chapitre 1-L'exil

Elle ne fuyais pas, ne me craignait pas... Elle semblait même sur d'elle.
J'approche maintenant a porté de lui agripper les vêtements me mettant a gronder par réflexe comme si j'émettais un avertissement.
L'endroit était étroit et tout ce que je pourrai faire avec mon épée était de nous faire tombé le toit sur la tête, elle pu me voir réfléchir a cette possibilité par mon regard qui évaluait rapidement la pièce... A la recherche d'un autre piège qui sais. Pour qu'elle ce tienne comme ça devant moi, il devait bien y avoir une attrape.
La seul arme valable qu'il me restait, était mon bouclier et mes griffes.
Mes yeux de braise retombe sur elle qui devenait de plus en plus petite fur et a mesure que ma masse s'en approchait.
Je savais qu'elle était rapide, diable oui... incroyablement agile pour une femelle.
Mais a coté d'elle j'étais terriblement fort et si je venais a m'emparer d'un de ses bras elle ne s'en dégagerai d'aucun façon que ce soit.

D'ailleurs, c'est précisément ce que j’essaye de faire, de l'agripper et de la plaquer contre le mur, visant sa gorge, les cheveux qui restait, un bras au besoin!
J'avais beau être lourd, mon corps était adapter et habituer a porté ce surpoids et je n'en demeurai pas moins véloce et redoutable au corps a corps.

Mais ces mâles, quels bourrins!!!!!

Pense In'Xun en pivotant souplement pour éviter la main. Elle sent l'irritation la gagner encore. Coudonc, le soleil lui a t'il ramolli le cerveau ou quoi?

D'un coup de rein, une fois la main passée, elle bondit, s'agrippe à l'avant bras du guerrier, regrettant de l'avoir soigné tandis qu'elle s'écorche les mains au passage. Mais elle tient bon. S'aggrippe au gantelet avec l'intention d'y grimper, même si elle va y laisser du sang et un lambeau de chair ou deux

In'Xun y va de son commentaire de sa voix grave qui claque comme un coup de fouet.

Non mais tu va finir par finir oui ou faut que je relève encore une pourriture pour te calmer?

Elle était complètement cinglé? s'agripper a mon bras?! Qu'elle imbécile...
Je ramène aussitôt mon bras vis a vis le mur pour la repousser avec violence tout en la collant contre la roche pour l'empêcher de bouger, ignorant ses petits commentaires qui n'avait aucun impacte a mes oreilles.

Paf!

Une explosion de son et de couleur dans son crâne tandis qu'elle percute une aspérité de granit. In'Xun peut se sentir devenir toute molle, tandis que les imprécations qui couraient sur ses lèvres meurent toutes seule. Avant que les abysses n'engloutissent sa conscience.

Elle devient inerte, glisse le long du mur, tachant celui-ci d'une traînée de sang chaud et odorant. tombe en petit tas mou aux pieds de Karia. Il peut lui donner bien des défauts, cinglée en tête de liste, mais il ne peut pas nier sa ténacité.

Et, pour la première fois de sa vie, une femelle offerte à son pure caprice, son bon vouloir. Quelle belle journée pour le Roi!

Je ricane ravis d'avoir pu coincé cette anguille jusqu'a ce que je constate que j'y avait été un peu trop fort...
Quel merde, je voulais simplement la maintenir tranquille, l'avoir sous le joug de ma volonté afin de savoir si oui ou non je la tuerai en fonction de ce qu'elle avait a me dire.
Je ressens une profonde panique en voyant son corps s'étaler comme un cadavre.. Qu'est ce que j'avais fait!? Je l'avais tuer? J'avais tuer une femelle?! Sacrilège...
Je recule comme si je craignais une malédiction infâme, regardant a gauche et a droite de peur de voir sortir des ténèbres ses confrères qui verrait ma honte, mon déshonneur. Tuer un femelle!!!

Je respire profondément et me résonne. Mon gars, c'est exactement pour ça que tes venues, ta réussi! Tu n'es plus esclave, il n'y plus de.. chaine...

Mes yeux tombe lentement sur elle alors que je me parlais intérieurement et la voir dans cette état, son sang sur la pierre, je ne pu m'empêcher de trembler de peur malgré mes efforts pour me réconforter. Mon bras gauche délaisse mon bouclier sur le sol et mon genoux descend pour m'accroupir.
Ma main droite approche son corps n'osant pas vraiment la toucher, je lui empoigne doucement l'épaule pour la secouer, mes yeux perçant sa peau pour constater que son cœur battait toujours.
Je la lâche aussitôt, me sentent redevable et haineux tout à la fois contre elle. Je ne pouvais pas leur faire de mal, c'était évident alors en tuer une?! Qu'est ce que j'allais faire d'elle?! La laisser là avec le reste des cadavres ambiant? Si je faisais ça alors que les travaux de la mine reprenait, elle se ferai passé sur le corps par les autres. Cette idée m'amuse presque mais on m'avais appris a respecté la vengeance et imaginer toute sa tribu débarquer ici m'amusait beaucoup moins...

Je ne pouvais tout de même pas la sortir à la surface! Je faisais la guerre au pure race, alors que dirait mes subordonnés en me voyant arriver avec ca?!
Ils n'avaient pas besoin de le savoir? Non?
Ne cessais-je de me questionner en proie a une conscience bien dérangeante.
Je n'allais certainement pas la ramener chez elle, ooooh que non! Alors je fis ce qui me sembla être la meilleur chose a faire sur le moment...

Je retourna dans la salle de la forge, allant prendre les draps de sa couche pour les ramener a son corps inerte. Je l'enroule à l'intérieur pour pouvoir la transporter sans que la lumière du soleil ne touche sa peau et que les yeux des autres ne ce pose pas sur elle. Je la ligota avec les tissus pour éviter qu'elle n'en sorte en ce débattant, telle le cocon d'une araignée finement tisser.
Par là suite j'accrocha mon bouclier en bandoulière dans mon dos, mon épée dans son fourreau, tenant son corps comme si je tenais un enfant. Remontant en surface en apportant la tête de Jesen comme preuve, ayant pour idée de le déclarer coupable et que les mines seraient dorénavant praticable.

Les choses devinrent légèrement plus compliquer lorsque j'atteignis la surface, des renforts avait été appeler en ne nous voyant pas revenir. Je sortis des mines au crépuscule devant leur yeux grand ouvert et le bruit de leur murmure.
Apparaissant hors des ténèbres, je leur offre la tête du traitre. Mon nouveau capitaine de bastion approchant l'air inquiet et suspicieux.
- Mon roi... que c'est-il passé la dessous? Vous revenez seul?!
- Ce gars était nécromancien, toutes les créatures relever son morte avec lui, disons simplement qu'il avait préparer des pièges et que malheureusement le reste de l'escouade y est passé.
Lui donnais-je le crane sanguinolent et puant, m'éloignant de lui nerveusement avec le corps de la femelle sous le bras droit comme si je tenais une poche d'arme.
Je la pose de travers sur la selle d'un cheval désormais sans cavalier et le rattache au pommeau de la mienne, ravis de retrouver mon étalon.
J'y installe mon équipement en prenant de grande inspiration d'air frais.
- Je veux que le coffre contenant les artéfact Drowique soit amener au château ce soir Halfwin.
Les travaux auront intérêt a reprendre dès demain au lever du soleil.

- Ouii oui mon roi, il sera fait selon votre volonté.
Fit-il en faisant signe a deux gaillards qui était venu en renfort de venir récupérer le coffre.
Finalement, je ne m'en sortais pas si mal, allant m'assoir sur la robuste échine de mon cheval, je nous ramenais tout deux a mon château. Profitant du fait que nous étions pile poil a l'heure du bain et du souper pour passé incognito avec ma ''poche de patate sous le bras''.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Chapitre 2: Le monde de la surface

Des odeurs succulentes circulait au 3iem étage, la ou ce tenais les cuisines royale et la salle du conseil.

Une dizaine d'employer de ménage s’affairait a préparer un souper pour les gens du château et évidement le plat du roi. Une forte femme, de petite taille avec une plantureuse poitrine était vêtu d'un uniforme brun et noir, une chemise et une jupe, ses long cheveux brun enrouler en une solide toque et recouvert d'un foulard blanc. Un long tablier blanc moulais ses formes grassouillette alors qu'elle s’affairait a finaliser les épices sur une trentaine de plat. Rapide et efficace, la mégère du nom de Pétunia claquait des mains et des doigts lançais des directives a gauche et a droite avec un regard déterminer de couleur brun noisette.

Les nombreux servants s’affairait autour d'elle comme autour d'une reine abeille dans sa ruche, leur faisant amener des plats a l'étage des officiers, un cabaret avec un théière et un repas plus léger a Alexendria Dragonovischi au appartement royale. Un petite escouade les accompagnaient afin de nettoyer le bain royal, armé de savonnette et de pierre de feu qui servirait a réchauffé l'atmosphère de la pièce. Une autre équipe ce chargeait de nourrir l'énorme four situer juste en dessous de cette pièce afin de chauffé l'eau.

Pétunia, énergique et pimpante de bonne volonté amena le plateau argenté sur la table de la salle a manger.

Le plancher était fait en marbre blanc brillant, un grand foyer en forme d'arche brulait doucement sur le mur à droite tout près d'une longue et interminable table. Elle était majestueuse, garnies de nombreux chandelier dorée a six branche, une nappe blanche immaculé la recouvrai tout entière d'un bout a l'autre. De nombreux couverts de porcelaine luxueuse était la, vide devant les nombreuse chaise en bois sculpté de toute élégance. Des ustensile dorée bordait chaque assiette reposant sur de petite serviette intacte, jamais encore utiliser.
Tout au bout de cette majestueuse tablé, ce trouvait une chaise au dossier long et d'où plusieurs créatures bordaient les bords ne laissant aucun doute qu'il s'agissait d'une sorte de trône.

