La Rencontre

C'étais une belle nuit au cœur d'un village serin qui était surplombé d'une cité au nord, chaude et gazouillante en ce mois de juin, avec un ciel remplis d'étoile et d'une pleine lune. Quand des cavaliers du roi de Thoama, cette ville au Nord, débarquèrent au village placardant des affiches sur les murs.
On pouvait y lire une notice de recherche, décrivant un individu de grande taille, mince avec des cheveux blanc. Un très dangereux criminels rechercher pour une sommes de 300 pièce d'or. On le décrivait comme un brigand, un voleur et un assassin.
Leur marteau résonnèrent dans la nuit durant quelque minute, le temps d'en placé a tout les endroit stratégique du village, puis ils prirent la direction de l'hôtel de ville dans la bonne intention de s'enivré de bière et d'un copieux repas.
L'un d'eux s'exclama sur le chemin de l'hôtel
- Si on le chope pas d'ici une semaine, c'est qu'il est vraiment un fantôme! insaisissable! Le roi devrait augmenté la prime j'te dis! Si nous, la garde royal nous n'avons pas réussi a mettre la main dessus qui le pourra?! haha!
Sembla t-il vouloir consoler son camarade qui avait une mine sombre et énervé
- ouais ouais... n'empêche qu'il est en chair et en os! je t'ai dis que je l'ai blessé avant qu'il déguerpisse avec ma bourse! S'il l'attrape j'irai en prison moi-même lui pissé dessus!
Renchérie le compagnons d'arme qui semblait avoir été victime du dit criminel.

Au deuxième étage de la forge locale, un homme dort, enveloppé d'une bure rapiécée comme seule source de chaleur. Il est assis sur une chaise, les pieds sur une table basse. Une gourde d'eau de vie, un peu entamée, pend le long de sa corde, elle même accrochée au dossier de la chaise.
Ce n'est pas un ivrogne, mais il a besoin, parfois, d'un petit coup de pouce pour sombrer dans un sommeil profond. Loin des campagnes au son des cors et des tambours, loin de la perte de sa famille, loin des créatures qui ont jadis lacéré sa chaire, le laissant ensanglanté et borgne.

C'est un voyageur, ne voulant qu'expier ses fautes passées, il n'est que de passage dans ce trou paumé.
Pour le moment, il aide le forgeron. Ferrer des chevaux, alimenté la fournaise, aller chercher du minerai. Un travail abrutissant, payé quelques écus et surtout, un toit sur la tête. De quoi survivre, a défaut de bien vivre.

Les gardes ne le réveilleront pas, tout au plus, les martelement résonneront dans son esprit comme autant d'épées se fracassant sur des boucliers, de masses contre les casques

La nuit ce poursuivie en silence jusqu'a l'aurore où une ombre s'infiltra dans le village de façon discrète. Cette ombre ce déplaçait en silence dans les dernières cachette obscure du village, cherchant comme a fuir la lumière et surtout une foule en furie qui a l'horizon criait et éclairait leur chemin à l'aide de torche.
On entendait des bruit de chiens jappant a outrance ayant perdu la trace de la cible qu'ils recherchaient.
Samael ce plaqua contre le mur arrière d'une maison discrète, le souffle cours, le front mouillé de transpiration, sa main posé sur ses cote de droite douloureuses.
Il venait de fuir Thoama, ayant couru toute la nuit entraver les pièges que l'on lui avait tendu afin de lui mettre le grappin dessus.
Il avait subit des coup dure durant cette nuit la, il ramena sa main qui tenais ca blessure précédemment, voyant le sang recouvrir ses gans, cette même main qui tremblait encore d'un combat virulent qui avait bien fahis lui couter sa liberté pour toujours.
Samael était un étranger d'un pays lointain, il devait être âgé dans la 20 aine, un albinos au yeux bleu et en forme d'amande, grand et svelte, s'était un atelet hors pair.
Il portait des vêtement souple en cuir noir et un manteau tout aussi sombre qui lui servait de camouflage, bien que ceux-ci était maintenant en piteuse état.
Il était couvert de boue, vraiment crasseux et empestait le cheval. Son estomac criait famine et la peur ressente de cette chasse a l'homme le fit hésité a bouger de sa cachette.
Le regard nerveux comme une proie pris en chasse, il rejoint l'écurie du village, arrachant sur son passage une notice que les gardes avait posé durant la nuit.
Il grimpa sur les madrier du bâtiments et se hissa jusqu'au grenier ou il passerai sa journée a récupérer de cette affreuse nuit de course folle.

L'aube ce levait dans un trouble certain, quand les gens de la cité retournèrent a la cité et que d'autre garde arrivèrent au village a cheval. C'est dernier ce dirigèrent vers l'hôtel de ville ou justement deux autres chevaux de leur clan était sagement rangé.
A ce même moment, les gardes qui était venu durant la nuit et qui avait posé des affiches sortait du bâtiment en titubant légèrement.
- C'est comme ca que vous faites la chasse messieurs? Gueula alors un des nouveau garde venu qui était en faite un officier.
Les fêtard ce redressèrent l'échine faisant un salut bref et mal a l'aise pris sur le fait.
- mais eu eu nous avions tout juste terminer de fouillé le village! et de posé nos affiches.
-moui... c'est cela oui... s'échauffa le supérieur d'un air pompeux en regardant au alentour et soudainement arrêtant son regard vers l'écurie où il ne restait qu'un bout de papier retenu par un clou.
- Et c'est quoi ca? fit-il en pointant du doigt dans la direction de l'objet.
Les gardes restèrent muet, encore dans les vapes de l'alcool, confus, ils cherchèrent de bonne excuses.
-Allez rentrer a la base, je vais devoir encore une fois m'occupé de ca moi-même!
Les gardes regagnèrent leur montures et quittèrent le village. Pendant ce temps le coq chanta fort le lever du jour.
-Messieurs, dit alors l'officier a l'escorte de 3 gardes qu'il disposait.
- prenez un moment pour vous reposez, je dois aller faire réparer mon armure...
Effectivement, l'officier avait eu une démêler sévères cette nuit, une de ses épaulettes de son beau plastron luisant bandouillait de travers éraflé par une lame tranchante.
-Je vais voir si les forges son allumé, garder les yeux ouverts.
Sur ce, l'homme ce dirigea vers la forge, martelant de son poing énergique a la porte du bâtiment.

Le forgeron était un jeune homme tout en muscle, le regard vif, le torse nu sous son tablier de cuir épais. L'air n'était pas encore étouffant , mais allait certainement le devenir dans les heures a venir. Le garde l'entendit approcher de la large porte renforcée de fer travaillé avec soin. Ouvrant la porte, il resta un moment coi, puis se raclant la gorge, invitait le soldat a entrer dans son
établit.

-Bien le bonjour, mon seigneur, que puis-je pour vous?

L'officier regarda les portes de fer s'ouvrir, des porte comme il en voyait que dans les grande cité, puis il dévisagea un instant l'homme qui l'interpela.
-Bonjours... fit-il l'air incertain, tendit que son visage était imprégné de fatigue et de stresse, comme si ce dernier n'avait su trouver le repos depuis quelque jour.

- est ce qu'il y aurai moyen de réparer cela rapidement? et combien vous en demanderiez? fit-il en désignant son épaule gauche qui avait été démonté par une lame.
-J'ai un criminel a arrêter!



