Le ying et le yang: Deuxième partie

Pendant un instant, lorsque je relève la tête a cause de la lumière et de Jeni qui approche, j'ai l'intime conviction que j'allais avoir son livre étamper au visage. Soulagement, elle se ravise en me reconnaissant et ...se moquant de moi un coup partie. De toute manière je l'ai un peu mérité.
- Ne me fais pas plus mal que la table basse ... laisse mon orgueil en dehors de sa.
Lui répliquais-je alors qu'elle souligne ma bêtise.

- J'allais vers le dortoir et j'ai sentis une présence et sa ma conduit ici, je ne voulais pas te déranger et j'allais faire demi-tour ... quelqu'un a laisser trainé une pile de bouquin...

Je grimace et me frotte abondamment le tibias avant de le laissé tranquille et m'adosser au divan pour mieux la regarder.
- Maintenant que l'on y est, tu va pouvoir me dire ce que tu fabrique au château? On t'as amener pour le procès de force?

Je ne peux m’empêcher de continuer à sourire, c’était une pause qui m’était bien mérité au final, regardant autour de moi pour me rendre compte de l’heure qu’il était…

-…hmmm… une présence… ou mon odeur?....* Laissais-je planer d’une voix maintenant douce et presque aguichante… Restant debout près de lui, pour ma part cela ne me faisant pas de tort et d’enfin changer de position…

-…montre-moi… si tu n’es pas blessé plus qu’on ne pourrait le penser…* Me penchais-je sur son tibia pour aller le regarder grâce à la lumière de la chandelle que je pose sur la table après l’avoir replacé…

-… oui … je suis ici pour le procès… et m’instruire… mais non personne ne m’a amené de force… je suis venue de moi-même… de toute façon je n’aurais pas eu le choix… même que j’ai eu droit à des compagnons de voyage…

…très peu jasant par contre… haha… j’imagine que c’est la procédure…* Lui dis-je tout en levant son pantalon et regarder pour ne voir aucune égratignure, seulement une rougeur qui deviendrait probablement une ecchymose éventuel…

Je me relève lentement, puis lorsque je me redresse, sans m’en y attendre mon ventre hurle famine, cela en écho dans toute la pièce, je viens me le prendre à deux mains, tout en ricanant de gêne…

-… oups… pardon… hihi…

J’appuie deux doigts sur ma tempe gauche, lui laissant inspecté mon tibias en poussant un soupir agacé, le coude bien assis sur le bras de mon siège.
- ...Et bien peut-être a l'odeur oui...c'est presque la même chose non?
Je la regarde faire, incapable de ne pas pensé a ce que ses lèvres souriante son capable de faire sur ma peau... après qu'elle met parler de cette façon invitante.
Tout est en place pour une réplique salace bien placé quand son estomac brise absolument l'ambiance.
Je ferme les yeux, soupire a nouveau.
- Tu as oublié de manger? vraiment... ce n'est pas très sage.
Arrivais-je ainsi a changer mes idées facilement influençable.

- Je sors de table pour ma part et pour tout te dire, j'étais sur la piste d'une autre odeur avant de flairer la tienne... celle de la mort. Je me sens... pas bien en faite... je crois qu' Alex va mourir ce soir.
Lui annonçais-je ma prédiction morbide, le visage un peu défait comme si j'allais être malade.

-… je l'avoue… je n’ai pas été très gentille… haha mais quand je commence quelques chose… on dirait que je ne peux plus m'arrêter… hihi…* Le regardais-je tout sourire aux lèvres les mordant pour m’en punir un peu…

-…Quoi?!... non!…déjà…et…je voulais aller la voir… je ne l’ai même pas fait…

…Karia…..* Dis-je tristement en étirant son nom dans un doux souffle... J'étais sur le choc de cette affreuse nouvelle...Me laissant choir sur l’autre appui coude près de lui… Je viens lui flatter les cheveux, mes yeux s’emplissant déjà d’eau, voulant tant le rassurer …

Je me penche pour appuyer mon front quelques secondes contre le sien et y laissant un tendre baiser, pour ensuite me rasseoir normalement… Tentant d’avoir un peu de distance a cause de mes pouvoirs… alors qu’il avait tant besoin d’être collé…. maudissant mon manque de savoir et de compétence dans l'immédiat...

-…Tu as …été la voir?... je peux faire quelques chose pour toi?!...* Le regardais-je droit dans les yeux, ne sachant pas comment couvrir son chagrin et le rassurer dans ce processus qui arrivait à grand pas …

Je la regarde confus, je ne ressens rien, ni ne comprend son besoin de consoler ce qui n'as pas besoin de l'être.
- Je partais a sa rencontre, je ne voulais pas manquer sa pour rien au monde...
Sifflais-je avec une colère refouler, ne sachant si j'avais envie de résisté a repousser la compassion de Jeni ou la laisser me toucher.
- Depuis le temps que j'attendais ca...

Eux je même un tremblement dans la voix, les larmes me montant au yeux sans que ce soit de la peine. Il y avait dans mon cœur encore beaucoup de rancœur envers la vieille, je n'admettais pas que sa mort puisse me faire du tord.
Oui bien sur, quand son sang pue dans toute la pièce je perd mes moyens, mais ce n'est pas par choix. Sa me rend fou, émotivement incontrôlable.