Sur le mur de gauche, il y avait trois gigantesque vitraux en guise de fenêtre, donnant à la pièce des couleurs magique lorsque la lumière les traversait.
Au dessus de la table pendait deux lustres en cristal qui éclairait la pièce lors des grande assembler.

Les mains libres, elle les croisent sous sa poitrine portant un regard minutieux de chaque détaille et du ménage impeccable des lieux lorsqu'une odeur infecte lui monte au nez et ce mélange avec les somptueuse effluve de sa cuisine.
Un haut le cœur lui prend et elle ce bouche rapidement le nez. Son regard fouineur ne manque pas d'apercevoir le roi passé presque trop discrètement devant les grandes portes ouverte de la salle afin de surement rejoindre l'escalier qui menait au appartement.
-OHHH!!! VOUS!!
Éclate sa voix bien portante alors que ses talons bien que cours claque sur le marbre a un rythme bien décider a le gronder.
Elle sort dans le corridor cathédrale éclairer par les dernier rayons de soleil et des torches fraichement allumer. Les mains sur les hanches elle vient rapidement lui barrer la route.

-Vous empestez LE MORT! J'ai fais nettoyer touUUUUUUUUT l'étage et vous allez juste arriver comme ca tel un chien qui c'est rouler dans la charogne et embaumé tout notre travail!!! OOHHH que non monsieur! Vous avez beau être le ROI! Moi je suis en charge de la propreté de votre demeure!
Qu'est ce que c'est que ça?!
Fit-elle en voyant qu'il portait quelque chose sous le bras dont l'odeur était aussi infecte voir pire que lui... sans parler de l'odeur des chevaux.
-POUHA! DEHORS Mettez sa dehors! Nom de dieu! c'est une infection! Et au nom du ciel! prenez un bain avant de venir manger!
Essayait-elle de dressé cet indomptable au bonne manière avec acharnement, il avait beau faire trois fois sa taille et sa largeur, elle ne ce laissait pas intimider ... du moins tant qu'il était calme.

Mes pas résonne, le métal cognant la pierre de nombreuses marches que j'avais l'habitude de grimpé chaque jour.
Je m'arrêta alors au 3iem étage, ouvrant une porte sur un couloir spacieux supporté par de nombreux pilier de marbre, éclairer par de large fenêtre a tout les deux mètres, du plafond pendait toujours quelque étendard rouge et les murs garnis de support a torche qui laissait pour seul bruit de fond le feu crépitant.
Ce large couloir, nous fit passé devant les splendide porte de pierre noir de la salle du conseil puis tout au bout avant de croisé un escalier qui montait encore plus haut, deux porte en bois sculpté haute de 4 mètres étaient ouverte et laissait flotter dans l'air l'odeur d'un buffet somptueux.
J'essais de passé en douce, avançant le plus silencieusement que possible vers les escaliers mais impossible d'échapper a cette fouine de mégère!
En l'entendant me pointé du doigt de sa voix, mes pas ce fige net et mon corps ce crispe sur place pris en flagrant délies. Elle arrive comme une fuser me défendre le passage au dortoir et ce lance évidement dans un discours qui m'était sans aucun intérêt.
Je soupire si profondément d'exaspération que mes épaules ce soulève sous le gonflement de mes poumons. Et lorsqu'elle porta une attention particulière a ce que je ramenais de dehors, je place mon corps de côté comme si j'aurai voulu le cacher et l'empêcher de me le confisquer.
- D'accord je prend un bain si cela peu me donner la paix! Bon sang!
Faite monter de l'eau chaude et du savon, je vais nettoyer mon armure si ça vous chante! Je ne suis pas d'humeur a supporter vos caprices Pétunia! Vous feriez mieux de vous contentez de cela!
Finis-je par lui répondre de plus en plus fort, ma voix tonnant dans le couloir comme un orage menaçant fur et a mesure quel ce montrait désobligeante.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

La mégère ce ravisa sur le coup, angoissé du ton de voix qu'il prit pour lui répondre puis sa moue ce crispe en petit bec serrer, son visage ce secouant un peu comme un coq qui rebrousse les plume près a rouspéter. Les mains toujours solidement encré sur ses hanches la dame l'observe des pieds à la tête.

-Très bien!
Fit-elle pour avoir le dernier mot en ce soulevant très brièvement sur la pointe des pieds comme si cela pouvait donner plus de poids a ses arguments qui sortir doucement de sa bouche tout en étant raide de contrariété.

Ses grosses hanche ce balance alors qu'elle lui tourne le dos pour retourner au cuisine, un énorme sourire sur son visage d'avoir réussi tout de même a ce faire obéir même d'une brute aussi féroce. Elle jetais un regard supérieur a deux jeunes femme qui regardait timidement la scène et qui évidement ce mirent a l'admirer de son courage.
-Bon bon ! qu'est ce que vous regardez vous deux! au travail!
Fini telle par briser son heure de gloire, il ne fallait jamais abuser des bonnes choses trop longtemps.

Oh elle! Qu'est ce quelle avait le don de m'énerver!!
Lorsqu'elle me tourna le dos ma main gauche ce crispe en un poing avant de lâché prise et reprendre mon ascensions dans un grognement bien audible.
J'atteins alors le dortoir, un corridor munis d'un épais tapis qui tamisais le bruit des pas des gardes qui patrouillais toujours ici. Par chance, je ne les croisèrent pas et atteignis ma chambre sans encombre.

Sans plus attendre, je m'enferme a double tour.

La chambre contenait un énorme lit pouvant accueillir facilement quatre personnes, la tête appuyer au fond de la pièce contre le mur près de la seule et unique fenêtre rectangulaire et border d'un cadre de pierre.
Sur le mur où ce trouvait la porte, directement en entrant sur la gauche ce trouvait le bureau. Sur le mur de droite incrusté dans le mur ce trouvait de grande porte coulissante cachant un garde-robe.

Juste a coté ce trouvait une coiffeuse large et carrer contenant une brosse a peine user, juste au dessus accrocher, ce trouvait grand miroir ovale fracasser.
La Fenêtre garnis de lourd rideau noir qui elle donnait sur le terrain d'entrainement.
Des tables de nuits bordant chaque coté du lit, l'une contenant une bassinettes remplis d'eau fraiche avec une serviette plier reposant juste a coté.
L'autre ce tenant a gauche, portait simplement un chandelier a trois branches.

Le mur tout a gauche compte a lui contenais un foyer sur des restant de braise encore ardente. Devant un large tapis de peau de bête recouvrant le plancher jusqu'au lit ce trouvais un long et spatiaux divan cramoisi au pattes finement sculpter dans un merisier rouge.

Le bureau était long et large, contenant un encrier, quelque plume et de grosse pile de paperasse, d'énorme parchemin ressemblant a des cartes d'on une était accrocher juste au-dessus représentant le territoire de Xar'minos et des autres dragons dont l'armurerie changeait légèrement d'apparence.

J'approche de mon lit sur la droite, déposant le corps au sol pour commencer et tirant ensuite les draps jusqu'au pied de ma couche. Je me penche rapidement et liber la femelle de son cocon, pausant un regard terrifier sur elle craignant de la trouver morte. Je retire alors mes gants de fer qui me liber les bras jusqu'au coude, venant me saisir de son corps et le pauser sur le lit. C'était un sacrilège en soit a mes yeux, mais je ne pouvais pas faire faire cela par mes domestique, ce serai encore pire! Je me vois donc forcé de lui retirer son vêtement et de la mettre nue. Je n'ose pas la regarder comme si je pourrai me faire crevé les yeux si je le faisais tirant rapidement un drap par-dessus son corps divin pour la tenir au chaud.

Et sans plus attendre une seconde, je vais chercher la ceinture de tissus de ma robe de chambre dans mon garde-robe, allant lui attacher les poignet à la tête du lit. Puis je prend une serviette près de ma bassine d'eau la déchirant pour en faire un bon morceau en boule que je lui enfonce dans la bouche avant de lui bander. Pas question qu'elle ce mette a lancé des sorts ou a hurler a plein poumon!

Je prend le temps de vérifier par trois fois la solidité des nœuds qui la maintenait prisonnière avant de laisser évacuer de mes poumons un long souffle charger de stress.

Par la suite, je vais donner quelque buche au foyer afin de maintenir la pièce dans un atmosphère confortable et chaud. Devant la laisser un moment, je roule en boule les tissus qui empestait les jetant sur le balcon. Compte à la dague, je la pose sur mon bureau avant d'aller a mon garde-robe et prendre avec moi un pyjama de soie noir et rouge, composer d'un pantalon et d'une simple chemise.

Je quitte les lieux pour aller voir mon esclave humaine, la seul personne connaissant le secret de l'ouverture de mon armure. Évidement Alexendria me fit un accueil aussi chaleureux que Pétunia, le nez froissé elle vient me libérer de mon armure et comme je l'avais promis à la mégère, je partie prendre un bain.

Savonner, tout propre, avec mon pyjama sur les épaules, je laisse trainer mes vêtements salle dans la chambre de bain. Allant prendre un diner rapidement et presser, je m'enfuis avec le plateau, le remplissant de pain, de fromage. Un jarret de mouton était le plat principale, des légumes complétait le tout baignant dans des épices et de l'huile savoureuse.

Je regagnais ma chambre a pas de loup, ouvrant et fermant rapidement la porte sans la claquer, la verrouillant derrière moi. Toujours silencieux comme une ombre, je dépose le plateau sur le bureau et tourne la chaise face au lit avant de m'y assoir et réfléchir a ce qui allait ce passé...

Mes cheveux humide était ramener arrière, d'une couleur châtaine tirant sur le blond.
J'avais un visage et un corps au trait foncièrement humain, une grosse ossature et musculature, mais ma peau était sombre d'un gris pâle, presque imberbe et soyeuse.

