La Rencontre

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

Samaël arrondit les yeux au crie de la fillette, ne s'étant pas attendu a un tel bouquant de sa par, puis son attention ce figea sur le guerrier qui l'aborda aussitôt de son épée.
Il du lâché la fillette et il brandit en un éclaire son Katar gauche pour parer et immédiatement répliquer de son droit. Ce fut en vain, la douleur le terrassa dans son mouvement et le choc de l'épée contre son bras l'écrasa vers le sol.
Aussitôt qu'il le put, il tenta de ce relever et esquivé la prochaine attaque ce voyant maintenant électrisé par l'adrénaline et le désire de survivre.

Humain/Guerrier Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 17/07/2012

Alrick jeta un regard furtif a Xemus.

-Ne restez pas, prenez votre cheval et fuyez. Les gens doivent savoir que ces abominations sont ici, pour ainsi les abattre. Fuyez. Il n'y a aucune honte a revenir pour se battre un autre jour. Quant a moi.....

Il n'acheva pas sa phrase, lourde de sens. C'était lui contre Karia.

Le vétéran testa les défenses du souverain, courant vers lui, abaissant son épée, juste le temps de lancer deux poignards de jet, bien futiles distractions. Il n'ose pas rester sur place et échanger coup pour coup apres le colossal chevalier. Il n'aurait aucune chance dans ce type de duel, son adversaire étant bien plus fort et bien plus solide que lui.Il se battra comme l'onde. Le soucis, c'est qu'il est vieux et en ce moment, épuisé. Il ne pourra pas tenir la cadence fort longtemps.

Il veut donner le maximum de temps aux paysans innocents. Chaque seconde qu'il occupe le chevalier, c'est une seconde de plus qu'ont les gens pour fuir.

Rapide grimpa le long de la jambe de l'officier de Xar'minos, jusqu'à l'épaule d'acier noirci. C'était un homme a l'intérieur, pas un automate. Il devrait bien y avoir un espace assez restreint pour qu'un petit rongeur comme elle puisse se faufiler, utilisant la carapace de métal a son avantage.

Karia observa l'homme pour qui, il avait eu le dessin d'anéantir toute espoir, ce relever par la seul présence de ce fouteur de trouble. Bien vite, les créatures faibles débarrassèrent le planché fuyant de par et d'autre des sentiers.
Après tout le chevalier noir n'avait que faire des ses petits amuse gueule alors qu'enfin deux adversaire semblait vouloir le défier. Pour lui, anéantir un individu plein d'espoir lui semblait bien mieux qu'un petit troupeau d'agneau déjà mort de peur.
Il observa le vétéran qui se lançais enfin vers lui, ce qui le ravi immédiatement. Sans plus attendre, il dégagea l'homme qu'il avait enfourché un peu plus tôt de son épée pour ensuite le saisir de sa main gauche, ce servant de ca carcasse comme bouclier. Un fois l'attaque bloquer, il tourna sa masse lourde gardant en tête de toujours avoir son adversaire dans loin de ses angles mort. Il vue alors un coup lui être porter et répliqua en lui lançant littéralement le cadavre au visage et sans attendre il recula les épaules soulevant son arme qu'il tenait pour le moment a deux main pour infligé un coup d'une rare violence s'il parvenait a touché son adversaire.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Xémus regarda le vieux avec orgueil puis son cheval, il marquait un point d'une grande importance. Il était inutile d'embarrassé cet homme de sa présence et il ne serai d'aucun réel secours dans un combat qu'il comprit devenir un duel.
Sans plus attendre, il couru comme ses jambes lui permit vers son destrier dans l'espoir de suivre le plan proposé.

- HAHAHA ! toi aussi tu sera a moi! S'exclama de sa domination l'officier qui venait d'écraser Samaël au sol d'un coup de sabre. Son armure, plus ouverte que le chevalier noir, offrait pour un rongeur d'innombrable point d'accès. Entre le cou et les épaules, par exemple!
L'opposant releva son épée au-dessus de sa tête pour tenter de terrasser l'assassin a nouveau.

