Fiche des Elfes

Je vous rapels qui faut avoir consulté la fiche de présentation d'exemple et que la première section est obligatoire a remplir.
prénom:

Nom:

Sexe :

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Date de naissance:

Classe :

Métier :

Croyance :

Rang :


Merci de votre participation.

Prénom -> Linwë

Nom -> Itlandir

Sexe -> Féminin

Age -> Milieu avancé de l’adolescence

Date de naissance -> Deuxième jour du printemps

Classe -> Elfe

Métier -> Magicienne

Croyance -> Dieu du Bien

Rang -> Le bien

Apparence ->
D’apparence plutôt jeune, Linwë porte de longs cheveux blonds descendant très bas dans son dos étrangement jamais entremêlés. Ses yeux sont d’un bleu profond et elle porte pratiquement toujours la même accoutrement (Voir signature), ou, sinon, elle est vêtu d’un ample manteau de couleur brunâtre ou est cousu une capuche de la même teinte.

Qualités/défauts ->
Cette jeune femme inspire tout de la confiance. Rayonnante, rare sont les fois où elle se laissera abattre, ce qui, peux devenir très comique. De nature plutôt jalouse, elle reste tout de même très attachante. Bien qu'elle n’aura aucune équilibre hors du feu de l’action, que ce sois le fait de rester simplement en place quelques minutes sur un sol mou ou dur, elle risquera de tombé facilement. Par contre, dans un bataille, elle pourrait se perché sur la plus haute branche pour se caché, debout, sans même tombé.

Phobie ->
Loin de se laissé impressionnée, Linwë n’est toute fois pas un être surnaturel. Comme tous, elle a une peur bleue de quelque chose. Ce quelque chose, c’est le feu. Par contre, cette peur n’a aucun lien avec son passé. C’est seulement, le feu. Toutes flammes dépassant plus de 75centimètres sera la pire peur de cette jeune elfe.

Caractère ->
De nature plutôt impulsive, nous pourrions croire que Linwë n’as pas encore appris la sagesse de son peuple. Mais c’est bien le contraire. De nature quelque peu rebelle, elle préfère cachée sa nature sage et réfléchie derrière un caractère hystérique, enfantile et un tantinet énervant. La raison ? À ses yeux, même si elle voue un grand respect pour les sages de son peuple, ils sont anti-sociables. Pour remédiez à ce problème, elle à opté pour un caractère complètement différent de ceux de ses proches.

Famille/proches ->
-Aerandir Itlandir, son frère. Cheveux brun court, assez musclé du à son métier de combattant. Il a toujours été là pour sa sœur, peut importe la situation.
-Eroyl , son écureuil de compagnie. Bien que souvent absent pour faire ses provisions, Linwë s’est lié d’amitié avec ce petit être de la nature.

Pouvoirs ->
Très très très (Ai-je dit Très?) limité. Pour qu’elle raison? Simplement car Linwë n’a jamais réellement été attiré par l’étude complexe de la magie. Ayant le titre de Magicienne, et encore là, le répertoire de cette jeune elfe est très peu varié :
->Lumière : Une petite lueur blanchâtre s’élevant de sa paume de main. Elle ne peut l’envoyé qu’à deux mètres d’elle.
->Vision Nocturne : Un sort très banale agissant au niveau de ses pupilles, ceux-ci devienne légèrement plus clair. Le moyen d’y arriver? Simplement envoyé de très petites extrait de lumière se posé sur ses yeux, se qui lui permet de voir dans l’obscurité pour maximum 2heure. (À noté qu’au cours des 2heure, la lumière diminue)
->Faible niveau de télépathie animal : Elle peut seulement envoyé une courte pensée, ou image, d’à peine une demi seconde à un animal ciblé. L’animal, tout dépendant de sa confiance envers l’elfe, peut comprendre ou non le message.

Histoire ->
Son Histoire? Qui aimerait l’entendre, rien de plus banale. Mais bon, si vous y tenez tant que cela. Voilà son histoire…

Une naissance, attendez. C’est plutôt banale, ça aussi… Elle est née auprès de sa famille, dans la joie et le bonheur. Ses deux parents étaient des elfes de sang, son père, un grand sage et sa mère, toujours souriante…Le parfait exemple de la famille parfaite quoi !

Ensuite... son enfance. Bon. Pourquoi pas ? Étant la plus jeune d’une petite famille de deux enfants, Linwë a toujours été très proche de son grand frère, Aerandil. C’est lui qui lui a appris à tenir tête à son père, celui ci étant son jumeaux non-identique. Faut dire, il avait beaucoup de patience pour réussir à lui apprendre cela sans perdre les nerfs…M’oui, plutôt un gros défi. Son père, lui, était mage. Résultat : Il a tenté de lui apprendre les bases de la magie, ainsi que quelques sorts. Qui a-t-il d’amusant a resté assise sur une chaise pendant plusieurs années? Aux yeux de l’enfant elfe, rien. Et donc, elle lâcha très vite, profitant de son immortalité vers d’autre chose. Elle n’a jamais réellement eu d’ennui quelconques, car elle a toujours resté auprès de sa famille surprotectrice. Sa plus grande peine fut sûrement lorsqu’elle s’est cassée la jambe en sautant d’un arbre… Alors vous voyez le genre? Naïveté du danger total.

