébranlable après cette rafale, entendant le tintement d'une arme et la froideur de la lame venir lui tranché la crinière. Il tourna la tête de coté crachant le sang qui s'accumulait dans sa bouche, ouvrant difficilement les yeux vers la foule, ne voyant qu'une masse trouble scander de joie. Il était affreusement sonner près a s'évanouir sous les chocs brutal qu'il venait tout juste d'encaissé, sa vision s'embrouillant et un cillement tintent méchamment dans sa tête...

La lumière d'un feu puissant attira alors son attention, ne pouvant voir que la fumée s'élever dans le ciel nocturne alors que sa vision revenait à la normale. Il ce rappela enfin dans quel calvaire, il ce trouvait et ce qui s'était passé, sa chute, Désiré et ses homme...Il ce mit a respiré plus férocement et tira sur ses chaines pour les éprouvés. Les humain avaient brulé vif ses hommes dans leur église, ses hommes qu'il n'avait pu sauvé... tous mort!

La rage le réanima a cette vision tendit qu'il porta son regard autour de lui apercevant maintenant des tête familière sur sa droite incluant Désiré... NON pourquoi était-elle encore la! elle ne lui avait pas obéis? Elle les avaient condamné... Il porta un regard sur elle particulièrement vulnérable comme si son visage sembla dire qu'il était désoler de rien pouvoir faire, comme si la honte l'atteignait quel le vois dans cette situation désastreuse. Il ferma durement les yeux en déglutissant a nouveau avec difficulté cherchant la cause de tout ceci...
Alors il balaya cette foule qui scandait joyeusement y reconnaissant alors un visage familier. Karia sembla a cette instant atteint d'une colère innommable, montrant ses crocs dégoulinant de sang et grogna avec férocité lentement le nom de l'homme qui l'avait trahis.
- Klain....... KLAIN...! Finit-il par rugir tout en le fixant hostilement.
-Quand je me libèrerai...gronda t-il profondément comme un dragon entre ses dents et serrant ses poings et ses bras qui ce gonflèrent avec puissance comme s'il aurai eu le pouvoir de brisé ses chaines.

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La foule en entendant la voix de Karia, redevient silencieuse et s'éloignèrent de l'espion comme s'ils auraient eu peur que tout a coup la mort ne les frappes comme la foudre.
L'éclaireur eu un visage sur le coup pétrifier comme si on venait de lui jeter une malédiction et qu'il cru Karia capable par ca seul volonté de brisé ses chaine pour abattre sa vengeance. Puis, il ce ressaisit, allant prendre une torche et s'approchant de son ancien roi, connaissant quelques unes de ses faiblesses...
-Quand tu te libèrera?...lui dit doucement l'espion, en accrochant la torche près du détenue qu'il s'avait sensible à la lumière. Ce qui devrait suffire a lui effacer son affreux regard opaque et noir.
-Que fera-tu? poursuivit-il en dégainant son épée et l'approchant du visage du captif. Il commença a s'accroupir devant le demi-race posant le tranchant de la lame sur la cicatrice de son visage et lui fit un léger sourire dominateur tout en le fixant a son tour. Essayant de perturbé, pour le plaisir, cette indomptable furie combative.

Karia l'observa approcher les crocs toujours bien visible alors que la lumière de la torche lui traversa les orbites qu'il protégea promptement sous la douleur. Lorsqu'il ré ouvrir les yeux, son regard sablonneux était réapparu comme prévue, mais sa fureur demeura intacte.
Il suivi la lame des yeux alors quelle vient ce posé sur son visage qui resta toujours inébranlable, malgré le sang et la douleur, son âme demeurai inchangé.
-Je te le ferai payé... comme je n'ai jamais fait payé un être humain avant toi...
résonna caverneuse la voix du monarque qui ne s'était pas laissé impressionner par la possibilité d'être défigurer une seconde fois. Ses yeux de lion fixant toujours le traite, sa respiration devenant puissante, soulevant sa lourde armure dans son énervement grandissant. Les chaines qui le retenais ce tordant autour des madrier ou elle commençait a s'enfoncé
-Je vous traquerai tous! Rugit sa puissante voix comme un coup de tonnèrent ses crocs tout sortie comme s'il était près a mordre. Ses bras énorme ce gonflant avec puissance contre les chaines, voulant a tout prix aller passé ses main autour du cou du traitre qu'il fixait d'une rage palpable.