Mes énormes mains croisé devant ma bouche aux lèvres charnues, mon nez droit et fort touchant le dessus. Mes yeux de fauves scrute la forme sous les draps de mon lit, la lumière du foyer crispant mes iris de couleur sable doré tel un lion, alors que l'obscurité les dilataient et les faisait s'enflammer dans la braise.

Mon visage ovale et terminant par une forte mâchoire en forme d'enclume était balafré de tout son coté gauche, du front au lèvres, mon œil épargner de justesse.
Mes larges épaules couverte de ma chemise ouverte, laisse entre voir cette longue balafre descendre sur ma poitrine de soldat, traversant les nombreux abdominaux saillant jusqu’à mon nombril.

J'attends sagement qu'elle ce réveille.

Le trajet a été pénible. Saucissonnée comme un vulgaire bagage, In 'Xun en a cependant plus ou moins conscience. Le nez dans la merde et autres fluides corporels plus ou moins identifiables de feu Jensen, la drow alterne entre état de veille et inconscience.

Elle a cependant, dans son brouillard, entendu hennir la monture de Karia. Comme elle a entendu une voix de femme autoritaire parler au guerrier en commun. Le débit était trop rapide pour qu'elle comprenne le contenu, mais elle a la sagesse de fermer sa grande gueule et de faire tapisserie. Enfin, si c'est le mot qu'il convient, Néammoins, In'Xun croit comprendre le mot bain, juste avant qu'une vague de douleur ne la renvoie dans les limbes.

En la déshabillant, Karia a pu remarquer l'extrême maigreur de la femelle... Les côtes et la colonne saillantes, les clavicules et le bassin perceptible.Mais malgré tout ces mois de privations, elle a des muscles de fers. Une constitution délicate mais robuste. Un peu de remplumage et elle sera époustouflante.

.Quand la nécromancienne réémerge, elle a un truc dégueulasse et spongieux dans la bouche, les mains entravées au montant d'un énorme lit pouvant accueillir toute une délégation drow pour une partouze. Retenant son jugement pour plus tard, la jeune femelle agit plutôt avec précaution, car son occiput lui fait un mal de chien, une chance, car elle, comme tous les membres de sa famille, ne supporte pas d'être entravée de quelque facon que ce soit.

Son esprit calculateur note le couteau bien en vue, tout là bas, scintillant doucement sous la lumière du foyer. Lumière qui heurte ses prunelles sensibles habituées aux ténèbres les plus complètes. D'Ailleur, parlant de scintillement, les flammes se reflètent dans un truc en morceau au dessus d'un autre meuble dont, de son point de vue actuel, la nécromancienne ne percoit pas l'utilité pour le moment. Non plus que l'utilité du bureau de travail de Karia. Si ca situation n'avait pas été si critique, elle se serait intéressée à la délicatesse de l,Ouvrage de la carte du Royaume de son geôlier.

In'Xun tourne la tête, dénombre deux portes et un accès probable dissimulé derrières de lourdes tentures noires. Puis, c'est le chandelier qui attire son attention. Un bref instant elle fixe la lueur vive des flammes de son regard vipérin avant de s'en désintéresser pour le moment.

Il y a un bruit de pas. Feignant l'inconscience, la drow entrouve les yeux et regarde ce qui se pointe. Un mâle, semi drow de toute apparence, aux cheveux châtains sur une peau d'un gris pâle assez alléchant il faut le dire. Monstrueux de constitution, baraqué, aux traits humains. Il ne lui faut pas un cours d'université pour reconnaître un semi-drow. Surtout que la finesse de la forme de ses yeux et ses oreilles semi-pointues qui dépassent un peu de ses mèches rebelles confirment la chose. Un nez en bec d'aigle, fort, clamant sa virilit. Au dessus d'une bouche pulpeuse trahissant sa sensibilité. Il est vêtu légèrement, en noir et rouge, comme pour faire honneur à Lloth en personne. .

Elle ne bouge toujours pas tandis qu'il dépose une assiette remplit de trucs qu'elle ne connait pas avant de se tirer une chaise et de s'y asseoir, les mains posées sur le dossier, la fixant de ses yeux fauves comme on fixe un petit oiseau. In'Xun a vu ses cicatrices, et elle les trouves jolies, ainsi exhibées comme trophée de guerre.

In'Xun a conscience de ne pas avoir l'avantage ici. Ni de la force, ni des lieux. Son cerveau, malgré la douleur, se emt à carburer pour trouver un moyen de sortir de cette panade. C'est alors qu'une idée lui traverse l'esprit. Il est légèrement vêtu, elle est nue et attachée... simplement recouverte d'un drap.

Un léger grondement de colère traverse malgré elle sa gorge entravée... S'offrir à quiconque d'elle même c'est une chose, mais on n'abuse pas d'une X'Ianxin impunément. Si elle garde en apparence les yeux clos, est détendue dans ses liens, c'est pour mieux attendre son heure. Comme dit si bien la devise familiale

Que ca prenne une heure ou milles ans, je me vengerai et je goûterai ton cœur encore palpitant avant d'offrir ta carcasse à Lloth.

Le temps passe comme une éternité alors que le néant était la seul réponse a ma question.
Que devais-je faire?
Cette femelle aussi belle que maléfique était a mes yeux un signe de mauvais augure. L'avoir amener ici dans ma demeure en restait encore de l'inconscience, démunie dans la circonstance des évènements de choix plus judicieux et comme présentement rien de bien sensé ne ce présente a moi.
Puis elle pousse un grognement, une chair de poule me dresse immédiatement sur les bras et me fait sursauté lorsque l'on vient cogné a ma porte.
J'ouvre avec prudence, ne laissant rien voir du contenu de ma chambre.
J'aperçois dans l'entrebâillement de ma porte, une jeune servante toute garnis de ravissante silhouette, au teint de neige, yeux vert et cheveux noir m'arrivant au niveau de la poitrine. Elle ne me regarde pas, fait mine soumise en me tendant un plateau tout de même lourd remplis d'une bassine fumante d'eau bouillis avec un bon paquet de guenilles propres et cotonneuses, un bâtonnet de savon au épice douce reposant sur le dessus.
Je lui saisi le cabaret, et elle ce recule en ce pliant en deux en signe de salutation a défaut d'arriver a parler et devenant rouge comme une tomate. Je souris en coin de l'effet que je lui faisais n'ayant besoin de rien dire elle disparait crisper comme une barre de fer tellement la gêne lui tenait le ventre.

Sans plus attendre, je m'enferme a nouveau, verrouille consciencieusement la porte pour me plongé dans mon univers sombre maintenant tamiser par les petites flammes qui créait un nid de braise dans mon foyer. Le chandelier d'aucune utilité, je l'éteint pour augmenté le confort de la pièce.
Ma nuque était déjà raide de tentions, alors que je me tenais debout a regarder mon lit pris dans un malaise indescriptible. J'approche doucement, sans bruit, le cabaret d'argent dans ma main gauche et ma main droite dégageant la bassine d'hygiène du meuble de nuit pour me faire de la place.
J'inspire profondément, n'osant pas lui regarder le visage et lui tournant le dos pour me diriger vers la coiffeuse et y prendre le banc.
Ainsi je m'installe a son chevet, le plus incertain du monde de ce que je voulais faire.
Je n'avais pas le droit de toucher a une femelle comme j'allais le faire, un sacrilège et un insulte pour elle moi qui n'était pas pure race... C'était comme laisser un chien léché les plait et le corps d'une reine...
Mais ici... en surface, il n'y avait que moi qui ce rapprochait le plus de ce que pouvait être un drow même si je n'étais qu'un de leur animaux de compagnie.
J'inspire profondément a nouveau, sachant qu'il était probable qu'elle soit bien réveiller depuis que je l'avais entendu grogner. Je pris un visage dès plus sévère, fronçant des sourcils comme si cela pourrai me protéger. J'empoigne sans délicatesse la premier serviette du lot ainsi que le savon. Imbibé et savonneuse, j'approche le lingue d'elle et commence mon sacrilège par les avant bras, n'osant pas approcher ses mains.

J'essais d'être délicat et doux comme si je calmais un cheval turbulent en démêlant son crin.
D'ailleurs je prend grand soin d'éviter son visage fixant le drap que je fini par lui retirer pour lavez le reste de son corps souillé de poussière et de tout ce qui n'était pas digne d'une femelle.
Sous le passage de mes doigts je sens bien ses os saillant par la mal nutrition, d'ailleurs je les avaient déjà bien vue lorsqu'elle s'était exhibé nue pour ce changer dans les mines sous nos regard pilleurs.
Je déglutis avec difficulté en voyant le creux de ses hanche au niveau de son ventre, ne pouvant qu'imaginer le châtiment qui pourrait m'attendre d'avoir laisser cela ce produire.
Pire encore, si elle était prisonnière, je n'ose imaginer les autres mâles la regarder comme un jambon, les coups de fouets et tout ce qui allait contre la nature divine d'une femelle.

La curiosité me fait remonté le regard vers sa poitrine, scintillante de propreté après mon passage malgré tout bref et prudent, pour remonté vers son menton et ses yeux... question de voir si elle me regardait faire ou elle était toujours sonné... Je ne reste pas sur cette image plus qu'une fraction de seconde, retournant fixé son ventre.

In'Xun, yeux fermés, immobile, endure l'ignominie d'être touchée. Dans sa famille, la femelle lave son mâle reproducteur afin d'affirmer sa propriété dessus.
Pas le contraire, jamais le contraire.... Il croit quoi? Qu'il va avoir tout les droits dessus?

Karia peut voir sa main pâle se promener sur la peau sombre, tranchant étrangement sur l'anthracite. Il voit les mamelons dressés, la chair de poule de sa prisonnière. In'Xun lui cracherait au visage, une chance qu'il l'a baillonnée.