J’aurais aimé vous décrire son histoire d’une manière plus complexe…mais entre vous et moi, qu’a-t-il d’intéressant dans une histoire d’une petite fille qui c’est fait élever normalement? Aucune guerre, pas dans son entourage familial. Aucune grande peine, car je doute fortement que son père serait mort de vieillesse. Ah ! Je sais, je sais quoi vous raconté. Le Pourquoi elle est désormais seule. Sans sa famille autour d’elle. Le Pourquoi.

Le Pourquoi

Nous sommes le premier jour du Printemps. La neige vient de laisser place à cette magnifique saison, mis à part pour le fait qu’il y a plusieurs flaque d’eau un peu partout, et que la rivière semble toujours vouloir sortir de son lit. N’est-elle donc pas bien dans ce lit? Moi, un lit en sable…

Mais bon, ce n’est pas ça l’important. Je crois que je vais continué a vous compté son histoire, si je veux que vous ne vous endormiez pas immédiatement. Donc, c’était le premier jour du Printemps, le soleil était haut dans le ciel, indiquant environ midi. Sous ses forts rayons, une Elfes aux cheveux blonds fit son entré, sortant d’une petite cabane de bois rond. Derrière elle, un curieux petit écureuil marchait sur ses talons. Ses poils brunâtre se redressant du aux vents autour des deux amis. Mais ou allaient-ils donc ?

Peu après, un Elfe, à première vue dans la vingtaine d’année Humaine sorti à son tour de la cabane, les sourcils broussailleux froncé, il leva la main pour remonter les lianes du sol afin d’empêcher sa fille de continuer son chemin. Furieuse mais calme, Linwë tourna les talons vers lui, plissant ses yeux pour le fixé « méchamment ». Son père ne put faire autre chose qu’éclaté de rire, qui fut rejoint par ceux de sa fille et les cris joyeux de l’écureuil.

->Père ! Je veux aller rejoindre Aerandil, permettez le moi, je vous en pris !

Son père poussa un long soupire, son rire s’ayant arrêté graduellement. Il observa gravement sa fille, et soupira a nouveau.

->Pourquoi souhaite tu cela ma tendre chérie ? L’endroit ou est parti ton frère n’est pas faite pour toi. Tu es encore si jeune… ta place est parmi nous. Aller là-bas serait signe de suicide. Des races dont même les contes ne souhaitent pas parler y regorge. Tu sais très bien que je peux rien te refusé, ma fille, mais reste avec nous. Tu t’ennuis donc tant que cela? Tu as encore l’éternité pour aller le rejoindre!

->Justement, Père ! répondit la jeune elfe, loin d’être à cour d’argument. Vous savez comment je suis près d’Aerandil! Vous ne pouvez pas m’empêcher de le voir, nous sommes jumeaux, l’avez-vous déjà oublié ? Je n’ai pas peur des contrées inconnues. Mais je ne veux pas rester ici. S’il vous plait, père!

Résigné, le Géomancien fit un petit signe de la main vers le bas, les lianes bloquant le chemin de sortie de sa fille retourna dans les profondeurs de la terre. Satisfaite, Linwë fit une dernière embrassade à son père, lui le lui rendit tendrement. Suite au câlin, l’écureuil sauta sur l’épaule de la jeune elfe. Tout deux partir vers les terres dont elle n’avait jamais entendu parlé. Tout deux partir à la recherche d’Aerandil, peu importe ou celui là pourrait maintenant être. Ils avaient l’éternité pour le chercher, après tout…

Prénom : Alurielle

Nom : Firewalker

Sexe : Féminin

Âge : 19 ans

Date de naissance : Solstice d’été

Race : Elfe

Métier : Illusionniste

Croyance : Neutralité

Rang : Neutre

Apparence :

Alurielle est une jeune elfe à la peau sur les os. Elle est faible et gracile. Sa peau à la même couleur que le lait. Elle est très grande comme la plupart des elfes mais elle est atteinte d’une maladie rare qui fait qu’elle est décharnée et qu’elle se tient courbée en tout temps. Frêle, elle ne pèse que 75 livres. Ses cheveux sont si long qu’ils touchent le sol mais leur couleur est terne, presque sans éclat. Mais ce qui se remarque le plus et en premier chez elle, ce sont ses yeux. Ses yeux sont d’un vert émeraude à l’éclat si pur qu’ils vous captivent d’un simple regard. La plupart des gens ne remarquent pas son physique car ils sont subjugués par ses yeux.

Qualité :

Elle est adorable, serviable, gentille, hyper déterminée et travaillante

Défaut :

Elle n’a que 2 défauts ; Elle est tellement travaillante qu’elle finit toujours par se fatiguer à l’extrême et est trop parfaite ; on finit toujours par la détester car elle réussie tout ce qu’elle entreprend à la perfection.

