Le Boulversement

La rôdeuse surprise de l'avoir fait rire afficha un petit sourire a ses lèvres pulpeuses...Malheureusement, le plaisir ne dura que quelques instants... Le demi sembla offusqué par les questions que Mève se posait a son égare... " Pourquoi lorsqu'il pose les questions tout est correct et si parfait mais ne venez pas me demander des interrogations sur moi par exemple ...ohh..que non" se dit elle frustré que monsieur réagisse de la sorte...

Mais l'homme mit un bon moment avant de répondre affichant un malaise profond... Elle se dit alors que son questionnement avait peut-être toucher une corde sensible... Se mal être le rendit agacé et grognon pour se qui s'en suivit et évidement fallait pas se dire qu'il n'y avait pas plus pire car en plus de gâcher le reste de la route la pluie se mit de la partie... Les gouttelettes d'eau commençait a marteler son visage déçu de la tournure des choses... Une forêt se dessinait devant eux où ils pourraient être bientôt a l'abris de l'intempérie qui les menaçait d'un souffle glacial... Son bassin suivant le mouvement des pas rapides de leur puissante monture...

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

La forêt était a une heure de route, le temps qu'il y parviennent la pluie s'abattit sur eux de façon torrentiel, le vent ce déchaina écrasant sous son passage la cime des arbres. Le sentier de la forêt fut lentement encombré par des branches d'arbre tombant, brisé par les secousses vigoureuse. Le vent hurlait entraver les feuillus et l'obscurité gagnait la profondeur des lieux.
Un arbre tout entier, fini par barré le passage en s'effondrant ne laissant qu'une option.
Un petit passage hors sentier qui bifurquait entraver des tronc colossaux , il menait sur une pente raide et rocailleuse descendant vers une sorte de passage s'apparentant a une caverne traversé par une très petite rivière. Il y avait une nuée de chauve souris qui y logeai, des plantes étrange qui pendant du plafond et s'accrochant au paroi des murs, d'énorme champignon fluorescent. Le chemin débouchait sur une lisière déboisé partiellement laissant qu'une légère touffe dégarnie dans le couvert imperméable de la foret.
La rivière compte a elle ce jetais dans de multiple source chaude, non loin de ce qui pourrai s'apparenter a un volcan endormis. Des vapeurs s'y dégageant couvrais le sol verdoyant de brume épaisse et sinistre. De stalactite sortais du sol, créant des cheminées d’où s'évacuait de temps a autre de puissant geysers d'eau bouillante qui s'évaporait en bruine créant un atmosphère chargé en humidité.

De trot, je le fis passé au grand galop lorsque la pluie commença a marteler ma cuirasse bruyamment. Les gouttelettes explosant contre mon acier comme si l'on me lançais des pierres.
Le froid me mordait le visage, l'eau me coulant jusqu'au cou me frigorifiant en glissant sur mon ventre et mon dos. Je n'allais pas y échapper je serai trempé en intégrale.

J'arrivais enfin à la lisière de la foret déchainé par le vent, après une heure de cavale qui me paru interminable. J'y entre en catastrophe évitant de justesse des branchages qui nous barre la route jusqu'à ce que soudainement le craquement sinistre d'un arbre s'échouant sur notre route me fit tirer sèchement sur les reines de ma monture qui stoppa net le fessier sur le sol pour ralentir. .
Il ce redresse ce cambrant en huant furieusement apeurer. Par réflexe je ressers un bras sur ma ''protégé'' craignant de la voir être expulsé, je m'accroche de mon autre main a la scelle pour ne pas être emporté par mon poids vers l'arrière, me collant rudement contre Mève.

- Calme CALME! M'époumonais-je en drowique pour calmé ma monture rageuse et impétueuse. La faisant reculer de quelque pas pour reprendre le contrôle de cette bête puissante. Un peu plus calme, je me risque a me replacé, libérant la rôdeuse de mon emprise. Mon regard ce porte a gauche, puis a droite, revenant rapidement sur la gauche pour apercevoir un passage que j'emprunte sans attendre, essayant de passé entraver les arbres avec difficulté.

Je reste sur mes gardes, observant le ciel tout en essayant de me concentré sur le chemin de devant, pour évité une nouvelle mauvaise surprise qui voudrai nous tombé sur la tête. Au final ma surprise fut la rude descente qu'entrepris mon étalons me faisant buché une nouvelle fois contre la femme que je transportais. Je voulu l'arrêter craignant le pire, le risque de glissé et déboulé la pente... mais j'abandonna la lutte contre cette tête de mule, lui accordant ma confiance pour nous mener sur la bonne voie.
Toujours nerveux, l'animal écume fortement, empruntant un passage sinistre...

J'observe silencieusement les lieux, la flore m'étais totalement inconnue et me déconcentra de la route au passage de champignons brillant dans l'obscurité.
Le cries sur aiguë de chauve souris me fait sursauté, leur vole affolant a nouveau ma monture qui ce cambra et détala jusqu'à la sortie. Nous ramenant sous la pluie traversant une clairière d'herbe haute. Une nouvelle fois j'essais d'en reprendre le contrôle et le ralentir, mais Cronos n'arrêta sa course qu'à la vue soudaine d'une brume, ralentissant dans son inquiétude.

Je me penche vers l'avant lui flattant la nuque rigoureusement.
- Doux, doux... Gronde ma voix grave et toujours aussi affectueuse pour l'animal, essayant de l'apaisé. Je me relève, lui commandant d'avancer calmement, son souffle grondait, tout son corps tremblant entre mes jambes sous sa puissante respiration. Je le sens tendu et ses pas avance rudement a l'affut. Je me tien près, anticipant une nouvelle panique, mais dans le vœux de le voir ce calmé, je demeure calme avant tout pour lui.

Il n'y avait aucune raison de paniquer, ce n'étais qu'un mauvais passage... Je le fais déplacer jusqu’à ce que nous retrouvons le couvert de la forêt où la brume s'épaississait.
Je restais silencieux, a observé l'endroit où nous étions entrains de nous égarer lorsque le bruit de la rivière m'interpela, je la suivie, débouchant alors sur une sorte de mini lac qui s'écoulais dans d'autre. Le bruit d'un souffle soudain me fit sursauté sur ma scelle, a peine si je ne lâcha pas un crie de surprise portant instinctivement ma main sur le pommeau de mon épée que je dégaina promptement. Cronos ce Cambra une nouvelle fois en poussant un crie puissant frappant l'air de ses sabots.

C'est a ce moment que non loin de moi, un nouveau souffle émergea d'une sorte de cheminé de pierre qui sortait de la terre près de nous, me faisant sursauté une nouvelle fois, le nuage d'eau qui ce dispersait par la suite retombant sur nous. Mon animal sautillais sur place, en rugissant ce sentant surement acculé par la fatigue de fuir ce qui le terrifiait et devoir le confronté.
Je rengaine lentement mon arme, reprenant les reines a deux mains le retenant fermement pour définitivement le calmé.

- .. Qu'est ce que c'est que ca? Ne pus-je qu'exprimé mon étonnement et ma méconnaissance des lieux volcaniques.
Je choisi de m'éloigner, me rapprochant du boisé avant de descendre de ma monture pour lui permettre de se reposé. Par prudence, je choisi de l'attacher a une branche rigide...
-.. Je vais chercher du bois. M'activais-je aussitôt pour évacuer mon surplus d'adrénaline face a toute cette épique chevauché, j'étais si tendu, que j'en oubliais mes douleurs aux épaules et à la cuisse, ainsi que le froid qui me frigorifiait. J'étais trempé jusqu'au os, lorsque je ramena un lourd chargement de bois qui ne prendrait surement jamais feu vue le temps qui faisait. Du moins... je les laissa sur place en prévision d'un temps plus clément. J'approcha mon cheval, commençant a lui retiré la scelle et mes bagages, sortant ma couverture de laine pour le couvrir, lui donnant une attention particulière, alors que moi-même je me mis a grelotter incontrolablement.

J'observe le ciel, le voyant définitivement menaçant... Nous n'irions nul par tant que ce danger ne serai pas écarté.
Je souffle en saccader, m'adossant a l'arbre près de moi où j'avais relier mon animal. Secouant vigoureusement la tête pour chassé le surplus d'eau de mes cheveux et de mon visage. Je retire mes gants pour caresser mon étalon, pour le rassurer je reste près de lui, veillant sur son bien être plus que sur le mien.
Transit de froid, je fini par rapprocher mes bras, les croisant sur ma poitrine de fer. J'avais affreusement faim... j'étais fatigué et maintenant j'étais trempé de la tête au pied. Je nous savais traquer de toute par tant et aussi longtemps que nous serions dans l'ouest. C'était une journée longue... TRES longue qui me sembla s'être prolongé sur l'équivalent de trois.

Le chevalier fit accéléré sa monture a toute vitesse, l'averse commençant a tambouriner durement sur le mur d'acier que portait son corps encore meurtrit de ses blessures... L'orage qui grondait nous flagellait le visage de plein fouet, leur laissant aucun répit... La rôdeuse fut trempé en un instant recevant les première nappe de pluie intense... Après une heure de fuite nous nous sommes enfin retrouvé a l'orée du bois... Plongeant dans celui-ci comme le ferait des gens dans un lac attaqué par un essaim de guêpes...

Le vent était tellement violent que des branches tombèrent ici et là essayant de nous barrer la route... Les évitant toutes de près a chaque fois lorsqu'un énormes tronc d'arbre s'abattit devant nous bloquant le passage complètement... Dans une tentative de freinage afin de ne pas happer la dépouille du feuillu Cronos au prise de panique se busqua sèchement, laissant peu de manœuvre au demi de le calmer. Au même moment, Mève se cramponna solidement a la crinière de l'étalon affolé...

Elle sentie par la même occasion un bras d'acier l'entourer vivement afin qu'elle ne puisse pas tomber du fidèle coursier... La femme s'écrasa contre le dur plastron, de son autre main Karia tenait nerveusement la selle pour ne pas tomber, s'il en venait le cas cela ne serait pas de tout repos... Le demi finit par calmer la bête ,criant des paroles qu'elle ne put comprendre. Mève regardant de tous les côtés ne pouvant voir elle aussi qu'une seule voie a suivre... Qu'ils empruntèrent sans attendre le cheval ne voulant point rester sur cette route...

Les arbres étaient acérés près de nous qui déguerpissait de cette folie orageuse... Ses mains toujours cramponné sur la crinière maintenant libre de l'emprise du demi-race... Ils parcourent un sentier jusqu'a une pente raide malgré la réticence de Karia son cheval l'emprunta aussitôt... Le corps de la jeune femme se fit bombarder de coup venant de la par de l'homme qui tentait de peine et de misère a se retenir dans cette pente escarpé... Heureusement ils arrivèrent en bas sain et sauf grâce au fidèle destrier qui n'arrêta pas sa course pour autant...