Plutôt, la nécromancienne opte pour la fuite mentale. Décide de méditer afin de rencontrer son Destructeur afin de communier avec lui. Au fil du bain forcé, au fur et à mesure que la petite drow se plonge dans sa transe, sa peau, de glacée devient brûlante. In'Xun ouvre soudainement les yeux pour regarder en face Karia. Des yeux d'émeraudes aux paillettes d'or mouvantes au même rythme que son cœur, le mettant au défi d'essayer de seulement la détacher.

Sous le baillon, il n'y a pas de grognement, mais un rire profond, démoniaque, bref. Avant qu'elle ne reperde conscience de nouveau...

Du moins, en apparence. In'Xun est patiente, elle attend son heure.

Pour être réveillé elle l'était et surement pas des plus ravis...
Le bref aperçue que j'eus de son regard reprenant vie dans la braise me figeait sur place.
Je savais très bien que ce que je faisais était très mal vue ou même venu, mais je le devais bien... Sont odeur attirerait l'attention de Pétunia et si cette fouine découvrais ma convive secrète, je pouvais être certain que tout le château serait au courant. Dans un tel dénouement je n'aurai pas d'autre choix que de l'abattre publiquement.
Les yeux toujours rivé sur son ventre, je le vois ce trémoussé sous un ricanement qui n'avait rien d'encourageant.
Je fini par sortir de ma transe paralysante, terminant mon travail avec prudence lorsqu'il fut venu le temps de lui nettoyer les pieds. Je ne me rendis pas jusque là et la revêtis rapidement du draps. La guenille souillé fini dans la bassine d'eau chaude et je dépose le cabaret plus loin sur mon bureau pour prendre celui contenant la nourriture.
Je devais la libérer, mais en même temps... elle était très bien comme elle était.

De nouveau de retour a son chevet, je dépose le cabaret de nourriture sur la table de nuit, le fumet de son contenue est somptueux et appétissant.
Impossible de prendre une décision avant de mettre quelque point au claire avec elle. Alors d'une voix caverneuse et bien plus douce a l'oreille que derrière mon heaume de fer, je m'adresse en drow.

- Tu es chez moi, dans ma chambre.. c'est une forteresse contenant une centaine d'officier et juxtaposer a des casernes de mon armée. Il y a ici, plus de 2000 hommes entrainer a tuer les pures races a vue sans parler e mon commandant en chef...Black Crow. Un dragon entrainer sous ma tutelle personnel.
Sans parler de tout le personnel qui travaille ici et qui sais très bien discerné un pure race d'un demi. Pour faire simple, tu te fais prendre et tu es foutu.
On peu la jouer de deux façon... Tu te montre coopérative, je te nourris, te soigne et te fais sortir d'ici.
ou bien...
Je te laisse moisir dans les oubliettes jusqu’à ce que t'en crève...
Mais bien sur rien de tout cela n'est gratuit...

Fis-je en plissant des yeux en posant mes coudes sur le matelas et croisant les doigts de mes mains pour supporté mon menton alors que je l'observe sans détour a présent. Après tout j'étais entrain d'établir un marché plus ou moins prudent avec elle et délimiter les limites.

- Je ne veux pas de Drow sur mes terres, aucunes de tes religieuses missions répugnantes dans les parages.
Et...
La promesse de ta discrétion compte a notre rencontre...
Je me redresse, lui faisant un air un peu supérieur lorsque je me tiens debout, grimpant sur la couche pour pouvoir atteindre les attaches et son bayon.
Tout près, si ce n'était pas pratiquement nez a nez je lui murmure mielleusement entraver mes crocs qui apparaissent sous mes lèvres qui ce retrousse.

- Tien toi pour dit, qu'il me serai bien plus aisé, de ne te laissé que la seconde option.

Lui laissais-je alors sous entendre que je lui faisais probablement une faveur, ce qui n'était pas faux, mais non plus la vérité...
Je soupir avec irritation, mes longues canines retournant ce cacher sous le couvert de mes lèvres charnus et garnis de quelque cicatrices de rude combat avant de d'abords lui libérer une main puis la seconde...près a risquer le tout pour le tout.

Ça l'a beau ne pas lui plaire, In'Xun doit reconnaître que ça fait du bien d'être propre. Même si elle a un petit moment de déception quand Karia ne termine pas son ouvrage. Ce ne sera pas le dernier des mâles à ne pas terminer ce qu'il entreprend... Elle suit attentivement, sous ses paupières mi-closes, les mouvements du guerrier, se demandant en son fort intérieur pourquoi il ne la bute pas tout de suite. C'est comme ça qu'ils torturent à la surface? Pas étonnant que ce ne soient que des femmelettes. Cette fois, quand il approche le plateau de repas, la drow prend conscience de l'odeur des aliments. Bon, la viande est cuite, mais de la viande ça reste de la viande.

Il lui adresse la parole, pouvant voir la fine oreille de sa compatriote se dresser, attentive, tandis qu'elle le regarde de travers, l'émeraude aussi changeant qu'une boule disco.

- Tu es chez moi, dans ma chambre..

Elle a un ricanement moqueur sous le bâillon. Les prunelles rougeoyantes se fixent sur un vert clair, incisif, venimeux.
Non... C'est vrai? Je n'avais pas remarqué mec... Toutes les geôles ont un lit quatre place c'est connu...Pense In'Xun

c'est une forteresse contenant une centaine d'officier et juxtaposée a des casernes de mon armée. Il y a ici, plus de 2000 hommes entraînés a tuer les pures races a vue sans parler e mon commandant en chef...Black Crow. Un dragon entraîné sous ma tutelle personnelle. Sans parler de tout le personnel qui travaille ici et qui sais très bien discerné un pure race d'un demi. Pour faire simple, tu te fais prendre et tu es foutue.
On peu la jouer de deux façon... Tu te montre coopérative, je te nourris, te soigne et te fais sortir d'ici.
ou bien...Je te laisse moisir dans les oubliettes jusqu’à ce que t'en crève...
Mais bien sur rien de tout cela n'est gratuit...
La nécromancienne réplique mentalement

Ah... Parce que tu pense que saucissonnée comme ça je peux négocier?

Encore une fois, In'Xun se demande pourquoi il ne l'a pas tout simplement tuée. Réponse? Fastoche. Il doit avoir un truc à lui demander. La drow ne bouge pas, soutient le regard fauve sans faillir.

Je ne veux pas de Drow sur mes terres, aucunes de tes religieuses missions répugnantes dans les parages.
Et...La promesse de ta discrétion compte a notre rencontre...

OK, tu veux pas de drows. Mais je n'ai pas plus demandé à atterrir sur tes terres comme tu semble si bien le croire. Lloth l'a guidée ici. Pour y trouver un demi... Il doit y avoir une raison certaine. Joue finement ma fille, fais lui croire que c'est lui le boss... Tape le toi s'il le faut... Mais tu dois savoir pourquoi tu as été guidée ici avec ce pauvre mâle faible... Il ne t'a même pas faite saigner pour te faire parler...

L'idée de laisser un mâle momentanément la dominer l'horripile au plus haut point. Toutes les fibres de son être s'y opposent de toutes leurs forces.

Mais , immobile, fixant Karia, rien dans son attitude ne laisse deviner ses pensées.
Il se redresse, faisant un air condescendant sur In'Xun avant de grimper sur le lit. Soudainement, elle ne voit qu'un œil fauve surmontant un nez fort et des crocs, comme si le roi voulait lui faire peur. Eh bien, j'ai vu cent fois plus laid que toi mon vieux... Raté!

- Tient toi pour dit, qu'il me serai bien plus aisé, de ne te laisser que la seconde option.

Il y a un éclat d'étonnement et d'amusement fugace dans l’œil de la femelle. Et la torture alors? Putain, tu va pas encore me décevoir vieux?

Sa première main libérée, la petite femelle la ferme et l'ouvre à quelques reprises pour rétablir la circulation sanguine. Avant de s'arracher le bâillon. Pendant que Karia descend du lit, la drow prends quelques bonnes inspirations, savourant l'odeur de l'air libre, et non celle de la lingerie du château. Jumelé à cet appétissant fumet... Que la nécromancienne choisi d,ignorer en ce moment précis. On joue sa vie là, pas son estomac.

In'Xun s'enjoint de feindre la soumission, mais sa bouche décide de parler avant son cerveau.

*en drow*- Je n'ai jamais demandée de sortir par tes mines. Si tes crétins nous avaient laissés passer, Nous n'en serions pas là à en débattre ni toi ni moi … Tu aurais eu d'innombrables occasions de me tuer ou de me torturer. Tu me cache et tu me... ça... (lave) ... Que veux tu de moi, Roi?

Bravo.. Au moins tu ne lui a pas dit que tu le croit incapable de te tuer ma fille... Mais en fait de tact on repassera hein?

Je recule rapidement lorsque la panthère se liber de son bayon, retournant sur mes jambes en la regardant toujours de haut.
Écoutant son questionnement et frissonnant au fait qu'elle m'appelle Roi, mes yeux ce plisse a nouveau avec condescendance et méfiance. Je ne faisais aucune confiance au femelle, elle avait toujours un plan tordue derrière leur air innocent. D'ailleurs j'avais eu la chance de vivre bien assez longtemps pour en connaitre pas mal sur le sujet.
Je pouf du nez, l'air amuser comme si cela était d'une évidence claire autant pour elle que pour moi, mais je prend tout de même la peine de lui expliquer.

- Peut-importe tes espoirs pour les dieux, ils ce servent de toi pour leurs petit plaisir. Alors te faire aboutir ici, dans la seul cité d'esclave en rébellion du continent en guerre contre les races pures n'est qu'un pure et malheureux... hasard.

Soufflais-je doucement et d'une voix toujours caverneuse..
Je prend une pause pour bien réfléchir a ce que j'allais répondre par la suite. Je me saisi du plateau et lui met sur le lit près du bassin squelettique.