Caractère :

Enjouée, elle recherche beaucoup l’affection des autres. Que vous soyez bon ou mauvais, elle vous aimera comme vous êtes.

Particularité et Avantage :

Subjugue les autres grâce à ses yeux
Elle à une force mentale hors du commun
Elle résiste facilement à la plupart des poison grâce à son mental.

Désavantage :

Elle n’a aucune force physique et quasiment aucune résistance

Histoire :

Dès sa naissance, Alurielle fut atteinte d’une étrange et rare maladie qui la faisait dépérir. Les guérisseurs elfes ne lui donnaient que peu de temps avant de mourir mais même bébé, sa force mentale hors du commun lui permit d’empêcher sa mort et de ralentir sa maladie. Elle ne s’apitoyait jamais sur son sort car elle se disait qu’il y avait bien plus pire qu’elle.
Elle fut quand même malheureuse car elle ne pouvait aller jouer avec les autres car elle aurait risquer de se casser un os car elle n’avait qu’une force limitée et une résistance très faible.

À l’âge de 12 ans, quand ses parents ont vraiment remarqué sa force mental impressionnante, ils ont décidés de la faire illusionniste. Elle s’y consacra corps et âme tellement qu’elle fut la plus brillante et meilleure de sa classe.
Elle n’avait que peu de temps pour les autres si bien qu’elle n’avait pas beaucoup d’amis.

À sa majorité, elle continua à se consacrer a son métier d’illusionniste mais essaya aussi de trouver un moyen de rendre son corps plus résistant comme un elfe normal. À 19 ans elle s’y consacre totallement.

Prénom -> Lonàn

Nom -> Aucun

Sexe -> Masculin

Age -> Adulte

Date de naissance -> Troisième jour de la Chèvre

Classe -> Elfe

Métier -> Moine arcane

Croyance -> Animisme

Rang -> Le bien

Apparence ->
Costaud et robuste, Lonàn se démarque des autres elfes par son physique imposant. Atteignant près de 1m90 et 90 kilogrammes, il est un véritable poids lourd parmi la belle race. Toutefois, son corps est celui d'un travailleur. Chaque muscle de son corps est conditionné à la perfection. Ses cheveux, lui léchant le bas des omoplates, pendent souvent en demi-queue de cheval.

Son torse massif est couvert d'une toge blanche courte, et ses jambes d'un pantalon large en cuir léger. Le tout est ensuite recouvert d'une toge en tissu épais, d'un bleu glacier. Une large bande de tissu blanc lui ceint la taille, et à celle-ci pendent ses outils de travail: faucille, marteau et un mètre de chaîne. Y pendent aussi deux sacs en tissu fin, l'un visiblement plus grand que l'autre.

À sa main gauche apparaît souvent son dernier outil, une naginata (bâton de 1,80m surmonté d'une lame de 60cm à un tranchant). Celle-ci est richement décorée de veines bleues sur toute la longueur du manche et de la lame. Deux poignées lacées de cuir ceignent le manche.

Qualités -> Objectif, réfléchi, acceptant, ouvert, persévérant, perfectionniste, attentionné, attentif.

Défauts -> Perfectionniste, obstiné dans ses valeurs, peu empathique, peu perspicace.

Caractère ->
Calme et posé, Lonàn accepte complètement ses émotions et les utilise pour améliorer sa vie et celle de son entourage. Ouvert et curieux, il cherche toujours à connaître de nouvelles choses. Il est attentif aux besoins des autres, du moins quand ceux-ci sont exprimés clairement. Son manque de perspicacité le condamne souvent à prendre les gens au mot.

Travaillant et capable, il aime créer et profiter de ses créations, qu’elles soient artistiques, agricoles, gastronomiques ou autres. Il est souvent vu en méditation, en plein travail ou en fête.

La seule question vraiment indispensable pour bien vivre, selon Lonàn : Qu’est-ce qui vaut la peine d’être vécu?

Famille/proches ->
Faloril - compagnon, moine arcane de l’air
Brann Thirstle - compagnon, moine arcane du feu
Kylan - compagnon, moine arcane de la terre
Oxilian - compagnon, moine arcane de l’ombre et de la lumière
Suiauthon – frère, rôdeur, mercenaire et chasseur
Dordan Corne-d’Ivoire – ami, compagnon de voyage, minotaure philosophe, garde de caravane
Kanat’sekeetaya – amie, compagne de Dordan, chirurgienne
Kian Jan de Loyal-Cœur – ami, étudiant favori de Drisl au Monastère
Drisl – Père, soldat de métier
Athrabeth – Mère, philosophe, poète, artiste, apprenti-druide
Sancta – sœur adoptive, chirurgienne

Pouvoirs ->
Malgré sa vocation de magicien, Lonàn ne peut faire qu’un type de magie : l’utilisation de l’eau. Il peut tirer d’une source des projectiles, en baisser la température, la manipuler physiquement ou tout autre manipulation directe de la matière qu’est l’eau. Par contre, chaque manipulation est extrêmement difficile à réaliser, les rendant quasi-inutilisables en combat. Elles consomment également beaucoup d’énergie. Geler un adversaire sur place est ou manipuler son sang sont des actes qui frisent le suicide.