-Un bien bel espaulier, mon seigneur *Il s'approche, portant une main cailleuse déja, effleurant le métal du pouce
-Ma foi , je crois que pour 25 pieces d'argent, il y a de quoi s'arranger. J'aurais besoin de deux bonnes heures et vous aurez une armure qui sera comme neuve.*Dit-il d'une voix enthousiaste, l'idée de gagné un peu d'argent facilement finissant de le réveiller*

-..deux heures! *fit l'officier un peu décourager de devoir rester la a rien faire durant tout ce temps alors que son petit doigt lui disais que l'homme qu'il cherchait était surement dans le coin.
- et si je vous donnais quelque compensation, il y aurai moyen d'accélérer le processus? *Fit-il commencant a détacher les bande de cuirs sur son flanc droit et retirer son plastron.

-Ben c'est que le vieil Abernathy attendait sa girouette depuis hier... mais bon, je suppose que la sécurité de ce beau patelin passe avant *Il sourit* Disons 35 et je m'y attelle immédiatement après avoir réveillé mon bon a rien d'aide. Marché conclut?

L'officier fit un sourire satisfait, et alors qu'il posa le plastron au sol, il lui tendit la main
- marché..conclus *fit il l'air soudainement pris de douleur. Il ce redressa l'échine, l'air indisposé et souleva lentement sa chemise, laissant entrevoir des ecchymose sur son ventre.
-..mais qu'est ce que?!
Parrut-il surpris de découvrir ses blessures, -quand est ce qu'il a ???? *Il s'arrêta jetant un regard nerveux autour de lui. - bref voici de quoi vous motivez! *il lui versa la moitié de la somme promise
-Je vais aller me soigner...je serai a l'hôtel de ville. * s'apprêta t-il a sortir alors qu'il ce ravisa a la dernière seconde. - au faite.. si vous voyez quelqu'un répondant a cette description
.. n'attendez pas et avertissez nous. Il est extrêmement dangereux!
*fit-il a donnant au forgeron un exemplaire de l'avis de recherche, puis quitta les lieux.

Aximède, car tel était son nom, acquiésa du chef a l'avertissement de l'officier puis se dirigait a l'étage. Il retrouva le vétéran qui pour lui n'était qu'un poivrot de plus qui écumait la terre.

Aximede : Debout Alrick! Je te paie pas pour que tu restes la a glander. Si je t'emplois, c'est uniquement car tu étais un ami de mon père, que les dieux prennent soin de son âme.

Alrick : D'accord... *il grogne un peu* Laisse moi cinq minutes.

Aximede : Tu en as deux. *d'un ton inflexible, il laisse son aide se préparer*


Alrick est un homme, qui a l'air a la fois vieux et jeune.... jeune dans les traits de son visage, anguleux et effilé, vieux dans la chevelure d'un blanc nacré , dans son regard d'émeraude las et lourd.
Regard bien particulier, car ne disposant que d'un œil, un bandeau d'un blanc sale couvre l'orbite vide, du coté gauche de son visage, coté balafré, ayant été déchiré par les griffes massives d'un monstre il y a déjà bien longtemps de cela. Il a un corps fin et sec, une musculature nerveuse.

Il s'épongera le front sommairement, avant de descendre dans la grande salle, ou il se mettra a l'ouvrage

Une heure passa, quand l'officier revient voir l'avancé du travail, et il ne vint pas seul.
Il cogna a nouveau a la porte de la forge qui fumait maintenant abbondament.

En sa compagnie il y avait son cheval et ceux de son escorte.

Le forgeron s'approche de lui, s'essuyant les mains sur son tablier

-Vous tombez bien, mon seigneur... ne manquait plus que vous pour les derniers détails. Pour qu'elle soit bien ajustée, j'avais justement besoin de votre épaule! En apprenant votre grade, j'ai aussi demandé a ce qu'on la polisse.... cadeau de la maison. Un homme de votre stature devrait paraitre a son mieux meme en pleine mission

L'officier ne s'était pas attendu a une aussi grande performance et resta sur le coup stupéfait de cette efficacité et de cette nouvelle. - Eh bien vous n'avez pas perdu votre temps! pendant que nous en somme la, je me demandais si vous pourriez changer les fers de nos chevaux et leur trouver une place dans l'écurie, un boulot que votre aide a la forge pourra ce charger pendant que nous nous
occupons de chose plus importante. *fit-il en lui proposant carrément une piece d'or tellement il était heureux du résultat! A la cité, on l'aurai fait attendre toute la journée!

-Avec joie! *apres un moment de silence, les yeux ronds comme une bille a la vue de la piece*... ... Alrick! Rammene toi ici!

L'ancien combattant passa la tete par la fenetre, de retour avec du combustible pour alimenter la fournaise (comme je sais pas si c'est du bois ou autre xD).

Alrick: Que se passe-t-il, Aximède?
Aximède : On a des clients de marques et je veux que tu fasses de ton mieux.
Des chevaux a ferrés, et va dire a Beth qu'on va avoir besoin de son écurie, sur la grand' place.

Alrick : Compris. *Il hausse la tête,bien content que sa corvée de combustible prenne fin plus tot que prévue*

Le vieil homme, encore vif, approche de l'officier, prenant les chevaux par les mors.

Pendant ce temps a l'écurie, l'assassin c'étais installer dans le grenier, ce faisant un nid avec la paille qui s'y trouvait. Il c'était servi de son manteau pour ce faire un pseudo garot au torse, puis s'était recroqueviller en boule ce tenant le flanc blesser et grelottant de faiblesse.
Il essayait de dormir tant bien que mal, sursautant a chaque fois qu'il entendait la voix de cet homme... Cet officier qui lui avait infliger cette blessure.
Cette nuit la, il avait été confronté l'un contre l'autre. L'assassin repoussé jusqu'a une ruelle finissant en cul de sac, il n'avait eu d'autre choix que de confronter l'homme de lois.
On l'accusait a tord d'assassina, alors qu'il n'avait jamais pris la vie de qui que ce soit et il volait uniquement pour ca propre subsistance ou pour carrément attirer l'attention, il n'était pas un de ses tueur a sang froid don on le comparait.
Du plafond ou dormais le fugitif, tombait lentement du sang, goute a goute laissant résonner un petit échos sinistre dans le calme ambiant.
L'écurie était sombre, peuplé de seulement 2 bêtes et ayant plusieurs boxe de libre, il y avait aussi tout les outils nécessaire pour leur entretient.