- Tu aurai pu simplement partir dans les jupons de Loth comme une lâche, mais tu me souille de sa bénédiction pour offensé les dieux?? Pourquoi? pour soigné quelque égratignure d'un dragon de Kiaransalee exilé... et en plus en osant me proposer un arrangement.
Et la seul chose qui te préoccupe c'est de savoir au grand pourquoi je ne te fais pas subir la barbarie de ton peuple.

Je me met a ricaner sachant très bien la vérité dans mes manipulations habile.
Tranquillement, je m'éloigne prenant le banc que j'avais approcher pour l'amener a ca place et rejoindre mon siège près de mon bureau. Reprenant une pose pensive, assis paresseusement alors que je l'observais.

- Ici on torture les gens pour connaitre des informations militaire et stratégique... pour faire parler des espions ou bien les condamner a une mort lente pour leur crime.
Je n'en pratique pas par loisir.
J'ai bien d'autre tâche plus importante dans mon œuvre que j'accomplis.
Et il s'avers que tu sois bien trop jeune et trop peu expérimenté pour être un émissaire de guerre. Qu'est ce que j'aurai bien a faire de ta carcasse osseuse a par m'attirer les foudres de ta maison s'il devait t'arriver quelque chose...
Je te l'ai déjà dit... je ne veux pas avoir affaire au drow et je ne fais qu'assurer mes arrières.

Essayais-je surtout de ne pas éveiller de soupçon sur une vérité bien plus humiliante, alors que m'adresser a elle de la sorte me tortillais les tripes d'angoisse.
- Ce n'ai pas parce que je suis demi-drow que je n'ai aucune manière...

Peu importe tes espoirs pour les dieux, ils se servent de toi pour leurs petit plaisir. Alors te faire aboutir ici, dans la seul cité d'esclave en rébellion du continent en guerre contre les races pures n'est qu'un pure et malheureux... hasard.

Les yeux de la Drow se plissent légèrement, seule indication non-verbale de ce qu'elle peut penser. D'un doigt délicat, en grande dame, digne du surnom qu'il lui a inconsciemment donnée, elle farfouille dans l'assiette, tâte ce qui s'offre à elle mais sans y goûter. Elle n'est pas folle, In'Xun ne mangera pas si elle soupconne un coup foireux. En plus, elle ne sait pas ce que c'est. Elle lève le regard, toise Karia bien en face.

Tu pense vraiment que je vais me jeter sur la bouffe comme un vulgaire mendiant? Tu as mis quoi dedans hein?
Hurlent les prunelles d'émeraudes. Avec un sang froid inoui, In'Xuncontinue à jouer avec la nourriture malgré le fait qu'elle est affamée.

- Tu aurai pu simplement partir dans les jupons de Lloth comme une lâche, mais tu me souille de sa bénédiction pour offensé les dieux?? Pourquoi? pour soigné quelque égratignure d'un dragon de Kiaransalee exilé... et en plus en osant me proposer un arrangement.
Et la seul chose qui te préoccupe c'est de savoir au grand pourquoi je ne te fais pas subir la barbarie de ton peuple.

In'Xun ricane de bon cœur. Son rire, grave et rauque, est une pure invitation à la luxure.

Tu ne sais rien de ma maison, parce que sinon tu aurais trouvé un autre qualificatif que lâche. Laisse moi te renseigner un brin sur ce qui s'est passé en bas depuis... mmmm.... Ton ''exil''...

Sous entendre fuite ici. L'oeil vert pétillant de malice, assise sur le lit comme une reine sur son trône, elle agit en digne représentante de sa race. Du bluff ou la réalité? C'est difficile à dire avec ces satanés Drows.

Kiaransalee est la vengeresse... Le savais tu, toi, qu'ils ont fait exterminer tout tes frères dragons en représaille de ton exil? Officiellement, ils étaient une menace pour la cité. Nous, Phoenixs, nous disons plutôt que parce qu'ils ont échoués leur mission divine, ta patronne en a fait son affaire. Ta maison a subit une chute d'influence, mais elles ont habilement mené leurs petites affaires, reprenant leur influence et même au delà. Il y a des rumeurs comme quoi leurs petites expériences ont recommencées. Elles clament haut et fort que c'est en l'honneur de Lloth et qu'ils vont te débusquer et te ramener la queue entre les jambes. Mais personne n'est dupe

Tandis qu'il rapproche son banc, la nécromancienne se couche sur le ventre sur les draps somptueux, pose son menton dans le creux de ses mains. Elle a deviné ce qui se passe dans la tête de Karia. Elle lui résume les faits.

Ta déesse vengeresse est après toi. Parce que tu as fait échoué son plan contre Lloth. Donc, tu es aux premières loges. Ma déesse t'a bénie pour te faire savoir son approbation. Sans le savoir, tu la sers... Donc, elle te protège.
- Ici on torture les gens pour connaitre des informations militaire et stratégique... pour faire parler des espions ou bien les condamner a une mort lente pour leur crime.
Je n'en pratique pas par loisir. J'ai bien d'autre tâche plus importante dans mon œuvre que j'accomplis. Et il s'avers que tu sois bien trop jeune et trop peu expérimenté pour être un émissaire de guerre. Qu'est ce que j'aurai bien a faire de ta carcasse osseuse a par m'attirer les foudres de ta maison s'il devait t'arriver quelque chose...
Je te l'ai déjà dit... je ne veux pas avoir affaire au drow et je ne fais qu'assurer mes arrières.

Les yeux d'In'Xun se plissent, lui donnant l'air du matou qui a avalé le canari et bu la soucoupe de lait.

- Ce n'ai pas parce que je suis demi-drow que je n'ai aucune manière...
La nécro a un sourire inquiétant. Essaie de pousser sa théorie plus loin, histoire de voir si ce qu'elle pense est vrai.

Soit tu tiens à 100% de la race humaine... Soit elles t'ont bien dressé. Parce que sinon tu m'aurais tuée à vue. Laissons les dieux en dehors de ça, entre toi et moi, je n'ai jamais cru aux coïncidences... Si je suis ici, dans TA chambre, c'est que tu dois avoir besoin de moi... Le fait que je respire encore rend ce fait obligé...
Le sourire s'accentue.

A moins que tu ne te sente réellement obligé de me materner? Auquel cas je te rassure, je suis autonome depuis mes 70 ans.
In'Xun pense en même temps

Allez, vas y, frappe moi, prouve que ma théorie n'est pas bonne...

Assis sur le siège de mon bureau a bonne distance du lit, je constate qu'elle joue du doigt avec la nourriture que je lui offrais... Je souri pour moi même sachant très bien que cela était du a de la méfiance. Autrement cette femme aurai été une imbécile...
Sage, je l'écoute religieusement... cela faisait si longtemps que je n'avais pas conversé en drow que sa voix était pour moi comme une étrange mélodie du passé.

Ce que j'appelais exil, était en réalité une invasion... appeler par mes souches humaine a me rebeller et vivre libre. C'était un instinct différent des mâles d'en bas et virulent dans mes veines. Mais cela, elle ne pouvait le savoir...
Tout comme cette histoire qu'elle racontait sur la mission des dragons qu'elle appelais mes frères alors que nous étions tout sauf cela. Dans une éternelle lutte de compétions pour savoir qui était le meilleur... Cette abattoir sordide n'étais pas l'œuvre d'un dieu, mais de la démence de ma mère. Je n'avais aucune foi en les divins, j'étais un hérétique, mais lorsqu'elle me raconta le changement d'allégeance de ma maison je n'en cru pas un mot.
Loth n'avait aucun pouvoir là-bas et la culture profondément encré dans l'enseignement de la Banshee vengeuse.
Je me senti oppressé des nouvelles qu'elle m'envoyait en pleine figure et surtout au passage d'un supposer raid qui viendrai me ramener en enfer.

J'écoute soigneusement le tissus de mensonge qu'elle essayait de me baratiné sur la vengeance incarné qui serai a mes trousse alors que ma vie ne ce résumais qu'a ce seul désir...
Personne ne me protégeais, personne ne viendrai me chercher, encore moins les dieux!
Moi qui n'avait été qu'un animal, interdit de tout privilège de citoyen incluant les messes religieuses. Ne connaissant là-bas que la violence, la faim, la peur, la solitude... Avec pour seul désir de combler une rage insoutenable, d'un cœur remplis de vengeance et de haine.

''Soit tu tiens à 100% de la race humaine... Soit elles t'ont bien dressé.''
A ce passage, je fronce du regard et grogne... Pour moi la par d'humain était un châtiment, tout ce qui faisait que j'étais différent, rejeter, un déchet. C'est même être qui m'avait trahis lors de ma première fugue et léguer ce souvenir gravé dans mon visage et sur mon corps.
Rien ne m'insultait plus que d'être associé a cette différence qui creusais un ravin entre moi et les pures races.

Je n'avais caressé que ce rêve pendant d'innombrable année sous les commandement de nombreuses maîtresses, m'étant laisser souillé l'âme dans des actes de violence et de vengeance, de sexe et j'en passe pour attirer l'attention de la mère toute puissante. Qu'enfin je sois reconnu comme un être utile au prix d'innombrable torture, de souffrance. Devenant un animal puisque c'était ce qui leur plaisait, me faisant arracher les canines dans leur jeux cinglé pour me faire greffé des crocs.

Ma colère grimpe rapidement alors qu'elle terminais ses suppositions et ma voix fini par reprendre l'emprise des lieux.
- Si tu es si sur que cela que j'ai besoin de toi, pourquoi ne pas manger le contenue de cette assiette? hmm...
Pour ce qui est du reste, je t'ai déjà expliquer mes conditions. Pour le moment la seul personne qui est besoin de l'autre ici c'est toi.

Je plisse du regard, sérieux et impénétrable.
- La véritable question est pourquoi tu tes retrouver a des miles de chez toi, envoyer dans un univers dont tu n'imagine même pas l'étendu et les dangers.
Changeais-je aussitôt la direction de la conversation.