Des actes isolés, mineurs ou à très petite échelle sont toutefois envisageables, comme projeter de petits dards de glace, ou extraire un litre d’eau du sol. Il ne peut pas non plus en créer. Il est aussi limité dans son pouvoir par l’impact de ce qu’il cherche à accomplir. La destruction ou un acte qui cause la mort lui est extrêmement difficile, tandis que la création et la manipulation défensives lui sont plus aisées.

La manipulation de l’eau n’est pour Lonàn qu’un entraînement, tout comme ses prouesses martiales. Le combat est un mal qui n’est que très très très rarement nécessaire. Ses pouvoirs ne lui servent qu’à aider et à créer, non à détruire.

Histoire ->
Son père, un soldat elfe du nom de Drisl, et sa mère Athrabeth, une poète et philosophe elfe, se rencontrèrent à l’occasion de l’affectation du premier dans la région de la deuxième. Quel couple! À eux deux, ils incarnaient la force, l’agilité, la dextérité, la sagesse, le savoir, mais plus important, le calme, la sérénité et la paix. Au cours de cette union, ils eurent deux fils, des jumeaux. Ils appelèrent le premier Lonàn, car, petit, il ne se réveillait que durant la nuit. Son nom signifiait «Corbeau de nuit». Le deuxième gagna son nom, Suiauthon, «le Belliqueux», de sa propension à la violence, tant physique que mentale. Les deux frères étaient très différents, quoique toutefois très semblables.

Alors que le premier voulait toujours savoir tout à propos de chaque chose, le second ne voulait savoir que les caractéristiques pratiques des choses. Lonàn, très jeune, se mit à faire comme sa mère, à analyser chaque chose sous tous les angles, de manière à comprendre cette chose, sans porter le moindre jugement. Sa mère lui enseigna l’art du questionnement intérieur et de la philosophie. Suiauthon, quant à lui, retenait plutôt de son père, l’amour dans la force, dans la protection. Il apprit vite le fonctionnement des techniques de chasse, et apprit le maniement de l’arc et de l’épée, quoi qu’il préférât se servir du premier. Ils apprirent de leur père les valeurs de l’honneur, du respect et de la loyauté, et de leur mère, les valeurs de la liberté, de la pensée et de l’amour. Leur père les avait éduqués dans la langue commune, Athrabeth, dans l’elfique. Tous deux se rappelleraient la prière que leur mère leur avait enseignée : «Hannon. Cîn rhaw sa mîn galu. Pada na Zethos. Go-renia na gwilith. Cuio vae!» (Je te remercie. Ton corps est notre bénédiction. Va avec Zethos. Vagabondez ensemble dans le ciel. Adieu!). Malgré leur vocations de soldat et d’érudit, aucun de leur parents ne savaient lire ou écrire.

Alors qu’ils venaient d’avoir vingt-cinq ans, le conseil de leur village leur confièrent une jeune fille, d’environ cinq années. Elle n’avait pas encore de nom. Athrabeth la baptisa bientôt Sancta, un mot qui, en ancien langage humain, signifiait être béni. Elle la croyait bénie d’avoir pu être élevée par les elfes. Lonàn, en sa qualité de philosophe, n’eût jamais le moindre sentiment à l’égard de Sancta, sinon celui de bienveillance qui l’avait quelques fois poussé à lui enseigner quelques petites choses. Suiauthon, lui, sentit en lui un sentiment tout à fait nouveau. Il avait peur. Il avait peur de cette fille, peur de ce qu’elle pourrait leur faire, à sa famille et à lui. Jamais il ne put lui faire confiance. Il réalisa qu’il ne pourrait plus jamais faire confiance à qui que ce soit, excepté sa famille.

Réalisant rageusement sa faiblesse, il en parla avec sa mère. Celle-ci n’eût pour lui que des mots encourageant, et tenta, à son habitude de lui faire voir par l’argumentation qu’il avait tort d’interpréter son sentiment ainsi. Il consulta donc Drisl, pour lui demander conseil. Son père lui raconta donc une histoire, celle d’un jeune humain à sa première bataille. Il lui avoua que, dans une bataille, on devait faire entièrement confiance à l’homme près de nous, puisqu’il détient un pouvoir extrême, celui de vie ou de mort. Comprenant ainsi le sens caché de l’histoire, il décida de vivre avec ce sentiment, de le contrôler, et, peu à peu, de l’utiliser.

Un matin d’automne, Sancta avait disparu. Ils la cherchèrent en vain pendant de nombreux jours. Ils apprirent que Sancta fut capturée par des brigands et fut esclave pendant deux longues années de souffrance, après avoir été «touchée» par le démon qu’ils vénéraient. Toutefois, après deux ans où la famille avait fait son deuil, Suiauthon entendit, dans un village, deux hommes parler d’une ancienne esclave, qu’ils avaient secourue. L’elfe, s’approchant rapidement des deux hommes, sentit quelqu’un lui sautant au dos. Sursautant tout en pivotant, il se retrouva face-à-face avec Sancta. Elle avait d’horribles tatouages sur les bras et le visage en pleurs. Après avoir parlé avec les hommes du village, ils acquiescèrent à sa demande de la ramener à la maison.