La monture les amena dans une sorte de caverne où les plantes descendaient du plafond de pierre touchant de mystérieux champignons s'illuminant dans l'obscurité... L'entre gorgeait de chauve souris qui détalèrent a notre passage pressé... Une fois de plus, énervé de tous ces petits cris stridents les sabots s'envolèrent vers une sortie qui déboucha sur un éclaircit de hautes herbes, ramenant la pluie battante sur nos visage impatient de stopper cette furie... L'animal finit par modérer sa course près d'une masse de brouillard dense... Karia la plaqua une seconde fois contre le solide pommeau de la selle, donnant affection et courage a cette pauvre bête qui ne savait plus où donner de la tête depuis le début...

Finissant leur course a pas de loup dans se brouillard épais, cherchant une issu et restant sur leur garde a l'affût d'une attaque possible... Nous traversions ici et là a tâtons, une légère source d'eau sortit de l'ombre, a sa musique rassurante... Mève regarda autour d'eux et reconnu immédiatement les sources d'eau chaudes ,les geysers....un ... Ils était près d'un volcan probablement endormit... Au moment où l'un des geysers cracha son souffle le demi sursauta amenant ainsi Mève dans sa nervosité... Elle voulu lui expliquer se qu'il se passait, mais déjà son arme était dégainé prête au combat...

De nouveau les jets d'eau brûlant vaporisèrent l'atmosphère humide de cet endroit... Le demi sembla aussi affolé que son animal terrorisé par cet emplacement encore inconnu a leur connaissance... Il cria son désarroi puis ramena sa monture vers le boisé sous les denses feuillages... Il quitta rapidement la selle attachant Cronos a une branche solidement encré dans son arbre respectif... L'homme prit d'énervement alla chercher du bois un peu plus loin ne me laissant point le temps d'expliquer la situation qui m'étais familière...

L'humaine descendit a son tour du coursier tremblant toujours de sa course infini... La femme se sentant légèrement ankylosé de toute cette aventure...et c'étais le cas de le dire... Elle veilla sur la pauvre bête qui cherchait encore son souffle... Le cavalier revint avec un énorme tas de bois humide qu'il déposa un peu plus loin sous les arbres en prévision de pouvoir se faire un feu éventuellement... Le fardeau restant sur les épaules du cheval fut retirer par son maître attentionné envers lui qui avait tout donné pour les sortir de ce périlleux moment, il méritait se qu'il avait accompli...

La respiration de la femme se calmait peu a peu des efforts monstre qu'ils avaient tous fait durant cette immense chevauché... Mève fut touché par le geste que posa le demi envers son cheval lui mettant son énorme couverture sur le dos ne pouvant lui-même s'en habiller... La cape pesait maintenant le double de son poids en eau.. Mève l'enleva pour la tordre encore et encore laissant couler l'eau qu'elle contenait un peu plus loin de leur gîte improvisé... "Impossible de faire un feu avec tout ce bois trempé jusqu'a sa chaire... Il faut aussi trouver de la nourriture... Aucun animal sortira a cette température infernal..."

La jeune femme étendit sa cape près d'eux pour la faire aérer le plus possible loin de la pluie qui s'abattait devant eux, les protégeant du vent qui soufflais de tout les côtés en barrant celui qui leur glaçait les sens... Puis aisément elle monta a l'arbre le plus près allant entrelacer toutes les branches qui pouvaient les entourer superposant chaque feuilles, déviant la traine d'eau qui s'y acculait évitant a celles-ci de la contenir et de se rompre par la pression que l'eau pourrait exercer, après un bon moment, l'abris ne compta plus de fuite laissant de grande traine d'eau tomber au bout du toit qu'elle avait improvisé a la hâte... Ce mauvais temps ne les lâcherait pas de si tôt... Mève vit l'homme exténué se laissant tomber lourdement contre l'arbre près de lui... Il caressa son étalon tendrement voulant veiller sur lui se privant lui même de chaleur... Au moins, maintenant ils étaient a l'abris de l'eau et grâce a sa cape cacher d'une partie du froid que le vent martelais constamment ne leurs laissant aucune chance...

La rôdeuse a l'aise se mise a monter un peu plus haut des branches qui se trouvaient devant elle dégainant son arc... Cherchant une entrer d'un terrier ,au pied des arbres, quelconque qui pourrait s'inonder par se même fait amenant la fuite d'un animal qui pourrait s'y loger...

Ses yeux parcoururent aussi les arbres qui au corps meurtris par les animaux, qui s'y faisait des petites cachette apportant dans celle-ci, de la mousse, des brindilles, quelques fois des petites roches, tapissé de petit copeau de bois lorsqu'il creusèrent cet emplacement qui se gardait même au sec par intempérie... Cela serait parfait pour pouvoir débuter un feu afin que tous se réchauffe un peu... La femme se sentait dans son élément se déplaçant d'un pas léger respirant cette air froid bien connu par chez elle dans cette saison de pluie...

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Le vent faisait balancé la cime des arbres dangereusement dans ses bourrasques criantes et sauvages. Tout au tour, d’où ce perchait Mève, elle pu apercevoir des couleurs vive autour d'elle, ce trouvant entourer d'arbre fruitier en pleine apogée de leur saison. Fournissant de généreux aliment gorgé d'eau et de sucre. Semblable a des orange et des mangues de gros ballons jaune et vert ayant la taille d'une grosse noix de coco pendait non loin d'elle, dans un arbre voisin d'on les branches communiquait avec l'arbre ou elle ce tenait.
De nombreux nids d'oiseau jonchait les ramures disparate et brutalisé par les courants de l'orage. Des creux profond dans certain tronc d'arbre laissant parfois sortir un serpent et un lézard qui profitaient de l'intempérie pour dévorer des œufs ou des oisillons.
Au sol, les herbes haute absorbait sans peine le surplus d'eau automnale qui s'abattait. Dans cette zone, la seul créature ne craignant pas l'eau et qui ne sembla pas déranger par l'intempérie était une sorte d'iguane noir de la taille d'un chien moyen. Ils étaient rassemblé en groupe près des lacs sulfureux qui communiquait entre eux, plus ou moins profond, leur eau cristaline laissant percevoir des tapis de plante sombre qui donnais une illusion de profondeur intense. Il faudrait ce mouillé pour les rejoindrais.

J'étais absorbé par le mystérieux environnement qui nous entourait essayant de comprendre ce que cela pouvait être. Ce n'ai qu'au mouvement de branche et de grosse goutte me tombant sur la tête que je remarqua Mève entrain de gravir agilement l'arbre où nous étions abrité. Je fronce des sourcils toujours les bras refermés contre moi-même tremblant frigorifier en essayant de me réchauffé sans résultat très satisfaisant, m'inquiétant de la voir glissé et tombé... Je ne pouvais pas faire de tels prouesses si les choses tournaient mal. Bientôt, la pluie cessa de tambouriné sur mon acier, le dôme me protégeant, moi et mon cheval... Je reste silencieux face a cet attention, me doutant fortement que s'était avant tout pour assurer son propre confort.

Mais je pouvais pas nier être impressionner par son habileté de rapidement prendre des dispositions pour un campement... De pouvoir et s'activer promptement a l'adaptation de son environnement. Je garde secrète mon admiration, sachant que j'aurai du endurer le mauvais temps si je m'aurai retrouvé seul dans la même situation. Je profita de la situation, voyant de grand rideau d'eau s'écouler de l'arbre pendant qu'elle l'escaladait pour approcher ma gourde et la remplir. Je fouilla dans mes bagages, cherchant les autres que je m'empressa a remplir, m'abreuvant au passage pour calmé ma faim et reprendre des forces. Une fois remplis raz le bord, je les ranges dans un sac que je laissa près de moi au pied de l'arbre.

Impuissant par la suite et ignorant les plans qu'elle imaginait et quoi faire pour me rendre utile, je me laisse descendre contre l'arbre pour m'accroupir et me recoquillé afin de calmé mes tremblements. L'acier de mon corps était froid et mordait ma chair, pourtant je ne me résigna pas a retirer les pièces qui me recouvrait, peut-être par crainte d'être embusqué par une créature au aguets ou ... de me retrouver une nouvelle fois vulnérable. Orgueilleusement, je patienta, rapprochant mes genoux contre moi et ma tête afin de profité de la chaleur de mon souffle.

Les arbres dansaient au rythme effréné du vent qui hurlait sa peine laissant ses larmes inonder le sol, cueillit par les plantes qui s'en abreuvèrent... Mève suivant les mouvements de cette curieuse balade circulant d'une branche a l'autre sans difficulté... Les arbres adjacent regorgeait de fruits énormes qu'elle pris s'en attendre trouvant enfin quelques chose a se mettre sous la dent...

Sa main droite alla prendre une flèche dans son carquois qui ouvrit de sa pointe un de ses gros fruits juteux... Son nez sentant, le sucre émoustillant ses papilles qui se souvinrent des chauds gâteaux aux fruits que l'on faisait dans les villages... Aucun animal d'assez potentiel n'étaient intéressant a chasser mis a part de grands lézards qui se tenaient au loin près des sources chaudes...

La rôdeuse rangea la flèche a son endroit respectif et emporta trois de ses fruits avec elle... Ramassant au passage en évitant les serpents le contenu des nids dans les arbres creux... Retournant au campement près du demi mouillé et meurtri de froid gisant près de l'arbre... Elle déposât les fruits devant lui...

-Allez mange si tu veux prendre un peu de force et te réchauffer...* Et se pencha dans le coin de la cachette le plus sec et fit un petit trou dans le sol... Déposant tout ce qu'elle avait amassé afin de partir un petit feu restant très près du trou ne voulant qu'aucun vent ne souffle trop fort...

La mousse au fond , les copeaux par dessus et pour finir plaça toute les brindilles pour donner le plus de chance au feu de démarrer... Mève claqua les petits cailloux a plusieurs reprisent pour obtenir enfin de très infimes étincelles qui se logèrent au fond de la mousse très sèche... Après de dur minutes une minuscule flamme s'éveilla a la base du trou... Rapidement elle se leva, allant chercher le bois le moins humide du tas pour le placer au dessus des flammes naissantes... décortiquant toutes les écorces en morceaux pour lui donner le plus de chance possible...

La femme resta la en s'assoyant un moment surveillant leur source de chaleur.... Combien de fois elle avait dû se débrouiller pour se faire un feu prise dans des conditions glacière insupportable... Avec le temps elle avait développé plusieurs techniques et trucs afin de s'en sortir... L'art de la débrouillardise pure et simple, elle n'avait pas eut le choix ou cela aurait été la mort...