C'est vrai qu'In'Xun n'a aucune idée de ce qui s'est passé durant le dressage de Karia. Seule Elthiriel le sait de seconde main, grâce à ses espions. Mais la mère matrone a gardé ces informations pour elle, préférant voir le résultat sur le terrain afin de pouvoir déterminer le meilleur angle de riposte possible avec un minimum de risque de pertes. Mais je m'égare... Revenons à nos deux protagonistes.

Attentive à toute réaction de Karia, la nécromancienne est aussi détendue que possible en ces lieux inconnus. Voit bien une lueur fugace passer dans les prunelles fauves quand elle mentionne l'ancienne maison du Roi. Le septicisme teinté de doute passe fugacement sur les traits du mâle. Il ferait un excellent joueur de poker.

''Soit tu tiens à 100% de la race humaine... Soit elles t'ont bien dressé.''
Au grognement du roi, elle sait qu'elle a visé juste. Ah, on est sensible quand on parle de ton ascendance? Un petit brin orgueilleux? Remarque, tu ne serais pas ce qu'on nomme roi si tu n'étais pas orgueilleux, intelligent et ambitieux. Trois qualités qui ne viennent sûrement pas de ton côté humain. Pense t'elle. Une légère lueur de... admiration? Non, trop fort. Admirer un mâle parce que ca pense avec ses couilles? Non merci. Plutôt, une infime nuance de respect. Se dessine dans les prunelles en amande. La drow cache merveilleusement bien la satisfaction d'enfin le mettre en colère un peu. Enfin... Il n'est pas un golem après tout. Ca a des émotions cette petite bête là. Son côté humain sans doute.

- Si tu es si sur que cela que j'ai besoin de toi, pourquoi ne pas manger le contenue de cette assiette? hmm...
Pour ce qui est du reste, je t'ai déjà expliquer mes conditions. Pour le moment la seul personne qui est besoin de l'autre ici c'est toi.

Karia plisse du regard, sérieux et impénétrable. In'Xun lui rend le même regard, le même air, aussi indéchiffrable qu'un lac placide.

-On ne mélange pas affaires et nourriture. C'est un manque de savoir vivre flagrant. Merci de ton hospitalité, mais je mangerai plus tard.
Oui, on ne mélange pas affaires et nourriture. Ca évite de mourir empoisonné mettons.

- La véritable question est pourquoi tu tes retrouvée a des milles de chez toi, envoyée dans un univers dont tu n'imagine même pas l'étendu et les dangers.

Elle répond, d'un air affable.

Ma mère matrone a une conception toute personnelle de ce que doit être une noble. S'enfermer dans une caverne toute une vie, pour une X'Ianxin,ce n'est pas concevable. Chacune d'entre nous faisons notre pèlerinage à la surface... Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort...

Elle tait sa mission divine. Ce que Lloth lui a demandée, ce n'est pas à un suivant de Kiaransalee, aussi maudit soit il ou non par sa déesse, de le savoir. Elle réoriente la conversation aussitôt. Il ne veut pas lui dire ce qu'il attend d'elle? Voyons voir alors....

Et toi, qu'est ce qui t'a amené à la surface? Le désir de revoir ton père? Tu as trouvé de la famille à la surface? C'est pour cela que tu as un royaume maintenant?
Insulte déguisée sous le couvert de la diplomatie? C'est impossible à déterminer... Sous entendre que son royaume ne lui a pas été gagné à la sueur de son bras, mais à cause de son sang humain... En plus, il doit vraiment s'ennuyer de la trépidante vie sousterraine de leur race s'il persiste ainsi à tourner autour du pot. Elle est nécromancienne... Sans tripes fraîches, l'avenir ca ne se lit pas.

In'Xun lui sourit gentiment. Le taquine...

Je t'ai répondu, c'est ton tour!

Tout comme elle, je joue a ce petit jeux de patience et de lecture du non verbale jusqu’à ce qu'elle recommence a parler de moi et de ce qui m'as amener en surface. Un frisson ondule la peau de mon dos et mon regard noircis, mon sourcil ce froissant que pour mieux l'assombrirent.
Je me trahis en prenant une profonde respiration et expirant lentement...
Mes maxillaires ce gonflant sous la pression de mes dents, découpant mon visage sous l'apparition de ses puissant muscles.
- Je suis venu me venger...
Soufflais-je entre mes dents une réponse des plus fades et large que je pu lui donner.
- Nous nous éloignons du sujet, si nous parlions d'affaire je n'entend aucune offre.
Et un pèlerinage sous entend une destination pour vénérer un endroit sacré... Il y en a un dans le coin?
Ma jambe droite ce met a frétillé sous les rebondissement de ma cheville. La patience n'était pas une vertu que je maîtrisais très bien, mais en présence d'une femelle, je savais pertinemment que son intention était de me mener quelque par... et l'ignorer rendait ce petit jeux bien désagréable.

Je suis venu me venger...

Ah, enfin, mais c'est qu'on progresse mon grand! Pense t'elle. In'Xun pousse l'amabilité un peu plus loin.

Ah si? Mais de qui? ou de quoi? As tu atteint ton objectif?...
- Nous nous éloignons du sujet, si nous parlions d'affaire je n'entend aucune offre.

Le sourire de la drow s'accentue. Elle n'est pas conne du tout et mine de rien, le non verbal du mâle la renseigne plus que le papotage incessant d'une bonne femme. Sa colère quand on lui parle de sa famille est éloquent. Il est monté à la surface par vengeance. Et, un autre mâle d'une autre race l'aurait tuée. Un demi drow normal se sentant menacé par une femelle l'aurait occis sans laisser de trace. Les déductions sont faciles à faire. Pas besoin de diplôme de Sorcere(l'école pour les sorciers Drow) pour ca.

Ah non? Pourtant, il y en a une que j'ai entendue moi... Ca dépend de ce que tu as besoin en fait. Peut-être est ce quelque chose dont tu as désespérément besoin et que seule un membre de ta propre race peut t'offrir contre un autre membre de ta propre race, ou de ton autre race d'appartenance contre laquelle tu ne peux rien par toi-même? Sinon, ca doit être un rival qui menace ou dont tu convoite le royaume... Ou tout autre être vivant hors de ta portée.

La nécromancienne semble aussi alanguie qu'une panthère, ses yeux d'émeraudes rougeoyants comme deux pierres précieuses dans ce sombre visage. Pourtant elle est attentive, prête à toute éventualité allant de la fuite à lui sauter au visage si nécessaire. Sa dague luit doucement à l'autre bout de la pièce, la narguant comme la rassurant à la fois.

Et un pèlerinage sous entend une destination pour vénérer un endroit sacré... Il y en a un dans le coin?

In'Xun a un léger rire.

Si c'était le cas, crois tu réellement que je te le dirais? Si ca t'intéresse tant que ca, essaie de me tirer les vers du nez pour voir.

Sous entendre ici. Vas y, fais moi mal mon mignon voir si je vais cracher le morceau.

Le froncement de mes sourcils s'accentue, ayant la fâcheuse impression de ne pas me faire bien comprendre ou qu'elle jouais si bien l'innocent que son jeux devenait faux dans l'emmêlement de ses paroles.
A l'entendre parler on dirai bien qu'elle crève d'envie de me voir l'agresser...de me faire sortir de mes gons.
Je me contente de lui sourire, d'une façon tel qu'il ne rejoignais pas mes yeux. Je me lève de mon siège prestement l'air aussi léger qu'une plume sous la puissance de mes muscle habituer au port excessif de mon armure.
M'approchant du lit sur ma gauche, mon regard balafré la toise et reflète quelque éclat cramoisie éteint uniquement par la présence de lumière. Je lui fais un air supérieur et condescendant en détaillant son corps, laissant un petit soupir rieur...
Je pourrai la brisé en deux tel une brindille... de ma seul main lui exploser le crane et chacun de ses minuscules petit os...

Mais la seul perspective de lever la main sur elle, me brulait la chair sous les traumatismes qui avait marquer mon enfance ou plus tôt... mon élevage si violement que l'idée même me semble punissable de châtiment..

Je viens simplement me saisir de son assiette pour la ramener a mon bureau avec moi, commençant a manger le contenue sous son regard.
''Regarde ce que j'en fais de tes bien séance bidon.''
-Tu manque quelque chose, c'est délicieux.
Fis-je en trempant un bout de pain dans la sauce, la croute fraiche craquant sous mes dents alors que la mie était encore moelleuse a souhait.

Il n'y avait évidement aucun poison dans sa nourriture et je n'avais prévue aucune maltraitance a son encontre... Simplement m'éviter de grosse en merde avec sa famille. Et elle était là, a essayer plutôt de me tirer, a moi, les vers du nez pour une raison qui m'échappait...
Elle évaluait ma valeur? C'était de la pure curiosité innocente? ..non, il n'y avait jamais rien d'innocent avec les Drow. Alors je reste évasifs et ramène le sujet où je veux qu'il aille.

- Mes projets ce porte a ravir, mais rien qui n'intéresse les projets des mondes souterrain.
D'ailleurs, *je prend une pause pour manger un autre bout et déglutis en prenant mon temps* je n'ai pas la moindre idée de quoi tu parle en matière d'offre. Regarde moi, je suis riche, puissant et tout mes vœux ce réalise. Je te l'ai dit, tu met d'aucune utilité... tu ne représente a mes yeux qu'un gros tas d'emmerde.
Tu vois... il y a bien longtemps, bien avant que tu ne vienne au monde, que j'ai appris a me débrouiller seul. Je n'ai besoin de l'aide de personne.

Dans ce monde ou celui d'avant, je n'ai aucun égale... C'est pourquoi je suis un dragon.