Menant les chevaux des gardes dans l'écurie de Beth, il prit le temps de contempler les lieux. Il avait servit dans la cavalerie, il y a bien longtemps. Il retrouvait une partie de son calme, de son insouciance, dans ce bâtiment de bois, a l'odeur forte du cheval. Cela ne sentait pas bien bon, bien sur, mais c'était une odeur qui ne changeait point. Un cheval reste un cheval, peu importe
l'allégiance de celui qui est dessus.
Il était bien déterminé a prendre son temps, a le faire dans les regles de l'art. Il mis les chevaux dans leur box, caressant le front d'un cheval bai, comme apaisé. Usant une fourche relativement récente, une des première tâche qu'il fut témoin a son arrivé ici , il mettait du fourrage propre et sec dans les boxes nouvellement occupés. Puis, murmurant des paroles appaisantes aux chevaux,
il leur retirerent selles et mors, les laissés a l'aise le temps qu'il s'occupe de leur fers. (a toi et c'est mieux? x

Samael, sursauta lorsqu'il entendit quelqu'un entré dans l'écurie, ce tournant ventre contre terre pour regarder entraver les craques du planché. Il vue ce qui lui sembla être un vieille homme amener les chevaux de la garde dans les boxes.
Ce qui voulait dire que les hommes d'arme de Thoama avait décider de s'attarder ici plus longtemps que prévue.
Il ne pourrait pas attendre bien longtemps encore dans son état que les choses ce calme, il était épuiser et surtout affamé.
Il ce souleva du sol silencieusement du bout de ses doigts, observant le grand gaillard qui travaillait avec soin. Il ce tenait en équilibre sur un madrier, au dessus du vide, dans le coin le plus sombre de l'écurie, plissant des yeux, un masque moulant cachant la moitié de son visage a partir du nez en descendant, quand il entendu des murmures incompréhensible. Ce type parlais au chevaux?
Il essaya de s'approcher sans bruit au dessus de l'homme, regardant s'il portait a ca ceinture une arme, une bourse. Mais il semblait évident qu'une fourche pourrait très bien suffire pour ce défendre...
L'assassin ce mit a réfléchir quand son ventre fit un tapage incroyable. C'est yeux saphir s'écartela, retenant sa respiration et refermant ses poings, près a dégainé ses arme dissimuler, ignorant a qui il avait affaire.
Il fixa l'homme pres a lui tombé dessu a tout moment.

Le vieil homme ne porte que des vetements usés. A premiere vue, il est loin d'etre fortuné. Il hausse un sourcil de neige en entendant un truc. Le batiment est vieux, peut être est-ce que le bois qui travaille? Deux jeunes gens se réveillant d'une nuit de folie la veille? Un cheval? Son imagination? Il ne le sait pas. Et pour le moment,il s'en moque. Comme tout le monde en ville, il a entendu
les rumeurs de ce bandit. Et il ne s'en fait pas. Si il doit mourir, il mourra. Ou sinon l'autre. Qu'importe au fond?

Il finit par sortir de l'écurie un moment, l'air nonchalent. (a toi)

*Il devenait violet tellement il cru ce moment duré une éternité, le voyant sans réaction, samael du conclure que cet homme était peut etre dure de l'oreille... peu importe... il devait agir.
Lorsque l'homme s'éloigna des chevaux, l'assassin descendit de son perchoir et fonca deriere ce dernier faisant tinté dans ce silence le bruit de sa lame dégainé qu'il alla porté au cou de ce qui lui semblait
etre un homme sans défense.
- ne bouge pas..* murmura t-il, sa main tremblant incontrolablement de ce qu'il était entrain de faire par désespoir.

Si Alrick est surpris,il le controle bien, malgré la froideur de l'acier contre sa gorge.

- Vous désirez? J'ai des chevaux a abreuver, moi....

Samael resta silencieux, comme ébranler par cet froideur, cet inconcience.
Comment quelqun pouvait resté zen ainsi alors que l'on menacais sa vie?
-... j.. *Les mots semblait lui manqué alors que sa main tremblait encore fortement ne sachant comment abordé ca demande qui s'averai extrement délicate pour lui.

Sa ruse avait portée fruit. Si il aurait voulu le tuer, il aurait passé a l'acte aussitôt qu'il aurait pu. Un sourire presque lupin se peignit sur son visage, alors qu'il sentait le sens afflués dans ses membres, les tambours de guerre battre au rythme de son cœur. Jamais il ne s'était retrouvé dans une circonstance identique, mais néanmoins, son entrainement pris le dessus.
Brusquement, il tenta d'aggriper la main de son agresseur, de maniere a pouvoir se retourner pour riposter de facon plus agressive.

C'est alors que le doute qui s'était installer dans son esprit ce retourna contre lui, ce voyant aggriper et retenu par une force dépassant de loin la sienne. Il arrondit les yeux reprennant son souffle en voyant ce retourner un homme don le regard ce remplissait d'hostilité. Par réflexe, l'assassin voulu ce défendre dégainant de son autre main son second katar et allant le placer devant la
poitrine de son opposant. Samael exprima de son regard une certaine souffrance de son acte, lever son bras ainsi subitement réveilla son affreuse blessure a son flanc.
L'adrénaline commença a lui faire entendre son cœur battre a la chamade dans ses oreilles alors que l'idée de s'être attaquer a quelque chose de plus gros que lui commençait a lui traversé l'esprit
Comment faire pour faire marche arrière? ...- ATTENT!! *fit-il soudainement sous le coup de la panique espérant tant bien que mal que ceci freinerai l'élan que semblait c'être donner le ''colosse''

-Tu n'es pas un tueur, petit. Peu importe ce que tu en penses. *Il souffle entre ses dents, tendu comme un arc avant la bataille* Lache tes armes. Maintenant.

Le vieil homme parle d'une voix aussi froide que l'acier des katar. Il fixe le jeune homme de son oeil unique, inflexible. Il exerce une lègere pression sur le bras, pret a tenter de le briser si le gamin le poignarde.


-Je ne veux pas te faire de mal et tu ne le veux pas non plus. Alors baisse tes armes.

Alrick se campe sur ses pieds, pret a agir, pret a mourir. Mais prêt. (a toi)

Au ton de la voix de l'homme, le jeune albinos avait trésahis comme un être qui avait été trop longtemps assauvagie par la violence humaine. Son corp c'était crispé violement parer a recevoir une volé de coup.... mais rien ne fut aussi malheureux au contraire. Le jeune osa doucement porté son regard craintif dans celui du vétéran endurcis par le temps. Ne croyant pas a ce qu'il venait d'entendre
Cet homme avait compris ca en quelque seconde??
Ce voulant obéissant et obliger de retrouver un pseudo calme devant celui du vétéran, il rengaina un katar qu'il ne pouvait pas retirer du fait qu'il était attacher a ses bras avec un mécanisme de déclanchement... Il abaissa le bras qui n'était pas détenu par la poigne écrasante en signe de soumission.
-... lache moi*souffla t-il comme un avertissement froid avant de vouloir complètement abandonné. Il dégluti avec nervosité, le front toujours perlé de sueur et son corps affaiblis de ca blessure. Il fini par détourné le regard l'air exténuer et soumis

-Bien. Je suis content de voir que tu es intelligent, petit.

Il le libère de sa poigne, reculant d'un pas. Il le regarde de la tete aux pied, comme le jaugeant. Un assassin, ce gamin? Bien armé, certes. Entrainé, surement. Mais l'âme d'un tueur? Certainement pas.

Il est échauffé à présent. Si ca de redevient sérieux,il n'aura aucune hésitation a lui rompre le cou.
En attendant, il s'adosse a la porte d'un box vide, sans le quitter des yeux

-C'est donc toi le dur a cuir a qui ont a placardé l'avis un peu partout?