Préoccuper, endoloris et glacer, je sursauta lorsqu'elle me parla. Je ne l'avais pas entendu revenir avec tout ce vent. Je regarde les étranges melon qu'elle apporta près de moi, relevant un sourcil très septique... pourquoi m'offrir a mangé?

Elle voulait que je mange... ca?! Curieux, malgré tout, j'approche une main pour en prendre un le reniflant... l'observant sans être interpeler d'intérêt pour ce met étrange. Je le garda dans mes mains, occupé maintenant a regarder ce qu'elle fabriquait.

Elle avait réussi a déniché des herbes sèches? Je reconnais plus après un nid d'oiseau. Je ne pu m'empêché d'être admiratif de sa débrouillardise, lorsqu'elle parvint a faire naitre des flammes. Pas que moi-même j'étais empoté , mais je ne n'avais pas les même atout de survie...
- ...Tu es pleine de ressource... impressionnant ...pour une femme.

Ne pus-je simplement la complimenté sans immédiatement placer mon grain de sel désagréable. Jetant un air presque étonné sur elle, le sourcil relever, je me détourne vers mes sacs qui contenait mes gourdes d'eau et fouilla au fond pour sortir un couteau a dépecer.
Patiemment, les mains encore peu assurer par la faute de mon corps tremblant inlassablement, j'éventre le fruit que je tenais... Le jus sucré sorti d'un jet cours par la pression s'écrasant sur mon visage. Sur le coup de la surprise, je recule la tête me cognant contre l'écorce de l'arbre où j'étais adossé.

Je resta sans bougé, un tantinet énervé, voir humilié sur les bords, jusqu'a ce que l'odeur sucré attire le museau de mon cheval qui viens me léché le front et le coté droit de ma figure, grondant d'intéressement pour le fruit, ricanant à sa façon, tout en prenant soin de ne pas trop effaroucher mon orgueil.

Le message me semblait claire, je lui tendit le fruit éventré le nourrissant avant moi en soupirant.
Attendrit par sa présence, je lui porte une caresse tendre sur le coté du visage, lui frottant le museau et la joue. Pour lui, j'avais un regard précieux et une attention acharné. Il était le seul être d'on j'étais réellement proche après tout. Un ami fiable qui ne m'avait jamais laissé tombé.

Il était réellement fan du fruit, sans me préoccuper d'en laissé a Mève, je me saisi d'un deuxième melon, lui ouvrant une section pour lui facilité le travail. Après avoir dévorer goulument les deux fruits, je le vois en redemander cherchant le troisième en reniflant bruyamment. Amusé, je lui cache le fruit le plaçant près de mon dos, me faisant discrètement tirer les lèvre d'un sourire franc.

- Encore? mais il y en a plus, quoi tu n'ai pas convaincu?... te le caché moi? faire ca jamaaaiiis. Me mis-je a lui parler en drowique, l'animal secouant la tête de haut en bas en piochant dangereusement le sol près de moi. Il soupir d'énervement poussant de son nez, ma main qu'il approcha pour débusqué le fruit comme s'il disait << ET la c'est quoi ca!? te fou pas de moi.>>
A ce moment, il m'apporta un réconfort certain, un peu de chaleur dans ma journée incroyablement mouvementé. Sans le faire languir plus longtemps je lui approche des lèvres, ses dents s'activant aussitôt pour éventré le fruit sans mon aide. Tant pis.. je m'en passerai.
De toute manière, je n'étais pas fan des végétaux... Mes crocs devenant un handicape parfois gênant lorsque je devais m'en nourrir. De loin, je préférai la viande, faisant d'avantage partie de mes habitudes alimentaires, les autres aliment parfois ne me faisais pas un très bon effet. A mon grand étonnement, il me laissa un reste... un morceau qui tenais dans toute la main. ''Trop...généreux'' me lançais-je a moi-même en regardant la chair jaune orange parfois rouge du fruit exposé. Un mal aise me prend, en jetant un regard vers Mève... comme si l'idée de me nourrir devant elle me gênait subitement. Accepté sa nourriture reviendrai a me faire nourrir par... elle?

La curiosité l'emporte sur mon orgueil, j'approche le morceau de melon déchiqueté de mon nez, le reniflant une nouvelle fois attirer par ce sucre. Sans entrain, je le porte a ma bouche, le mordant avec hésitation... comme prévu, j'arrive avec difficulté a tirer la chair , mes crocs le déchirant au lieu de le couper. Ce qui me fait froncé du regard, me lichant les lèvres couverte de ce délicieux nectar, mais m'arrêtant de le mordre... me sentant soudainement en colère devant ce fait. Bien que la faim, me donnais envie de m'acharner, une sorte de dégout me viens à la bouche... Lentement de mon autre main, je lâche le couteau au sol, pour ensuite la porté sur mes yeux, me frottant de mes doigts les os de mes orbites pour réprimé ma colère... que j'essayais de ce geste de caché. Orgueilleux, je refais une tentative, cette fois me contentant de prendre ce qui viendrai et buvant le jus...
Je le fis par hargne, pour défier mon passé et surmonté ma condition carnassier. Ces crocs, on me les avaient imposé... pour renforcée l'image que l'on voulait me voir arboré: celle d'une bête sanguinaire.

Ma bouche laissa échapper un petit rire a son commentaire plutôt flatteur, se qui était étonnant venant directement de la bouche de Karia. Les yeux toujours rivé sur les flammes qui s'attaquaient durement au bois humide gagnant peu a peu sa bataille grandissant en force a chaque seconde... Mes doigts légèrement glacés par le froid se réchauffèrent peu a peu devant le feu, maintenant bien en place devant moi prenant chaque interstice de l'endroit où il brûlait...

Je jetai un petit regard par dessus mon épaule le regardant ouvrir le fruit s'en aspergeant du même fait puis cognant son crâne sur la dur écorce contre qui son dos s'appuyait... Je ne put retenir un petit sourire sur mes lèvres, mes yeux se plissant dégageant une minuscule lueur, laissant comprendre le ridicule de la situation... Mon cœur se serre, voyant l'affection que son cheval peut avoir envers lui, en essuyant le jus que le fruit avait sadiquement rejeté sur le côté de son visage encore humilié de cette provocation sucré... Je me surprend a être touché de ces actes attentionnés face a son compagnon de route le faisant maintenant passer en premier pour le rassasier... Il sourit? Un vrai sourire... Wow... Je suis impressionné de cette scène qui restera probablement gravé dans ma mémoire... Cette langue m'intrigue de plus en plus... haha... Maintenant il semble jouer avec son cheval! Cet homme remplis de colère qui ne pense qu'a tuer?!..

Mes yeux s'écarquille davantage a les voir ainsi mignon comme tout, voyant le cheval qui semblait lui lancer le message de " ne te fou pas de moi je lai vu, il est derrière ton dos! Allez donne m'en encore!" Quel belle complicité ces deux là, son cheval fut même généreux en lui laissant qu'une petite part... Mon regard revint rapidement vers le feu avant qu'il découvre que je les voyaient faire depuis le début...

Mon regard se perdant dans les flammes un petit sourire aux lèvres se dessina... Cette journée mouvementé porterait un petit moment de gaité du moins pour cet instant qui la rendait calme et détendu... Ne voyant pas le combat continuel que le demi avait avec son fruit... Je continu d'observer cette lueur orangé qui vacille devant moi en plein pouvoir de ses moyens... Mes pensé se dirigeait vers notre voyage qu'y avait-il là-bas? L'environnement différait-il tan du notre? Les gens comment nous accueilleront-ils?.. Pourquoi me poser cette question? haha! Avec lui il n'y a pas de meilleure réponse que... il nous haïrons! Mes poumons s'emplirent de cette air encore humide pour la relâcher dans une expiration plutôt longue et silencieuse... Mes paupières se refermant doucement appréciant la douceur de la chaleur devant-elles...

J'entends son soupir, qui provoqua le mien peu après vis a vis mon combat acharné.
Je fini par lancé la coquille déchiqueté loin de moi, retournant glissé mes mains sous mes aisselles pour me réchauffé. J'observa le feu qu'elle entretenais, me gardant pourtant une gêne orgueilleuse de m'en approcher. Me punissant inconditionnellement de ne pas le mérité.
Plus après, Cronos décide de s'étendre près de moi, descendant sur ses genoux, me bousculant un peu au passage avec son dos, son museau tourné vers les lacs dont s'élevaient des vapeurs. Son corps me réchauffant et me protégeant du vent. Il gronde doucement, comme s'il m'annonçait qu'il allait piqué un somme.
Je soupir de nouveau profondément, observant la cime des arbres vacillé et ce plier sous les coup du vent. Je frissonne a cette vue, allant passé une main sur mon visage pour retirer l'eau et ensuite la remonté dans mes cheveux pour les essorer. Voyant l'eau me couler sur le plastron, je relève le regard sur Mève... Repensant a notre rencontre, a nos débats et son égard envers moi avec ses fruits. Mes yeux ce vide un moment, ce perdant ailleurs dans mes pensées... J'étais un peu inquiet vis a vis le comportement de cette femme envers moi. Ma méfiance grandissait dans l'angoisse et l'attente de la voir me faire payer le mal que je lui avais fait.
Elle m'avait.. soigné... nourris? moi je l'avais violenté, violer... blesser et éloigné son compagnon de voyage, lui laissant croire que je l'avais tuer.

Je me sentais redevable? Je détourne le visage avec une expression amer dans une autre direction.
Je posais maintenant mon regard sur la clairière, écoutant le bruit des herbes haute, celui de la pluie, observant ses plantes s'agiter comme la crinière d'un animal en course.

Mes paupière s'alourdissaient lentement et ma tête également. Je sursaute dans l'impression de tombé, pris d'un vertige soudain, me ressaisissant. Je cligne des yeux abondamment et reprend mon observation... me remettant a cogné des clous. Je ne devais pas m'endormir... Je secoue légèrement la tête, pas question de fermer les yeux avec elle près de moi. Pourtant tout comme Cronos le sommeil commença a gagner du terrain.

J'amenais ma main droite soutenir le coté de mon visage, posant mon coude sur mon genou droit. Ma tête fini par devenir lourde définitivement, soutenu dans le creux de ma main, les paupière ce fermèrent et cette fois plus moyen de les ouvrirent...
Mon esprit alerte, je ne trouve pas immédiatement sommeil, l'écoute demeurant active un certain temps alors que ma conscience s'éteignait a petit feu. Je ne m'étais pas reposé depuis presque une semaine... j'arrivais au terme de mon endurance au sommeil que je fuyais sans relâche.

Son soupir suivit le mien puis je vis passer près de moi la pelures du fruit qu'il avait tenté de manger ardument... Je jetai un œil qui traversa par dessus mon épaule l'observant que quelques instant, je le vis se recroqueviller sur lui même trop empli d'orgueil pour s'approcher de la chaleur bienfaisante du feu...