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L'éclaireur observa cette réaction et fit glissé doucement la lame sur le front du monarque et l'arrêta lorsque Karia daigna répondre. Il eut des frissons qui lui parcouru la colonne vertébrale et sursauta lorsque le détenu trouva la force de rugir. Il retira la lame de son visage et ce redressa en reculant impressionner par cette aura terrifiante, comme s'il aurai ressenti les mains du demi-race lui arracher la tête sous sa poigne.
Comment osait-il? dans cette situation? ne devrait-il pas tout simplement ce taire?

Vexé d'avoir eu aussi peu d'effet sur le monarque, il ce tourna vers les autres prisonniers. Si Karia était aussi téméraire, ca devait surement être du au fait qu'il portait toujours son affreuse cuirasse de fer drowique...
Il avança vers eux levant sa lame sous leur gorge successivement.

- Quel charisme, comme toujours...rajouta Klain d'une façon malicieuse, laissant sous entendre une pointe d'énervement.

-Peut-être fera tu moins le fière lorsque l'on t'aura retiré cette armure? Lui lança par défis Klain avant de s’adressé au 4 autres.

-Allez messieurs! qui d'entre-vous connaissez le petit secret de notre roi? toi?

Fit-il en levant le casque du visage du demi-race qui ce trouvait devant lui. Il connaissait bien celui-ci, ils avaient travaillé ensemble durant près de 1 ans et demi et savait très bien que ce dernier ne pouvait savoir une tel chose. Le but était uniquement de ce venger.. de versé du sang devant Karia.
Le demi-race a moitié mort déjà, leva les yeux vers son ex-coéquipier, l'air abattus
-je l'ignore...Fit sa voix faiblement et tremblante
- Oui, je sais. dit l'humain froidement avant de lui percé la gorge de sa lame et s'approcher du second a qui il ne laissa pas plus d'option puis fut le tour du 3iem... Tous ayant nié savoir comment retiré le plastron de Karia.
Il ce retrouva maintenant devant Désiré, tendit que ses confrères ce vidait comme des cochons de leur sang.
- Quel secret bien gardé! Fit il a l'encontre de Karia observant son visage, espérant voir ce dernier changé d'expression, le faire bronché!
Il souleva le heaume de Désiré, voyant sa chevelure rouge ce déversé sur ses épaules, restant soudainement figé devant la beauté qui ce trouvait devant lui... Un sourire presque sadique prenant place sur son visage, lorsque la surprise de la foule ce fit entendre, il sentait qu'il tenait quelque chose. Depuis quand après tout Karia amenait-il des femmes avec eux en mission? Il devait surement y avoir une raison caché la dessous.
-Toi tu sais! je n'en est aucun doute!
Fit-il en ce penchant pour lui saisir le menton et lui fixé le fond des yeux.

-Il y a eu des rumeurs qui circulait hier matin, comme quoi tu serai sortie mystérieusement des appartements du roi... je tiens ca d'un garde qui nous a chaudement parler de cette soirée passé peu de temps après, en ta compagnie.. comment a t-il dis ca? Délicieuse et torride! oui.
Chercha t-il a la forcé a avouer quel savait quelque chose que eux ignorait et lui mettre la pression... puis ensuite il entreprit de la séduire pour la mettre de son coté, alors qu'il s'agissait d'un choix de vie ou de mort pour elle.
- Tu viens tout juste de rejoindre Xar'minos, je crois même que tu n'as pas encore prononcé tes vœux d'allégeance..Il n'ai pas trop tard pour changer de camp ma jolie fleur. Nous pourrions en discuté ensemble...
Lui fit-il un regard qui ce voulait désireux de ce retrouver en intimité avec elle et lui offrant du même coup un salut au possible sort qui l'attendait si elle restait fidèle a Karia plutôt que de penché dans le camp des humains. Il sourit de façon qui voulait dire << C'est moi ou tu crève la comme les autres.>>