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

L'albinos ce relevait avec peine alors que le demi-race ce moqua royalement de la situation. Le Voyant préparer une nouvelle attaque qui lui broierai surement les os du bras même sil essayait de parer, il choisi une attaque plus vicieuse et rapide. Il le frappa violement dans la rotule droite de son pied a plusieurs reprise en vue de lui cassé!

Humain/Guerrier Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 17/07/2012

Le vétéran vit une de ses dague ricocher sur l'épaule massive et l'autre juste ratée sa marque. L'air fut expulsé de ses poumons lors de l'impact avec le cadavre et il roula au sol. Glissant sa lame sous le macchabée , il le souleva, s'en servant lui même comme bouclier. La lame massive de Karia coupa la chair morte sans aucune difficulté avant de percuté l'épée bâtarde d'Alrick, réduisant a peine l'impact.

Le coup fut tel que la lame du vétéran se brisa sous la puissance de l'assaut , son bras tenant encore la poignée de son épée engourdi par tant de fureur. Il regarda son épée une demie seconde, avant de la jeter au sol et de s'emparer d'un des espadons des chevaliers de Karia mort au combat. Il reste a distance, bandant ses muscles, tentant de s'acclimater rapidement a cette lame nouvelle, sa chemise recouverte de sang et de morceau de chair.

Au moins Xemus entendit raison. Un vieil homme meurt, des gamins vivent. C'est ainsi que cela devrait se produire.

La petite musaraigne couinait, indignée, alors qu'elle vit un endroit découvert, la clavicule... Elle attaquait la chair offerte avec force coup de dents, comme un animal sous terrain cherchant a faire son terrier. Besogne salissante, certes, mais la petite était déterminée.

Son attaque réussi au mieux de toute espérance détruisant l'arme de son adversaire tout en pourfendant le cadavre qui le baigna de son sang visqueux et encore chaud. Il ce régala de l'avoir ébranler de la sorte lui permettant d'une façon prétentieuse de ce remettre de ses émotions en ne voulant pas trop fatigué son jouet.

Son attention ce détourna alors vers Xémus qui allait semble t-il essayer de lui échapper et ca, il ne le laisserai tout simplement pas ce produire.

Il ce redressa, quittant sa posture d'attaque pour ce tourné vers sa cible bouettante qui lui filais entre les doigts. Reculant son épaule, il utilisa carrément sa propre arme comme projectile la lançant en poussant un rugissement bestial vers le cavalier a fin de terrasser ce dernier ou son animal.

-TU NE VA NUL PAR! Explosa son rugissement comme le tonnerre, alors que la lame a deux mains fendait l'air bruyamment. Ce bref moment cependant lui fit lâché le contacte visuel avec Alrick pour qui visiblement, il ne semblait pas ce soucier de le voir répliquer, le sous-estimant sans hésitation.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Xémus eut tout juste le temps de monté son cheval qu'un bourdonnement inquiétant lui siffla dans les oreilles, lui faisant tournée la tête au dernier moment. La lame monstrueuse éventra le cheval qui s'affala sur le coté coinçant sous sa masse le capitaine qui perdit connaissance.

L'officer poussa un hurlement déchirant, alors que ca rotule fini par l'agenouillé au sol sous la douleur et qu'un atroce brulure et pincement lui viens de l'intérieur. Quelque chose semblait le manger de l'intérieur. C'est crie fusèrent de plus belle alors qu'il ce mit a ce frapper lui-même. Lâchant de ce fait son épée qui tomba fiché dans le sol derrière lui.

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

Samaël qui s'apprêtait a empêché l'homme d'abattre son arme puissante de nouveau, le vit s'effondrer a son plus grand bonheur. Il ne s'attarda pas a chercher ce qui le poussa a ce frapper de lui-même profitant de cette diversion pour fondre sur la fillette et l'amener plus loin ou il trouverai une cachette où il la plaquerai le temps qu'il puisse revenir filer un coup de main au grand père.