Samael fit un regard froid a ca remarque et une fois libérer il recula contre le mur deriere lui, rengainant son dernier katar. Il le toisait comme s'il venait de rencontré un etre extrement étrange, complement désarconner de son attitude envers lui.
Le jeune homme respirait rapidement et semblait etre une personne tres nerveuse, son regard électrique parcourant tout les recoins du batiment comme s'il évaluait et préparait un plan d'action.
alors lorsque le vétéran s'intéressa a son histoire, il le fusilla de son air le plus menacant. Pas pour le faire démentir, mais plutot pour le désuader de le prendre a la légere.
- .. peut-être.. *lui répondit-il incertain, a ca question pour ensuite lui en lancé une a son tour.
- Qu'est ce qui vous retiens si vous connaissez déja la vérité.. han? pourquoi m'avoir relaché? *S'intéressa t-il
L'air fievreux et épuisé

-Ce que je sais? *Il ricane* Je ne sais rien du tout, figure toi donc. Je sais que les apparences peuvent être trompeuses.

Il croise les bras, a l'aise.Et il enchaîne.

Je sais aussi que tu as plus a perdre que moi. Tu as quoi, 15 printemps? 16 peut être... moi je suis au déclin de ma vie. Je n'ai pas encore besoin de canne, je peux encore remerciez les dieux pour ca. Enfin je suppose...

Mais toi..toi gamin, tu as tout a perdre. La vie, certe, mais un futur. Ca serait du gachis. Si je te refile au garde, il arriverait quoi? On t'alignerais sur le mur avant de percer la nuque d'une dague? Et moi j'aurais un paquet d'or.... je n'acheterais pas ma jeunesse avec de l'or. Crois moi, j'ai essayé.

Il finit sa phrase dans un souffle, son regard émeraude braqué sur Samael.
Il s'est mis dans une position volontairement vulnérable lui prouvé qu'il ne lui veut pas de mal, comptant sur son entrainement pour palier a un éventuel coup de pute.

***
Samael l'écouta attentivement, la voix de l'homme devenant vague dans sa tête, le décors également qui s'embrouillait. Il résista le plus longtemps qu'il le pu avant de laissé tombé son apparence bien portante.
Après tout... cet homme serai son salut ou son bourreau, il était trop tard pour tenté quoi que ce soit, il était pris au piège.

-.. Tu crois quoi? que j'ai un avenir moi grand père? *fit-il le souffle cours ce plaquant le dos contre le mur et ce laissant glissé jusqu'a ce qu'il soit assit au sol. La blessure a son flanc droit l'ayant trop affaiblis.
Il ne pouvait plus fuir son regard ce voilant peu a peu alors qu'il observait ce calme placide devant lui.
Visiblement, il n'était plus en état de poursuivre cette conversation.

***
Il ne rajoute rien. Il n'aime pas gaspiller sa salive. Si il veut en savoir plus sur cet intriguant jeune homme, il faudra le ménager.Il approche de lui, s'agenouillant.

Il ne montre aucune inquiétude, soupconnant qu'il n'est plus en état de se battre. Néanmoins, il tente de défaire le mecanisme des katar, ne pas se faire poignardé en traitre. Un moment d'inatention suffit a vous faire tuer.
Il tente de jeter un œil a la blessure.

Il n'est pas infirmier, mais ca serait vraiment dommage qu'il lui claque entre les doigts. Le nombre de fois ou il avait vu des gamins se faire déchiqueter sous ses yeux... il a un soupir un peu douloureux, tentant de museler ses souvenirs.

***
L'assassin vue la silhouette de l'homme l'approcher, il devait s'en éloigner au plus vite mais son corps ne bougea pas d'un poil. Il ne fit que trouver la force de fermer ses poings sur ses précieuses arme ajusté a ses bras, mais sa lutte fut veine. Sa cage thoracique ce souleva dans une inspiration profonde et douloureuse.
La blessure en question, avait été fraichement faite par une épée, qui elle, avait apparemment loupé ca véritable cible qui aurai surement pu être l'estomac du jeune homme.
La lame avait été éviter et avait entaillé plus ou moins profondément le coté du ventre de l'albinos qui d'ailleurs était maigrichon a en faire peur.

La blessure semblait prête a s'infecté et l'individu avait perdu beaucoup de sang. Samael posa a une dernière fois son regard maintenant vide de toute combativité sur ce vieillard, étant totalement a ca merci et impuissant.
****
Pas joli. Pas joli du tout. Malheureusement,ce n'est pas un guérisseur. La magie divine est hors de porté. Néanmoins, l'expérience lui a appris le rudiment des premiers soins. Il ne saurait pas opérer, sauf une amputation, a la limite.

D'une bien étrange facon, Samael lui rappelle vaguement un de ses fils. Pas dans les traits, pas dans le tempérament...
Non, dans le fait que c'etait un jeune homme, esseulé, perdu, ayant besoin de lui. Il ne pouvait pas le laisser là a agoniser. De plus, le rendre a la garde équivaudrait a le tuer, même indirectement.

De ses mains cailleuses, il soignera la blessure le mieux qu'il pourra, n'osant pas le bouger de l'écurie avant qu'il soit au moins certain que son état est stable. Néanmoins, il doit faire une concession...il ne peut pas le laissé la, du coup que la garde vienne chercher ses montures.
Il glissera un bras sous ses jambes, l'autre autour des épaules et l'ammenera dans un box vide sur une paillasse
fraiche. Ce n'est pas un lit, mais cela devra faire l'affaire pour le moment.

***
L'assassin poussa une plainte douloureuse lorsque le guerrier le souleva du sol, d'une de ses main tremblant il lui agrippa la chemise avec angoisse d'ignorer les véritables intension de cet inconnu. Il compris peu apres, une fois quil fut déposé dans un boxe vide que le vétéran l'avait éloigner de l'entré pour en quelque sorte le caché..?
Le visage perlé de sueur, le jeune homme resta l'air
perturbé et dans un souffle difficile il demanda - qu'est ce que tu es entrain de faire?
Avait-il conscience une seul seconde que aidé un criminel était passible du même chatiment?
Samael observa le boxe et compris aussitot qu'il ce retrouverai enfermer la s'il ce laissait faire. Il ce retrouvait entre 4 murs!? dans une écurie la bonne blague !

-Tu crois que je vais attendre ici qu'il viennent me prendre? *fit-il ce tournant de coté dans l'intention de ce relever mais abbandonna aussitot. N'arrivant pas a imaginer une seule seconde que cet individu pouvait simplement etre bien intentionner envers lui.
***
-Car tu crois que tu peux faire quelque chose d'autre qu'attendre et qu'esperer qu'on ne te prenne pas? Si c'est le cas, tu n'as qu'a fuir. Je ne te retiendrait pas. Que peut un vieux comme moi comme un jeune assassin recherché par le royaume, au fait?

*Il murmure, comme pour une confidence* - Tu sais, tout le monde le sait que je suis un vieux soldat. Ca se voit, non? Mais ils ne savent pas
tous que j'ai encore du mordant... je les laisse parler comme ils veulent. Faut savoir quand se taire, gamin.

Il ricane de nouveau, comme après une bonne blague, fier de lui. Il s'assit a coté du jeune albinos, épongeant son front, en prenant soin.

***
-.. *il le prit au mot ce taisant, apréciant a contre coeur cet bonté non mérité don ce guerrier faisait preuve envers lui. puis apres quelque minute, il fit par ce détendre petit a petit.
------------------------
Pendant ce temps a la forge.