Lorsqu’elle revint à la maison de sa famille adoptive, elle leur déclara son envie de partir et de voir le monde. Lonàn, surpris par sa décision, la questionna un peu. Il réalisa tous les bénéfices pour lui de voyager. Il se leva donc et se retournant, ajouta qu’il allait avec elle, avant de disparaître à l’extérieur. Athrabeth et Drisl, toujours follement amoureux comme le jour où ils s’étaient rencontrés vingt-six ans auparavant, décidèrent de se joindre à l’aventure, par désir de voyager et de protection de leurs enfants. Ils décidèrent tous de partir vers la Cordillière de Born et les Terres Mortes. À l’exception de Suiauthon. Il avait des vues sur une jeune elfe des environs, et ne souhaitait pas partir au loin, vers des contrées qu’il ne connaissait pas. Il assista tristement aux préparatifs et au départ de sa famille. Des cinq personnes qui la composaient, il était maintenant seul.

Lonàn eut un voyage particulièrement calme, quoiqu’il ait rencontré plusieurs personnes dignes de mention. L’un d’eux, Rendan, avait tenté de le transformer en stratège militaire. Il avait échoué et, pour une raison inconnue, le laissa partir, malgré sa connaissance totale de ses stratégies guerrières.

Il entra par la suite au Monastère de Mino’larkaï, dans les Terres Elfiques. Trois ans durant, il y étudia la relation entre les énergies et la balance du corps et de l’esprit. Il se lia d’amitié avec certains de ses codisciples, des elfes d’alignement élémentaire différent, mais de progression analogue. Kylan, la Terre, Faloril, l’Air, Brann Thirstle, le Feu, et Oxalian, l’Ombre et Lumière, tel étaient ses compagnons les plus chers. À la fin de leur apprentissage basique, la tradition monastique voulait qu’ils partent en pèlerinage, afin de trouver leur place dans le monde. Les cinq moines se dirent que comme les éléments se combinent pour créer le monde et la vie, ils devraient rester ensemble pour aider et s’aider le plus possible. Durant ce temps, ses parents s’établirent dans des positions d’Enseignants, et Sancta décida de s’instruire dans l’art mécompris de la médecine moderne.

Après cinq ans de voyage, il arrivait à la Cité des demi-races, accompagné de Sancta, de ses parents et de ses confrères moines. Mais, laissant Sancta et ses parents poursuivre leur route, Lonàn et ses codisciples s’arrêtèrent quelques temps à la Cité. Ils planifiaient bien de revenir au Monastère, mais ils n’étaient pas pressés. Plus ils en apprenaient , plus ils pourraient enseigner et aider leur prochain.

Sa vraie histoire commence alors.

Prénom -> Khylan

Nom ->

Sexe -> Masculin

Age -> Adulte

Date de naissance -> huitième jour du chien

Classe -> Elfe

Métier -> Moine arcane

Croyance -> Animiste

Rang -> Bon

Apparence -> De ce que les autres peuvent voir, Khylan n’a pas l’air très gros ou musclé, en fait il a l’air assez chétif dans ses habits visiblement trop grands pour lui, les connaisseurs reconnaitraient toutefois un des habits généralement porté par les moines. Les vêtements plus amples permettant une facilité de mouvement que des vêtements plus serrés ne permettent pas, c’est un choix assez ingénieux que de les porter presqu’en tout temps. À sa ceinture on peut voir deux bouts de bois d’environ 20 centimètres reliés par ce qui semble être une chaine de métal. Rien d’autre n’est apparent sur lui, même ses mains sont enfouit dans ses manches presqu’en tout temps.

En résumé, la seule partie de peau visible est son visage, quand il ne porte pas sa capuche qui descend jusqu’à sa bouche. Khylan est un elfe, donc il a les oreilles pointues, un visage plus fin que celui des hommes. Ses yeux, parfois d’un bleu éclatant, d’autres d’un vert foret, donne l’impression de sonder votre âme tellement il a un regard perçant. Pour ce qui est de ses cheveux d’un brun cacao, pour une raison inexplicable, ils tiennent en hérisson naturellement sur sa tête et ne bouge pas d’un poil, et ce même lors des rafales de vent.

Qualités -> il a l’air toujours paisible et jamais en colère, il a un énorme contrôle de ses émotions.

Défauts -> froid, pratiquement insensible, il a l’air d’être indifférent à tout ce qui se passe au point où ça en est désagréable

Caractère -> De nature très calme, pour les gens qui l’entourent, il est difficile de dire ce qu’il ressent car il ne le démontre jamais. Son entrainement de moine ainsi que son habitude à ignorer les insultes et ne conserver que les informations pertinentes lors des conversations, il est très dur à provoquer, que ce soit physiquement ou psychologiquement.