Humain/Guerrier Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 17/07/2012

Incroyable. Karia lui tournait le dos. Il y avait vraiment un dieu, un ange ou un autre truc du genre qui veillait sur lui, malgré le fait qu'il fut poisseux de sang et de viscères. Heureusement, ou malheureusement, selon le point de vue, ça ne l'ébranlerais pas plus que cela. Il en avait vu d'autre lors de campagnes passées. C'était dégouttant, soit, mais perdre ses moyens maintenant, signifiait mourir.
Cela ne l’empêchait pas, néanmoins, de maudire le fait que Xemus fut mis a terre et son cheval éventré. Cela rendait sa tentative bien inutile.

Il se rapprochait a pas feutrés, derrière Karia, cherchant de son œil un endroit ou enfoncer l'espadon, dans un mouvement d'estoc, sachant pertinemment en temps que soldat la futilité des armes tranchantes. contre la plaques courbées. Sur le moment, il s'en voulut de ne pas avoir sur lui un pic de guerre ou une hallebarde, se servant habituellement de sa magie pour contrer les protections ennemis. Percevant ce qu'il croyait être le point le plus vulnérable de l'armure, une jointure au niveau du coude, il émit un cri rauque et court et enfonçant la lame, priant que son estimation ne le conduirait pas directement a la tombe.

***

La musaraigne mordait et griffait a l'intérieur du soldat. Incapable, depuis son point de vue, de voir ce qui se passait autours, ni d'entendre. De sa position, même le battement de cœur du chevalier était assourdissant. Elle n'avait pas d'autre choix que de continuer jusqu'au moment ou ce dernier ne bougerait plus du tout.

Même si certains croyait qu'elle était un reflet des bons cotés de son maître (qu'il aurait perdu au cours des années selon ces mêmes certaines personnes), elle avait aussi sa détermination et sa volonté de tuer si il le fallait.

Il contempla son objectif atteint commençant a ce déplacé vers sa propre monture en l'appelant a lui.

Karia voulait récupérer d'autre pièce de son arsenal alors qu'il ramenait son attention sur son ''jouet'' qui s'était subitement rapprocher de lui sans qu'il ne l'ai entendu venir. Il poussa un grognement surpris et défensif ce retournant vers ce dernier qui l'attaqua dans un cri de courage.

Ignorant que la cible de ce dernier était son coude, lui, élançait son bras vers l'homme dans sa surprise, les griffes arqué et dangereuses ce dirigeant vers un des bras de ce fou dans l'idée de l'agripper solidement dans sa poigne de fer.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

Le chevalier qui ce frappa de partout, fini par s'arraché les pièce de son armure les lançant dans le bois en hurlant, poussé a la folie par les morsures insupportable du rongeur.
Samael pu trouvé un arbre déraciné par les intempéries qui pourrait lui fournir une possible cachette.

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

L'assassin qui traina avec lui l'enfant sur une bonne distance, trouva enfin quelque chose digne de servir d'abris le temps qu'il aille porté main forte a Alrick.

-Reste ici, et ne fait pas de bruit.. si a l'aube personne n'ai venu te chercher prend ce chemin et suis le sentier jusqu'au village.
Lui laissa t-il des instructions qu'il savait peu salutaire pour une enfant délaissé, mais c'était tout ce qu'il pouvait lui offrir maintenant.
Sans plus attendre, il fila en direction de l'auberge en flamme espérant ne pas arrivé trop tard.

Humain/Guerrier Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 17/07/2012

C'est horrifié qu'il vit l'espadon être détourné par le mouvement de Karia et simplement glissé le long du canon d'avant bras,l'armure accomplissant ce pourquoi elle avait été conçue. Emporté par son élan, il n'y avait aucune échappatoire. La main ganté de fer allait s'emparer de son bras, déchirant l'étoffe de la chemise.

Un frisson glacé lui parcouru l'échine, alors qu'il réalisait sa position fort malencontreuse. Il se sentait démuni. Il était a toute fin pratique désarmé. Cette pensée l'obsédait. Sa lame en deux morceaux distincts, ses couteaux jonchait le sol. Et trop proche de son ennemi pour pouvoir utilisé de façon efficace la lourde lame a deux main qu'il avait encore, refusant de la lâcher, comme pour pouvoir encore se raccrocher a quelque chose, n'importe quoi.