- Je vais a son chevet, attendre ...
Mes yeux ce tourne sur elle, ils sont profondément en colère, Alexendria n'avait rien d'une sainte a mes yeux... Qu'une humaine dont le sort funeste fut retarder par les circonstance.
Enfin...ma tête ce rappelle et mon coeur fissurer saigne tout a la fois de sa perte. Mais pas question de l'admettre. Je ne sais pas en vérité ce qui ce passe ... mais j'avais hâte d'y mettre un terme et tourner la page de ce chapitre .
- Tu peux venir...
Lui proposais-je en m'interrompant, tournant ma tête vers le corridor, des servantes montait les marches rapidement, j'entendais les murmures inquiet, le bruit des vaisselles qu'elle apportait dans des plateaux... Je sais ou elle vont, a la même place que moi ou nous.
C'est minute sont maintenant compter.

Je le sentais tiraillé de tous les côtés, il me disait de la colère et je le voyais dans ces yeux, mais quelque chose d’autre que la haine pour elle venait me chercher dans le ton de sa voix… Je le laisse réagir à sa façon, l’écoutant me dire qu’il n’attendait plus que cela… Même si ça me fendait le cœur , qui étais-je pour décider de ce qu'il vivait...

Aussitôt, qu’il me demande, je me lève, je voulais la voir même si cela serait pour une dernière fois… Prendre sa main chétive dans la mienne, même si elle n’avait été qu’un passage dans ma vie, le temps que j’avais pu avoir avec elle , m’avait été précieux…

-…bien sûre … je t’accompagne…

… quoi?... qu’est-ce qu’il y a?!... qu’a tu entendus?... * Me mis-je à regarder autour de nous alors qu’il rompt la conversation ou du moins ce qu’il allait dire…

- Rien.. ce sont que des gens qui montais probablement pour elle justement. Allons y alors.
Baisais-je a ce moment les yeux sur ses mains que j'avais envie de prendre, mais je me ravise de nouveau. Je me lève et me dirige a l'étage allant la trouver dans sa chambre, entourer de servante qui posait des serviette chaude sur sa poitrine, soudainement Alex se cambre et ce met a toussé si fort et profondément qu'elle vomis du sang suffisamment pour remplir un verre d'eau...
Je me cambre violament attrapant spontanément la main ignorer plutôt de Jeni. Dans la lumière tamiser ambiante, mes yeux noircissent profondément et je perd sur le moment ma faculté d'élocution. J'avais qu'une envie fulgurante de tuer tout le monde, je sens mes gencive ce crisper intensément et mes dents ce mettent a grincé.
Le souffle de la vieille est profondément roque, on l'entend cillé de l'entré.

J'essais de toute mes forces de ne pas céder a la folie... mais la pression monte avec fulgurance. Ils devaient tous quitté les lieux immédiatement.
Comme si je serai épris de rage, je me met a grogner, ma température augmente tant que j'ai l'impression qu'une fièvre me domine...
Ma vision s'embrouille et le monde autour de moi semble vacillé, un peu comme si j'avais trop bue j'avance d'un pas vers sa couche et je siffle difficilement entre mes dents serrer.
- Sortez...Sortez tous!

Je regarde la dame, sa jaquette de nuit mouillé de sang dans son cou, sa respiration était devenu un combat intense. Les servantes ne partent pas sur le champs comme figer par l'impuissance et la situation. Je ne peu pas leur expliquer... il n'y avait rien a comprendre.

Je le suis sans attendre, ma poitrine se serre alors que l’on croise les dernières servantes qui entrent dans la chambre toutes énervées… Sa sentais l’humidité, l’eau chaude montait en vapeur causant un petit brouillard au plafond de la chambre…

On a, à peine, le temps de s’avancer vers son lit, qu’elle recrache le sang que contenaient tout ces poumons sur elle… La main de Karia venant m’empoigner fermement, mes yeux s’écartent dans un avertissement alarmant….

Je peux sentir la chaleur du dragon monter en lui, mon regard croise le sien qui noircit de plus en plus rapidement…

-….ALLEZ! … ALLEZ!... Le roi a parlé!... Faites ce qu’il dit… vite!.... Aucun ordre ne doit être discuté!... * Enlevais-je ma main de la sienne, allant près du lit, à côté d’Alex en sang et toucher les femmes afin de les ressaisirent et les repoussées vers la sortie afin de sauver leurs vies….

Elles sont saisis par l'intervention de Jeni, sursautant avant de quitté la pièce dans un silence ironiquement bruyant.
Leur pensé me sont presque palpable, tout ce chaos qui attise leur peur affute ma faim. Dès que la porte ce ferme je n'ai plus la force de me retenir, j'explose. Mes mains ce saisisse d'une commode, les traits de mon visage son tirer dans une grimace de violence intense, mon souffle qui gronde entre mes dents me fait écumé.
Et alors que j'allais soulever le meuble, la main d'Alex viens me saisir en vole avant même que je ne soulève l'objet du sol.
Son sang me touche de ce fait et je suis paralyser, tournant les yeux vers elle, ses doigts maigre ce glisse vers ma paume trouvant un passage dans ma prise d'étau.