L'officier Xémus, termina les derniers ajustement a la réparation de son armure avec le forgeron.
- voila un travail de maitre! pourquoi n'ouvrez vous pas boutique en ville? Vous y gagneriez surement mieu votre vie mon brave. Votre talent serai precieux au service de l'armée.

- vous et votre aide qui est abscent depuis un certain moment non? c'est dans ses habitudes de trainé? je ne crois pas que ferrez 3 bêtes et préparer leur boxe soit si long!
***
Le voyant se calmer, le vétéran commença alors véritablement sa tâche, le laissant tranquille en allant s'occuper des chevaux.

---------------------------
Aximède sourit a l'officier, soucieux de conserver ses bonne grâce...qu'il est bon et doux de se faire encensé!

-Voyez vous, cette échoppe était a mon père. Et a son père avant lui....c'est mon héritage. J'ai ça dans le sang.
Et sinon, cet aide, c'était un ami de mon paternel. Il s'est pointé il y a une semaine ou deux, cherchant du boulot. Il traîne de la patte, il est vieux après tout. Mais c'est loin d'etre un employé modèle, crénom! Vous pouvez aller voir aux écuries si il y est, sauf si mon seigneur a des occupations plus importantes, alors il me fera plaisir d'aller lui botter son cul pour le faire bouger.


Il soupire, il n'aime pas le vieux. Il lui fait limite peur, avec ses blessures, ces cicatrices.... il l'avait déjà vu sans sa tunique, la peau marquée, déchiquetée... mais bon, il ne pouvait pas le laisser non plus, avoir une aide qu'il ne payait pour ainsi dire quasi pas, c'etait trop bon pour ne pas en profité.

***
L'officier écouta sans vraiment écouté le forgerons, ce dirigeant vers la sortie de la forge en ajoutant ces dernier mot.
-.. je vais aller voir comment ce porte mes bêtes, j'avais quelque chose a vérifier là-bas de toute manière.
Fit-il avec une idée derrière la tête qui lui donnait un regard mal saint.

Xémus ce dirigea vers le bâtiment en question, observant le mur de l'écurie ou il y avait eu une affiche arracher. Il retira un de ses gans métalliques allant toucher le mur souillé par un liquide cramoisie...son visage traversé d'un sourire peine descriptible de cruauté.
- je sais que tu es la... *souffla t-il pour lui même, ce justicier qui courrait depuis des années après cet insaisissable anguille. Cette vermine qui l'obsédait, aucun hors la lois lui avait résisté aussi longtemps et salis si bien sa réputation d'implacable homme de lois. Son châtiment allait être sans appel...
Il ouvrit lentement les portes de l'écurie et les referma derrière lui, ce mettant a observé les alentour a la recherche de son homme... de son sang qui le trahissait. Et il ne fut pas déçus.
Son regard aiguisé de ''policier'' remarqua déjà les traces de sang laissé par son fantôme si rechercher sur le sol ou plutot il avait reposé exténuer.

-.. tu es au bout du rouleau on dirait cette fois.. *continua t-il de fabuler pour lui-même alors qu'il sentait qu'il approchait de son but ultime. Il leva la tête vers le plafond, sachant que sa proie adorait ce réfugier en altitude il ne manqua pas de voir cet trace humide au plafond qui avait laissé quelque goute formé une mini marre au sol.
L'officier souris de toute ses dents ce mettant a siffloté une étrange mélodie. N'ayant pas porté attention sur le reste du décors pour le moment.
-----------------------

Samael était entrain de s'endormir quand tout a coup, son cœur s'emballa.. son front ce plissa puis finalement ses yeux devienrent rond comme des billes en entendant cette mélodie. Pris de panique, il observa autour de lui comment disparaitre et la seul idée qui lui venu fut de se réfugier sous la paille fraichement posé dans le coin de son boxe.
***

Haussant le seul sourcil qui lui reste a la vue du garde, Alrick cracha le clou qu'il avait entre les dents dans sa main, ayant espéré que personne ne viendrait.Fol espoir,en rétrospectif. Il s'éclaircit la voix, lancant au garde :

-Ca sera pas bien bien long,j'en ai déjà ferré un. Vous savez ce que c'est , l'âge....

Alors qu'il jouait la carte de l'âge, il réfléchit a toute vitesse.
Ca s'annoncait mal. Autant le petit tremblait, incapable de tuer,autant ce type qui parle tout seul, entre deux fredonnements.... Cet homme était un tueur. D'un regard, il regardait l'armement du garde, son accessibilité. Lui n'avait qu'un marteau de maréchal ferrant et une poignée de clous.
En voyant le garde entré, il avait interposé le cheval entre lui et l'officier. Sinon il devra bluffé qu'il portait des vetements usés pour travaillé dans une écurie , esperant que ca ne se verrait pas trop dans la lumière ambiante. Le sort en était jeté.

***
L'officier souriait pour lui même arrêtant sa mélodie quand le vieillard s'adressa a lui, il tourna son visage lumineux vers l'individu, l'observant comme s'il aurai pu le percé de rayon X.
- Je voyais le jour avancé! mon brave et mon inquiétude de voir mes bêtes en état de marché avec.
Fit-il par des raisons de ca venu sans plus attendre.

-..mais dite moi c'est du sang que je vois la? *fit-il en allant mettre ses mains sur ses hanches faussement surpris et ce pencha la ou il y avait cette petite flasque de sang qui était tombé du plafond.
Il en ramassa du bout des doigt qu'il frotta l'un contre l'autre s'approchant nonchalant du vétéran.

Son autre main ce frottant le menton, incapable de réprimé un sourire de son visage dans la fleur de l'âge. Il avait un regard froid et noir brillant d'intelligence mesquine, le genre d'individu vicieux que l'on ne dupait pas si facilement.
- Vous n'avez rien remarque de cela? *continua t-il ses interrogations d'une voix claire et énervante a souhait de supériorité.
-on dirait qu'il y a eu un combat? vous n'avez rien vue, rien entendu? *poursuivit t-il passant devant le boxe de Samael et observant les lieux comme un prédateur implacable.
- Je recherche un homme grand comme ca, désigna t-il de ca main la taille d'un individu fictif, il a les yeux bleu et sauvage.. assez jeune d'ailleurs avec des cheveux blanc... Il aurait justement une blessure que je lui es faite au niveau du ventre. Juste la, vous voyez? *désigna t-il son flanc avec des explications simpliste comme s'il prenant volontairement le guerrier pour un imbécile.
Xémus continua son approche près de l'homme jusqu'a ce qu'il puisse toucher son cheval et le fixé droit dans les yeux.
-Soyez extrêmement prudent... c'est un assassin redoutable, un fantôme que l'on ne vois pas venir de l'ombre.

Il vint de ses pays lointain ou on éduque les enfants a devenir des tueur et être insaisissable.
Ils sont engagé par des brigades de voleur et de bourgoies pour régler leur compte mais celui-ci ca fait pres de 5 ans de ma vie que je consacre a le traquer... on dit que ses gens la vienne et disparaisse une fois leur boulot accomplit. Ce qui veux dire... *fit-il en suspend en commençant a faire le
tour du cheval pour voir de plus près l'aide du forgeron. Sentant qu'on lui cachait peut être quelque chose.
-Qu'il n'as pas encore accomplis son sinistre devoir et que je dois lui en empéché...vous comprenez?
***
-Aye, je comprend, et je remercie les Dieux de mettre de notre coté des gens de lois capable de nous proteger. Mais j'ignore si c'est du sang, de la morve de l'ichor ou quoi que ce soit, mais jme suis vautré dedans, aussi vrai que je vous vois! *Il tente de parler avec conviction, homme d'action plutôt que de verbes*

Je sais pas si un des gosses du voisinage a égorgé un chien errant
ou ce genre de truc, et suis pas payé assez cher pour chercher. On m'a dit de ferrer, alors je ferre. Une chose sur, si j'avais vu un assassin, dans la force de l'âge, il m'aurait tuer fastoche. Alors votre fantôme...