Instinctivement, il tira sur son bras. La panique commençait a affluer en lui. Finalement, si ange gardien il avait, ce dernier devait posséder un sacré sens de l'humour.

***

Rapide avait du mal dans son petit cœur de rongeur. Ces hurlements, c'était a vous dresser les moustaches. Mais néanmoins, elle devait continuer. Elle ne pouvait pas en son âme et conscience laisser un tel individu aller et venir a sa guise. Son esprit était vil. Il n'avait aucunement hésité a jeter une gamine vers une mort certaine. Ce comportement ne pouvait pas être pardonné.

Ainsi, son beau pelage maculé de fluides carmins, elle continuait de creuser, visant la colonne vertébrale du chevalier.

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

L'homme hurlant de plein poumon en foret, fit arrêter l'assassin devant la scène de folie qui éprenait cet homme. Dans une certaine pitié, il fini par saisir une pierre au sol et venir derrière lui l'assommé avec. C'est alors que sous les vêtements qu'il s'était déchiré par démence, il aperçue une bosse sous sa peau bougé... il dégaina son Katar et fendit a cette endroit délicatement la peau pour débusqué la chose qui semblait le grugé. Il découvrit alors la petite sourie ensanglanté.

- Qu'est ce que ?! Fit-il en la prenant par la queue et la sortant de la avec méfiance.
Il commença a faire le lien que ce petit rongeur venait par deux fois de lui sauvé la vie.
Sans l'aimé particulièrement et la craignant surtout , il hésita a ne pas la jeter loin de lui, mais comme elle avait visiblement sauvé sa mise, l'assassin ne pu croire au hasard.
Il la descendit dans son autre main, essayant de resté calme et la touchant sur le dos.
- Qu'est ce que tu fabrique petite furie?.. Fit-il gêner de lui adressé la parole, tout en essayant de vérifier qu'elle allait bien.

Le créateur Nombre de messages : 379 Date d'inscription : 18/12/2004

L'homme qui hurlait furieusement en s'arrachant ses vêtements retrouva subitement son calme lorsqu'il fut atteint de la roche. tombant en pleine face.
Compte à la fillette, plus tard, elle fut trouvé par une des innocentes qui avait été pris en otage par les chevaliers noir et elle partie avec elle loin du danger.

Ayant été d'abords très surpris de ce retour a l'assaut de l'humain, il passa maintenant en contentassions intense. Il sentait la peur de sa proie...

Il resserra son étreinte écrasante contre le bras toujours armé de l'épée au quel l'humain sembla s'accroché comme un dernier espoir. Lentement, il ce mit a gloussé de rire comme comblé de ce qui ce passait sous ses yeux rougeoyant comme un démon.
Le chevalier ce retourna entièrement vers lui, allant de son autre main maintenant lui saisir la gorge qu'il étranglant doucement de plus en plus fort.

- Lâche... ton arme.
Silla ses paroles comme un vent dans une encolure de fenêtre en hivers, laissant sous entendre que tout était foutu pour lui a présent.
Il patientait sans bronché comme un piège qui c'était refermé sur la pattes d'un ours. Il allait savourer chaque instant qui allait suivre.

Humain/Guerrier Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 17/07/2012

Le vétéran fixait Karia de son œil unique. Il tenta d'analyser la situation, de ravaler et sa peur, et sa fierté. En ce moment, le souverain le tenait. Du coup, il n'était pas a la poursuite de la gamine , des autres civils. Chaque seconde était précieuse, même si il devait les payé en souffrance et en sang. Il tenta de maitriser la terreur qu'il sentait poindre en son for intérieur. Ses doigts s’entrouvrirent, laissant choir la lourde lame qui tinta en tombant au sol. Il tenta de parler, de gagner du temps, mais ne réussit qu'a émettre un gargouillis incompréhensible. Il sentait le froid de l'acier contre son cou, les marques laissé par les doigts sur sa gorge qui le brûlait.