Elle arrive a me tenir fort, étonnamment fort pour une femme dans sa condition... En la regardant je vois sa peur, elle est carrément terrifier même, ses yeux opaque fixe le plafond mais je sens qu'elle me regarde, m'impose le calme.
Je retient un rugissement, je n'ai aucune envie de me calmé, la contrainte est insupportable, mais je ne trouve pas la volonté de m'en défaire.

Je lâche le meuble, retirant ma main de la sienne dans un grand mouvement de bras, essoufflé comme si je venais de piquer un cent mètre.
- Oui! JE SUIS LA... Je suis venu assister a ta mort Jabress, notre contrat tire a sa fin. Tu baigne dans ton sang comme les autres au finales...

Lui parlais-je avec beaucoup de rancœur, presque entrain de simuler du plaisir a la voir agoniser, mais physiquement je me sens démolis a chacune de ses respirations. C'est la première fois que je vais assister consciemment a la mort d'une maitresse... mon cœur palpite avec douleur. Il ne peux y avoir qu'une Jabress a la fois... Mère... dès que l'équation semble s'additionner, une fulgurante décharge me prend le crane, mes souvenir entrant en collision avec un mur si violement que je ne trouve que de la confusion.

Je suis si absorbé par Alex, que j'en oublie l'existence de Jeni, de sa présence a mes cotés durant cette scène d'amour, haine...
Je prend la chaise du bureau, venant m'assoir près du lit, pausant mes coude sur mes genoux pour cacher mon visage dans mes mains. Je suis tellement soulager et en colère, triste et joyeux... Je ne comprend pas ce qui arrive.

Je ne peux pas m'empêcher de repenser a la nuit que j'ai passé avec elle il y a peu, l'angoisse de sa mort imminente qui m'avait torturer des heures durant...
Maintenant le grand jour été venu, je le sens, la mort est partout dans l'air, sa chair, son sang et son vieux cœur qui livre son ultime combat.
J'avais fantasmé des années durant comment ce moment arriverai, comment je réagirai et rien n'arrive comme je l'avais imaginé.
J'ai envie de rire au éclat et de pleurer en sanglot en même temps.
Pourtant dans l'instant présent, il ne se passe absolument rien dans mon visage, mon regard fixant sa poitrine qui ce soulève rapidement, le souffle cours. Son sang étaler un peu sur mon visage lorsque je retire mes mains pour les joindre ensemble et coller mes jointures sur mes lèvres.
- Si seulement... je pouvais t’achever une bonne fois pour toute...

Je referme la porte derrière la dernière servante qui la passe, fermant à clef afin que personne ne vienne le déranger…. J’appuis mon front contre celle-ci puis me retourne tranquillement, le voyant perdre contrôle totalement, pour finalement voir les pouvoirs de jabress, la force d’arrêter une puissance terrible…

Je n’ai pas peur, mais reste bouche bée, le voyant la repousser ensuite du revers de la main… Les menaces qu’il lui profère me fond mal dans un certain sens… Aurais-je droit au même discours?... si… un jour je deviendrais sa maitresse et que ma mort serait éminente…. Ces pensées seront-elles semblables ou pas du tout?…

Je ne sais pas quoi faire pour les aider, je voulais tant soulager Alex de cette souffrance affreuse et de l’autre… consoler Karia qui n’arrivait plus à gérer quoi que ce soit… J’ai envie de m’avancer dans leurs direction, mais n’ose pas, mes larmes montent de plus en plus….

La scène me déchire complètement, mes mains venant s’appuyer contre ma poitrine durement, ces paroles qui lui dit alors que son corps semble vouloir exprimer autre chose… Sa réaction me donnant l’impression qu’il n’avait jamais vécu cela et qu’il ne savait pas non plus comment faire et où se mettre dans cette situation…

- Jeni est au courant maintenant ... comme tu l'as souhaiter. Elle pourra te succéder.
Laissais-je couler avec haine d'avoir mêlé Jeni a cette histoire.
Alex tend la main vers moi, elle me cherche, ses doigts a quelque centimètre de mon visage, je ne sais juste pas quoi faire, avant qu'elle soit repris d'une toux ignoble qui la fait gargouillé de douleur et toussé cracher dans mon visage.
Je pense que je vais tombé dans les pommes durant un instant, ce fut aussi violent que de me prendre un coup de point en pleine tête.
Je me lève de ma chaise en titubant, l'écartant pour ne pas passé cul par-dessus tête en m'y enfargeant.
Je vois rouge et lâche spontanément un cris, sa main me cherche encore dans le vide.
Je me refuse la compassion, le pardon, je ne vais pas vers elle et me tire les cheveux de la tête avant que mes bras viennent de chaque coté de mon corps tendu et gonflé et que j'hurle de frustration.
On entend des coups porté a la porte, la poignée qui s'agite contre le verrou.
- Dit moi ce que tu veux que je fasse!
Ne pus-je me retenir de crié en drowique cette supplique criante entre chagrin et peur, devenant fou d'impuissance. Tout ce sang... j'ai le vertige comme si c'était la première fois que j'en voyais autant de ma vie. Et que tout les divins m'en soit témoins, je me suis baigner dans le sang plus que mon "humanité" n'a jamais pu le supporté.