N'en faisait aucun cas je continu a le toiser voyant sa monture s'étendre près de lui pour se reposer et le bousculant par le même fait et réchauffant son maître pas la même occasion... Je retourne regarder devant moi observant les environs qui contenaient une terre sablonneuse, plusieurs sources d'eau chaudes qui tombaient de bassin en bassin non loin de ce campement... Les quittant des yeux et remis du bois dans le feu en le remplissant pour qu'il dégage encore plus de chaleur se qui me fit reculer un peu me remettant ainsi sur mes genoux...

Mes yeux se reposèrent sur le demi qui semblait combattre la fatigue qui le tenaillait sans arrêt, ses paupières lourdes se rabaissèrent constamment son visage appuyer contre sa main... Il fit quelques soubresaut mais le sommeil tenta de la gagner davantage... J'attendais un bon moment puis je remis encore plus de branche dans le feu afin que la chaleur l'atteigne davantage réchauffant ainsi son plastron glacer... Mes yeux ne purent s'empêcher de regarder une seconde fois les sources.... Cela était tellement tentant...mes lèvres se pincèrent entre mes dents...

Le temps passa encore un peu, les fourmis me tapissaient les jambes, ne pouvant plus résister et ayant observer les alentours depuis au bon moment... Je me levai délicatement sans faire aucun bruit j'enlevai mes vêtements que j'étendis près de feu afin qui restent sèche je pris seulement ma cape que je mis et mes armes... Je jetai un dernier regard vers les deux endormis puis alla jusqu'au bord de la source affrontant les vents et la pluie.... Mon cœur devint enfantin mes jambes accélérais de plus belle, j'affichais un sourire qui me rappela des souvenirs perdu de mon ancienne vie... Rendu près de celle-ci je déposât mon fourreau pommeau avec le carquois vers l'eau et mon arc avec une flèche en son centre près a l'utilisation...

Je regarde encore autour de moi ne voyant personne a part les reptiles qui se trouvait a un bassin de distance... Doucement avec ma main j'effleure l'eau qui s'y trouve espérant qu'elle ne soit pas trop chaude... S'y elle serait a la bonne température je m'y glisserai immédiatement... Déjà les vapeur chaude qu'exhalais le liquides me réchauffait le visage qui contenait mon expression de bien être... Cela faisait combien d'années que je n'avais plus pris une telle baignade... Je ne sais plus...

J'étais assommé par le sommeil, je ne l'entendis pas s'éloigné, bercé par une chaleur de plus en plus douce, je ne pu me résoudre a quitté mon repos qui devient maintenant pesant.
Seul Cronos poussa un doux grondement, en l'entendant, ses oreilles ce tournant dans la direction de l'humaine qui passa près pour finalement s'éloigné vers ses mystérieux lacs.
Le cheval ne dormant toujours que d'un œil, l'avait surveillé et ne voyant rien de dangereux resta silencieux évitant de réveillé son maitre.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Les sources chaudes, était a une température élever mais endurable, sans risque.
A l'arrivé de l'humaine, les lézards s'éloignèrent paresseusement de quelque mètre.

La tempête fit rage encore pendant quelque heures et progressivement le vent fini par ce calmé, la pluie également. Le ciel toujours menaçant jusqu’à ce que la nuit tombe, dégageant le ciel qui révélait d'innombrables étoiles scintillantes et une demi lune jaunâtres.

Les insectes nocturne gazouillait énergiquement, des lucioles brillant voletant au dessus des herbes hautes.
Des cries d'animaux couvraient le silence qu'avait laissé la tempête, la vie ce manifestant de partout. Dans les bassins d'eau chaude, les plantes fluorescente ce mirent a brillé, les cheminées fumant incessamment, poussant leur bruyant jet d'eau dans les air.

Les lézard s'éloignèrent de ma présence, la chaleur de l'eau était comme dans mes souvenir, très chaude, mais tolérable... Je me redressa, laissant glisser ma cape doucement le long des courbes de mon corps frissonnant au contact de l'air, tournant ma tête vers le campement pour voir si tout était encore correcte, ils semblaient n'y avoir aucun problème... Le vent martelant encore violement mon enveloppe charnelle, complètement nu, qui frémissait a son touché. Je descendit tranquillement un pied dans le bassin, puis l'autre, laissant échapper quelques soupirs quasi jouissifs.

L'eau gravissant ma peau glacée me secoua d'un grand spasme, puis je sentis chacun de mes membres fourmiller au changement de cette température réconfortante... J'avançais doucement dans l'eau laissant mes doigts effleurer celle-ci les faisant danser a la surface limpide et clair de cette source bienfaisante... J'y fondit jusqu'a ma nuque évitant de mouiller ma tête qui subissait toujours les vents qui diminuait peu a peu emportant la pluie avec eux... Je ne pus retenir plus longtemps mon sourire me sentant comme au bon vieux temps...

-ahhhh....sa faisait si longtemps...hmm...* m'exprimais-je tout haut allant maintenant m'accoter la tête sur le rebord, mettant mes bras a l'extérieur pour me soutenir près du bord où se trouvait mes effets personnels. Le ciel se dégageait de plus en plus pour finir par s'éclaircir, affichant ensuite un manteau marine magnifiquement étoilés s'accompagnant d'un croissant de lune, qui reflétait son rayonnement dans mes iris teinté turquoise ... Les créatures se mirent a chanter leurs champs nocturne doux a mes oreilles, bercés par cette musique sauvage je refermai mes paupières savourant l'instant présent... Mes jambes battant dans l'eau, s'agitant de haut en bas, qui perlait en retombant lourdement sur la nappe transparente...

Tout a coup, étonnée, je vis plusieurs lueurs s'animer devant moi, je n'avais jamais vu c'est étranges choses qui semblait être des...PLANTES?! Ma curiosité me redressa rapidement, mes pieds avançant délicatement vers l'un de ces végétaux plutôt intriguant... Mes doigts les frôlèrent avec douceur évitant de les ébrécher, c'était effectivement ce que je croyait, toujours surprise de cette découverte... En remontant ma main droite rapidement, je m'aspergeai sans le vouloir le visage... Mon regard devint brillant, comme un enfant qui reçoit son premier cadeau... Je me mis a rire et rire, comme une gamine excité d'aller s'amuser dans une énorme flaque d'eau...

Mes bras allant de part et d'autre claquant bruyamment contre le liquide qui une fois dans les air semblaient devenir de petites billes qui s'illuminaient de milles feu autour de moi, diffusant la lumière des plantes environnante, je tournai sur moi-même de longs instants me rappelant des balades de mon enfances... Mes mains se collèrent ensemble sous l'eau ramassant la plus grande quantité de fluide pour la projeter encore et encore très haut dans l'atmosphère, mes yeux tous éblouis par les diamants qui retombaient un après l'autre devant mes pupilles emplies d' émerveillement... J'admirais ensuite mon environnement, la rivière qui s'écoulait dans la cuve où j'étais par une petite cascade... Une idée folle me traverse l'esprit"...non...mais pourquoi pas?... ressaisit toi voyons!.. "Me dis-je, sentant de nouveau mes jambes remuer de plus belle, n'étant plus capable d'attendre par l'excitation que mes pensées espiègles leurs faisaient subir...

Je m'approchai dangereusement de cette petite chute qui plongeait dans la partie profonde du bassin, éclairé en tout point par cette lumière fluorescente... Lorsque je fut arriver, je montai sur le bord allant, fesse nues, vers la fin de la petite rivière me dressant les poings aux hanches au dessus de cette vasque brillantes... Mon pieds droit s'avança encore un peu s'appuyant maladroitement contre une roche lisse et très glissante... Mon souffle se coupa nette lorsque je basculai vers l'arrière lâchant rapidement un cri que je ne put retenir

- oh... oh...ahhhhh!..* Mes bras se faisant aller de tout bord tout côté, pou éviter de tomber... Mais malheur! Instinctivement, au cri que ma bouche émit, je portai mes mains a celle-ci qui me fit perdre mon équilibre et qui me fit heurter le sol visqueux de mes fesses... Mon corps emporté par le courant qui se jetait solidement dans le réservoir, d'un seul coup je remontai a la surface reprenant mon souffle... Regardant vivement autour de moi, mon rire retentit de plus bel, en me remémorant la scène qui venait tout juste de se passer...

-...hahaha!...Hihi!... Qu'elle imbécile de se prendre pour la reine de la montagne...HAHAHA!...* Mon dos se coucha délicatement sur cette étendue lisse épousant chaque parti de mon corps... Je me laissai flotter par les ballotements de l'eau, écartant mes membres pour ainsi former une étoile... J'entendit les geysers cracher leur entrailles un après l'autre formant la brume qui se déposait près de moi a pas de velours... Ma moue s'attrista, mes yeux brillèrent sans pouvoir contenir mes larmes qui alimentaire mon bain improvisé... Mes parents me manquait... Beaucoup de souvenirs refoulés remontèrent du fond de mon âme, comme si c'étais hier que nous nous amusions dans ces sources au creux des montagnes, personnes pour briser cet innocent et pur moment de bonheur...

Je me laissai descendre au fond, admirant l'envers de cette source si limpide et brouillé tout a la fois, m'appuyant sur le sol doux qui m'enveloppait de sa chaleur... J'aurais resté plus longtemps mais mon souffle m'interdit se privilège... Je me laissai remonter vers le haut doucement revenant a mon point de départ, prenant une grande bouffée de cet air humide, ramenant du même coup ma lourde chevelure vers l'arrière de mes mains qui la caressa soigneusement laissant mes doigts glisser entre chaque mèches qui les touchèrent... Mon buste se bombant au geste qu'engendrait mes bras, délogeant ainsi ma ferme poitrine qui se crispait privé de sa chaleur rassurante...

Une heure s'écoula, puis deux.... mon sommeil avait endormis mon corps exténuer, mais mon esprit tourmenté était au aguets dans les ténèbres qui m'avaient rejoint...
J'attendais mon prochain combat dans la résignation, un que je ne pouvais gagner dans cette univers de cauchemar et d'horreur.

Le bruit de chaines tintait, brillantes d'une lumière spectrale sombre et violette, je les vois sur un sol noir ce mouvoir commençant a ce tendre et ce raidir. Calmement, mon regard ce pause sur l'une d'elle, remontant les mailles jusqu’à mon épaule droite, sentant cette entrave spectrale mordre ma chair, me tenant par les os et me tirer rapidement jusqu’à m'agenouiller. Je remarque que je suis a nue, sans protection aucune... mon regard ce souligne d'un abandon amer entendant un rire poindre dans l'écho de mon esprit, attirant lentement mon attention sur deux point embrasé qui me fixait du plus profond de mes ténèbres. Un rire plus glacial que le mien, porté par une cruauté sans nom que même moi je ne savais rivalisé, la mienne parfois retenu par une compassion secrète de savoir ce que sa faisais de souffrir...Tandis que celle-ci était pure, sans influence.