Alrick n'était pas du genre religieux, mais en ce moment, il ne pu s'empêcher d'émettre une prière. Pas qu'on le sauve, il se savait déjà vieux et usé. Seulement que son âme, si il devait périr en ce soir funeste, puisse retrouver celle de sa femme, de pouvoir vivre enfin un concept que l'on nomme paix, lui qui avait passé une vie d'errance, de lutte, de combats acharnés.

Vaincu, il cessa de se débattre,sa main libre retombant mollement a ses cotés.

***

Sur le coup, le petit rongeur semblait s'étouffer, alors que Samael le ceuillait. Une fois posé dans sa main, la petite bête eu la présence d'esprit de détourner la tête d'au dessus de la main, crachant des petites boulettes de chair. Épuisée,elle s'étendit sur le dos, tâchant de sang la main du jeune albinos, émettant un couinement unique, bas. Étrangement, la musaraigne semblait sanglotter, son couinement saccadé, comme si elle pleurait. Tristesse. Voilà un concept qu'un rongeur ne devrait pas être capable de saisir. Et pourtant, elle semblait vraiment peinée.

Le chevalier noir, resta de marbre jusqu'a ce que le sons vibrant de l'épée résonne au contacte du sol. Il vit abandonné tout espoir et combativité, ce qui le déçus légèrement en voyant ses bras ramollir de toute résistance.
Ce qui lui fit finalement lâché prise du bras qui avait été armé un peu plus tôt. Cependant, il resta accroché a sa gorge approchant le visage de sa proie du sien, le soulevant du sol pour palier les têtes de hauteur qui les séparaient.
Il ce mit a le reniflé comme un prédateur flairait sa proie, savourant cette situation de désespoir qu'il faisait vivre a ce vieux battant.
-..Une dernière volonté humain?..que je puisse aller chassé les autres que tu as si gentiment éparpillé dans la forêt.
Continua t-il a s'exprimé derrière la façade de son heaume qui cachait toute expression de son visage. Cachant aussi le regard presque admiratif devant le courage qu'avait fait preuve cet homme en l'affrontant pour le salue des autres.
- ... Qu'elle faiblesse cette compassion et elle ne t'aura servi a rien du tout.
Il le reposa au sol, desserrant avec prudence sa poigne de sa gorge pour entendre les dernières paroles qu'il prononcerait.

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

L'assassin qui observait le rongeur, cru un instant de plus halluciné des émotions provenant de cette petite bêtes mystérieuse. Elle pleurait?..
Il froncis des yeux en l'observant sans mot, la voyant trempé son gans de sang.
Samaël ne s'y attarda pas, refermant en douceur ses doigts sur elle pour la protégé, alors qu'il ce remis en course vers le campement pour voir se qu'il pouvait faire.

Humain/Guerrier Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 17/07/2012

-Justement.....

Il fut interrompu par une quinte de toux, voulant respirer trop rapidement.

-Justement, disais-je donc, laissez les partir. Je ne sais pas qui vous êtes ni ce que vous recherchez, sauf que vous agissez par la terreur. Laissez les vivre, qu'ils racontent au monde ce qui s'est produit ici.

Il tentait de garder son calme, de mourir dans la dignité. Il avait épuisé toute sa force magique, et il dubitatif du fait que Karia le laisse incanter le moindre charme sans réagir. Véloce malgré son harnois complet, il ne pouvait pas simplement tourné les talons et fuir. Désarmé et épuisé, il regardait les bois environnants, se demandant distraitement si Rapide y serait heureuse. Une fois mort, son familier reviendrait a l'état naturel. Un rongeur des plus banal.

-C'est ma dernière volonté. Ma vie contre la leur. J'espère simplement que vous m'offriez une mort de combattant.

Il fixa le souverain qui le dominait, autant physiquement que par sa taille , de son œil unique.