J'arrive près du pied du lit baldaquin, faisant le tour et frappant un pilier si fort qu'il vole en éclat couper en deux. Je prend le coffre qui s'y trouve et le lance sur le mur d'en face détruisant avec la magnifique coiffeuse a miroir qui s'y trouvait.

- POURQUOI NE VEUX TU PAS MOURIR UNE BONNE FOIS POUR TOUTE !!!? LIBER MOI!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Rugissais-je dans ma langue natal, a en versé des larmes et a tirer tout les muscles de mon cou, a en faire tremblé mon corps ... J'avais mal, je souffrais de la voir dans cette état immonde, elle me donnais envie de mourir a mon tour. Quand j'eux fini de crié, un sanglot m'échappe comme un hoquette impromptu.
Je vais vers la fenêtre, l'ouvrant et allant au balcon vomir spontanément. Laissant un répit a mon propre coeur de cette vision d'horreur que j'avais imaginé si jouissive auparavant.

Je reste plaqué contre la porte, heureusement, voyant voler dans la pièce le meuble alors que le miroir éclate en morceau, j’ai mal de le voir dans cet état… Je semble même invisible dans le moment, comme s’il était seul avec elle, j’ai l’impression de vivre une de ces terreurs nocturne…

Je sursaute lorsqu’il se met à hurler à tue-tête contre elle, la porte vibrant sur mon dos au même moment, les gens semblant être inquiet derrière celle-ci… Il était hors de question d’ouvrir pendant qu’il était dans cet état…

C’est plus fort que moi, alors qu’il se lève et ne semble pas aller bien ,je fais quelques pas dans sa direction, mon être fend a avoir la pauvre femme le quémander de cette façon... Puis, c’est alors qu’il sort pour vomir toutes ces émotions qui s’entassaient en lui, le stress de ne plus pouvoir les contenir déferlant dehors contre le balcon…

Je m’approches du lit, évitant les éclats qu’il avait causé, allant sur le côté qu’il ne s’était pas tenue un peu plus tôt… Je viens prendre une serviette chaude puis la main tendu d’Alex afin de la rassurer le plus possible…

-…Shuuut… Alexandria…. Je suis là…c’est moi Jeni… attendez… laissez-moi nettoyer votre bouche un moment… vous n’êtes pas seule…. Je reste auprès de vous….la la… * Lui susurrais-je tout doucement, lavant ces mains lentement, puis lui donnant un baiser sur sa peau déjà froide comme un mort…

-… Je serai là… jusqu’à la fin… n’ayez pas peur… votre souffrance se terminera bientôt… je… vais m’en occuper… je prendrai soins de lui… vous savez…il me là demandé… personne ne l’a forcé… je suis flattée que vous m’ayez choisi…* Lui pris-je la main qui était de mon côté, la massant tendrement pour tenter de la calmer le mieux que je le pouvais…

-... Je suis désolé... de ne pas être venu plutôt... vous qui avez vécu cela seule... je n'était pas au courant... c'est Karia qui me l'a dit...

Alex attrape la main de Jeni, lui faisant un sourire sanguins, elle n'en avait plus pour longtemps, les secondes semble défiler a toute vitesse pour une vie qui fut si longue.
Malgré sa faiblesse, quand Jeni nettoies ses mains, elle étire le bras du coté de la table de nuit que Karia avait bien faillis envoyer par la fenêtre, ouvre le premier tiroir et viens chercher son journal intime a l'intérieur. Rapidement, les mains tremblantes et mal a droite elle cherche celle de Jeni et lui donne pendant qu'elle parle. Le temps était un luxe démesurer maintenant. Il était trop tard pour taillé une bavette, mais dans un dernier acte en confiant cela a Jeni, elle sais qu'elle lui transmet un très lourd bagage de secret...
Elle ne fait pas que lui confier, elle cherche un endroit ou cacher le livre sur elle, une sacoche, un décolté plongeant...de travers dans la ceinture.
Comment faire savoir a Jeni que Karia ne doit pas mettre la main là-dessus...autrement qu'en agissant ainsi.

Elle râle intensément comme si c'est poumon était totalement en lambeau, elle lui pointe la porte dans l'espoir qu'elle comprenne qu'elle doit partir d'ici avant que Karia revienne a son chevet et ne vois le sang qu'elle a toucher. Elle craint que le monstre prenne le dessus et ne tue Jeni avant même que le titre ce transmettre.

Elle ce met alors a toussé et toussé puis soudainement, elle agrippe Jeni par les vêtement au niveau des épaules, ce tenant de toute c'est force avant que la douleur finisse par l'emporté.
Elle retombe mollement contre le lit, fermant les yeux et cessant de s'essoufflé subitement.

Ce silence...annonce alors sa mort.
Je reviens du balcon, voyant Alex agripper Jeni par le collet, je ne réfléchis pas, approchant a pas de géant vers elles dans l'intention d'intervenir quand soudain...mon coeur me serre si fort, que je tombe sur un genoux en arrivant a son chevet , n'ayant même pas le temps de faire le tour du lit.
Je reste la a regarder son visage retrouver un calme plat, son coeur a cesser de battre.
Elle ne souffre plus, je sens mon corps pourtant bruler de l'intérieur.