Je reste patient, avec ma prétention d'être le prédateur de tout ce qui vie, mais ce petit jeux commençait a me taper sur les nerfs.
- De mon côté pour faire claire, car il semble qu'il faut te répété a plusieurs reprise une chose pour que tu la comprenne... Je te soigne, te nourris... et te laisserai passé les murs de ma cité.. loin très loin de chez moi. Te laissant au frontière, faire ton..''pèlerinage macabre'' chez les humains... ou... Chez les elfes tiens cela pourrait-être encore plus amusant. Sur le territoire de mon ancienne maison qu'en dit tu? Les journées risque d'être affreuse mais les nuits ouuuu je n'aimerai pas être à ta place.
Shuutt... shuuut.. attend la meilleur...
S'il t'attrape, tu sera surement mis en pièce envoyer en cadeau a ta mère... tu pourra leur parler de moi si tu avais dans l'idée de faire du chantage avec cela. Ils ne quitterons jamais leur territoire, exposer a un ennemi mortel, les elfes, la lumière... un monde qu'ils ne connaissent pas. Et s'il essais de passé par-dessous, cela voudra dire qu'il devront exterminer ton clan d'abords.
Terminais-je encore plus prétentieux et sur de moi dans un soupir ravis.
Dans tout ces cas de figure, je trouve cette situation très profitable et franchement bien plus amusant...que la vidé de son sang. Pourquoi me contenter d'elle, alors que je peux avoir beaucoup plus en plaçant un pion au bon endroit. Et franchement pourquoi mon ancienne maison voudrai me récupérer moi? Il avait d'autre projet si j'avais bien compris ...

Au froncement de sourcils de Karia, In'Xun n'oppose que le miroir de son regard. En elle même, elle se demande s,il a autant perdu la main que ca pour ne pas saisir les subtilités de leur race. Pourtant, il devrait être formé à cela non?
Si le sourire du roi ne lui monte pas aux yeux, le sourire dans le regard de la nécromancienne ne lui descend pas à la bouche. Quand il se lève, elle suit son mouvement avant de s'étirer langoureusement, savourant avec plaisir le jeu de ses muscles sous sa peau noire. Ne le quitte pas du regard, le regardant du coin de l’œil tout en feignant de l'ignorer royalement. C'est vrai qu'elle est encore à poil non? Et alors?

Le petit soupir rieur qu'il a quand il reluque son anatomie ne la perturbe pas outre mesure. In'Xun vient de passer des mois en compagnie d'un nécro pervers qui soupirait et qui la reluquait comme un vulgaire tas de viande fraîche. Et avant, elle était la seule femelle a des milles à la ronde. Seul son statut d'Iliithyri et I'Harien l'a sauvée de devenir la prostituée du village. Son protecteur aura au moins réussit ça

L'envie de meurtre se lit dans le regard du demi sang. La drow savoure cette petite victoire. Ne bouge toujours pas, le laissant la recouvrir de son ombre.

L'assiette disparaît de sa portée alors... Même si son estomac proteste, In'Xun affecte un air blasé. Hausse même un sourcil amusé tandis qu'il commence à manger. Le pain est inconnu en Outre-Terre, les céréales n'y poussant pas. Au moins, c'est comestible, pense t'elle, la prochaine fois je saurai que c'est mangeable.

''Regarde ce que j'en fais de tes bienséance bidon.''
-Tu manque quelque chose, c'est délicieux.

Elle décide de l'ignorer, pivote dans le lit pour pouvoir se réchauffer à la chaleur du foyer, sa curiosité naturelle étant piquée par la peau de bête sur le sol. Mais qu'est ce que c'est que ça? Au moins, elle ne l'entend pas mastiquer pendant qu'elle réfléchit à la question. La voix grave et grondante du roi s'élève alors dans l'air.

Mes projets ce porte a ravir, mais rien qui n'intéresse les projets des mondes souterrains.

D'ailleurs, je n'ai pas la moindre idée de quoi tu parle en matière d'offre. Regarde moi, je suis riche, puissant et tout mes vœux se réalisent. Je te l'ai dit, tu ne m'est d'aucune utilité... tu ne représente a mes yeux qu'un gros tas d'emmerdes.
Tu vois... il y a bien longtemps, bien avant que tu ne vienne au monde, que j'ai appris a me débrouiller seul. Je n'ai besoin de l'aide de personne.

Dans ce monde ou celui d'avant, je n'ai aucun égal... C'est pourquoi je suis un dragon.
C'est pour ça que tu es en être en voie de disparition mon cher... Même les dragons ne sont pas si cons. Tu as réellement perdu la main ou quoi? Si tu ne l'a pas entendue c'est que tu n'écoute pas. Ton heaume te rend sourd ou c'est plutôt la masturbation? Songe t'elle

Elle se contente de répondre doucement. Cesse de regarder la peau et tourne la tête pour le regarder par dessus son épaule. Sa chevelure de sang est souillée et collée sur l'arrière de son crâne, là où il l'a frappée contre le souterrain.
Tu mens très, très, infiniment mal. Tu as perdu l'habitude...

- De mon côté pour faire clair, car il semble qu'il faut te répéter a plusieurs reprise une chose pour que tu la comprenne... Je te soigne, te nourris... et te laisserai passer les murs de ma cité.. loin très loin de chez moi. Te laissant au frontière, faire ton..''pèlerinage macabre'' chez les humains... ou... Chez les elfes tiens cela pourrait-être encore plus amusant. Sur le territoire de mon ancienne maison qu'en dit tu? Les journées risque d'être affreuse mais les nuits ouuuu je n'aimerai pas être à ta place.

Bien oui mon grand... bien oui... Vas y fais moi peur, j'adore les histoires terrifiantes. Rétorque t'elle mentalement.

Shuutt... shuuut.. attend la meilleur...S'il t'attrape, tu sera sûrement mis en pièce envoyer en cadeau a ta mère... tu pourra leur parler de moi si tu avais dans l'idée de faire du chantage
Oulà, mais est ce une menace? Elle sourit, subitement intéressée... Repivote pour lui faire face, sans peur et sans reproches.

S'il t'attrape, tu sera sûrement mis en pièce envoyer en cadeau a ta mère... tu pourra leur parler de moi si tu avais dans l'idée de faire du chantage avec cela. Ils ne quitterons jamais leur territoire, exposés à un ennemi mortel, les elfes, la lumière... un monde qu'ils ne connaissent pas. Et s'il essais de passé par-dessous, cela voudra dire qu'il devront exterminer ton clan d'abord.

Autant de prétentions et de ravissement sur la figure du Roi... In'Xun manque éclater de rire, voyons donc. Il ne sait même pas où se situe sa maison ni ce qu'elle est, il la met dans le même panier que sa maison. Ce bluff ne passe tout simplement pas. Mais plutôt. La drow se compose une expression concentrée, attentive, laissant croire qu'elle prend ces bravades au sérieux. Elle inspire un bon coup, se recentre en elle même. C'est le moment... Ça passe ou ça casse... Elle se compose une expression outrée, fâchée. Comme s'il avait fait mouche. Comme réagirait sa mère Matrone suppose t'elle. Ce mâle a besoin de se faire remettre à sa place. Même à la surface.

Tu n'a pas compris mon offre le gros, je vais te la servir sur un plateau de platine, d'adamantium même. J'espère que tu aura l'intelligence de la comprendre cette fois ci. Tu comprends rien quand on te parle comme il faut? On va te parler en chien, tu as l'air d'aimer ca. Coucouche panier! Pense t'elle.

Bon, j'en ai assez mâle!

Sa voix claque comme un coup de fouet dans l'athmosphère lourde de la chambre.

In'Xun se dresse sur le lit, devant malgré tout lever la tête pour toiser les prunelles fauves. C'est tout si elle ne dit pas couché en prime... Une vrai femelle drow dans toute sa plendeur. Avec un petit je ne sais quoi...

Ta putain de maison j'en ai rien à cirer. Je n'ai pas besoin de la protection de X'Ianxin tandis que je suis ici. Notre pélerinage, pauvre con, c'est pour déterminer si nous sommes assez fortes pour prendre un jour les rênes des assassins de Lolth.

Je ne suis pas prêtresse, je ne suis pas une de ces connasses qui forniquent avec les chiens comme les femelles de ta maisons. Nous avons de la classe nous. Nous embrassons la mort et nous dansons avec elle. Nous n'envoyons pas des mâles enragés faire le sale boulot à notre place. Nous, X'Ianxin, vivons, combattons et mourrons avec nos mâles et nos demi sangs. Et c'est pour ca que ta maison de dégénérées veulent notre mort. Pour arrêter le progrès et l'évolution des moeurs que nous annoncons. Je ne dis pas ca pour te faire du chantage. Je t'informe.

En colère, superbe, l,oeil étincelant, elle le pointe du doigt.

Je n'ai pas demandée d'atterrir dans ta putain de cité, ni dans tes câlisses de mines. Donc, maintenant tu as le choix, tu me tue, tu m'exile ou tu utilise ma nécromancie à tes fins. Ici, ce sont les mâles qui dominent, je ne suis pas conne, je l'ai compris. Je suis prête à te laisser me dominer ici, à la surface... Jusqu'à ce que je retourne en bas. Tu pourra alors continuer ta petite vie...
Elle avance d'un pas sur le lit. Se mord violemment la main avant de serrer le poing en aspergeant Karia de son sang.

Mais je te fais une promesse... Si je meurs, si j'échoue ma mission à cause de toi, Roi... Je te jure sur le sang qui coule dans mes veines... Ca me prendra un an ou milles, je reviendrai des morts. Je te retrouverai, j'extirperai ton âme de ta sombre carcasse et je m'en délecterai pour l'Eternité sous les yeux de Lloth.

Tu as le droit, tu as le choix , Roi.

Ca y est... C'est ici que ca passe ou que ca casse. Pense t'elle. Imperturbable. Le fait qu'elle soit flambant nue n'est, pour elle, qu'un détail secondaire.