Le grognement de la bête résonna de mécontentement, son souffle bruyant de violence s'évacua de façon sèche et raide avant de laissé entendre un rire qui ne présageait rien de bon.
C'était tout? sa vie contre les autres?

- Pourquoi faire? Pourquoi une seule vie vaudrai celle de toutes les autres hum? et je devrais en plus te comblé d'une mort glorieuse? Alors que tu as été pitoyable!
Lui referma t-il ses serres autour de la gorge, avant de reprendre de façon lugubre.

- Hahaha, comme si j'allais t'accordé une dernière volonté! J'étais simplement curieux de savoir ce que pouvait bien désiré avant de mourir, un être dévasté par l'échec.
Ce mit a reculer le chevalier noir, avec sa proie dans la main, vers le cheval qu'il avait abattue de son épée dans l'intension certaine de s'en servir pour achevé Alrick.

- En vérité, je ne le leur laisserai aucune chance...Dans les ténèbres nul ne peu m'échapper.
Je retrouverai cette enfant et je l'écorcherai pour l'envoyer a votre Roi bien aimé. Un message qu'il devrait saisir avec beaucoup moins de fierté que le précédent avertissement.
Je n'ai donc besoin d'aucune publicité supplémentaire et surtout qui n'atteindra jamais la cible que je vise.

Termina t-il en cherchant le pommeau de l'épée qui était fiché dans le corps encore chaud de l'animal.

- Et comme tu accepte trop bien de mourir, je crois... que je vais jouer a un petit jeu avec toi.
Il le repoussa violemment de lui tout en dégageant sa lame d'une seule main qui sortie rougeoyante du cadavre dans un bruit de succion avant de lui posé la pointe au niveau de la gorge pour ne pas le laissé filez de suite et le forçant a reculer vers les flammes de l'auberge qui ce trouvait derrière lui. Une fois bien envelopper par la lumière sinistre des flammes, il contourna l'humain pour avoir la lumière dans le dos, s'arrêtant de bouger, attendant de voir si l'humain allait fuir ou resté entendre la suite. Éprouvant, défiant littéralement ce courage, cet folie qui avait pousser cet homme a ce sacrifier pour autrui.

Humain/Assassin Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 09/10/2007

Samaël le souffle cours arriva a la lisière de la scène d'horreur, observant Alrick pris au piège par la poigne de ce monstre de fer noir. Il retient son souffle en voyant que le chevalier noir avait abattu le cheval de Xémus et qu'il s'approchait dangereusement de l'épée...
Les yeux dilaté par la lumière de l'auberge, il eu une monté d'adrénaline en entendant la voix métallique et sinistre du géant qui parlait de chose qui échappait a sa compréhension. Puis il retient son souffle lorsqu'il le vue repoussé son protecteur pour le menacé de nouveau de façon dominatrice de sa lame.
Que pouvait-il faire? que devait-il faire?! l'impuissance le paralysa cherchant quoi que ce soit qui aurai pu l'aidé. Et la seule chose qui lui vient a l'esprit s'était une phrase...

<< En vérité, je ne le leur laisserai aucune chance...Dans les ténèbres nul ne peu m'échapper.>>
-Dans les ténèbres nul ne peu m'échapper?.... Répéta t-il en observant d'avantage son adversaire qui ne laissait rien voir de son corps. L'armure ressemblait a une seconde peau tranchante et presque impossible a abordé de plein front. Même son visage était recouvert de fer tranchant... Il devait bien avoir une faiblesse! Comparativement au autre chevalier qu'il avait croisé depuis ce soir, son armure semblait presque imperméable tellement elle l'enveloppait ne laissant de place ou ce logé a aucune lame. Du moins a cette distance il ne lui était pas possible de l'analysé de façon pointue. Son souffle s'accéléra dans l'impasse qui ce profilait refusant de laissé Alrick a son sort sans avoir tenté une quelconque manœuvre. Il attendit a nouveau une ouverture avec impatience, alors qu'il tenait toujours entre ses doigts la petite musaraigne qu'il avait secouru. Cette dernière pouvait se dégager facilement au besoin.