Famille/proches ->
Faloril - compagnon, moine arcane de l’air
Brann Thirstle - compagnon, moine arcane du feu
Lonan - compagnon, moine arcane de l’eau
Oxilian - compagnon, moine arcane de l’ombre et de la lumière

Pouvoirs -> Étant un moine arcane, Khylan a appris et maitrisé le contrôle d’un élément, de par son caractère la force de la nature qui lui convenait le mieux était sans nul doute la terre. Après des années d’acharnement, de pratique, de défis, d’échecs, de succès, etc. Khylan est finalement parvenu à avoir un certain contrôle sur cette puissance. Il peut facilement, entre autre, durcir sa peau grâce aux propriétés de la terre afin qu’elle ne soit plus pénétrable par une lame. Toutefois user de cette énergie de façon trop élevée, pour créer un tremblement de terre par exemple, ou en très peu de temps comme lors d’un combat est très risqué et peu lui être fatal.

Histoire ->
Jour 0
J’ai commencé ce journal a mon arrivé au monastère, le but était de me souvenir de tout ce qui s’y passait, mais bien assez vite, je me suis rendu compte que cette méthode de faire allait me suivre partout, depuis lors j’écris tout ce qui se passe, en oubliant le moins de détails possible, dans ma vie. Tous les événements, les rencontres, les péripéties, les joies, les peines, bien que plutôt rarement exprimées, sont inscrits dans un journal. Il y a peu de temps, je me suis rendu compte que je n’avais jamais inscrits les événements de mon passé avant le monastère, c’est pourquoi je prends cette page aujourd’hui et qu’elle est datée du jour 0, pour ceux qui se le demanderait. Malheureusement, les noms des villages et des personnes m’entourant avant ca sont très flou et je ne peux que les insulter en essayant de les mentionner, c’est pourquoi aucun nom ne sera inscrit dans cette partie de mon journal.

Je vais vous épargner tout mon enfance, quoi de plus ennuyeux que d’entendre, ou de lire dans votre cas, une histoire banale d’enfant tout à fait normal? Je commencerais par vous dire que mon caractère face aux gens ainsi que mes comportements sociaux ne sont pas nouveau d’hier et que ce genre d’attitude, parmi les miens, n’était pas toléré. Même qu’à un certain point j’étais rejeté par les autres car je n’étais « pas normal ». Ce refus de m’accepter m’a souvent mené à être seul, j’ai donc trouvé des occupations, une en particulier : Les élémentalistes. Au milieu de mon adolescence, mes parents voyant que mon cas s’empirait de jour en jour m’ont menacé de m’envoyer dans un monastère. À cette époque je ne voulais vraiment pas quitter le nid familial, mais je voulais encore moins arrêter de pratiquer ce qui était devenu ma nouvelle passion.

Vers la fin de mon adolescence (un humain aurait 17 ans), mes parents en eurent assez et mirent leurs menaces à exécution. C’est à ce moment précis de ma vie que j’ai appris que mes deux parents étaient en fait eux aussi des personnes capables de contrôler les éléments qui nous entourent et aujourd’hui je réalise que m’envoyer au monastère n’étais pas une punition, mais un privilège et une opportunité pour moi d’approfondir mes connaissances et d’améliorer mes pouvoirs. Cependant, toutes ces années m’ont fait oublier beaucoup de choses concernant mon passé, incluant le visage, même le nom, de mes propres parents…

Après mes années au monastère certains de mes confrères et moi décidâmes de partir en voyage pour continuer d’apprendre, ayant pris pour acquis que j’avais pas mal tout appris ce que j’avais à apprendre. C’est après cinq ans de voyage accompagné par ma nouvelle famille et d’autre personnes, fort probablement des membres de leur ancienne vie, que notre chemin nous mena à Sram'zis, la grande cité des demi-races. Nous nous séparâmes donc, ne restant que mes confrères et moi.

Prénom (Nom cours): Alphlindelëa Kel’ebren Silivren
(Mélodieux Cygne d'argent d'éclat blanc)

Nom complet familiale: Glorfindel Ainu, úr'murmëa, Alphlindelëa Kel’ebren Silivren
(Tête d'or angélique, feu (talent) somnolent, Mélodieux Cygne d'argent d'éclat blanc)

Sexe : Homme
Âge: 1000 ans
Date de naissance:  Enfant du printemps (mai)
Classe : Mage élémentaliste
Métier: Dragon Bleu de Xar’minos; Capitaine Caliban Sinraï, de son ancien titre.
(Dragon ici est le titre honorifique d’un Chef de guerre siégeant au conseil diplomatique de Xar’minos cité conquisse par les Demi-races du territoire du Nord Est de l’univers « Royaume oubliés de Mageä Dia »)
Croyance: Polytéisme
Rang:  Bon neutre

Apparence:
Si la beauté avait un visage, l’on nommerait assurément un Glorfindel à cet honneur et en digne représentant de cette prestigieuse ligné, Kel’ebren ne fait pas exception.  Un homme d’une beauté androgyne à couper le souffle. Le visage aussi angélique que son nom le suggère, n’est pas une plaisanterie. Son charisme légendaire et son aura naturellement lumineuse, fait de lui un être aussi magnétique que bienveillant. Son regard d’un bleu ciel intense est brillant d’intelligence et littéralement ensorcelant. Son parfum naturel rappelle un thé frais de jasmin agréable et apaisant. Sa silhouette est grande, en forme de T avec de bonne épaule, lui conférent une élégance à toute épreuve en plus de toujours se montrer de bon goût quant à la présentation de son habillement.