Je lève les yeux sur Jeni, ils sont remplis d'eau mais, mon visage n'exprime pas d'émotion, il ne fait que tremblé, je fais une forme d'état de choque et je n'en est pas la moindre idée.
Mes larmes tombes, impossible de savoir si c'est de joie ou de tristesse...mais je pause mon front sur le matelas et lentement mes deux genoux ce rejoigne au sol.
Une fumée noir ondule autour de mon corps, la texture comme de la vapeur, notre lien brule, son odeur carboniser de ma mémoire enfin et a jamais. Seule Jeni ou Caliban pourrai voir ce phénomène inexplicable.

Je m’intrigue a la voir prendre un livre dans son meuble, puis me le donner, mais ces gestes semble me démontrer de le mettre en sureté, ou du moins j’ai un pressentiment de devoir le cacher…

Je le prends pour aller le mettre sous mes vêtements et bien serré contre ma ceinture, je ne sais pas c’est quoi au juste mais cela semble être très important pour elle… Elle me repousse ensuite, me pointant la sortie du doigt, faisant des gestes pressés dans cette direction jusqu’à ce qu’elle me retienne fermement, l’image de son visage si souffrant me fige sur place…

M’empêchant de bouger et même de respirer, c’est le regard écarté et fixe, que je la vois tomber au ralentit dans le lit, ces traits devenant serein d’un seul coup…. Les larmes perlent mon visage intensément, mes lèvres tremblent des derniers moments qui venait de ce passé…

Le bruit sourd du genou de Karia me fait regarder dans sa direction, mon air est sans mot, j’affiche un visage complètement terrassé… Alors que j’aperçois quelques choses que je n’avais jamais observées avant venant du demi…

Une étrange aura…ou plutôt une dispersion de magie quelconque, comme si quelques chose le quittais soudainement… Je voulais désespérément allez me coller contre lui, mais hésitait a le faire, ne sachant plus l’état qui le traversait…

- Tu peux, me laisser seul...et m'attendre dans ma chambre ou aller prendre un bain... ? Je vais venir te voir bientôt...
Parlais ma voix a moitié étouffé dans le matelas alors que je commence a relever la tête portant mon regard sur le cadavre d'Alex.

Si Jeni choisis de sortir, dès qu'elle ouvrira la porte, des gardes entrerai, serviteur compris afin de constater le décès d'Alexendria, dernière descendante des Dragonavichi.
Personne ne laisserai de temps a Karia de faire un quelconque deuil... même qu'ils attendaient son avale pour dégager le corps le plus rapidement possible comme s'il s'agirait d'une pestiférer.

Je reste un instant à le regarder, puis tourner mon attention sur Alex, je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression de devoir me faire donner des ordres pour que je puisse faire quoi que ce soit…

Sans dire un mot, sans rechigner pour quoi que ce soit, je me lève, passe ma main dans les cheveux de la dame doucement, puis respecte son souhait… Je me dirige vers la porte de sortie et lui jette un dernier coup d’œil avant d’ouvrir et de me faire envahir et bousculer par les gens qui attendaient avec impatience…

Les yeux fixent devant moi, je marche le long du corridor, je me sens comme un objet, qui fait toujours le même mouvement répétitif… J’essuie mes larmes tout en me badigeonnant le visage, mais sans le vouloir…

Que devais-je faire maintenant?... Mes iris se posent sur la porte de sa chambre… mais je n’ose pas y entrer… discrètement, je choisi de prendre la porte du bain, de toute manière tout le monde était préoccupé par le décès d’Alex et des décisions avenir de Karia…

J’entre et regardes partout autour de moi, espérant qu’il n’y ait personne, si cela était le cas, j’irais vers les serviettes pour m’y dévêtir, prenant soins de mettre le livre bien caché dans mes vêtements non souillés, nettoyant ce qui avait été tâché de sang afin qu’il n’y reste aucune marque dessus et l’étendit à côté du reste…

Je me déplace lentement pour venir descendre dans le bassin, m’aspergeant au grand complet puis, allant vers le bord où était l’endroit le plus proche de ma pile de linge… le corps plaqué contre le petit muret et la figure contre mes mains à l’extérieur de l'eau, maintenant sans me retenir… je pleures, la douleur est vivace et je ne comprends pas pourquoi…

Je la connaissais a peine, pourquoi avais-je tant de tristesse ?... Je prends de grandes respiration et sur de long moments, tentant de me recentrer, d’effacer ces dernières images d’elle qui me reviennent sans cesse en boucle…

Ils sont la, tel des charognards, leur voix n'a plus le moindre sens pour moi qu'un tas de bruit brouillons et sourd. Je me lève, mes rotules craquantes de douleurs ne me font même pas un plis au visage.
- Tu trouve le moyen de sourire même maintenant...
Soufflais-je pour moi-même en voyant son sourire, je ne peux qu'imaginer qu'elle a sortis son épingle du jeu finalement. Elle part paisible, en...paix? Je lui montre mes dents avant de contourner la masse et m'éloigner de son cadavre, je devais sortir d'ici.

J'entend mon nom, mon titre, on essais de m'interpeler mais je me dégage d'un coup d'épaule quand on m'attrape un bras, je n'ai rien a dire qu'il face comme bon leur semble pour se débarrassé de sa dépouille.