Humain/Guerrier Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 17/07/2012

Soulevé par le poing ganté de Karia, sujet a l'écrasement de sa trachée, le vétéran tente laborieusement de respirer. En quoi sa vie vaut-elle plus que les autres? Foncièrement, en rien. Sauf qu'en ce moment , Karia s'occupait de lui, pas des autres. Ce que le succès peut être douloureux, parfois. Même vaincu, il avait accompli la part du plan qu'il s'était imposé.

L'arrogance du souverain le sciait. Comment était-ce humainement possible? Bien sur, il croyait qu'il n'était pas humain. Mortel, soit, sûrement un demi race comme le reste de ses troupes. Néanmoins,cet individu était une incarnation tangible du mal, donc l'être entier empestait la mort et la souffrance. D'un œil froid, il vit la longue lame d'acier s'extirper du corps de la défunte monture de Xémus. Son exécution semblait éminente. Une mort rapide semblait la meilleure des options qui pouvait lui arrivé.

Malheureusement, Alrick ne put pas savoir de quel premier avertissement Karia parlait. Cela faisait des années qu'il était en cavale, rompant son serment d’allégeance à ce << roi bien aimé >>. Ce ne fut pas une surprise qu'il ne fut pas au courant des derniers développements diplomatiques. Le vétéran voulait a tout prix détourner l'attention de Karia de la gamine vers lui.

Finalement, son dernier souffle devrait attendre, alors qu'Alrick recula sous la poussée titanesque de Karia, plus loin qu'il n'aurait voulu. Ses vieux os le faisait souffrir, il tenta de récupérer son souffle le plus rapidement que ses poumons usés le lui permettait.

- Mon roi bien aimé?

Surpris, il ne put s'empêcher de rire, même si ce rire avait une pointe malveillante en lui.

- Elle est bien bonne, ouais. Si par hasard vous enverriez ma tête au roi, vous risquez de n'avoir qu'un carton de remerciement et peut être un panier de fruits. Voilà ce que j'en pense, de mon roi bien aimé.

Il cracha au sol, constatant sans surprise un peu de sang dans sa salive, son corps matraqués depuis un bon moment déjà. Alrick n'avait choisis que quelques mots dans les menaces du chevaliers,toujours dans le but de ramener son attention sur sa modeste personne. Une phrase pour stagner, gagner du temps, seconde après secondes, minutes après minute.

Le vétéran eu un rictus, presque méprisant pour Karia. Il parlait trop. Il était semblable a ces vilains dans les livres d'histoires pour enfants. Malheureusement le chevalier noir était par trop réel a son goût, tout de fer et d'acier et de sang. Et pas que le sien.

Au moins il avait gagner du temps. Tout cela allait selon son plan a lui, non le sien. Pareille a une partie d'échec, les pièces étaient finalement en place pour l'échec et mat funeste. D'ici la, Alrick jouerait son rôle de distraction du mieux qu'il pourrait. Chaque seconde mettait davantage de distance entre lui et les fuyards.

Oui bon, ce n'était pas très glorieux de fuir, mais ce n'est pas la destiné de tous de revêtir l'armure du combattant, de faire rempart de son être contre les ténèbres de ce monde. Comme chaque combattant le sait, derrière chaque porte lame il y a une incroyable logistique. Du forgeron jusqu'au charretier transportant la nourriture et les blessés.

Sinon, pourquoi lui laissait-il la possibilité de fuir? C’était une situation assez burlesque. Le pinnacle de l'arrogance. S'imaginait-il être si supérieur qu'il était persuadé d'avoir devant lui un insecte?Cette pensée avait quelque chose de malsaine, de déplacé. Il recula de quelque pas, sans jamais tourné dos a Karia. Suffisamment pour s'approcher de son couteau de chasse,de sentir la poignée contre ses bottes d'équitation. si seulement les dieux lui en laissent l'occasion. Hors de question de mourir en tournant le dos a l'ennemi.