Sa peau pale est douce tel une porcelaine fragile est souvent couverte de nombreuses couches de vêtements de luxes, de bijoux et d’un maquillage soigneux aux origines patrimoniale. Avec de grandes mains si délicates, impossible de l’imaginer à des tâches paysannes. C’est pourquoi, sans surprise, Kel’ebren est considérer comme un érudit plutôt qu’un féroce guerrier. Si parfois sa silhouette ou ses goûts vestimentaires d’une autre époque laisserai douter de sa virilité, sa voix compte à elle, est de velours. Toujours calme et poser, on l’entendra rarement élever la voix, être grossier ou s’énerver. Il met un point d’honneur à incarner la grâce que ce soit dans sa manière de parler ou de bouger, tel le cygne qui honore son nom et le blason de sa glorieuse maison.

Incontournable mention à faire à la chevelure d’un elfe; gage le plus précieux et sa fierté la plus soigner dont la longueur est des plus prisé. Comme son nom l’indique, Glorfindèl signifie littéralement tête d’or. Kel’ebren porte donc fièrement une magnifique chevelure de filin d’or et d’argent atypique à sa ligné qui recouvre son dos jusqu’à l’orée de ses fesses. D’où est d’ailleurs inspirer son nom d’adulte, car durant le jour les reflets d’argent et d’or oscille dans un blond platine. Légère, plus douce qu’elle ne pourrait laisser le promettre, quiconque ose menacer sa chevelure précieuse ou n’ose y glisser les doigts, engage un diagnostic vital a son existence.
« On n’ébouriffe pas les plumes d’un Cygne »


Qualité :
- Calme
- Studieux
- Empathique
- Talentueux
- Juste – forte capacité d’analyse

Défaut :
- Excellent menteur
- Tendance à procrastiner
- Précieux - vaniteux
- Distrait – S’égare dans l’abstrait et la notion du temps
- Évite les conflits à tout prix
- Bordélique/ accumulateur compulsif

Caractère :
D’un tempérament calme et poser, Kel est un médiateur efficace qui aime la paix et l’équilibre en toutes choses. Dans une pièce, il sera toujours le personnage le plus silencieux, observateur et choisira avec soin si les gens présent mérite d’entendre ses pensées, ses idées ou non à un moment opportun.
Cependant, il peut être au premier abords un personnage difficile d’accès, car il se montre distant et sélectif avec qui et de quoi il va entretenir une conversation. Il ne supporte pas les cancres, en particulier lorsque le sujets traite de l’art qui le passionne plus que tout : La magie élémentaire et ses nombreuses autres variantes.

Kel’ebren peu ce montré particulièrement difficile d’accès, tel un cygne nageant au milieu de son lac, visible mais hors de portée de main. C’est ainsi que la majorité des relations du mage doré ce résume. Il n’y a très peu de personne invitée à faire partie de son intimité, de ses secrets et de sa vie personnelle. C’est ainsi que d’un premier abord, l’on considérera cet homme comme un être narcissique glaciale, superficiel et ayant été trop gâter par la nature. Après tout, il est vrai qu’il adore se regarder dans un miroir, s’admirer ou soigner sa magnifique chevelure et se parer de son plus bel apparat quel que soit la raison de sa sortie. Devrions-nous en attendre moins d’un homme qui fut élever pour devenir empereur?

Doué d’une intelligence hors normes, il sait bien s’exprimer et aussi bien délimité ses limites. C’est d’une manière des plus chirurgicales qu’il saura toujours mettre un nom et un mot sur des sentiments ressentis et comme les choses se présente. Mais derrière cette froide façade l’on pourrait découvrir un romantique idéaliste insoupçonné, aimant lire des livres a l’eau de rose et de chevalier a cape et épée plutôt qu’une brique d’une thèse traitant sur l’harmonisation des éléments

Particularité et Avantage :
- Grande force mental
- Sa beauté hors normes, immortel
- Son éducation royale
- Sa lignée de mage élémentaire a multiple affinité. (C’est-à-dire la capacité de manier toutes les écoles d’élément et surtout de parvenir à les combiner) D’où héritage de Seigneur Vermillion.
Le titre d’un mage qui créait des tornades de foudre et de feu destructrice.
- Un don inné avec l’élément combiner de la foudre.
- Éducation Sindall; gardien du savoir, les tête grises. Considérer comme des scribes mystiques ou des érudits

Désavantage :
- Faible constitution physique : Kel à une faible capacité pour encaisser les coups physiques, ce qui fait de lui un médiocre combattant au corps à corps. Et ce malgré de nombreux entrainements visant à atténuer cette faiblesse.
- Besoin de sommeil pour ce régénérer, plus que ses congénères considèreront normale pour un immortel.
- Doit maintenir un contrôle spartiate pour ne pas être dévorer par les éléments lors de l’usage de sa magie.
- L’usage de la foudre a un contre coup sur sa santé physique, se manifeste par des tremblements au niveau des main, les yeux creux, des saignements de nez et une fatigue écrasante. Puis occasionne parfois une congestion des canaux magique, ce qui entraine une magnétisation de son corps déclenchant des courants statiques avec les gens et son environnement, une forte fièvre, des sueurs froides, des grelottements intenses et de terrible maux de tête.
- Fine bouche: Refuse de manger si la nourriture ne correspond pas à un certain degré de qualité.