Bouillonnant, sombre comme du goudron, un liquide visqueux sors du sol exponentiellement remplissant la pièce sans mur visible où je me tenais a genou... La haine s'étendait tout autour de moi, son niveau augmenta, commençant a me submergé jusqu'au hanche. Le liquide avait beau bouillir, m'écrasant par son poids comme le ferai de la boue, il était glacé comme l'eau d'une rivière en hivers.
Des vapeurs s'élevaient, m'irritant la peau, pénétrant mes poumons et resserrai ma gorge comme la corde d'un condamné à la pendaison.
Inconsciemment mon souffle s'intensifie, se rire s'infiltre en moi comme une température ambiante trop intense pour pouvoir la combattre avec ma propre énergie.

- Baisse ... la tête..

Souffla des ordres sombres et indiscutable, faisant jaillir de ma gorge, comme un fantôme, une nouvelle chaine qui se propulsait vers le sol comme tombe une ancre de navire dans la mer. Elle claque durement, tirant ma tête vers le liquide, me laissant le bout du nez trempé et me forçant a inhaler toute cette haine.
La panique s'empare de mon âme en me sentant me noyé bien que je n'étais pas immergé...
Puis soudainement, un cri traverse la pièce, brisant les ténèbres, un sursaut soulève mes paupières mettant fin a mon cauchemar qui allait dégénéré...

Je venais de me réveillé promptement, la nuit était tombé et la tempête passé... Mon souffle est haleinant et ma sueur froide mordante perlait mon front tel une fièvre tenace. Paniquer, j'observe autour de moi récupérant ma conscience. J'étais a peine reposé de ce repos mouvementé, je me senti perdu ignorant où je me trouvais... ma mémoire me revient fur et a mesure que ma torpeur me quittais.
Dès bruits suspect me viennent aux oreilles, je retiens mon souffle pour mieux écouter... je reconnue alors de l'eau agité et des ...rires?!
Ma vision est trouble, ne me laissant pas remarquer les vêtements laissé près du feu, déranger par sa lueur ardente... je ne vois Mève nul part. Combien de temps avais-je laissé retombé ma vigilance?!
Animé d'inquiétude et de colère que je me dédiais a moi-même, je me soulève lourdement, allant chercher dans les sacs près de moi mes gantelets et mon casque, les replaçant sur mon corps pour ensuite m'éloigner du campement et aller vers la source de ce chahut.
Ma vision s'assombrit une fois que la noirceurs de la nuit me recouvre, la lumière de la lune faisant rougir mes pupilles comme un brasier ardent. Les geysers souffle et ne m'inspire pas confiance, lorsque je m'approche des lacs sulfureux, me gardant sur le moment a distance, tout ou plus dix mètre de la berge sablonneuse...

Tout ce que j'arrive a constaté d'où je suis, c'est que cette eau est brulante... m'apparaissant sous la forme de masse orange et rouge. Nerveusement je cherche du regard un signe, un corps, mais rien?.. j'étais aveugler par cette température ambiante.
J'ose alors m'approcher d'avantage du bords, ma vision nocturne s'éteint brutalement me faisant froncé des yeux et relever ma main par réflexe de souffrir d'une lumière vive... curieusement rien de cela ne ce produisis.
Craintivement, je laisse ma main redescendre au niveau de ma poitrine restant sur mes gardes, les yeux toujours plissé, j'ouvre lentement plus mes paupières découvrant une lumière étrange émané des plantes aquatique au fond du bassin devant moi. J'observe a nouveau au tour de moi, découvrant la cape de ma protégé et ses armes. Je n'avais pas entendu de rire depuis l'explosion des geysers...malgré l'ambiance nocturne très vivante, c'était le silence ...Était-elle en danger? Jusqu'a l'accomplissement de ma dette, c'était devenu ma priorité et je venais de la laissé sans surveillance par ma faiblesse. C'était impardonnable! et si une créature l'avait tuer avant moi? intolérable! tout ca pour rien?!
Un grognement d'impuissance me gagne... ou est-elle!? a peine me pausais-je cette question que le bruit de l'eau et de fort remous attira mon attention, me faisant reculer dans les ténèbres afin de m'y camoufler. Ma main droite empoigne le pommeau de mon épée près a me défendre au besoin... jusqu'a ce qu'elle apparaisse. Je pousse un soupir soulager, décrispant ma main de sur mon arme. Je m'étais inquiéter pour absolument rien...
Mes yeux de braise s'était rallumé dans les ténèbres, la fixant intensément alors qu'elle commençait a quitté le bassin, la vue de son corps nue me retenant d'attirer son attention.
Derrière mon heaume, un sourire en coin apparait a l'idée de la mettre mal alaise. Une petite vengeance perverse?

- Jolie... Laissais-je glissé de ma voix caverneuse qui fut déformé par mon heaume, donnant un aspect froid et hostile a ce mot.
Je marque une pause, toujours tapis dans les ténèbres avant de rajouté.
- Ces mystérieuses plantes.
Précisais-je sur le même ton, plus après pour ne pas lui laissé croire que je parlais d'elle.

Mes mains finissaient de descendre le long de mes épaules au moment ou j'entendit une voie lugubre retentir près de moi, mes yeux s'écartant mes gestes vifs et précis empoignant l'arc étirant la flèche dangereusement vers la tête, ne lui laissant aucune chance, de l'inconnu qui me matait sérieusement.... L'arc tendu de manière a cacher mon buste nu frissonnant a la température extérieure... Mon souffle s'était accentué par le sursaut que je cachai assez facilement, au son qui avait retentit dans cette nuit maintenant tranquille et posée... Mon visage sérieux et rageur de n'avoir pas eut autant de vigilance, m'étant laisser emporter par cette distraction soudaine... Je reconnu ces yeux rouges derrière se brouillard artificiel qu'émettait la source chaude... Je fût soulager de voir que la bête c'étais enfin levé et devait être fraîche et dispose a l'entendre faire ces petites phrases provocatrices a qui je ne répondit point...

Mon regard le toisait ardemment, il s'était reculé dans l'ombre sans émettre un bruit, je sus qu'il avait mit son casque au son que sa voie émit dans l'air qu'il expirait... Mes jambes se déplacent doucement allant accoter mon bassin sur le rebord de la source chaude... Un petit sourire se dessina sur mes lèvres pulpeuses maintenant écarlates grâce a la chaleur qu'émanait l'eau qui les avaient tendrement effleuré...

-...Bien le bonjour très cher...bien dormit ? A t'entendre on dirais que oui.... et... je vois qu'on ait toujours aussi flatteur...c'est gentil! * Ne pus-je m'empêcher de dire malgré le fait que je ne voulait pas embarquer dans son petit jeu... Mes yeux s'éclaircir de malice a un souvenir passé... Je déposai finalement mon arme tranquillement au sol le remettant dans la même position d'avant moi gardant la flèche dans ma main droite...

Je sortit de l'étang toujours aussi nu! Pourquoi avoir de la timidité, alors qu'il m'avait déjà vue dans mon simple apparat.. Et ne disait-on pas qu' où il y a de la gêne il n'y a pas de plaisir. Cool

J'avançai tout doucement a pas de loup l'observant m'observer... Mon dos affichant ma dure rencontre avec cette lame d'acier tout près de lui, dessinant une large et profonde cicatrice de couleur rosé partant d'en dessous de mon aisselle a ma colonne vertébrale... Je me rendit jusqu'a lui le regardant des pieds a la tête levant un sourcil amuser... Mes doigts effleurèrent son plastron délicatement se promenant au niveau de son torse d'acier... Je reniflai l'air autour de moi et mon nez s'arrêta près de lui... Je continuai de me déplacer tournant autour de lui...

-...Bah dis dont!...Sa sens vraiment la charogne ici...* Dis-je sensuellement afin de déstabiliser mon adversaire toujours tout sourire aux lèvres....

-...Va falloir te laver... je crois... car sinon tu sais se qu'on fait aux charognes?..on...les brûles...* Avant qu'il n'ait le temps de dire ouff... J'étais déjà derrière lui défaisant un loquet, deux puis trois, etc...de son armure afin d'en libérer son corps emplit d'odeur nauséabonde que procurait sa cage doré... Fâché ou pas il sera obligé de venir dans cette source si bienfaisante pour son corps qui avait été meurtri a plusieurs endroit rien de mieux pour les plaies que d'être rincer...

Je ne savais pas pourquoi mais cette eau revigorait totalement on sentait qu' après un moment dans ce liquide l'énergie nous pénétrait davantage c'était tellement bon qu'on voudrait tous y rester sans aucune exception même la plus difficile des personne aurait envie d'avoir cette source a porté de main... De toute façon lui avoir demander serait trop pour mon et son orgueil... Il s'était tant amusé avec moi maintenant sa serait mon tour...non?.. Twisted Evil

Ou du moins juste lui faire penser que sa le serait le cas...

La tension de la corde de son arc dévie ma vision succulente de son corps, sur son arme qui ce pointait hostilement dans ma direction, me laissant échapper un ricanement amuser qui lui laissait sous entendre que je trouvais cette menace bien insignifiante. Sa réaction ressemblait a l'idée que je m'étais attendu de provoquer d'elle et me comblait brièvement dans la réussite de laissé un malaise s'installer.

Mais devenant maintenant une habitude, Mève me fit perdre mon sourire victorieux dans un comportement que je ne m'étais pas imaginé possible de sa par...
Elle dépose son arme, jusque là tout va bien...

Puis, elle sors de l'eau, gardant que son projectile en main, ignorant... de ce revêtir de son vêtement pour me couper la vue de son corps a nue qui ce déplaçait silencieusement vers moi comme une chasseresse approche furtivement sa proie. Ce comportement, bien que j'étais armurer de la tête au pied, me fit reculer d'un pas puis deux... J'avais un mauvais pressentiment dans sa façon de me regarder, son calme... que je voyais très clairement tendit que le mien me quittait totalement. Je m'arrête immédiatement, qu'est ce qui me prenait? Je ne suis pas une proie! bien au contraire, cette réflexion me ramène a l'ordre me maintenant immobile, ne voulant pas lui montrer ma craintivité face a cette approche peu ordinaire.

Je me met a respirer plus fort, me mettant a grogner a son approche qui fut pour le moins... très directe. Ses doigts qui ce pause sur mon torse métallique, puis sa tête qui s'approche pour me...reniflé m'hérissa l'échine d'un frisson psychologique comme si elle était parvenu a me touché entraver mon acier.