*Il hausse les épaules. Il sait que c'est du sang, il sait que le môme est un fugitif....sauf que ce n'est pas un assassin. Il se base sur ce ''fait'' pour ne pas mentir, juste
déguiser la vérité assez pour que ce soit crédible, tisser une pseudo vérité suffisante pour convaincre l'officier. Il le prend pour un simplet, il lui donne ce qu'il veut, feignant la faiblesse*

-Je crois que si il est ici, ce que je doute si il est si futé, ça serait en haut. *Il pointe le plafond d'un doigt* Vous voulez que je vous rapproche l'échelle?

***
Xémus le perça encore et encore de son regard vif le trouvant étonnamment nerveux dans sa façon de s'exprimé, relevant un sourcil peu convaincu.
Il approcha ses doigts de la poitrine du guerrier s'essuyant sur lui, comme s'il voulu dire qu'il était persuader que s'était bien le sang d'un individu.

-Pour quelqu'un simplement venu faire son travail, je vous trouve bien nerveux mon brave, est-ce moi qui vous met dans un tel état avec mes questions?
- un chien errant vous dites? *fit-il écoutant les autres justification qu'il lui sortait.
- Comment en serriez-vous arrivez a vous retrouver vautrer dedans?

- et d'ailleur n'est ce pas curieux de vous voir émettre la theorie qu'il serai au grenier? vous qui n'avez rien vue? voila un discours bien curieux non?
*fit-il en portant lentement sa main sur le pomeau de son épée s'y reposant l'air pres a le mettre sous les fers.
-Vous n'avez quand même pas essayer d'aidé un criminel?
***
Il déglutit, lui montrant ses mains ouvertes, paume vers l'extérieur, signifiant de ce fait même qu'il n'est pas armé, pas prêt a ce battre.

-Je.... je ne sais juste pas comment me comporter avec un homme du rang. J'ai picolé, c'est pour ca que je suis tombé....j'ai besoin d'un peu d'eau de vie pour mes vieux os, vous comprenez? Et si je pense au grenier, c'est juste que j'ai mis les chevaux
dans leur boxes, comme vous pouvez voir... j'ai pas vu d'assassin, je peux le jurer!

Il ne soutient pas son regard, comme soumis, fixant l'épée du garde, non paralysé par la terreur, mais prêt a agir. En esperant que Xenus soit coopératif.
(enfin, merci de me donner une situation ou mon perso est poche, la je trouvais qu'il fesait trop Mary Sue xD)

***
- Pourquoi j'ai cette affreuse impression que vous me mentez? Vous vous moquez de moi?! *fit-il en regardant les mains de l'homme jurant voir les rougeurs laissé par du sang.. mais il n'en dit rien sachant qu'il tenterai de le justifier en s'étant relever dedans.
- Vous savez ce que vous tentez de protéger? ce mec a tuer une enfant en pleine ruelle, ruiner le commerce de diverse paysan par des vol incessant!
L'officier sembla perdre son calme et ce lancé dans une paranoïa presque dangereuse.
- Apportez moi donc cette échelle!

Fit-il presque fulmineux en pointant en direction du grenier pour que le guerrier s'exécute.
Il était convaincu que cet homme était impliquer, mais il manquait encore des preuves...

***
Il obéit sans discuter, docile, usant de sa discipline pour ne laisser coulé aucun regard vers le boxe de Samael, esperant de tout cœur que le gamin ne pipe pas mot ni gémissement , qu'il ne fasse aucun mouvement.

Il ne croit pas les paroles de l'officier. Tuer une gamine. Il n'a pas la trempe d'un tueur, c'est a peine si il n'a pas rit de mépris. Et pour le commerce... ils s'en remettront
, au final ce ne sont que des pièces de métal. Au crépuscule de sa vie , il n'a peu que faire des ressources matériels, seulement le strict nécessaire, ses armes, son armure. Ce qui lui aurait été fort utile pour faire face a l'homme d'arme.

***
L'officier observa les yeux de l'homme cherchant la moindre faille d'un recoin où il porterai son regard, mais rien...
Il plissa des yeux et dégaina son épée qui tinta bruyamment, commençant a grimpé a l'échelle.
Une fois arrivé la haut, il découvrir bel et bien ce qu'il avait soupçonner depuis le départ.
Son fantôme avait passé par la.
La paille avait été entassé et une marre de sang rougissait le sol du grenier. Il monta a l'étage observant les recoins et fini par repérer une trace qui ce dirigeai vers les madrier... le laissant comprendre qu'il avait filé.
-Bordel! *Cria t-il furieux d'avoir manquer de peu sa cible, puis il commença a descendre l'échelle.

-Il était ici!!!*fit-il tout décoiffé de colère son regard devant furieux et fou, lorsqu'il ce retrouva a nouveau devant le guerrier.
- Je .. je.. je vous garantie mon gaillard si je découvre que vous êtes de mèche avec ce type.... vous subirez la peine de mort! Pour l'heure, finissez ce pourquoi je vous es grassement payé! et vite!

Le menaça t-il l'air tout a fait convainquant et rengainant son épée dans son fourreau ce dirigeant vers la sortie et claquant la porte derrière lui.
***
-Tout de suite....

Dit-il d'une voix traînante, mais souriant dans en son for intérieur. Il ne commit pas l'erreur d'aller voir le gamin, ne pas se faire surprendre par l'officier qui n’était pas stupide.. En fait, il espérait que ce dernier prendrait la poudre d'escampette des qu'il le pourrait, sans lui dire quoi que ce soit...après tout, on ne peut pas avouer ce qu'on ignore.
Fidèle a sa parole, il s'attela à son ouvrage, ne pas attirer les soupçons davantage, s'appliquant plus pour le cheval lui même que son cavalier.

***
Cette homme droit.. plus que ceux que représentait la justice, qui avait soigniez légèrement ses blessures et protéger au risque de sa propre vie et réputation la sienne.
Il ce releva a quatre patte pour ce redressé sur ses genou et finalement s'adossé au fond du boxe. Portant une main sur son visage honteux, n'ayant aucune alternative, aucune issu et écraser par un piège étouffant.

Il avait effectivement tuer une enfant... par son inaction, sa naïveté et son insouciance. Bien qu'il ne fut pas la lame qui la terrassa, le geste qu'il avait posé avait inévitablement causé la perte de cette innocente. Il était resté au près de la dépouille trop longtemps, pétrifier de la retrouver sans vie dans le fond d'une ruelle... quand cet homme, ce Xémus passa par la.
Et encore aujourd'hui un innocent ce retrouvais mêlé a ce règlement de compte interminable.
Le désespoir l'habitait complètement, vivre ainsi ce n'était pas humain. Traquer jour et nuit, luté et survivre durant tout ce temps, pour une affreuse et malheureuse circonstance.