Comment pouvais-je être mue d'une tel indifférence, alors qu'a l'intérieur les murs de ma santé mental menace de s'effronté en morceau.
A pas de géant, je veux rejoindre les bains, me laver de son sang, me retrouver seul le plus vite possible. Alors que je me sens fragile dans cette liberté nouvellement acquise. Tout ce qui m'obsédait sur cette personne sont maintenant disparu...
Je ressens un grand vide m'habité... toute mes émotions que j'avais envers elle ce désintégrant lentement comme des vestiges de cendre soufflé par le vent.

J'entre promptement et referme derrière moi en bloquant la sortie d'une chaise.
A ce moment, je me rend compte que Jeni a choisis elle aussi le bain et qu'elle pleurait abondamment.
Je la regarde, la bouche vide de mot tant je ne sais pas si je dois être en colère ou peiné du chagrin que Jeni vie pour cette femme.
- Pourquoi tu pleure... pour elle...? Tu ne la connaissais même pas. Elle ne mérite pas tes larmes.
J'approche venant me tenir debout devant Jeni, me donnant l'air de la juger pour les sentiments qu'elle vie pour une tortionnaire.
Comme si en pleurant elle me trahissait.
Tout perd son sens, je me sens égarer dans ma colère ou ma peine... ce sentiment ignoble d'abandon qui me rend malade.
Il y a une tel froideur en réaction a cela que dans le fond de mes yeux et de mon coeur, on pourrai voir et sentir que je pourrai probablement renier toute forme d'attachement...
J'ai envie de la chassé de ma vue, qu'elle disparaisse de mon coeur comme Alexendria... que plus jamais je ne laisse quelque chose pouvoir me faire du mal de cette manière.
J'étais bien seul... J'étais bien.... ?

Je respire doucement, frottant mon front contre ma peau lentement, alors qu’il entre dans la pièce et vient se tenir au-dessus de moi, c’est paroles sont froide et emplie de haine… Tranquillement, je remonte la tête vers lui, mon regard larmoyant venant empoigner le sien avec compassion….

-…. Pourquoi… je pleure...?... Elle a été l’une des première a s’occupé de moi, qui malgré ces handicap me rassurait, étrangement… Son sourire m’était bon et chaleureux… je ne suis pas au courant de votre histoire, mais, elle tenait à toi énormément… je le sais...

Mes larmes perlent, de revoir son visage baigner de souffrance, alors que son dernier souffle la prenait de court… Je sens…je vois la douleur que tu as…. et que tu refuses de montrer… peut-être par simple orgueil…. alors, Oui!… ces larmes... sont peut-être même... les tiennes…

Jabresss…. Ta maîtresse…. Cela, depuis, si longtemps… ne l’as- tu jamais , au moins, une fois apprécié?... J’ai un profond vide dans ma poitrine et n’arrive pas à comprendre… Serait-ce parce que… je ne veux pas que tu souffres… être là, pour toi, dans cette épreuve ou bien souligner ta libération….

… Tu sais… Je suis là…. Karia… même si, je sens que tu crois le contraire…*Lui dis-je toute en douceur... Maintenant, gardant le silence, le regardant tendrement, je tente de venir lui caresser la jambe, je ne pouvais m’empêcher de le toucher… même si cela n’était qu’un peu…

Le sentiment de trahissons s'intensifie gravement alors que Jeni essais de calmé ma douleur, je n'aime pas que l'on parle d'Alex que ce soit pour ce qu'elle a donner comme impression au autres ou ce que l'on s'imagine qu'elle soit pour moi.

Je craque de rage a l'entendre dire qu'elle tenait a moi. La pression me monte dans le sang mes poings se referme si fort que mes jointures blanchissent...
Orgueil?! affection?
-NON!
Explose ma voix dans la pièce, mon visage ce défigurant a nouveau par la rage. Je ne sais pas si j'aurai la force de me justifier.

Mes chaines me brules, l'envie d'attaquer Jeni, de la noyer même me traversais l'esprit, dans cette frustration je désire me retourner contre moi-même, mais je ne peux pas...
Tout ce que je peux faire, c'est de reculer lorsqu'elle essais de me toucher la jambe.
Je suis entrain de perdre la tête...

- C'est ... C'est qu'une humaine... une HUMAINE... Comment peux-tu ressentir de l'affection pour cette femme, elle n'est pas mieu que les gens de où je t'ai sortir! Une cage.. c'est tout ce que représente cette humaine a mes yeux et toi.. tes la a pleurer un monstre de moins sur terre.
...Tu l'es aime tant n'est ce pas? C'est sa?
Me mis-je a être amer et méchant... tout en étant étourdis de ma rage fulgurante. Je me sens essoufflé de ressentir si fort les choses. J'ai honte de perdre les pédales et porte une main vers mon visage pour essayer de reprendre le dessus. Mais rien ne semble en mesure de me calmé.

Je ramène mes mains vers ma poitrine, alors qu’il me repousse avec un ton de violence, la rage l’enveniment de plus en plus… Je ne changerai rien de mon discours, ces mots je les pensais toujours….

-... Non…

… les gens, peut importes leurs races… je les apprécierai pour ce qu’ils font… comment, ils sont envers les autres ou moi… tout n'est pas simplement de les mettre tous dans le même panier... je n'ai pas de préférence... mais du vécu... pour m'en faire une idée...