Je me sens figer par son approche, je ne pouvais pas réagir autrement qu'avec violence et évidement je ne le pouvait point, ce qui me bloqua dans une situation assez embarrassante. Je ne pouvais la châtier qu'avec mes agissement animal. Ma main qui était toujours sur mon arme, ce resserra a nouveau sur le pommeau, montrant ma méfiance qui devenait accrue. Derrière mon heaume, mes yeux rougeoyant la suis du regard sans broncher, ce plissant de méfiance et refusant de réagir, par crainte de la blesser dans un élan incontrôlable de la repoussé loin de moi. Son corps exposé, n'offrirait aucune résistance aux lames tranchantes et la dureté de mon acier.

Pas le moins du monde intimidé par cette réalité, elle me provoque d'un sourire étrange, sa voix venant violer mon intimité mental par une douceur angoissante. Le mot << Charogne >>, me résonnant dans la tête comme une mise en garde qui inconditionnellement me faisais suffisamment respiré fort pour soulever mon armure dans mon énervement. Qu'est ce qu'elle sous entendait? Pas besoin de me pauser la question plus longuement, elle y répond directement à la suite. Cette phrase... me rappelait quelque chose, ca ressemblait très facilement a quelque chose que j'aurai pu dire moi-même.

Avant que j'ai l'idée de lui faire remarquer, elle me contourna agilement, m'obligeant a essayer de la suivre pour l'empêché de sortir de mon angle mort. J'étais ralenti par la peur de la blesser dans mon mouvement que j'aurai voulu beaucoup plus vif. Je cherche a me retourner instinctivement jusqu'a ce que je sente un loquet de mon armure, au centre de mon dos, s'activer, me paralysant totalement, ce qui lui permit de l'ouvrir et toucher aux autres qui étaient a sa porté. Je pousse une plainte de surprise, ne m'étant pas du tout attendu a cette possibilité et ni une aussi grande dextérité de sa par... en pleine obscurité.

Une raideur me fait poser un genou au sol avec soumission, une certaine peur me tenant à la gorge, si je me débattait j'allais souffrir, si elle ne terminais pas ce qu'elle venait d'entreprendre c'était le même sort qui m'attendais... Par réflexe, je ressers mes coudes sur mes flancs pour empêché l'ouverture de mon échine. J'étais pris de cours, me surprenant a souffler comme un bœuf entraver mon heaume qui maintenait le verrouillage de mon armure tant qu'il serai ancré dans son mécanisme.

Heureusement, elle ne me tortura point... du moins pas physiquement. Car intérieurement, je tremblait d'une certaine terreur. Je me retrouvais a genoux? comme ca par un claquement de doigts!? Soumis a sa volonté, elle qui avait toute les raisons nécessaires de me faire payer ma prétention, ma violence et la brutalité que j'avais fait preuve envers elle. Je me rappelait très bien maintenant d'où j'avais entendu cette phrase. C'était d'ailleurs cette journée où j'avais été assez fou pour lui dire comment retirer cette attirail, dans la sécurité de mon château avant de la forcé a aller prendre un bain. Quel inconscience! comment j'avais pu être aussi imprudent?!

Je me remis a grogner de fureur, me sentant piégé dans une impasse. Je pouvais resté immobile dans cette position toujours protégé, mais incapable de me mouvoir ou je m'enlevais mon heaume sur le champs me libérant de ma protection pour m'éloigner d'elle.
et pour aller ou?
J'étais perdant dans toutes les situations que j'analysais. J'étais furieux d'imaginé devoir me battre avec elle une nouvelle fois pour retrouvé l'abris de mon acier par la suite. Dans tous les cas, il était trop tard pour réagir. Et d'ailleurs cela commençait a devenir le dernier de mes soucis lorsque je réfléchissais a ce qui pourrait arrivé une fois extirpé de ma carapace.
La seule réel réaction qui arriva... fut d'abdiquer, de me rendre, Échec et math?
Résigné, je lâche le pommeau de mon épée, je ne pouvais point m'en servir sans m'infliger des blessures considérable en relâchant la pression que je maintenait sur mon plastron pour l'empêché de s'ouvrir. Je demeure paralysé dans cette position, neutralisé dans mon appréhension, attendant malgré moi... la suite.

Je sourit... contente qu'il soit nerveux, qu'il se sente désarmé aux gestes que j'engendre... Qu'il éprouve cette sensation de dépourvu alors que l'on ne peut rien faire dans certaines situation... Comme celle qu'il aime tant provoqué, voulant dominer tous ceux qui ne son pas ces égaux, se qui veut dire personne... Je sens son souffle s'accélérer de plus en plus, j'arrive a ressentir sa surprise alors que je m'étais élancée a défaire son armure, tandis que je m'approche du 4eme loquet, il met genou en terre s'abaissant a maintenant a ma hauteur me rendant la tâche encore plus facile que prévue...

J'éprouve une fierté manifeste, d'être capable d'accomplir se geste pourquoi nous oblige-t-il a toujours le forcer et non a faire le choix de quelques chose... A-t-il toujours vécu ainsi? Était-ce la façon dont il avait été élevé? Il se crispe serrant les coudes de chaque côté de lui, n'a t-il donc jamais su se protéger que par cette plaque d'acier? Je me sens triste et totalement heureuse de lui enlevé ceci... Mes sentiments se bousculent dans mon être bouillonnant de mes actions présente... Sa respiration me transperçait de plus en plus comme si je me sentais me fondre en lui...

Imaginant être a sa place dans le même état... La chaire de poule m'envahi alors que le derniers loquet est déverrouillé... Je lance ensuite la flèche vers l'arc doucement pour ne pas effrayer l'animal sauvage qui semble être emprisonné dans une impasse... Je reviens a pas de velours devant lui le regardant dans les yeux essayant de le comprendre pour une fois... Il était si craintif malgré ses apparences de cruauté et d'animosité envers les gens qu'il côtoyaient... Mon regard affichant toujours des airs moqueur cachant une certaine compassion pour cet homme, mes mains délicates allant se déposer sur son heaume le faisant ainsi pivoter afin d'en libérer complètement...

Parlez ne m'intéressait pas j'aimais l'effet du silence qui retombait sur nos deux corps amenant questionnements incessant et curiosité de se comprendre, sans tomber dans nos ébats emplies d'orgueils et de préjuger... Je relevai le casque pour ne pas le blesser, l'admirant se torturer a savoir se que je voulais bien faire de lui... Il grogna mais je n'en fit aucun cas, malgré moi mes gestes étaient attentionnés et je ne savais faire autrement dans cette situation nouvelle du faite même que je la réalisait... A cet instant je voulais lui faire payer se qu'il m'avait fait subir ultérieurement et en même temps pas du tout... Je voulais au contraire le torturer de douceur qu'il ne semblait pas connaître et qui semblait le terrifier car il n'en connaissait aucune issu...

Mon regard c'était fixé sur le sol, ressentant une oppression indescriptible, mes sourcils ce mettant a ce froncer, l'angoisse m'étouffant comme si le cauchemar d'on je venais de m'éveiller prenait une forme réel.
Le silence me tétanisais complètement, me mettant a entendre l'agitement inéluctable de mon cœur dans mes oreilles.
Réalisant qu'elle allait de nouveau me mettre a nue malgré moi, défiant sans borne ma violence et ma bestialité. Elle ne me craignait toujours pas a ma juste valeur...

Elle me désarmait, je ne pouvais pas la considéré comme une proie... elle ne me fuyais point.
Au contraire, la situation ce retournait contre moi laissant transparaitre malgré tout ma véritable nature.
J'ouvre les mâchoires en l'entendant marcher, les yeux dilatés d'agressivité, je respire par la bouche comme si l'air me manquais. Ses chevilles arrivent devant moi et son regard pèse sur ma nuque, traversant mon acier comme si rien n'était.

Elle jouait a un jeu extrêmement dangereux...me faisant vacillé entre la soumission et le désir intense de me protéger dans une violence que je savais serai peine contrôlable.
Je me met a gronder comme un loup, mes crocs apparaissant sous mes lèvres qui se redressaient et faisait plissé la peau de mon nez au niveau de mes sourcils de plus en plus froissé. Laissant qu'un vain avertissement ce glisser a ces oreilles...

Je senti sa poigne ce refermer sur mes cornes, le poids du geste qu'elle posa me touchant de façon insupportable. Je me sentait a vif, acculé devant le fait qu'elle allait me placer dans un état de vulnérabilité forcé. Ma violence me submergeais, mixé a ma terreur crispant mon estomac et mes muscles. Tout mon être était près a ce défendre avec une furie désarmante.

Lentement, le heaume quitte mes épaules, je sens le plastron ce relâché sèchement me faisant retenir son ouverture plus fermement sur le coup. Mes cheveux encore trempé de la douche glacial retombe sur ma nuque et partiellement mon visage... je relève lentement le regard sur elle, la dévisageant avec une haine gratuite, d'une rage sans fond de mes yeux lumineux comme un fauve nocturne.
De ce geste, je la défiais, refusant la soumission si c'était ce qu'elle voulait voir...

Mes mâchoires ce referme, me faisant soufflé a présent du nez évacuant de puissants souffles vaporeux dans la fraicheur qui nous entouraient.

Soudainement, je lâche mon armure m'en libérant et la jetant plus loin. Je me redresse pour venir la regarder de haut, refusant de resté agenouillé devant elle comme si j'étais son ... esclave, sa bête sage et obéissante.

Je prend une respiration profonde pour ensuite pousser lentement un grognement haineux, affreusement contrarier de ce qu'elle venait d'oser faire, cette arrogance me mettant hors de moi. L'idée qu'elle puisse a son bon vouloir me départir de ma protection me rendait subitement fou d'angoisse, complètement insécurisé par ce qui venait de ce passé.

Mes mains était crispé, les serres recourbés près a mettre en pièce tout ce qui tomberait a leur porté. Comment avait-elle pu osé... Ma nuque ce met a ce courbé sous l'aminiosité qui me prenait de cours et que je ne pouvais pas exprimé contre elle! J'avais envie de lui hurler dessus, de rugir comme une bête a qui elle venait de laissé aucune issu hormis l'agression ou l'abandon. Rugir dans l'espoir de la faire reculer, lui signifier qu'elle venait de franchir une barrière que je n'avais pas voulu la voir traverser.
Mon torse était crispé près a me battre choisissant sans conteste la combativité plutôt que la soumission devant une .. une .. femme! Allant contre ma nature devant elle qui ignorait l'étendu du pouvoir qu'elle possédait sur moi, voulant protéger mon secret.

Je recule d'un pas, prenant une nouvelle respiration, la lumière céleste faisant reluire la braise ardente de ma sauvagerie rougeoyante, de nouveau mes mâchoires s'ouvrent cherchant a exprimé ma colère indéniable... ma terreur me possédant totalement.