Sans un mot, pale comme un drap, il trouva en lui de maigre force pour ce relever, s'accrochant de toute ce qui lui restait au bord du boxe. Il fit quelque pas en direction de la sorti de ''sa chambre'' improvisé. Le pas vacillant, sa vision s'embrouillant de nouveau. Il devait partir, enfin c'est ce qu'il semblait vouloir faire... ce qui correspondait a une mort certaine dans les jours a venir et
ca c'étais s'il ne ce faisait pas attraper avant.
***
qui avait soignier*

Entendant du mouvement dans le box de Samael, Alrick fit mine d'aller jeter un œil a la jument noire occupant l'emplacement d'a coté.... Il lui parlait, un peu plus fort que ce qu'il fait d'habitude, pour que le jeune Albinos peut l'entendre.

-Ne t'en fais pas ma belle, je vais t'emmener te faire soigner...des ce soir. On ira ailleurs, si il le faut. Toi et moi. *Il caressait la tete de la bête,
pourtant en bonne santé* D'ici la, je veux que tu sois sage. Ne te fatigue pas, repose toi.

Espérant ne pas s'être compromis, mais il devait lui passé ce message. Xémus etait trop proche. Trop présent, encore. Et il était a deux doigts de devenir le numéro deux sur la liste des recherché, a présent. Qu'a cela ne tienne! Sa vie n'était pas vertueuse, loin de la. Peut etre pourrait-il racheté un
du salut de son âme,après avoir fauché tant de vies, vies qui le hante encore dans les plus profondes pénombres.

***
Samael qui tenait par on n'avait quel énergie, s'immobilisa a la voix d'Alrick. Sa tête base et sa mine abattu ce tournant lentement pour le regarder du coin de l'œil. Il voyait bien que l'animal était dans la force de l'âge et en pleine santé. Il resta un moment avant de comprendre le second sens, réfléchissant a cette proposition qui lui apparaissait comme un salue.
Mais pourquoi cet homme risquait tout ce qui lui restait pour un étranger? Il ferma les yeux lentement, ce faisant obéissant et ce laissa retombé en douceur a l'intérieur du boxe contre le mur de gauche, celui le séparant de la jument noir. Il fixa le vide a chercher l'énigme a ca question sans vouloir demander la réponse
Il fit mine de finalement de ce reposé, son estomac ce remettant a chantonner tellement il avait faim.
on ne s'avait et non n'avait*
***
Le guerrier sortit des écuries, sa besogne accomplie. Au lieu de retourner a la forge, il alla a l'auberge jouxtant la cachette de Samael. C'est un établissement tres simple, 4 grandes tables en chêne, le plafond bas qui sera au soir lourd de fumée. Mais pour le moment, l'endroit est calme. Meme la tenanciere, Bethanie, surnommée Beth par tout le monde, est hors de vu. On l'entend néanmoins en
cuisine, préparant soupe et ragoût pour la journée. En entendant la porte s'ouvrir, elle glisse un regard dans la salle commune, puis se dandinant vers son comptoir. C'est une femme forte, solide sur ses jambes, avec un visage avenant et de magnifique yeux gris.

Beth : Comme d'habitude, mon chou?

Alrick : Pas cette fois, Beth. Tu pourrais me préparer des provisions pour une semaine? Quelque chose de basique...du pain, des légumes...je crois pas avoir assez pour du bœuf seché, dis moi? *il pose quelque piecettes sur le comptoir*
Beth : Non désolé... je peux te donner quelque bout de pain et des navets...

Alrick : *En soupirant* Tres bien, jvais me faire un bon ragout de navet , merci beaucoup, Beth...
Beth : Les temps sont durs, pardonnent moi de vouloir seulement exister
Alrick : Du calme, du calme....
*Un moment de silence s'installa, alors que la tenanciere comptait les pieces et les mettaient dans son tablier*
Beth pourquoi tu veux des navets, au juste?

Alrick : J'ai des amis dans au poste commercial d'Eryan, tu sais, prêt de la frontiere a l'est? *Beth hoche la tête* Et bien je vais aller leur rendre une petite visite...ca va changer des navets *il soupire, exaspéré*

Bethanie etait une commère, au village. Une fois qu'il aura disparu, il sait que les gardes le chercheront. Il espérait de la sorte les menés sur une fausse piste.
Alrick retourna alors aux écuries, glissant dans le box vide deux sceaux, comme pour les rangés.... dans un , de l'eau. Dans l'autre, un quignon de pain et un bol, pour qu'il puisse se désaltéré.

***
L'assassin n'avait pas bouger de la où il s'était reposé toujours dans les vapes. Ce fut le bruit de la porte ce refermant qui lui fit ouvrir subitement les yeux et le passage du guerrier qui le fit sursauté.
Il regarda les sceaux laisser la, fronçant d'abords les sourcil et en relevant un pour porté son regard sur l'homme. Puis sur les sceaux mais n'osa pas bouger d'un poil.. c'étais pour lui ?
sembla dire son regard exténuer.
****
Alrick retourna a la forge, oû Aximède l'engueula d'avoir pris tant de temps pour une tâche si basique. Le vieux s'excusa simplement, encaissant les remontrances sans ciller...si seulement Xémus le voyait, il aurait du mal a croire que c'est le même homme.

Il retourna travailler sur la girouette du vieil Abernathy, en fer forgé, tuant le temps plus que travaillant sérieusement, économisant ses
en vue de son odyssée.

***

La journée parût interminable pour l'ancien soldat. Il devait travaillé, comme d'habitude. Mais aujourd'hui, il devait ménager ses forces. La nuit serait longue.

Entre temps, il alla porté la girouette chez le vieux fermier, perdant amplement du temps sur le chemin du retour. Une fois sa journée de ''labeur'' terminée, il alla s'enfermer dans sa chambrette.

Verrouillant la porte derrière lui, il éclata d'un rire a peine contenu. Enfin! Il se sentait revivre. Son seul regret, c'est qu'un si jeune gamin soit impliqué. Mais bon, son inaction le tuerait a coup sur. De toute façon, ce qui est fait est fait.

Il jeta un coup d’œil a la ronde, de s'assuré que personne ne pouvait le voir, tendit l'oreille, être sur que personne n'approchait puis ferma les volets. Il retirait ses vêtements de la journée, ne voyant même plus, depuis le temps, les sillages laissés par les griffes et les lames. Il se dirigea vers l'unique placard, tout en poussant un sifflement long, a peine audible. Il ouvrit la porte. Un vieux débarras poussiéreux s'y trouvait. Il s'agenouilla, déplaçant sur un coté une pile d'habits troués.

Son exil était terminé, du moins pour le moment. Il avait espérer vivre en tant qu'homme du peuple. Sans attentes, sans espoirs. Attendre la mort qui expierait ses fautes. Il avait fait bien du mal en agissant. A présent il risque d'atteindre le même résultat, mais en ne faisant rien. Sous les détritus, il tira a lui une malle , de bonne taille. Elle faisait tâche dans ce paysage avachi. Elle était poussiéreuse,certes, mais en bois de qualité, teinté,Des charnières en métal fin semblant briller légèrement dans la pénombre ambiante. A l'intérieur de la malle se trouvait ses habits de voyage. Chemise et pantalons verts et une cape d'un vert plus sombre, strié ça et là de vert plus tendre, histoire de se camouflé de façon plus aisée en forêt. Une épée bâtarde dans son fourreau y reposait, une lame de guerrier,sans fioritures, mais dont les doubles tranchants étaient affûtés comme des rasoirs. Aux cotés du fourreau, on y vit également un livre dont la couverture était cerclé d'argent et un assortiment de poignards et autres couteaux.