…ton expérience, que je respecte, la dessus, n’est pas la mienne… malgré ,que beaucoup ont été dure, même de mon côté… * Je le confronte du regard, le mien restant calme et neutre, mes larmes reprennent… mais cette fois par la peine qu’il me cause…

Je voulais simplement l’aider, être là… mais, il me repoussait comme une vieille guenille… Je n’avais pas envie de me battre avec lui, il n’en avait pas de besoin et moi non plus… Être là pour lui était aussi de lui laisser de l’espace….c'était maintenant évident...

-… je vois bien que tu as envie d’être seul… aujourd’hui … était probablement une énorme journée… surtout, avec les derniers événements… de plus... tu es libre maintenant...*Dis-je tranquillement sans aucune agressivité et en toute sincérité, contente qu'il ne soit plus en cage a présent... Je me déplace donc dans le bain pour en sortir, prenant une serviette et commencer à m’essuyer…

Je viens assécher grossièrement ma tête, pour ensuite prendre une très grande serviette et la mettre autour de moi, me dirigeant, maintenant, vers mon linge... afin de le récupérer… Je n’en avais pas envie , mais ,à contre cœur, j’allais sortir pour retourner à la bibliothèque…

Sa réaction me sert la gorge, surtout lorsqu’elle me dit que je suis libre… On sait tous les deux que ces faux.
Je la regarde sortir du bain, la tête un peu plus basse, les yeux plus humides maintenant, mais je me renfrogne d’orgueil et détourne le visage vers l’eau, lorsqu’elle fini par passé derrière moi pour aller ce séché.
Mes sourcils son froncé, je me sens…maintenant très triste. Je n’avais aucune envie qu’elle parte… L’amertume de tout ce qui arrive me pesant lourd.

Je ne me jetterai pas à ses pieds, je ne lui demanderai pas pardon, ni lui dirai d’excuse… quel genre d’homme j’aurai l’air si je m’apitoyais.

Je déboutonne ma chemise en la tirant sèchement vers l’avant, mes gros doigts mal a droit peine a ne pas détruire mes boutons, mes pensées immédiatement porté vers Alex… J’avale un sanglot de peine et misère, mes amygdales sont crispés et douloureuses… Je lève la tête vers le plafond en inspirant très fort pour me ressaisir et défaire mon vêtement que je laisse aller sur le sol. Je me souviens combien elle était radieuse et heureuse de m’habillé ce jour-là quand elle a trouvé Jeni dans mon lit…
Elle avait deviné bien avant moi comment sa terminerai.
Je vais vers mon pantalon, bien obliger de baissé les yeux pour regarder ce que je fais un fugace instant de trop.
J’échappe de grosse larme silencieuses, de peine ou de colère… probablement un peu des deux.
Du revers de la main, je viens m’essuyer un œil puis l’autre, voyant le sang toujours la sur ma main… il ne sent plus rien…
Le réaliser me donne des vertiges, des mal aises, mon cœur s’emballe gravement.
-Elle est morte…
Soufflais-je avec une douleur certaine toujours déchirer entre mes deux émotions.
- Je ne me sens pas bien…
Avouais-je avant que Jeni ne finisse par me laisser à ma folie. La voix brouillée et presque râleuse de douleur.
J’ai l’impression que je vais étouffer.

Alors que je me penche, pour prendre les vêtements, j’ose regarder dans sa direction, le voyant trembler, de grosse larmes perlant le planché, j’avais l’impression qu’il allait suffoquer… Le cœur me brise en mille morceaux, ma moue s’attristant plus encore, mes doigts se crispant sur la peau de ma poitrine…

Je laisse échapper une plainte douloureuse, à sa première affirmation… Comme si je venais de recevoir un coup en plein visage… Je m’avance vers lui tranquillement, l’observant défaire son pantalon avec difficulté…

Je viens près de lui, passant ma main dans le haut de son dos, embrassant son épaule, puis je viens descendre sur ces hanches, afin de rejoindre ces mains....

Me collant contre lui, mes lèvres s'y frottant doucement, restant silencieuse, mes doigts allant prendre les siens pour les tasser et venir détacher son dernier morceau de linge… Mon souffle est chaud sur sa peau, ma joue humide s'essuyant avec douceur contre sa colonne...

Lorsque fait, je me décollerais de lui tranquillement, mes doigts l'effleurant avec tendresse et réconfort... Respectant cette distance afin de ne pas trop l’envahir…Le laissant digérer toutes ces émotions qui bouillonnaient en lui, prête a fondre d'un instant a l'autre...

Ma peau tressaute a son contacte, sans étonnement...ce triste tableau de souffrance en est en partie dû par cette personne pour qui Jeni versait des larmes...
Je pourrai tout vomir, tout lui dire...mais sa m'appartient a moi et Alex. Ce sont mes souvenirs...pas ceux de Jeni. Si pensé qu'Alex mérite d'être pleurer lui fait du bien, sa sera ainsi. Même si sa me semble répugnant et injuste, j'avais compris que s'était c'est souvenir a elle qui comptait au final.
Inutile alors de me battre pour ça. C'est comme pour le reste, mes démons devraient resté les miens. Invisible et inconnue pour la plus part. Ce n'est pas comme les tremblements de mes intercostaux qui ce crispe quand elle glisse c'est douces mains sur mes hanches.