Si ce n'était que lui et le chevalier, il n'aurait eu aucun scrupule a rejoindre les bois, utiliser chaque parcelle du terrain pour entraver Karia. Seulement, même si il réussissait à fuir, il ne pouvait pas anticiper ou le chevalier frapperait. La gamine, sûrement. Peut-être le soit disant assassin. Incapable de le savoir par avance, il ne lui restait plus qu'a jouer la carte de la prévisibilité. Devant lui, il savait ou trouver le chevalier noir.

- Malheureusement, je crois que je suis un peu vieux pour jouer. Je crois que je vais devoir faire une exception...

***

La musaraigne jetait un regard las vers le combat, tremblante sous son pelage maculé de sang. Assise sur ses pattes arriere dans la paume de Samael, elle tenait entre ses pattes antérieur sa longue queue,semblable a un enfant tenant entre ses bras sa couverture favorite.

Il observa l'homme qu'il avait envie de détruire d'avantage, animé lui-même d'une telle haine et de vengeance voulant plus que lui prendre la vie d'un coup d'épée.
Non, il en voulait plus... encore et toujours plus. Rien ne pouvait apaisé cette haine, il ne lui semblait qu'il n'y aurait jamais assez de sang a versé, ne se laissant pas le moins du monde influencé par les répliques qui suivirent, les trouvant sans importances.

Enfin presque toutes... Le vétéran semblait vouloir ce défilé, voyant une porte de sorties lui être offerte. Les quelques pas de recule qu'il eu suffirent a convaincre le chevalier noir d'avancé d'avantage pour lui planté la pointe tranchante de son épée dans sa cuisse droite et poussé lentement afin de lui faire suffisamment mal pour le forcé a s'agenouiller devant lui. C'était également une façon de le blessé volontairement de façon superficiel pour lui coupé toute retraite ou l'idée folle de le poursuivre.

Pour lui, le temps était sans importance, l'identité des gens qui succomberai a ses coups encore moins... Que ce soit ceux qui courait en forêt ou la prochaine ville qu'il raserait dans sa rage contre l'humanité. Il n'y aurai pas de miséricorde.
- Je ne pense pas t'avoir donné le choix de refusé ... Souffla t-il agressif et dominateur avant d'entamé l'explication de son dit '' jeu''.

-Je suis venu vous anéantir, vous forcer à l'exile tous autant que vous êtes. Je vous amène la souffrance, tout ce que je laisserai sur mon passage ne sera que désolation et haine. Je ne vous octroierai aucun répit vous les humains jusqu’à ce que le jour ou toi... tu te représentera devant moi pour me défier, pour me réclamer cette mort que tu te croyais digne dans une veine tentative de m'arrêter.
Dit-il toujours aussi arrogeant et persuadé de sa domination total.

- Jusqu'à ce jour vienne, je tuerai tout les enfants tel qu'il soit naissant ou sur le point de l'être. J'infligerai des tortures et des tourments a votre avenir, votre futur, je brulerai leur ville, j'arracherai leur parent et je les réduirait en esclavage. Je forcerai leur progéniture a s'entre-tuer pour mangé et je le ferai en me souvenant de toi. Je leur insufflerai la haine la plus noir, des tourments incessant de vengeance...
Fit-il entendre dans un calme qui reflétait sa propre haine corrosive en lui lançant un ultimatum de grande envergure.

- Quoi que tu choisisse de faire, tu devra subir ce qui suivra ou fuir en te suicidant si tu trouve la vie trop difficile a supporté. Il n'y aura plus sur cette terre aucun endroit ou vous abritez.
Mais a toi, je te laisserai la chance... une deuxième chance de m'arrêter.
Laissa t-il sous entendre qu'il le laisserai vivre pour gouté a la fournaise qu'il annonçait, qu'il lui laissait cette chance par pur caprice.

Karia resta a le contemplé au bout de sa lame, observant sa réaction devant une situation qui échapperai a tout contrôle, ne lui laissant en réalité aucune alternative que de le vaincre pour l'arrêter. Lentement, il dégagea la pointe de son arme de sa cuisse, reculant d'un pas pour commencer a le contourné et apparemment ce préparer a partir en chasse.