Mon crie viscéral explose enfin, tirant les veines de mon cou qui ce crispait de violence. Camouflant dans cela ma peur flagrante que je cherchais a lui transmettre désespérément. Je voulais la voir reculer, me fuir... réagir comme n'importe qui de censé ferait, c'est a dire fuir pour sa vie que je voulais ébranler définitivement, lui rendre la pareil au centuple.

Je refusais qu'elle approche de moi, de ma fragilité, lui faisant confronté la bête, lui faisant sentir ma capacité inéluctable de pouvoir lui arraché la vie a même mes crocs comme un fauve serai capable de le faire, lui faire sentir que j'étais capable de la dévorer vivante.

J'avais été dressé pour tuer, l'être humain était ma... proie, la source de ma souffrance, la cible de ma vengeance ultime contre la vie.
POURQUOI NE ME CRAIGNAIT-ELLE PAS?!!!!

Une fois enlevé je descendit le casque devant moi voyant ainsi le plastron s'ouvrir, relâchant son torse qui s'enflait de plus en plus gonflant d'une colère imprégner de terreur, face a cette ultime vulnérabilité que je venais de provoquer... Ces cheveux encore trempé retombant sur ses épaules et le long de son visage haineux d'être ainsi découvert... Son regard me transperce d'un coup, dégageant toute cette fureur enfuit au fond de son âme... Il tentait vainement de défier cette méfiance constance qui le rendait fou de rage... Je peux sentir ses puissantes mâchoires se crisper a chacune de ces respirations aussi profondes soient-elles... Une pesanteur palpable règne dans cette ambiance obscure...

Mon regard l'observant s'emplir d'une incalculable colère, lâchant d'un coup le métal qui le gênait en le projetant loin de lui... J'en fit de même pour son heaume qui devenait encombrant a porter, l'envoyant dans la même direction... Mes iris ne quittant point les siens qui se relevaient afin de me submerger, il s'étira de tout son long voulant me faire de l'ombre, je sentait son désir de bien vouloir m'écraser sous un pouvoir de domination qui atteignait des sommets a cet instant précis...

J'aime les défis... J'adore sentir cette rage qui le déchire de tout bord tout côté ne sachant même pas lui même se qui se passe... Voyant arriver une perte de contrôle immense devant ses yeux impuissants, car malgré le fait qu'il s'est imposé, son insécurité s'accentue contrairement a se qu'il croyait... Son regard criant l'horreur de cette constatation... Je ressent son angoisse de vouloir reprendre le dessus mais il ne comprend pas...

L'animal terroriser fait enfin surface, laissant échapper des grondements sourd a chaque respiration qu'il crache difficilement... Je le vois se contracter de part et d'autre refoulant davantage sa haine débordante... J'ai l'impression que son corps est mien, je sens monter en moi une émotion nouvel qu'il me transmet sans le vouloir réellement... L'animal sauvage, l'innocence de cette nature déchaîné, la violence qui bouillonne entre ses entrailles amer de cette vie qui l'habite...

N'importe qu'elle personne sensée aurait pris ses jambes a son cou...pas moi... La curiosité l'emportant sur tout le reste, je voulais avoir ces pures émotions, goûter chaque parcelles que son masque pouvait laisser retomber... J'avais besoin de savoir, de sentir ses vraies sentiments peut importent la vérité qui pouvait y apparaître... Alors que je vais en avant, il va en arrière possédé par autant de souffrance morale... J'observe la panique qui le gruge peu a peu incapable de la contrôler plus longtemps... L'expulsant de hurlements violants voulant terrasser tout ce qui si trouve devant-lui... Son visage se déformait face a moi qui pouvait palper se désespoir d'être craint a tout prix...
Personne ne pourrait m'enlever cette témérité qui me gagnait un peu plus chaque jours passé avec Karia...

Aucun individu n'était infranchissable, pas même cette bête qui essayait de m'acculer au pieds d'un mur pour un geste qui n'était que plein de bonté, ne comprenant tout simplement pas, croyant que mon seul désir était de me mettre au dessus de lui... Alors que j'essais simplement de le traiter comme un égal... Il ne pouvait pas comprendre, sa haine pour cette race humaine que nous étions, l'aveuglant en entier le dévorant a petit feu... Qu'avaient-ils fait ses gens a cette personne pour qu'elle vienne a les méprisée autant? Mon cœur se serrant pour cet homme perdu en tout sens...

Ma poitrine se gonfla, devant s'exprimer elle aussi de toutes ses émotions extrêmes qui nous charcutait l'âme a chacun de leurs coups... Je m'étonnai de l'accompagner dans cette débauches infernal...Restant a l'endroit où je m'étais arrêté, décidé d'une poigne de fer a montrer que je n'étais pas n'importe qui et que je n'avais pas peur de lui... Tant mieux si crier pouvait le soulager, cela faisait combien de temps qu'il se retenait...sans vraiment s'exprimer ?

Chacun des gestes qu'elle posa ce marquaient intensément dans ma mémoire, le heaume qu'elle lança, sa façon d'avancer et d'ignorer mes avertissements... Je vois son regard me fixer, me tenant à la gorge dans son entêtement.

Le hurlement que je poussais s'éteignit en entendant le sien surgirent de sa poitrine. Elle me fit taire automatiquement... voulant l'entendre m'exprimer enfin de l'agressivité.
Cette action suscite étonnamment mon intérêt, je respire abondamment sous cet étrange émotion qui apparaissait. Mon regard la dévisage de la tête au pied, ma nuque s'abaissant a nouveau sous le poids de ma fureur, me mettant en défensive.

Prenait-elle position? Elle voulait... me combattre?! C'était un défis?!

J'avais subitement envie de me jeter sur elle, de lui enfoncer mes mains dans les tripes et l'étrangler avec. Lui arraché la gorge d'une seule bouché et l'avaler pour m'en nourrir...
Mes grognements revienne, posséder par l'animal que l'on m'avais appris a être face a l'être humain. C'était si facile de les haïr après ce qu'ils m'avaient fais. Leur trahisons me défigurait le visage, et fendait mon corps sur tout mon coté gauche... Comment pourrais-je faire autrement qu'avoir envie de les exterminés eux qui m'avaient laissé pour mort, qui m'avait trahis, me renvoyant en enfer...

Ce jour là, tout ce qui était rester d'humain en moi, je m'étais engager à le renier, à le sublimer entièrement... me consacré qu'a une seule voie. Celle d'être reconnu là où il m'était impossible de l'être, devenir meilleur que n'importe quel elfe noir aux yeux de ma reine, ma mère...
Je n'avais eux qu'a sacrifier mon intégrité d'être vivant, de me plier a toute ses volontés... la laissant me brisé, me solidifier, me remanier a sa guise en la chose qu'elle désirait que je sois et qu'enfin... qu'elle m'aime?

Tout ce qui me restait de ce souvenir était impunément mauvais, noir et cacher par mon subconscient tant la violence qui avait marqué ma vie était capable de me rendre fou. Personne n'aurai pu survivre a ça... a un abandon si épouvantable, a un rejet si démonstratif qu'aucun enfant aurai eu le courage de ce relever dans la solitude, dans la haine... nourrit simplement par un pur sentiment de vengeance dans lequel je me suis débattu et finalement extirpé avant d'y laissé ma peau.

Je tuais dans le seule désire de me rassasier, choisissant l'humain comme si s'était une partie de moi-même que j'éliminais a chaque fois que je leur arrachait la vie. Plus, ils étaient jeune, plus leur mort était souffrante aux yeux de leur semblable et plus.. j'en ressentait du plaisir. Alors que ce passerait-il si je laissais aujourd'hui cette humaine me défier?! que ce passerait-il si elle gagnait?

La violence ressurgis de mes poumons, avançant vers Mève fermant les poings voulant la faire reculer physiquement dans ma nouvelle tentative de confrontation. Le fait qu'elle soit une femme invoquait malgré moi de la soumission involontaire, m'effrayant inconditionnellement. Toute ma vie j'avais du leur obéir...alors sa force intérieur, cette détermination a me montré qu'elle ne fléchirait pas, me bloquait comme un mur où je me fracassais peut-importe la violence avec laquelle je tentais de l'ébranler. Elle avait beau être une humaine... ce comportement m'affectais indéniablement m'enrageant.

-GRAAAAAAAAAAAAAAAAWW!!!!!!!! Essayais-je de hurler encore plus fort que précédemment me sentent envahis par la colère...
Ne supportant pas d'échouer, me sentant impuissant, je cherche a m'imposer maintenant tout près de son visage lui faisant voir mes crocs de très près et l'envie de lui arracher la vie avec dans le fond de mon regard si elle ne l'avait pas encore lâché.

Je ne voulais pas être égale a elle, soit elle décidait de me dominer ou c'était moi qui le ferai!
<< ATTAQUE!! vas-y >> Lui lançait mes yeux débordant de haine, << vas y donne moi une bonne raison de te tuer cette fois. >>
La cruauté m'avait forgé, la froideur était maitre en moi comme un abysse, une terre dévaster dont la guerre n'avait laissé que des centres. << Vas-y, viens donc détruire ce qui te chante toi aussi... >>
L'invitais-je dans mon rugissement, me mettant a trembler de tout mon corps près a tout, maintenant qu'elle semblait sérieusement déterminé a me confronter.

Il sembla surpris que je répondes de son action en répliquant moi même... Sa voie s'arrêta net suivit de la mienne... Je le sentit curieux, réaction que je voulais susciter cher lui d'ailleurs... Il me dévisagea de la tête au pieds ne comprenant point se qu'il devait se passer... Je me doutais bien que j'étais la première personne qu'il rencontrait, a l'affronter de cette façon... Il restait sur ces gardes constamment, je voyais encore cette fureur colérique monter en lui tel un brasier naissant... Peut-être pensait-il que je voulait le combattre mais se n'étais point le cas, mon geste avait eut pour simple but de le déstabiliser...

Je savais que j'animerait le fruit de sa haine en agissant ainsi, mais je n'avais pu m'en empêcher une nouvelle fois... C'étais trop facile, il était continuellement là, a m'ouvrir des portes les laissant grandes ouvertes, je ne pouvais qu'entrer a l'intérieur sans frapper... Je sentais son désir ardent de bien vouloir me détruire bloquer par de simple paroles, se demandant pourquoi il ne l'avait pas fait auparavant... Cette convoitise enflammait ses yeux contraint d'observer sans rien faire... L'animal qu'il était bouillonnait de frénésie meurtrière en me regardant, effrayer de toujours me voir solidement encrer devant lui, a l'affronter...

Je le regardait devenir pensif, j'aurais voulu savoir ses pensées en se moment même, intrigué, essayant de saisir l'être qu'il est devenu et de quel façon cela se serait-il arrivé?... Était-il heureux dans tout cette zizanie? Avait-il finit par accomplir cette soif de vengeance ou devait-il en avoir encore et encore plus chaque jour?