Je ne suis pas sur d'aimé ça... C'est lui offrir beaucoup de confiance de la laissé me toucher au dos de cette façon, de venir m'englobé comme ça...
Et pourtant... je peux reprendre ma respiration au lieu que les choses empires. Me sentir "prisonnier" dans ses bras m'apporte un véritable réconfort.

Ce besoin de lui appartenir n'as nullement changer, il est plus fort que jamais...
Quand je sens c'est mains commencer a me libérer, je viens les chercher pour les croisé sur le bas de ma poitrine, expirant en profonde saccade le sanglot asséché de mon coeur. Je n'ai plus de larme a versé, longtemps déjà, j'avais pleurer tout ce qui avait a l'être. Les larme ne suffisse parfois plus a purgé la douleur...
J'ai mal de pensé d'être abandonner... sa me rend fou parfois, surtout lorsque j'accorde trop d'importance a une personne. Le comprendra peut-être elle dans ce geste a défaut de lui avouer.

- Tu prend ce bain avec moi..?

Lui demandais-je tout bas... Je ne spécifie pas que c'est une des étapes pour devenir Jabress, me laver du sang de l'ancienne, de sa présence et de son influence sur moi est essentiel.
Je ne dis rien de tout ça... par égoïsme et peur de son refus.
Je n'ai pas envie de dire a Jeni d'effacer ainsi Alexendria pour toujours. Je veux qu'elle le face en toute innocence, qu'elle détruit tout ce qui reste d'elle sans le savoir.

Sa peau est si dure et tant fragile à la fois, mon cœur faisant des rebonds alors que ces mains viennent me prendre vivement pour me ramener à lui… Ma bouche parcourant son dos tout doucement, puis mes lèvres effleurent a d’autre…

Mes doigts empoignent sa peau d’émotion, mon souffle est brûlant, inspire lentement, le sentant ici et là… Je me dandine à un point où, ma serviette finit par tomber à nos pieds… Aussitôt, ma peau rencontre la sienne, c’est l’extase, enivrant et je n’ai fait que le toucher…

-… J’avais peur ….que tu ne me le demandes pas….* Chuchotais-je à mon tour, le côté de mon visage allant se nicher au creux de son dos… Ma joue se frottant doucement, tel un petit chaton qui ne pouvais plus s’arrêter tellement il aimait les caresses, pour en redemander encore et encore…

Par cette seule phrase, je sens qu'elle a déjà compris ce que je n'avais pas osé dire.
Je déglutis un peu en réalisant ce que je suis entrain de lui demander de faire avec moi, je devrais réfléchir et prendre le temps de digérer les événement. Pourtant, tout s'ouvre a moi pour me lancé dans ce nouveau contrat...

J'ai peur, mais je mentirai pour le nier... j'avais mes raisons, mais aucun mot ne me semble assez fort pour me rendre justice si je venais a devoir m'expliquer.
Elle sais déjà que j'ai des doutes... et j'espères simplement que elle, elle sais ce qu'elle fait, qu'elle est prête et forte.
Il y a pratiquement 100 ans qui me sépare de la dernière personne a qui j'ai fais confiance comme je le fais avec Jeni. Black avait été près de moi, mais j'avais toujours eu mes réserves.
Avec Jeni ce n'est pas pareil, je suis vulnérable a ses regard, a son jugement ou ses caresses, elle en est devenu dangereusement mortelle d'un point de vue drowique. Même mère n'a jamais eu droit a ma confiance... J'obéissais oui, mais je ne lui avait jamais ouvert mon cœur.
De toute manière s'était interdit...

Quand les mains de Jeni me sert comme ça, je sens tout le mal qu'elle pourrait me faire...tout ce pouvoir pour une seule personne.
Et je suis la, a espérer qu'elle n'en fera rien et n'abusera pas de moi...qu'elle ne m'imposera pas son influence au trône. Ce ne sont que des paroles sans garantis que je dois croire ...
Une chose à la fois alors. Déjà le pantalon, ensuite le bain et après.. on verra.

Je relâche ses mains, descendant vers mes hanches en suivant ses bras, la laissant me serrer fort contre elle, étonnamment sa me fait du bien, ma crise de panique s'en était immédiatement aller.
Je le fais glisser sous mes fesses et il fini le reste seul jusqu'au pied. J'avance doucement vers l'escalier pour que Jeni puisse me suivre malgré son étreinte et m'enfonce dans l'eau chaude.
Pétunia l'avais fait chauffé pendant le souper.

Je vais me placé au centre, l'eau arrive un peu plus haut que mon nombril. J'attend, tranquille cette fois, l'ambiance tamiser et vaporeuse me fait du bien, c'est plutôt silencieux et relaxant, de ce fait je respire plus profondément et lentement retrouvant un certain calme.

Mine de rien tout ce qui viens d'arrivé tire du miracle contenu de l'intensité des émotions qui m'avait envahis. Je suis agréablement surpris de moi de n'avoir tuer ou blesser personne. D'accord, j'ai fais quelque bris de meuble mais rien de dramatique.

» Le ying et le yang: Première partie
» Mise en situation: Première partie