Histoire:

L’histoire de Kel’ebren est un compte de fée qui a été déchirer par la dure réalité de la vie et des mœurs évolutif du monde. Il fut la dernière victime encore vivante des crimes de ses aïeuls.
Tout ce qui était innocence, rêve et joie, est devenue devoir, déception, délusion, violence et grisaille.
Comme toute histoire liée aux immortels, il faut remonter dans le temps et les âges pour comprendre tout ce qui lui est arrivé et pour conclure que les enfants ont hérité des dettes de leur parent. Mais nous abrégerons les tenants et les aboutissants.

Kel a grandit dans un cocon familiale idéal, mais très vite, son engeance régalienne le mena à suivre le destin d’un monarque et les vœux qu’il fait enfant n’eurent bientôt plus aucun sens à sa vie d’adulte. Chose que sa sœur Benjamine, Lalwendë n’entendit pas de la même oreille.

Amoureuse de son petit frère, Lalwendë à œuvrer de tous les sacrifices inimaginables pour arracher son adoré des griffes d’un mariage arranger loin d’elle. Ce qui couta tout, absolument tout ce qui restait à cette famille aux bords de l’extinction.
Ayant 500 ans d’écart, elle déjà une adulte, avait fait promettre a son jeune frère d’être ensemble pour toujours et ces mots n’avait pas été arracher à la légère. Innocence ou non, Lalwendë fit tourner le vent en révélant des secret interdit qui couta la vie à la seule personne faisant obstacle à la redoutable Saelynthil. La représentante des immortels de la cité neutre d’Imzaresh, la puissance mondiale de ce monde. Ceux qui décidait si une nation était reconnue ou non, offrait protection ou non au grand raid de collecte… C’est-à-dire au kidnapping de citoyen destiné à l’esclavage.

Dans sa folie, Lalwendë vendit son peuple en confiant leur secret a un espion infiltré avec qui plus tard elle dû se marier. Ce qui mena la forteresse flottante de Saelyn dans sur le territoire maintenant sans défense d’HusuChen'stu. Destruction, massacre, le jour même de son mariage arranger, Kel assista à l’effondrement de son univers tel qu’il là connue. Sa mère et sa sœur ainée mourut en combattant l’envahisseur et lui fut secourue d’une bien drôle de manière par Lalwendë.

Elle lui coupa les oreilles pour le déguiser en Demi-elfe, bloqua son accès a sa source l’empêchant de puiser dans ses forces magiques temporairement, du moins jusqu’à ce qu’il décide qu’il pouvait s’en libérer et ce dans sa totale coopération afin de survivre au sort qui l’attendait et échapper à la cruel sorcière drow : Saelynthil.

De précieux prince, Kel devenu alors une marchandise esclave embarquer comme du bétail dans les navires les conduisant dans les horrifiante vente aux esclave d’Imzaresh. Et il n’y échappa pas. Fut vendu, marquer au fer rouge, exhibé comme une pièce de collection, incapable de se défendre. Terroriser et remettant en question toutes les valeurs qui ont forgé sa vie jusqu’à maintenant, Kel ne parlait plus, faisait le plus souvent possible la grève de la faim pour éviter les immondes bouillis réservé à sa nutrition de si haute qualité auparavant.  Impossible de dire combien de temps cette situation avait durer, mais tout changea lors d’un voyage vers le Territoire du Nord-Est, arrivant dans une cité humaine où la destinée d’un conquérant vengeur croiserai la sienne.  C’est dans le sous-sol d’une auberge, d’un club de collectionneur œuvrant dans le noir, que sa vie prit un tout nouveau tournant en rencontrant son sauveur et libérateur Karia Soubraxiu qui mit à feu et à sang la cité et devient le roi proclamer des demi-races.
L’homme qui se fit appeler le roi dragon de Xar’minos, du Territoire du Nord-Est.

Le conquérant représentait tout, le pouvoir, les rêves de vengeance et l’accès a ses fantasmes de découvrir la vérité. Kel’ebren du œuvrer dans l’armée du roi dragon pour gravir les échelons jusqu’au plus haut galon et atteindre ses objectifs. Ainsi, Kel’ebren devient Le dragon bleu, Capitaine Caliban Sinraï, ce créant une toute nouvelle identité et jouant le mortel parmi les barbares en développant la force navale de l’armée de Xar’minos. Ce qui lui permit alors d’explorer le monde et partir à la recherche de la vérité.