Son hurlement me fit sortir de mes pensées, voulant remettre sa une seconde fois avançant vers moi, je ne bougea pas d'un poil... Il s'époumona mettant sa figure près de la mienne affichant ses crocs acérés prêt a me pourfendre sur le champ... Je restai de marbre, malgré le fait que je détestais avoir la présence d'un homme aussi près de moi sans acceptation de ma part... Il tentait d'entrer en moi voulant m'atteindre en tout point et ce de n'importe quel façon... Son regard empestait la volonté d'une cruauté sans merci, désirant ardemment ma mort immédiate...

Il surpassa de beaucoup le cri précédent, mais cela ne changeais pas la situation au contraire je trouvais sa plutôt amusant et complètement ridicule... Qu'on soit là, dans un endroit qu'on ne connaissait encore que très peu, de plus, hurlant a la lune notre surplus de haine envers la vie qu'on confrontait chacun a notre façon...

Pourquoi cherchait-il absolument a tout dominer dans toute cette mascarade? Je le voyait me lancer des regard noirs voulant a tout prix que je le brave de nouveau... Je le sentait tremblant face a toutes ces émotions qui semblaient le submerger et l'emporter au fond du précipice...Je lui répondu donc , acceptant sont invitation a se déchaîner sauvagement...

Son crie fut retentissant a nouveau dans mes oreilles, me faisant reculer la où j'aurai voulu que ce soit elle qui le fasse.
Alors que je la fixais aussi intensément qu'elle osait me regarder, je senti ma fureur inefficace finir par ce calmer, tout comme moi, reculant sur la défensive dans mon esprit qui maintenant était de nouveau attentif a l'expression de son crie qui soulevait sur ma peau une chair de poule virulente.
Ma poitrine ce gonflait profondément et rapidement, je ne comprenais pas ce qui ce passait ...
Je ne savais plus trop comment me comporté maintenant, j'attaque ou j'attends?
Le doute, le questionnement, ramène en moi un brin d'humanité, faisant reculer la bête qui restait en attente de quelque chose, une provocation soudaine...

Elle me perturbait, je ne savais plus qui être... Ne pouvant poser aucun geste directe contre elle, je m'attaque alors a un symbole... Je pose ma main sur le centre de ma poitrine et m'arrache les bandages que je jette sans égare sur ma droite. Je voulais rejeter dans ce geste, sa bonté, sa gentillesse que représentait ces soins, je ne méritais point une tel chose. Je voulais la décourager d'une quelconque façon.

Je n'avais qu'en bouche de l'amertume, le sentiment d'être affreusement seul alors qu'elle ce tenait a peine a un mètre de moi. En la regardant, je me sentait incompris comme devant la majorité des gens. Je respire abondamment, cherchant alors a me calmer... m'ayant laissé emporté par une tel colère que j'ignorais dans quel barbarie elle m'aurait lancé, si Mève aurai cédé à la peur.

Pourtant, j'étais toujours aussi furieux, mais je ne savais plus comment réagir... Elle m'avait démontré si souvent que je n'avais aucun pouvoir sur elle que l'idée finissait par faire son chemin dans ma conscience. Je ne pourrai pas la dominer dans la situation actuel...
Et si je n'étais pas le dominant? alors cela faisait de moi le soumis...
Cette constatation me fit grogner a nouveau comme un animal, mais restait intensément marquer en moi ne me faisait plus bouger d'un poil... Mes paroles étaient mes seules armes sur elle et malheureusement ce n'était pas avec celles-ci que j'excellais en combat. Avec cette adversaire, je n'étais pas à la hauteur et ma cruauté ne pouvait apparemment pas l'atteindre.

Je recule d'un pas a nouveau, voulant trouver une sécurité imaginaire, battre en quelque sorte en retraite.
J'attendais ses ordres, un geste... en laissant malgré ma férocité, transparaitre que je me rendait une nouvelle fois. Dans cette impasse, maintenant je me montrais un peu plus réceptif vis a vis le geste qu'elle avait posé envers moi.

Une fois de nouveau il sembla se calmer, reculant de moi complètement désarmé par mes actes... Il m'observa intensivement, j'en fit de même, son corps respirant son désarroi de l'inefficacité de sa puissante fureur... Il retomba sur ses garde tentant de se calmer, comprenant que je ne laisserais pas tomber mon idée... Son regard paru dérouter, ne sachant plus comment il devait agir face a tout ceci... Je le vois se questionner face au doute que je lui imposait controversant son esprit...

Je reste silencieuse l'admirant devenir incertain de cette situation, qui lui semblait plutôt embarrassante... Il cherchait un autre moyen pour m'atteindre personnellement, d'un geste vif je le vis arracher sans peine les bandages que j'avais soigneusement attacher autour de lui... Il serait déçu de ma réaction si cela avait pour but de me mettre en colère... Au contraire il me facilita la tâche chose que je voulais faire après lui avoir retirer son plastron...

Je croisai les bras devant ma poitrine, le regardant d'un œil malicieux, ma bouche dissimulant mal un petit sourire en coin... Qu'il rejette mes bandages ne mit aucunement le doute du au faite que j'avais posé un geste de bonté envers lui... Il l'avait malgré lui accepter que je le soigne c'étais sa l'important... Maintenant qu'il semble le regretter ne me concerne plus... Au fond plus il explose, plus il se blesse de lui même, ne se rendant même pas compte de la torture qu'il s'inflige constamment...

Je m'approche de lui doucement pour ne pas l'effrayer, je voulais garder une distance précise entre nous... En m'avançant, redressant l'échine de plus en plus suivant son regard sauvage... Il était maintenant immobile dans cette panique subite, je l'entendit gronder sourdement réfléchissant a ça situation...
Il semblait maintenant fléchir a l'idée que j'avais su maintenir ma place sans faillir... Mes pas me guides tranquillement a lui... Je me permis de lui indiquer des ordres suite a ma petite confrontation... De mon index je pointe ses gantelets griffus ainsi que son fourreau...

-Enlève les... puis place les aux coté de mes armes...* Dis-je fermement sans aucune méchanceté dans la voie...Je poursuivi mon travail...

-...Ensuite sa sera ton pantalons, tu ne te... lavera certainement pas habillé? Cela pourrait corrompre cette magnifique source...* tentais-je de lui rappeler des souvenirs, avec une légère pointe d'humour, qu'il aurait probablement déjà oublié... Je le voulais en pleine forme lorsque nous continuerons notre chemin par la suite... Je ne voulais pas non qu'il sache que je faisais sa pour son bien... Bizarrement, je voulais qu'il en profite autant que moi, mais comment lui faire comprendre autrement que par le force, voyant bien les résultats précendent...

Lorsqu'elle approcha, sa façon d'être confirma mes suppositions... A sa façon de me regarder, minimisant sans arrêt ma ''sécurité'' , elle fini par me faire recroquevillé les épaules dans ce désir permanent de me protéger, de me méfier.

D'une façon autoritaire, elle m'indique ce qu'elle attendait de me voir faire, me laissant rapidement comprendre qu'elle exécutais une vengeance... Je me souvenait très bien de lui avoir sortie presque aussi exactement le même discours lorsque j'avais choisi de prolongé sa vie pour le pure défis de la brisé.

Mes yeux lumineux ce plisse sous son commandement, l'orgueil gronde en moi...et pourtant mes jambes s'activent. Je me déplace prudemment vers la source d'eau chaude ne lui montrant jamais mon dos.

Je reste près de son matériel, la luminosité du lac venant contracter mes pupilles vivement alors que j'y jetais un bref regard ne la quittant que ce cours instant des yeux pour conservé une certaine distance avec cette eau étrange.

Je porte mon attention maintenant sur mes mains, encore tremblante d'adrénaline, les libérant a contre cœur de mes gants que je laisse tomber sur le sol. L'amertume était toujours présente dans ma bouche, resserrant mes mâchoires pour déglutir silencieusement ma rage, mon angoisse...
Je marque une pause, en posant mes main sur mon ceinturons qui tenais a ma taille ma lourde épée. Mon regard ce perd vers le sol où je voyais mon ombre, je réalisais que j'étais réellement entrain de lui obéir, comme si s'était la chose la plus naturel qui soit.

Un étrange sentiment viens me serrer la poitrine, rendant ma respiration plus difficile.
Le même sentiment qui m'avait poussé a montré les dents alors que j'étais encore recouvert de mon plastron et cacher derrière mon heaume. Ce moment où j'avais réalisé que je venais de poser un acte de soumission en mettant un genou au sol.

Je me sens paralysé entre deux facettes, deux univers de mon être qui ce contre disait indéniablement. Étais-je l'animal ou le conquérant? Est-ce que j'étais le prédateur ou la proie...
Pourquoi j'obéissais a ça? étais-ce un réconfort inconditionnel d'être commander par une femme? quelque chose qui m'était si naturel qu'elle m'apparaissait presque normale!? La seul vrai relation possible a mes yeux avec une autre personne?
Mon cœur s'emballait soudainement sous l'effet de mes questionnements, mes mains finissant par retirer de ma taille ma lourde ceinture noire que je laisse également tombé au sol.

Sans mon armure, sans cette protection j'étais cette créature que l'on avait soumis et contrainte... Mon hésitation grandit et devient ma peur de poursuivre... voyant qu'il ne restait plus que mes jambières et mes bottes de fer avant d'atteindre mon pantalon.
Quelque chose de très perturbant ressurgissait en moi avec cet évènements qui s'était déclarer sans crier gare. La nausée me prend la gorge, alors que je retirais mes bottes sans empressement, alors que je n'avais en réalité rien a vomir...

Le bruit de cliquetique de ma jambière suis de peu par la suite, mon regard ce posant sur le dernier rempart qui me protégeais. Mes doigts approche les loquets qui la maintenait sur mon corps restant dessus incapable de me la retirer. L'angoisse venait de ce saisir de moi... me sentant terriblement mal intérieurement. J'obéissais ou... je me rebellais?

Ne me posant même pas une seule fois la question de si on voulait mon bien ou non dans toute cette histoire. Non pour moi, tout ça n'avait été qu'un affrontement que je venais de perdre.
L'échec venait d'effacer la confiance que j'avais en moi, me retrouvant sans rien devant une situation qui était bien plus délicate et complexe que simplement envoyer une brute puante prendre son bain.
C'était beaucoup plus que ça...
Du moins a mes yeux, je me retrouvais confronté a quelque chose que j'avais laissé derrière moi depuis que j'étais libre... C'était pour moi comme revenir en arrière, régressé la où j'avais abandonné une lutte peine perdu. J'étais terrifier a l'idée de revenir la...