J'avais presque oublié comment les femmes était de vrai garce capricieuse, d'insupportable créature, autant qu'elle était belle.
Je laisse l'assiette sur mon bureau, lorsqu'elle me souligne que je mens mal. Je le sais très bien... ma mère n'a jamais cessez de me le rappeler. C'est pourquoi je m'amusais qu'a dire la vérité.

Je vois qu'a ses seul réaction faciale, a son désintérêt, que je l'emmerde et que pour elle mes paroles était dénouer d'action.
Pourtant, pour tenir une promesse ou exécuter des menaces l'on pouvait certainement ce fier aux Dragons... et prendre garde au souhait que l'on leur confie...

Sa voix tonne dans ma chambre alors qu'elle ce dresse comme une dame digne de se nom.

Mon visage blêmis, mais je la confronte de mon regard et l'écoute vider ses pensées qui me semble fragile comme un château de carte. Le manque de vocabulaire et de sang froid lui fait lâché quelque gros mot, a mon encontre, a l'encontre de mes anciennes maîtresse et de ma maison.

Confirmant pour moi que ce n'était qu'une enfant encore qui n'avait aucune expérience de la vie et qui ce complaisait a dénigré tout ce qu'elle ne comprenait pas, ne concevait pas et qui me prouvait qu'elle n'avait rien de la prestance des nobles, rien de leur terrible intelligence ne ce reflète en elle.

<< Nous, X'Ianxin, vivons, combattons et mourrons avec nos mâles et nos demi sangs. Et c'est pour ca que ta maison de dégénérées veulent notre mort. Pour arrêter le progrès et l'évolution des mœurs que nous annonçons. >>

Si elle savait... pour les nobles c'est le meilleur moyen de faire leur expérience sans attirer les foudre des autres en attaquant les ''batards'' tel qu'eux. Mais dans le fond, j'ai bien compris en faite qu'elle en avait rien a faire des détails, de simple futilité a ses yeux... la diplomatie ne fait pas partie de ses attributs. Je regarde son corps squelettique pendant qu'elle continue de vomir son discours. Ses côtes ce gonflant sous sa respiration étirant sa peau délicate qui fait apparaitre que d'avantage une vision d'horreur a mes yeux. Elle avait beau être nue, ce n'était pas la première femme que je voyais, ciel loin de là...

Ce qu'elle appelait progrès et évolution des mœurs, me semble bien futile dans le monde d'où elle vient et celui où siège en maître l'injustice, l'esclavage et d'où nous demi-race de Xar'minos menons notre quête de vengeance.
Une bataille et une cause qui semble inatteignable.
Lorsqu'elle me pointe du doigt et m'annonce ce qu'elle est prête a sacrifier pour mon aide et ma coopération, mon regard ce met a brillé avec une lueur ravis comme si elle faisait exactement ce que je m'attendais qu'elle fasse. Me cédant la victoire de notre joute verbale...

Le sang qu'elle me jette au visage signe la véracité de ses paroles et me fait lever de mon siège une nouvelle fois m'approchant au pied du lit où un coffre me barre la route.
Mes yeux s'infuse de cramoisie a l'odeur de son sang et me rend animal...
Je suis a la hauteur de sa poitrine et je gronde aussitôt qu'elle termine sa menace et promesse de me maudire.

- Tend la main...

Ma voix est maintenant ténébreuse et agressive. Je ne voulais pas la toucher de mes mains, mais lui léché sa plaie si elle m'obéissait comme promis.
Tout en douceur, laissé la surface de ma langue gouter son sang et imprégner sa saveur dans ma mémoire. Celez par le sang... un pacte avec moi.
Je n'avais pas le droit de la dominer comme je l'aurai surement fait avec une autre genre de femelle... même si elle m'en donnait le pouvoir, en moi les chaînes que ma mère m'avait installer m'en empêcherai. Il n'y avait que ma maîtresse qui pouvait me donner des ordres ou bien une dette de vie...

In'Xun se rappelle très bien comment les mâles peuvent être arrogants, imbu de leur propre personne, si aisément manipulables... Ah cette maudite testostérone! Il embarque à plein régime dans son petit jeu, prouvant encore par A plus B que quand on est une femelle délicate de petite taille, personne ne nous prends au sérieux jusqu'à ce qu'on les trucide ou qu'on leur sauve la peau. La nécro hausse les épaules intérieurement. La diplomatie a toujours échappée aux mâles. Ca marche aux fouets ou avec des propos vulgaires... La preuve. Il n'a compris que lorsqu'elle s'est mise à jurer.

En son fort intérieur, elle reste méfiante comme l'adage drow le dit : Garde tes amis près et tes ennemis encre plus. Ne sachant pas encore comment catégoriser le Roi, elle le fout dans les deux catégorie. De toute facon, il est demi sang. On ne peut faire confiance ni a un elfe Noir, ni à un humain. Suffit de jouer finement pour qu'il continue de croire le contraire... Qu,il la prenne donc pour une épaisse... Pour le moment ca lui convient

La jeune Iliithyri sait qu'elle est à la surface pour apprendre. Et quoi de mieux que els ressources matérielles et didactiques de Karia pour se faire? Bon, il lui faudra laisser son orgueil de côté pour le temps que ca va durer, mais c'est un faible prix à payer. Quand elle retournera en bas, riche de ce savoir, elle sera en pole position pour prendre la place d'Elthiriel. Avec le plaisir et le loisir de répandre le sang et le chaos en prime.

Si sa maison est encore debout à son retour... Sinon, In'Xun ira réclamer le prix du sang au conseil avec le médaillon brisé de Damara... Si elle le retrouve. Mais pour le moment, le visage de Karia tandis qu'il s'Avance vers elle jusqu'à ce que ses jambes heurtent le coffre qui lui barre;la route la ramène à des préoccupations plus immédiates. Du genre sa survie pour au moins les 48 heures qui viennent et dans le meilleur état corporel possible. La lueur ravie qui s'inscrit dans le regard fauve la rassure momentanément sur ce point.

Bon, le toutou a eu son nonosse? Je te laisse gagner... J'ai plus important à faire anyway...Il gronde... Manifestement c'est bien un chien... Je me demande si on l'écorche ce qu'il y aura en dessous? Pense t'elle.

Question purement ludique qu'In'Xun se pose intérieurement, la réponse étant, évidemment, hors d'atteinte. Mais ca distrait et, jusqu'à preuve du contraire, le clébard sur deux papattes ne lit pas les pensées.

- Tend la main...

La voix est caverneuse et agressive. In'Xun plisse des yeux, manifestement c'est un test. Elle lui a promis de le laisser la dominer à la surface. C'est donc avec promptitude et reluctance combinée qu'elle obéit. Sans broncher, la main s'élève entre eux deux, répandant quelques gouttes écarlates sur le dessus de lit.

Karia ne la touche pas de ses mains, mais s'appuis sur le coffre qui en grince de protestation, pour mieux se pencher et lécher doucement sa main. Etonnée d'un tel geste, In'Xun en comprend cependant immédiatement la portée. En ce faisant, il lui interdit toute action physique contre contre lui. Car son sang à elle coule maintenant dans les veines du roi. Le sang d'In'Xun, dans la bouche de Karia, a un goût chaud, épicé, inconnu... Un très léger relent de soufre peut-être, pourtant uil en a goûté du sang d'elfe noir, mais jamais il n'a goûté comme ca...

Mécontente, la nécro serre les mâchoires, s'empêchant de grincer des dents. Avec un peu de chance, il ne sait pas ce qu'il fait et n'en saisira pas la portée. Elle aimerait lui demander de lui rendre la pareille...histoire d'avoir la garantie dans les deux sens. Qu'un mâle, dragon d'une maison adverse, même s'il est un renégat, ne lui plait pas, mais pas du tout. Mais hors de question de le lui montrer. Plutôt, In'Xun lance à la blague.

-Je présume que je n'aurai pas le plaisir de pouvoir goûter? Parce qu'habituellement, ca va dans les deux sens ce genre de truc non? Ne sois pas égoiste...

Je me pourlèche les babines, la saveur de son sang imprégner maintenant dans ma mémoire.
Si son sang venait a couler, je le saurai... Mes lèvres charnues glisse une dernière fois sur sa peau, ayant arrêter l'écoulement de son fluide vital. Mes yeux sombres lui regardant la gorge, puis le visage qui ne pouvait me cacher combien elle n'appréciait pas.
" -Je présume que je n'aurai pas le plaisir de pouvoir goûter? Parce qu'habituellement, ça va dans les deux sens ce genre de truc non? Ne sois pas égoïste..."

- Tu en n'aura pas besoin...
Lui répliquais-je d'un murmure très calme, n'ayant fait cela que pour m'assurer de son "Bien-être". J'étais un excellent traqueur, un chasseur hors pair... Mes sens exercés a ce seul but. Débusquer, traquer, tuer ou attraper et ramener au maître le butin.
Mon odorat exacerbé par le sang, car on m'avait appris ou plutôt obliger a tuer les vivants pour m'en nourrir. Des esclaves, des humains, des elfes, des drows... Il n'existait plus d'état d'âme a un dragon lorsqu'on lui en donnait l'ordre. Bébé, femme enceinte, vieillard, enfant... aucune différence.
On nous affamait, assoiffait si bien que la personne que nous avions pu être avant n'existait plus.

Le goût de son sang, était exactement ce que cela me rappelait... Perturbé, je ne reste pas près d'elle et retourne chercher l'assiette de nourriture.
-Maintenant tu mange le contenu de cette assiette. Tu es hideuse tellement tu es maigre.
Demain, j'irai te chercher des vêtements... à ta taille.

Lui ramenais-je l'assiette et lui tendit au niveau du ventre. Peut après, j'ouvris le coffre devant moi, sortant une couverture en peau d'ours noirs et partis m'installer devant le foyer sur mon fauteuil. Allongé sur le coté et recouvert de ma peau de bête.

La journée avait été très longue...