Il finit de s'habiller, finissant par mettre ses gants au doigts coupés mais dont l’arrière était renforcé d'acier, alors qu'une petite musaraigne se faufila par un trou du plafond. La petite bestiole, d'une douzaine de centimètre, dont la moitié était constituée de sa queue. On aurait pu croire que la bestiole était albinos, mais son regard d'un vert émeraude démentait cette hypothèse.

-Te revoilà, Rapide....ça fait longtemps.

Ce que en quoi la musaraigne exprima un couinement, se laissant retombé sur le bras d'Alrick, remontant jusqu'à l'épaule ou elle se percha, frottant son petit museau contre la joue de son maître, apparemment plus démonstrative que lui.

Avant de partir, il avait une dernière chose a faire. Il retourna a la malle,la toucha de deux doigts réunis, tout en prononçant une formule dans une langue ancienne, dont l'origine même se perdait dans la nuit des temps. En réaction a ses quelques mots, la malle défia les lois de la physique et semblait se replier sur elle même, n’arrêtant ce processus seulement au moment ou elle n'était pas plus grande qu'une boite a musique. Il soupira, n'ayant pas utilisé la magie depuis son arrivée. Il se sentait un peu désorienté, sur le moment, comme un muscle douloureux qui se réveille. Sauf que ce muscle ne se voyait ni se sentait.

Il attendit que la nuit soit bien noire et il sortit enfin, éclairé par les seuls rayons de la lune. La vie de Samael était en jeu. Pourvu qu'il ne lui claque pas entre les doigts.

Alrick entra dans l'étable, fermant la porte derriere lui. Rapide fut chargée de faire le guet.Le petit rongeur tournait en rond, sa curiosité naturelle l'empêchant de rester sur place. Il approcha du box ou était caché Samael, aux dernieres nouvelles.

De ne pas avoir vu la garde le dérangait plus que de la savoir sur son chemin. Peut etre dormaient t ils? Possible, mais il ne parirait pas la dessus. On ne fait pas de vieux os en se racontant des bobards.

Etait-il encore la? Il esperait presque non, si ca signifiait qu'il avait passé entre les doigts de la garde.Mais vu l'état de la blessure, il pouvait en douter.

Le combattant vit avec soulagement le torse du gamin se lever et s'abaisser, au rythme de sa respiration. Excellent, il vivait. Obnubilé par l'état de Samael, il ne perçût pas cette fouine de capitaine de la garde. Comme à lui même, il hocha la tête. C'était le moment de prendre la poudre d'escampette.

Il approcha du fond de l'écurie, s'empara d'une pelle, utilisé pour se débarasser du fumier des chevaux. Retournant a la porte, il s'en servit pour barricader cette dernière, la passant entre les larges battants. Primitif, relativement fragile. Juste le temps d'écarter les curieux et les badauds, les saoulons et possiblement les membres de la garde. Ou du moins pour ceux ci, les ralentir.

Il posa au centre de la pièce une petite sculpture grossière d'argile, a la vague effigie d'un cheval. Se concentrant sur les lieux, il commença une litanie, son regard a l'oeil unique ne quittant pas la sculpture.

Au son rythmée de l'incantation, la statuette semblait bouillonner de l'intérieur, prendre en volume, en extension. Une goute de sueur roulait le long de sa tempe.

Il se sentait comme détaché de son corps, n'entendit ni le rugissement de Xemus ni le couinement indigné de la musaraigne qui elle n'avait pas perdu une miette du spectacle. Rapide, fidèle a son nom, semblait décoller telle une flèche blanche, le long des rebords des boxes. Sa cible était le visage du capitaine. Elle bondissait dans les airs telle une furie....une furie d'à peine cinq centimètre de corps, les vibrisses agitées, son regard étonnant intelligent était calme mais déterminé. Une guerrière dans l'âme, a l'image de son maitre. Les aptitudes au combat et la force en moins, cependant.

Soudainement, une odeur de terre mouillée se rependait dans l'écurie, alors qu'un hennissement caverneux, nullement naturel se repercuta dans le village. Des sabots d'obsidienne raclaient le sol, un destrier dont le corps était d'argile durcie. Ses muscles jouaient sous sa peau artificielle et malgré que ses orbites furent vides, l'être équin n'avait aucun soucis a se repérer dans l'espace.

Le vétéran ouvrit l'oeil en grand, alors que le moment présent le rattrapait. Les coups contre la porte. Xemus qui gesticulait, sa fidèle Rapide au visage, griffant et mordant a loisir de ses petites dents...désagréable, déconcentrant, mais nullement mortel. La musaraigne était trop faible pour cela.

Alrick approcha derrière le capitaine,sournoisement, avec pour but de la maîtriser et de le désarmer, avant qu'il ne blesse quelqu'un en gesticulant avec sa lame.

Alrick ne répondit pas. Il gardait son souffle alors qu'il empoignait le poignet rattaché a la main armé tout en frappant de son pied l’arrière de la jambe de Xemus, de façon a le faire plié tout en ne se fesant pas égorgé et Samael aussi. Il préférait éviter de tuer le garde, mais si il n'arrivait pas a le mettre hors de combat, il n'aurait aucune hésitation a le poignarder de son couteau de chasse qu'il garde a un étui sur son épaule. Il s'apprêta a finir le combat d'un coup de coude a la nuque

La musaraigne était un peu sonnée après que son corps eu percuté le mur. Louvoyant, elle revient a Samael, bien déterminée a le protéger, même si elle ne marche plus très droit pour le moment. Elle grimpa sur le genou du jeune Albinos, le dos rond, dans une attitude toute animale de se rendre plus impressionnant avant un combat.

Le vétéran, sans ciller, se contenta d'envoyé l'officier valser dans le boxe après l'avoir frappé a la nuque, a coté de Samael, sans se soucier si il était conscient ou non, mort ou vivant. Le temps était compté. Il ne savait pas exactement pourquoi il défiait la justice, sauf que cette soit disante justice semblait aussi bancales que les dents de certains vieux gatés qui viennent pourrir et se désinfectés le gosier chez Bethanye.

Il profitait de ce délai pour tendre la main au soit disant assassin, l'aider a se relever.

-Aller, on a pas toute la nuit.

Et ainsi il l’amena a la monture conjurée, l'aidant a monter en selle.

'' Peut-être.'' Fut la seule réponse qu'il donnait a Samael, montant en selle derrière lui. Il dégaina sa bâtarde d'un geste expert, et ce fut seulement a ce moment précis que le cheval se cambra, puis chargea, dès que la porte fut assez ouverte. Le vétéran, cavalier aguerris, poussa un cri de guerre alors que le cheval de terre fonça, gagnant en vitesse lentement mais inexorablement.

Rapide grimpa sur la tête du cheval, telle une figure de proue, de sorte a compenser la vision uni-occulaire de son maître, ce dernier étant déterminer a forcer son passage, par le sabot et par la lame.